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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

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MA FEMELLISATION

Mardi 19 novembre 2 19 /11 /Nov 17:12

     Chose exceptionnelle chez les femmes, le clitoris de Yasmina était d’une taille impressionnante. Mesurant près de quatre centimètres en érection, l’habituel bouton rose faisait plutôt penser à une verge de petit garçon. À l’égale de beaucoup de femmes clitoridiennes, il engendrait chez elle des orgasmes bien plus puissants qu’une simple jouissance vaginale. Une stupéfiante extase qui la secouait de spasmes nerveux suivis de longs gémissements. La pénétration devenant de ce fait accessoire, elle préféra ma langue agile à ma verge. 

     Bien excité, elle décalottait son clitoris et le branlait comme une petite queue. Je pris goût à sucer ce petit bout de chair qui se dressait fièrement hors des plis humides de sa vulve. Objet de toutes ses attentions, Yasmina rêvait d’en faire une queue énorme. Pour cela, elle arrivait à doubler sa taille avec une petite pompe à vide. Elle essaya d'ailleurs de m'enculer avec. Hélas, elle ne réussit qu'à caresser l'entrée de mon anus avec, sans plus. Elle regrettait qu’il n’y ait pas de chirurgie dans ce sens dans son pays. Je lui suggérais un moyen plus simple, se procurer des hormones masculines telle que la Testostérone pour le faire grossir. Selon la littérature pornographique, des femmes arrivait par ce biais à doubler son volume en quelques mois. Et chez des femmes culturistes, la testostérone développait non seulement les muscles et confirmait aussi la croissance du clitoris. Envahis tous deux par ce fantasme, on fit un rapide calcul. Elle pouvait espérer un clito de plus de douze centimètres de long sans perte de sensibilité tactile. Elle compléta mes propos en disant qu’il ne lui manquait que l’éjaculation pour en faire un véritable membre masculin. Arrivée à ce stade, je lui répondit qu'elle pourrait me sodomiser à loisir. Cela se termina par une terrible jouissance clitoridienne... 

     Afin de démontrer la perversité de cette femme, laissez-moi vous raconter nos premières rencontres. Rien à voir avec les comportements habituels d’une femme pudique. D’emblée, elle voulut que je me masturbe devant elle, que je jouisse rapidement et que j’avale mon propre sperme en signe de soumission. Cela me surprit, car les femmes préfèrent habituellement qu’on jouisse dans leur ventre la première fois. Je précisais que je n’arrivais pas à boire le fruit de mes jouissances après un orgasme. Elle me proposa alors de jouir dans un verre, de mélanger mon sperme à du whisky puis de boire ce mélange en guise d’apéritif. Je lui répliquai que je préférai en faire des glaçons pour rafraichir les boissons. Par jeu, elle me suggéra de les offrir en apéritif à mes invités sans qu’ils n’en sachent rien. L’idée m’amusa ; restait à la concrétiser...

clit daddio 

     Une autre fois, elle insista pour que j’avale cette fois-ci mon sperme directement en jouissant. C’était là faire preuve de ma soumission. Excité une fois de plus par son délire, je me roulai en boule sur le dos avec les jambes repliées vers ma tête. J’eus ainsi ma verge à quelques centimètres de mes lèvres. Cela me rappela  les autofellations de mon adolescence, lorsque j’arrivai à me sucer et à jouir directement dans ma bouche. Je me masturbai donc rapidement et giclai mon sperme en orientant la verge vers mes lèvres. Quelques gouttes se répandirent sur mon visage. Yasmina ne put résister à la scène. Elle se masturba alors comme une folle.

