PRESENTATION

  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

DERNIERS COMMENTAIRES

Recherche

MA FEMELLISATION

Lundi 1 septembre 1 01 /09 /Sep 22:42

     Vous le savez amis lecteurs, la sexualité de notre société est avant tout basée sur des valeurs judéo-chrétiennes, à mon avis, une morale puritaine qui empêche de vivre pleinement nos fantasmes les plus luxurieux. Or, il existe chez moi un besoin irrépressible de les réaliser. Et à l'exemple de Yasmina, plus ils transgressent les interdits sociaux et plus ils m’excitent. Ce qui fait que je recherche les extrêmes en matière sexuelle. Baiser comme papa-maman ne suffit plus à mes jouissances. Certaines gens disent que les fantasmes ne doivent pas être vécus. Ils se forment dans notre esprit uniquement pour stimuler la libido et favoriser l’excitation qui conduit au coït. Les spécialistes précisent qu’une fois vécue, on s’oriente systématiquement vers de nouveaux fantasmes encore plus hard. D’après eux, cela conduit à une escalade sexuelle, voire à une dépendance obsessionnelle du type addiction. A voir certains sites pornos sur le Net, je n'en doute pas. Moi-même, je reconnais être le sujet involontaire d’un fantasme de femellisation qui me rend totalement dépendant des délires de Yasmina.

     A lire les remarques contradictoires de certains, je serais soit un fantasmeur soit quelqu'un pratiquant une sexualité des plus outrancières. Disons que je suis plus pervers que la moyenne des hommes, ce qui me pousse à une sexualité marginale. J'attendis d’être un homme mature et libéré des conventions sociales avant d’y arriver. Ce fut au cours d’une liaison avec mes amies ghanéennes que je pris conscience d’une orientation sexuelle différente de mes habitudes masculines.  J'avais alors dépassé la quarantaine. Quoi de plus excitant que d’inverser les rôles sexuels en me soumettant à deux femmes qui me féminisaient ? Une découverte tardive à mon avis. Qui plus est, découvrir qu'en offrant ma "chatte", je n’avais plus à assumer ma virilité pour satisfaire leurs envies me combla d’aise.

363176894 

   Plus tard, ma recherche sur le Net me conduisit dans les bras de Yasmina, une femme de caractère comme on en rencontre peu dans la vie. Divinement perverse, sa sexualité très marginale me fascina. Elle excita ma libido bien au-delà de ce que j’attendais d’une femme. Surprenant comme elle délirait. Soumis à son influence, je me libérai rapidement d’une sexualité bridée par mon éducation judéo-chrétienne. Outre nos égarements homos, zoophiles, lactophiles, voire incestueux et pédophiles avec une fillette, je plongeai à corps perdu dans ses délires de femellisation hormonale. Or, je n’avais rien d’une transsexuelle d’après mon médecin. Emballé par ce délire fou et conditionné par Yasmina , je zappais les bouleversements que ces hormones allaient engendrer sur ma nature de mâle. Seul compta à mes yeux son désir de faire de moi une femelle salope et vicieuse avec de vrais seins de femme. Peu lui importait que je devienne impuissant et stérile. Inimaginable comme ce penchant nous fit «mouiller» tous les deux. Yasmina jouissait rien qu’en m'imaginant en femelle avec des seins et moi je me masturbais avec les hormones féminisantes tellement cela m'excitait. Résultat après des années de femellisation hormonale, je développai enfin une vraie poitrine de femme, trop petite à mon goût. En contrepartie, j'y laissais ma virilité de mâle. 

     Autre délire à cause de la généreuse poitrine de Yasmina. Envie qu'elle ait des montées de lait et qu'elle me nourrisse ainsi quotidiennement. En échange de ma femellisation outrancière, je lui demandai de suivre un traitement permettant d'induire une lactation artificielle sans pour cela être enceinte. En moins de deux mois, elle réussit à avoir des montées de lait et à me nourrir quotidiennement. Une découverte, un pur régal ! Elle-même ressentit un délire fou à me nourrir ainsi. Elle s'emballa au point de me demander d'essayer d'induire une lactation à mon tour. Comme j'avais maintenant de vrais seins de femme, ce désir s'empara aussi de mon esprit. On le voit, réaliser nos fantasmes nous conduisait l'un comme l'autre dans une spirale sans fin, une escalade d'où la raison était absente tellement le plaisir éprouvé dominait nos sens.

     De tels débordements modifièrent complètement ma vision du genre. Pourquoi la société imposait-elle la seule dualité homme-femme. Il y avait tant d'étapes intermédiaires à explorer. Un nouveau délire fantasmatique prit corps en moi : Moitié homme, moitié femme avec mon corps lisse juste vêtu d'un minuscule string et mes petits seins adorables pleins de lait. Je m'imaginais avec une grosse poitrine débordante de lait, avec un énorme pénis qui bandait dur et qui giclait du sperme à profusion ; et à la place des testicules, un adorable vagin de femme. Un homme et une femme dans un même corps, une chimère hermaphrodite qui remonte à la nuit des temps. Quoi de mieux pour décrire ce fantasme que les dessins japonais de Futunari et Hentaï. Voyez aussi ce film porno ou le metteur en scène profite des outils informatiques pour nous faire croire à d'authentiques hermaphrodites copulant entre eux. 

 http://www.cockshemaletube.com/futunari-3536509.html

     Oui, j’assume aujourd’hui une sexualité et une identité de genre qui me permettent de vivre pleinement les fantasmes envahissant ma libido. Et ceci bien au-delà des références psychiatriques. Me défaire des tabous de la société n’a pas été facile, j’en conviens. Mais fallait-il brider ma sexualité pour faire plaisir aux bien-pensants ? Bien sûr que non ! Voyez ce qui se passe avec l’homosexualité qui de nos jours est devenu une référence légale. Depuis la parole se libère et Internet en est un excellent vecteur. En écrivant cela, je pense à cet écrivain âgé, Daniel Cordier, qui raconte dans un livre, les feux de Saint-Elme, son attirance pour les garçons du temps de son adolescence. Il y dit ouvertement aimer les sucer et boire leur jouissance.Autre temps, autres moeurs...

