Chose exceptionnelle chez les femmes, le clitoris de Yasmina était d’une taille impressionnante. Mesurant près de quatre centimètres en érection, l’habituel bouton rose faisait plutôt penser à une verge de petit garçon. À l’égale de beaucoup de femmes clitoridiennes, il engendrait chez elle des orgasmes bien plus puissants qu’une simple jouissance vaginale. Une stupéfiante extase qui la secouait de spasmes nerveux suivis de longs gémissements. La pénétration devenant de ce fait accessoire, elle préféra ma langue agile à ma verge.
Bien excité, elle décalottait son clitoris et le branlait comme une petite queue. Je pris goût à sucer ce petit bout de chair qui se dressait fièrement hors des plis humides de sa vulve. Objet de toutes ses attentions, Yasmina rêvait d’en faire une queue énorme. Pour cela, elle arrivait à doubler sa taille avec une petite pompe à vide. Elle essaya d'ailleurs de m'enculer avec. Hélas, elle ne réussit qu'à caresser l'entrée de mon anus avec, sans plus. Elle regrettait qu’il n’y ait pas de chirurgie dans ce sens dans son pays. Je lui suggérais un moyen plus simple, se procurer des hormones masculines telle que la Testostérone pour le faire grossir. Selon la littérature pornographique, des femmes arrivait par ce biais à doubler son volume en quelques mois. Et chez des femmes culturistes, la testostérone développait non seulement les muscles et confirmait aussi la croissance du clitoris. Envahis tous deux par ce fantasme, on fit un rapide calcul. Elle pouvait espérer un clito de plus de douze centimètres de long sans perte de sensibilité tactile. Elle compléta mes propos en disant qu’il ne lui manquait que l’éjaculation pour en faire un véritable membre masculin. Arrivée à ce stade, je lui répondit qu'elle pourrait me sodomiser à loisir. Cela se termina par une terrible jouissance clitoridienne...
Afin de démontrer la perversité de cette femme, laissez-moi vous raconter nos premières rencontres. Rien à voir avec les comportements habituels d’une femme pudique. D’emblée, elle voulut que je me masturbe devant elle, que je jouisse rapidement et que j’avale mon propre sperme en signe de soumission. Cela me surprit, car les femmes préfèrent habituellement qu’on jouisse dans leur ventre la première fois. Je précisais que je n’arrivais pas à boire le fruit de mes jouissances après un orgasme. Elle me proposa alors de jouir dans un verre, de mélanger mon sperme à du whisky puis de boire ce mélange en guise d’apéritif. Je lui répliquai que je préférai en faire des glaçons pour rafraichir les boissons. Par jeu, elle me suggéra de les offrir en apéritif à mes invités sans qu’ils n’en sachent rien. L’idée m’amusa ; restait à la concrétiser...
Une autre fois, elle insista pour que j’avale cette fois-ci mon sperme directement en jouissant. C’était là faire preuve de ma soumission. Excité une fois de plus par son délire, je me roulai en boule sur le dos avec les jambes repliées vers ma tête. J’eus ainsi ma verge à quelques centimètres de mes lèvres. Cela me rappela les autofellations de mon adolescence, lorsque j’arrivai à me sucer et à jouir directement dans ma bouche. Je me masturbai donc rapidement et giclai mon sperme en orientant la verge vers mes lèvres. Quelques gouttes se répandirent sur mon visage. Yasmina ne put résister à la scène. Elle se masturba alors comme une folle.
Arriva un jour où je lui montrai ma collection de gadgets érotiques. Alors que je la prenais pour une enculeuse, elle ignora le gode-ceinture. Elle lui préféra un godemichet gonflable, un truc énorme qui se gonflait à plus de 15 cm de diamètre une fois dans le rectum. Inutile de préciser que j’avais fait un lavement du colon avant, seule façon de rester propre, quelque soit la profondeur des pénétrations. Comme moi, Yasmina avait horreur de se salir. À grand renfort de lubrifiant, elle introduisit l’énorme gode qui dilata délicieusement mes chairs. Il s’enfonça en moi jusqu’à distendre mon colon, jusqu'à un point au fond du rectum connu des seuls initiés de sodomies profondes. À chaque pression de la poire, le gode se gonflait davantage dans mes entrailles provoquant d’atroces douleurs renforcés par une irrésistible envie d’évacuer. Un combat sadique au-delà du supportable, partagé entre plaisir et douleur, qui excita Yasmina par son intensité. Je poussai le gode à la façon d’une femme qui accouche en gémissant de douleur. À chaque tentative d'expulsion, Yasmina gonflait le gode un peu plus avec un sadisme digne de Sacher-Masoch, ce grand disciple de Sade. Je poussai à la limite de mes forces, mais le gode refusa de sortir tellement il était coincé dans mon cul. N’en pouvant plus, je forçai à m’en déchirer l’anus. Flop, je l’éjectai d’un seul coup en poussant un cri de délivrance tellement j’eus mal. Je m’effondrai ensuite sur le lit tandis qu’une douce euphorie s’emparait de mon être. En voyant le trou béant de mon anus distendu, Yasmina essaya de me fister. Elle n'y arriva pas n’étant plus en état de subir une telle caresse.
Tandis que je récupérai de cet exploit, elle me confia avoir enfin trouvé en moi l’amant idéal, un soumis qu'elle pouvait dilater du cul à l'extrême et offrir à d'autres mecs. D’après elle, la Providence m’avait placée sur son chemin. Elle était croyante... Moi par contre, je la soupçonnai d’être une lesbienne refoulée. Je devinai chez elle un ressentiment à l’égard des hommes, comme une sorte de rancœur justifiée par la recherche de son propre plaisir dans la souffrance de son partenaire masculin. Il me sembla intéressant de savoir pourquoi…
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