     Arriva un jour où je lui montrai ma collection de gadgets érotiques. Alors que je la prenais pour une enculeuse, elle ignora le gode-ceinture. Elle lui préféra un godemichet gonflable, un truc énorme qui se gonflait à plus de 15 cm de diamètre une fois dans le rectum. Inutile de préciser que j’avais fait un lavement du colon avant, seule façon de rester propre, quelque soit la profondeur des pénétrations. Comme moi, Yasmina avait horreur de se salir. À grand renfort de lubrifiant, elle introduisit l’énorme gode qui dilata délicieusement mes chairs. Il s’enfonça en moi jusqu’à distendre mon colon, jusqu'à un point au fond du rectum connu des seuls initiés de sodomies profondes. À chaque pression de la poire, le gode se gonflait davantage dans mes entrailles provoquant d’atroces douleurs renforcés par une irrésistible envie d’évacuer. Un combat sadique au-delà du supportable, partagé entre plaisir et douleur, qui excita Yasmina par son intensité. Je poussai le gode à la façon d’une femme qui accouche en gémissant de douleur. À chaque tentative d'expulsion, Yasmina gonflait le gode un peu plus avec un sadisme digne de Sacher-Masoch, ce grand disciple de Sade. Je poussai à la limite de mes forces, mais le gode refusa de sortir tellement il était coincé dans mon cul. N’en pouvant plus, je forçai à m’en déchirer l’anus. Flop, je l’éjectai d’un seul coup en poussant un cri de délivrance tellement j’eus mal. Je m’effondrai ensuite sur le lit tandis qu’une douce euphorie s’emparait de mon être. En voyant le trou béant de mon anus distendu, Yasmina essaya de me fister. Elle n'y arriva pas n’étant plus en état de subir une telle caresse.

     Tandis que je récupérai de cet exploit, elle me confia avoir enfin trouvé  en moi l’amant idéal, un soumis qu'elle pouvait dilater du cul à l'extrême et offrir à d'autres mecs. D’après elle, la Providence m’avait placée sur son chemin. Elle était croyante... Moi par contre, je la soupçonnai d’être une lesbienne refoulée. Je devinai chez elle un ressentiment à l’égard des hommes, comme une sorte de rancœur justifiée par la recherche de son propre plaisir dans la souffrance de son partenaire masculin. Il me sembla intéressant de savoir pourquoi…


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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Vendredi 15 novembre 5 15 /11 /Nov 21:34

     Après ma troublante expérience de domination avec cette femme mariée adepte de BDSM, se posa la question de favoriser la femelle qui se manifestait si fortement en moi. D’un côté, ma conscience me dictait de vivre en homme viril, question d’équilibre social, mais cela brimait trop ma libido. De l'autre, être "femellisé" par une femme me stimulait tant que je devenais incapable de concevoir ma sexualité autrement. Fallait-il m’interdire ce bonheur pour des questions d’éducation et de bienséance ?  

     Je l’ai maintes fois rappelé dans ces colonnes, l’identité de genre relève d’un comportement qui, à mon avis, ne doit pas être figé dans une dualité mâle-femelle que nous impose la société. Nous ne sommes pas homme ou femme, mais des êtres hybrides fait demasculinité et de féminité. Chaque homme doit pouvoir vivre ouvertement son identité de genre en fonction de son ressenti sans être condamnable par la société pour cela. Pourquoi les homos ont-ils le droit d'exprimer officiellement leur penchant sexuel alors qu’on interdit aux hommes comme moi de vivre ouvertement leur féminité ? Les femmes nous opposent à ce sujet une censure encore plus violente que celle des hommes.

     Après mure réflexion, vivre ma sexualité sans plus aucune contrainte prima sur toute autre considération existentielle. J’en conclus qu’une femme qui s’excitait ouvertement  à me "femelliser" et à développer mes seins était l’unique façon de vivre et d’exister sexuellement. Au moins, je ne serais plus frustré en vivant du mauvais côté du miroir à deux faces. J’avais maintes fois observé chez les femmes qui féminisaient des hommes une ouverture d’esprit qui leur permettait d’extérioriser un très haut degré de perversion. Ne voulant pas refaire la même erreur qu’avec mes amies ghanéennes, je décidai donc d’aller sans réserve là où me conduiraient les fantasmes de "femellisation" d’une telle femme. Or, trouver celle qui se passionnait pour mes penchants féminins demanda du temps. Ou les femmes rencontrées ne s’amusaient qu'à me féminiser provisoirement ou alors, c’était des dominatrices professionnelles, voire même des "gynarchistes castratrices" qui féminisaient les hommes pour mieux les soumettre à leur autorité. Empreint d'une expérience nouvelle, j’évitai donc ces femmes par la suite…

     On se rencontra sur un forum porno, là où chacun étalait ses fantasmes les plus déviants. Son profile précisait qu'elle était une Domina de 28 ans qui recherchait un soumis mature pour en faire une pute et l'offrir à d'autres hommes. Elle ne précisait pas pourquoi et comment. Hormis son jeune âge, Yasmina n’avait rien d’une beauté fatale. Petit bout de femme dotée d’une poitrine trop généreuse et d’un corps tout en rondeur, elle se distinguait des autres femmes  par ses envies perverses bien au delà de tout ce que j'avais vécu jusqu'à présent : " Les sites pornos permettent de vivre à fond mes propres déviances, disait-elle." Faisant table rase des tabous et de la pudeur qui entravent habituellement la sexualité, elle se disait incapable de trouver son plaisir autrement. Que ce soit l’homosexualité, la zoophilie, le BDSM où même l’inceste et la pédophilie, tout ce qui relevait de l’interdit sexuel l’attirait. A l'entendre, Sade était pour elle un enfant de choeur. Elle critiquait vivement la France et l'Occident en général pour ses lois sur la pédophilie qui obligeaient son pays à interdire de telles relations alors qu'elle rêvait de vivre cela avec une fille pubère. 

     Contrairement à ce que je croyais, je me rendis vite compte au cours de nos conversations sur le Net qu’elle manquait d’expérience. Ce n'était chez elle que des fantasmes liés à un état de manque. Elle le reconnut humblement, car dans son pays machiste, il était inimaginable qu'une femme exprime ouvertement ses préférences sexuelles vis-à-vis des hommes. C’est pourquoi elle se défoulait virtuellement sur le Net en espérant trouver un homme mature et soumis encore plus vicieux qu'elle. La perversité des hommes âgés l'attirait bien plus que tous ces jeunes qui ne pensaient qu'à tirer un coup. 

     Noire et de confession musulmane, elle sortait pourtant d’une relation somme toute banale, un amant qui ne comprenait rien à ses attentes. Frustrée à cause de la misogynie des hommes de son pays, dominer sexuellement un mâle par réaction stimulait fortement sa libido. Elle savait ce qu’elle voulait : trouver un homme soumis, aussi vicieux qu'elle, avec qui elle fonderait une famille unie en partageant ouvertement ses délires marginaux sans aucun tabou. Sans succès d’ailleurs, car elle exigeait des trucs si bizarres que les quelques hommes avec qui elle discutait sur le Net craignaient pour leurs fesses. A défaut d’un soumis pervers à sa disposition, elle se nourrissait des fantasmes de ceux divaguant sur Internet. Un monde de fantasmes virtuels si extravagants que cela la marginalisait encore plus.

gfwpwcao.jpg     Bien que les attirances sexuelles de Yasmina n’aient rien à voir avec la féminisation à laquelle j’aspirais, découvrir une femme aussi perverse m’attira irrésistiblement. J’avais face à moi une égérie ouverte à toutes les perversions sexuelles. A mon avis, il devait certainement exister une situation sexuelle qui la choquerait. Or, plus je m’aventurai dans des descriptions scabreuses et plus cela l’excitait. Bien qu'elle soit adepte des lavements du colon, une seule chose la rebutait, la scatophilie. La provoquant jusqu'à l'outrance, je l’amenai sur un terrain interdit qui choquait les femmes. Je voulais tester sa perversité réelle, savoir jusqu'où elle était prête à aller. Je lui proposai le plus sérieusement du monde de nous marier, de fonder une famille ensemble et de vivre l’inceste à travers nos futurs enfants. Au lieu de la choquer, l'idée l’emballa. Elle me répondit du tac au tac que ce serait une aventure merveilleuse que d'éduquer nos futurs enfants ainsi. Aucun blocage sexuel chez cette femme. Elle avait conscience des lois contraignantes, mais espérait bien vivre sa propre sexualité en dehors de ces lois. Je vous le disais, une perle rare en matière de perversité tout en ayant conscience des valeurs traditionnelles quant au mariage et à la famille !

     Rendez-vous compte, dès nos premières discussions, elle voulut d’emblée que je me fasse sucer le sexe et que je jouisse dans la gueule d'un gros chien. Je devais aussi prouver ma perversité en enculant le gros chien de mes voisins, actes zoophiles qui lui semblèrent tout à fait normaux. Une entrée en matière difficile à assumer pour moi... Un homme normal aurait pris ses jambes à son cou. Or moi, je restai, tellement je fus captivé par ses délires zoophiles. J'entrai dans son jeu en lui racontant mes propres expériences animales. Petit garçon, je m’amusai à faire jouir un chien errant du quartier. Je me souvenais comme il frétillait de la queue en me voyant. Dès que j'arrivais, il me sautait dessus, s’emparait de ma jambe avec ses pattes avant puis frottait son sexe chaud et poilu sur mon mollet à grands coups de bassin. Tandis que je caressais sa tête, il déchargeait rapidement son jus. Parfois, je préférais le branler. Il se couchait alors par terre sur le dos et se laissait faire en écartant ses pattes. Ce chien devint naturellement le partenaire privilégié de mes premiers jeux sexuels intimes. De voir cet animal de compagnie se jeter sur ma verge bandante et laper mon gland ajouta au plaisir de mes masturbations. Je me souvenais aussi de l’étonnement de ma cousine quand elle me surprit dans ces jeux indécents. Elle ignorait encore qu’on puisse éprouver du plaisir avec un chien. Sur mes conseils, elle essaya et ne résista pas à sa langue. Elle jouit en moins de trente secondes tellement elle éprouva de plaisir. De voir le chien se régaler autant avec sa cyprine m'excita beaucoup. Je fis aussi cela avec des chats. A cette occasion, je découvris combien leur langue était râpeuse.

        Je lui racontai ausi que ce fut vers l'âge de neuf ans que je découvris les plaisirs de la masturbation et de l'orgasme. Et pourtant, je n'éjaculais pas encore. A l'adolescence, d’irrésistibles pulsions me poussèrent à me branler en permanence. Tel un obsédé, je jouissais plusieurs fois par jour. Je trouai systématiquement une poche de mes pantalons pour me masturber plus facilement. Je lui  racontais aussi comment je me masturbais en classe au collège. De sentir le sperme chaud couler entre mes cuisses pendant le cours de math faisait que je recommençais immédiatement une seconde masturbation après. Je tenais à ce propos un petit calepin ou je notais consciencieusement mes multiples masturbations quotidiennes. Certains week-ends ou j'étais seul à la maison, j'arrivais à jouir plus de dix fois d'affilé. A la fin, je continuais tout de même à me faire jouir alors que plus rien ne coulait de ma verge bandante. Ah si seulement les adultes ne nous privaient pas de ces plaisirs à l'enfance, ce serait merveilleux de vivre sa sexualité dès la montée des hormones mâles. Je lui racontais aussi comment j'avais défloré ma cousine de treize ans suite à nos expériences communes avec ce chien errant. En ce temps, j'étais trop jeune pour avoir des orgasmes avec du sperme. Je jouissais, mais sans éjaculer.

     D'entendre de telles confidences sur mon adolescence emballa Yasmina. Elle en conclut que j'étais une vraie "salope", en tout bien tout honneur…

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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Mercredi 6 novembre 3 06 /11 /Nov 16:58

     A ceux qui lisent en diagonale ou qui auraient sauté des chapitres de mon blog, permettez-moi de rappeler brièvement, l’historique des femmes qui me convertirent progressivement à devenir le "mâle femellisé" que je suis aujourd’hui. Un rappel qui permettra aux lecteurs de mieux appréhender la démarche dans laquelle je m’inscris.

     Ayant acquis l’expérience des femmes à mon âge, j’éprouvai le besoin de varier mes plaisirs sexuels afin de booster une libido parfois défaillante. Je rappelle aux lecteurs que je ne suis pas attiré par les hommes et l'homosexualité. Tout débuta avec mes amies ghanéennes, deux lesbiennes à l’origine de ma féminisation. Alors que j’étais un mâle pur et dur, je constatai combien « jouer » à me féminiser était une façon excitante d’aborder une sexualité différente avec les femmes. A leur contact, toute la féminité que Maman m’avait fait vivre durant mon enfance ressurgit brusquement. En quelques mois, je découvris non seulement le plaisir d’un corps totalement lisse, mais aussi la douceur des délicates lingeries féminines. Puis ce fut l’inversion des rôles mâle-femelle et les premières sodomies. Etre receveur fut une manière d’extérioriser une passivité sexuelle jusqu’alors insoupçonnée. Ce fut si jouissif de me laisser aller entre ces deux femmes sans avoir  à me soucier de bander ou de prendre l’initiative que je me laissai convaincre facilement. Contrairement à beaucoup d’hommes féminisés, je n’avais jamais imaginé cela auparavant, même pas dans mes rêves d’ado. Et pourtant j’avais été un temps la "petite fille" de Maman.

      Oh, cela ne se fit pas en quelques jours, il faut des mois, voire des années avant de s’abandonner totalement à ces jeux de féminisation. Un combat permanent d’où l’homme sort perdant au profit de la femelle qu’il devient. De découvrir les délires de ces deux femmes se transforma en une merveilleuse exploration amoureuse. Leur côté lesbien les poussa inconsciemment à effacer l’homme que j’étais pour le remplacer par la femme qu'elles désiraient que je sois dans l'intimité. A preuve, elles me firent découvrir les plaisirs de la sodomie par une verge de travesti. Rien de comparable avec un gode-ceinture. Je perçus cette sodomie comme honteuse tellement j’éprouvai de plaisir à sentir une queue de mec fourrager mes entrailles. Etais-je un homo refoulé ? La question ne se posa pas en ces termes puisqu'il possédait un corps androgyne et se travestissait en femme la plupart du temps. Conquis et amoureux fous de Fatou, je vécus sur un nuage entre ces deux femmes et leur ami travesti.

     Cela les conduisit malheureusement à des excès. Comme on fantasmait souvent ensemble sur ma poitrine, elles me firent prendre des hormones féminisantes sans m’en informer. Ce qui me révolta quand je le découvris. A vrai dire, je n’étais pas encore prêt à passer au stade supérieur de la féminisation. A cela s’ajouta un problème encore plus difficile à gérer, elles voulurent me faire endosser la paternité d’un bébé qui n’était pas de ma conception. D’où notre regrettable séparation. 

     Après ces années bonheur, redevenir un mec à 100% ne m’intéressa plus. Je découvris à l’occasion combien sont rares les femmes qui s'excitent à féminiser leur amant. J’allai jusqu’à rencontrer des dominatrices professionnelles pour satisfaire mes penchants féminins. Triste constat, ces femmes en général ne nous comprennent pas, elles n’ont pas le talent naturel de féminiser les hommes. Et les autres femmes que je rencontrai se sauvaient à chaque fois, choquées ou amusées par ma condition de mâle féminisé. Je les comprenais d’ailleurs ; pas évident pour elles de se trouver face à un mec passif, intégralement épilé, avec des seins et portant un string de femme alors qu’elles rêvaient d’un beau mâle viril qui les violerait. 

     Errant de boites de nuit en bars d’ambiance à la recherche de celle qui me féminiserait, je rencontrai finalement Rio, une transsexuelle brésilienne non opérée et sa copine blonde. Je découvris leur corps androgyne, leur poitrine plus vraie que nature, mais aussi leur verge, leurs minuscules testicules et leur semence dont je finis par me régaler. Rio était si belle, si féminine, si extravagante sexuellement que je craquai. Je m’en épris follement.

mardik2A      Je lui confiai mon aventure ghanéenne et pourquoi je m’étais séparé de ces deux femmes. L’idée d'avoir pris des hormones féminisantes en tant qu'homme femellisé pour avoir des seins ne l’étonna pas. Comme beaucoup de ses copines, elle était passée par là avant de se faire opérer de la poitrine. Et dans son milieu, elle avait parfois rencontré des hommes féminisé qui rêvaient d'avoir des seins. Ne voulant pas faire l'erreur faite avec Fatou et Mariam, j'acceptai donc de partager ses hormones au gré de ses envies et de mes états d’âme. Oh, cela n’eut rien à voir avec un traitement sérieux, bien que mes mamelons devinrent sensibles à la longue. Une merveilleuse découverte ces hormones. Avoir des seins au contact de ces deux femmes et vivre en femelle salope devint un jeu des plus excitants.

     Dans ce monde fait d’extravagances féminines, je me transformai rapidement en un être hybride, tantôt mâle, tantôt femelle selon les circonstances. Vivre entre Rio et sa copine blonde modifia profondément ma perception de la sexualité. Je plongeai dans des débordements extrêmes à en devenir marginal. Je m’habituai à leur corps androgyne, à leur « chatte », au goût de leur jouissance, à leurs sodomies aussi, allant parfois jusqu’à côtoyer la prostitution avec elles. Et à force de prendre des hormones féminisantes avec Rio, j'en devins dépendant, une addiction stimulée par la poussée de mes seins. 

     Après quelque temps de cette vie dissolue, ma conscience me dicta de retrouver mes repères masculins si je ne voulais pas dériver complètement. Sans compter que ma vie professionnelle en pâtissait sérieusement. Mon entreprise risquait de couler si je ne me ressaisissais pas. Comme Rio menait une vie infernale, j’en profitai pour  me séparer d’elle et me reconstruire psychiquement. Or, elle tenta de se suicider tellement notre relation était forte. Quoi de plus perturbant ? Notre séparation ne fut pas simple. J’eus grande peine à la quitter, mais cela devenait pour moi une question de survie. 

     Une fois séparé d'elle, j'essayai vainement de redevenir un homme, un vrai ! J’allai jusqu’à m’inventer un profil de dominateur sur le Net. Attirée par le BDSM, une mère de famille délaissée par son mari me contacta. Elle disait manquer d’expérience en la matière. Bien que mon attitude lui sembla douteuse, dixit mon côté féminin, elle fut captivée par ma perversité. Jamais on ne lui avait parlé sexe de cette façon. Nous vécûmes tous deux une période trouble où je la contraignis à vivre des situations des plus marginales. Surprenant de voir comment cette mère de famille se donna au chien de mes voisins. Encore plus surprenant de l'obliger à draguer puis à dépuceler un lycéen de quinze ans. Et que dire lorsque je l'offris à des SDF qui la baisèrent sauvagement ? La honte et l’humiliation ressentie face aux situations que je lui imposai devinrent le moteur d’une sexualité libérée de toutes conventions. Dans la mesure où je la contraignis à vivre mes propres déviances sexuelles, elle ne se sentit plus responsable moralement. Qu'elle déchargea ainsi sa conscience sur moi fut perturbant.

     Pouvoir exprimer sans retenue tout le sadisme qui sommeillait en moi engendra des comportements troublants. Voir cette femme soumise à mes perversions me procura des jouissances bizarres, à la façon d’un Sade. Qui n'a jamais obtenu d'une femme de sucer un inconnu dans la rue ne peut comprendre de tels comportements.  Qu’une mère de famille puisse se donner de cette façon fut une découverte. Un don de soi dont seules les femmes sont capables ! J'obtins tout d'elle à condition de la respecter hors de nos tribulations sexuelles. Un lien très fort finit par nous unir. Je l'aimais profondément, mieux encore, j’admirai qu'elle puisse se donner ainsi. Encore aujourd’hui, je repense à ce sentiment déviant qui nous unissait au-delà de toute pudeur morale. J’aurai peut-être l’occasion d’en reparler en détail, bien que ce soit hors sujet.

     Finalement, on mit un terme à notre relation BDSM si riche de perversion. Cette mère de famille eut peur de ses propres pérégrinations sexuelles tant elle y prenait de plaisir. Et chez moi, le constat s’imposa. En l'amenant à de telles dérives sexuelles, je me vengeais inconsciemment sur elle du sentiment de ne pouvoir vivre ma féminité. Je le constatais, ma sexualité ne pouvait s’épanouir pleinement qu’à travers ma "femellisation" par une femme.... 

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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Vendredi 1 novembre 5 01 /11 /Nov 20:32

     A cause des féministes, les hommes se libérent des contraintes et des rôles sociaux que leur impose une société qui se veut toujours plus égalitaire. Et les femmes du fait d’un environnement traditionnellement machiste sont nombreuses à les rendre responsables de leurs malheurs. Or, à travers les mouvements féministes, des militantes se sont appropriées des codes attribués autrefois aux hommes, ne serait-ce que nos vêtements et nos fonctions. Il leur appartient aujourd’hui, au titre de l’égalité des sexes, d’assumer à leur tour une part des responsabilités qui incombaient auparavant aux hommes. C’est une des conséquences d’une égalité chèrement acquise.

 

hommemystere_629568.jpg      Elles ne s’attendaient pas à ce que les "barrières" qui séparaient autrefois les deux sexes évoluent de cette façon. Des gens comme Jean Paul Gaultier allaient en surprendre plus d’une avec sa mode transgenre. Puis ce furent les commerciaux et le monde du business qui s’engouffrèrent dans la brèche ouverte par les féministes : des produits de beauté, des salons d’esthétique destinés aux hommes, même des strings pour homme pour mieux montrer nos fesses. Des mâles ayant une part de féminité plus développée que la moyenne en profitèrent pour exprimer une nouvelle forme de sexualité.

     Face au caractère parfois hystérique de certaines féministes, homosexualité et bisexualité sont-elles devenues des réflexes de défense ? Il est vrai qu’un dragueur traditionnel renvoie aujourd’hui l’image d’un machiste décadent. L’influence de mouvement comme Act-up qui défend les homos en agressant l'opinion publique y est certainement pour quelque chose. Celle des Femen, des furies aux seins nus, aussi. 

     Il est donc temps que les femmes acceptent l’idée selon laquelle masculinité et féminité ne sont pas opposées mais complémentaires. Ce n’est pas parce qu’un homme exprime la part de féminité qui vit en lui qu’il est moins viril. Or, en leur for intérieur, dès qu’on se dévoile ainsi, cela irrite les femmes et génère une sourde colère en elles. Ne le niez pas mesdames,  de par vos actions féministes, les hommes se féminisent même si cela devient plus compliqué pour vous quand il faut partager cette dualité identitaire. Apprenez à reconnaitre notre féminité. Nous vous avons donné pantalons et costumes, offrez-nous en échange des strings et de la dentelle...


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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Samedi 10 août 6 10 /08 /Août 06:16

      Oscillant entre mes envies de "femellisation" et ma nature de mâle, c'est en voyant une nouvelle collection de minuscules strings sexys dans la vitrine d’une boutique de lingerie que j'ai à nouveau craqué. Ce n’est un secret pour personne, je voue une irrésistible passion pour les petites culottes et les minuscules strings de femme en particulier. J’aime autant les porter qu’en acheter. Pas une semaine sans que la tentation d’en trouver de nouveaux me prenne aux tripes. Même quand je pars en voyage, je prends toujours plus de culottes et de strings que nécessaire dans mes bagages ; elles prennent si peu de place. Les douaniers m’amusent à ce sujet. Ne trouvant que de la lingerie de femmes dans mes valises, ils me jettent parfois un regard interrogateur...

     Je le disais plus haut, j’ai actuellement une préférence pour une petite boutique où la vendeuse connait mes goûts. Nous avons donc sympathisé. Avec un sourire complice, elle me propose des strings de femme à l’entrejambes moins étroit qui contiennent mieux mon sexe proéminent alors qu’ils sont prévus pour y loger une chatte. A chaque nouvel arrivage, elle ne manque pas de m’appeler. Après tout, elle est comme toutes les vendeuses, elle associe mes divagations érotiques à son chiffre d’affaires. Elle sait que j’ai horreur des froufrous et de toutes ces fanfreluches qui dénaturent l'esthétique. Je préfère des matières au toucher érotique, légèrement transparentes et vaporeuses avec une coupe qui met en valeur le bombé de mon sexe. Et sur le derrière, le petit triangle qui donne des fesses plus  joufflues. Plus c’est petit et plus ça m’excite à tel point que je m’affole devant des microstrings. Un comble quand on voit combien leur prix est inversement proportionnel à leur surface.

     En rentrant à la maison après mes courses, je ne pense qu’à une chose, vite les enfiler sur mes hanches épilées. Bien souvent, ils sont si petits que mon sexe déborde de ces fins tissus. Mais incapable de résister à l’envie qui me submerge, je me branle avec. C’est fou comme un simple morceau de dentelle provoque une si intense excitation en moi. Rendez-vous compte, j'imagine parfois tenir une boutique de lingerie spécialisée où tout le monde, femmes, travestis comme transsexuelles viendraient se fournir sans fausse honte. Et bien sûr, je leur prodiguerais les conseils que cette clientèle attend de moi...

     Déambuler au rayon lingerie des grands magasins à la recherche de la petite chose qui m’excite, caresser les délicats tissus qui habilleront mon sexe et mes fesses me procure aussi beaucoup de bonheur.  J'ai plaisir à toucher, à comparer et à prendre le temps de choisir. Avec l’habitude, je ne ressens pratiquement plus aucune gêne face aux vendeuses. Je dirais même pour celles qui s’interrogent à mon sujet que leur regard réprobateur nourrit ma perversion. Mais ne pensez surtout pas que je les défis. Il y a des limites à la provocation. Bien souvent, elles semblent plus gênées que moi.

     J’assume à présent ma femellisation au point que dans l’intimité d’une chambre, je ne cache plus mes penchants aux femmes. Avec mes seins aux tétons proéminents et mon corps épilé juste vêtu d’un string féminin, je les surprends. Certaines femmes s’en amusent, d’autres apprécient et se piquent au jeu de ma "femellisation". Quant aux pudiques, elles s’enfuient en me traitant de malade.

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     Choisir parmi les dizaines de culottes dans la commode de ma chambre celle que je porterai toute la journée est à chaque fois un plaisir renouvelé. Dans mon désir de "femellisation", les strings et les culottes de femme sont au cœur de mes aspirations. Enfiler une petite culotte en dentelle sur mon corps intégralement épilé me permet de me sentir femelle, prêt à tous les excès féminins. Et ressentir toute la journée sous mon pantalon la ficelle d’un string entre mes fesses me rappelle que je suis effectivement une femelle dans l’intimité. Idem lorsque mes bourses débordent du string et que je dois les remettre discrètement en place.

 


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION DES HOMMES
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Dimanche 31 mars 7 31 /03 /Mars 20:36

     Avec plus de 500 visiteurs quotidiens sur mon blog, ma "femellisation" hormonale passionne les foules. Je constate avec ravissement que des hommes de plus en plus nombreux s’enflamment à ce sujet, au point de vouloir franchir le pas avec leur épouse et explorer cette merveilleuse aventure féminine avec elle. Ah, se sentir femme dans notre corps d’homme, le rêve de beaucoup d’entre nous. Qu’une femme nous pousse à enfiler des petits strings sexys sur nos hanches épilées, à glisser des bas sur nos jambes lisses, à chausser des escarpins puis à prendre des hormones féminisantes pour avoir de vrais seins aux tétons saillants et enfin qu’elle s'excite à nous prendre par derrière avec un énorme gode-ceinture affole nos sens. Combien sommes-nous à nous masturber en songeant à cet univers féminin que nous ne pouvons pas exprimer ouvertement avec une femme ?

mamelon.jpgOr, une telle initiative s’oppose à notre pudeur de mâle. On n’ose pas avouer nos penchants féminins par souci d’être mal compris, par crainte du qu’en-dira-t-on et d'un jugement négatif de notre entourage social, à commencer par la pudibonderie des femmes. S’ajoute à cela la crainte des effets négatifs des hormones féminisantes sur notre identité de mâle viril. On dit tant de choses à ce sujet. De ce fait, oser franchir la frontière entre masculin et féminin n’est pas donné à tout le monde. Mieux vaut donc se cacher de ces penchants féminins disent les hommes sensés.

     Et oui, hormis les maitresses professionnelles, nos femmes nous préfèrent en homme viril et conquérant. Elles assimilent les hommes féminisés à des homos introvertis, voire à des malades qui refusent de reconnaître leur homosexualité. Et pourtant, face au discours public sur l’identité de genre et l’orientation sexuelle, les esprits s’ouvrent. Attention, il ne s’agit pas ici de transsexualité ou de vivre en femme à plein temps, c’est un autre sujet. Des hommes comme nous désirent d’abord exprimer la part de féminité qui vit en eux sans pour autant remettre en question leur genre masculin. Qui n’a pas vécu le bonheur de voir ses seins se développer et de ressentir les effets féminins des hormones sur son corps et son esprit ne peut pas comprendre. Qui ne s’est pas donné à une femme en homme féminisé ne peut mesurer le plaisir qu’on en tire. Et le bonheur est encore plus grand quand c’est notre compagnequi nous féminise au-delà de nos espérances...

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION DES HOMMES
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