     Moi, j’ai attendu la quarantaine avant de découvrir une sexualité libérée. Soumis aux dictats des moeurs sociales, c’est avant tout l’expérience de la vie qui m’a délivré de mes préjugés. Un peu tard diront certains ; question d’éducation répondrais-je. Depuis, je me rattrape et construis ma sexualité uniquement en fonction des délires de Yasmina, sans tenir compte de la raison ou de la pudeur des gens qui m'entourent. Quoi de plus chiant que de faire l’amour avec une fille en pensant à ce qu’on pourrait faire avec elle tout en se retenant de le faire par crainte de la choquer ?


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
Ecrire un commentaire - Voir les 9 commentaires
Dimanche 4 mai 7 04 /05 /Mai 20:09

     Au fur et à mesure que j’avançais dans ma femellisation, ma virilité défaillante ne manqua pas de m’inquiéter. Où était donc passé le jeune homme qui avait des orgasmes à la queue leu leu ? J’avais besoin en fait d'expériences nouvelles pour m’exciter et bander dur. Ne dit-on pas que les hommes en vieillissant deviennent cochons ? Lié à mes pannes d’érection, j’en venais parfois à exprimer de la passivité entre les bras d’une femme, ce qui ne manquait pas de la décevoir, elle qui rêvait d’un amant fougueux. Suite à ces pannes sexuelles, je découvris les vertus des miraculeuses petites pilules bleues. Voir ma verge se dresser et redevenir dur comme un morceau de bois me stupéfia. 

     Souvenez-vous lorsque je basculai dans le monde inconnu de la féminisation mâle avec mes amies ghanéennes. Ce fut là une découverte merveilleuse ! Avec elles, tout ce que mon subconscient réclamait à corps et à cris et que mon éducation d’homme réprouvait devint normalité. L’envie de me comporter en femelle passive et la découverte de la sodomie s’affirmèrent ouvertement sous leur domination. Etre receveur à l’image d’une femme transforma ma vision de la sexualité. D’apprendre que je n’avais pas forcément besoin de bander pour satisfaire une femme me combla d’aise. Hélas, mâle encore trop fier pour reconnaître mon état de dépendance sexuelle dans un monde de soumission à base de féminisation hormonale, je me séparais brusquement de Fatou et de Maryam. 

     Après des années d’errance à la recherche de la femme idéale, ce fut Yasmina, ma compagne actuelle, qui eut raison de ma raison. Entre-temps, il y avait eu Rio et sa copine blonde, deux transsexuelles qui avaient exploité à outrance mes penchants de femellisation. Comme j’étais en manque, la perversité dévastatrice de Yasmina me piégea jusqu'à l'outrance. Elle m'enferma dans une femellisation si outrancière que j’en devins esclave par érotisme. Cette femme bouscula mes a-priori de mâle et me poussa dans mes derniers retranchements féminins. Ma libido constamment excitée par ses fantasmes et incapable de vivre autrement ma sexualité, elle m’engagea alors dans une démarche hormonale de femellisation qui modifia profondément ma nature de mâle. Je crus naïvement qu’une poitrine de femme et quelques lingeries sexys sur mon corps totalement épilé me combleraient ! Sot que j'étais, ce ne fut là que le début d’une obsédante aventure.

598 1000      Vous l’avez compris amis lecteurs, Yasmina profita de mon délire naissant d’avoir de gros seins pour m'asservir encore plus à son fantasme : faire de moi une transsexuelle totalement soumise à sa perversité. Et de la perversité, elle en avait à revendre. Difficile de croire qu’une femme préfère transformer  son mari en une femelle salope plutôt que d'avoir un mâle viril à ses côtés. Difficile aussi de comprendre tant qu’on n’a pas plongé dans cette atmosphère particulière où les rôles sexuels sont inversés,  on devient dépendant des hormones prises à haute dose. Son fantasme étant de me transformer à l'image d'une transsexuelle, elle attendait de moi que j'aie de vrais seins et un corps totalement efféminé. Rendez-vous compte, elle en venait à souhaiter que j’aie un vagin à la place de ma verge. Elle pensait ainsi m'offrir comme une femelle en rut à des hommes excités qui me violeraient par tous les orifices. Or, je refusais ouvertement, d'une part j'adorais jouir de mon sexe et d'autre part, la gent masculine ne m'excitait pas du tout. Baiser avec une transsexuelle ou un travesti androgyne, d'accord, mais des hommes… Beurk !

     Qu’une femme en vienne à femelliser son amant viril au point de le rendre impuissant et stérile est si particulier que cela mérite quelques explications. Au début, nous faisions l’amour comme tous les couples du monde. Or, je remarquais rapidement que la pénétration n’était pas son truc, Yasmina mouillait difficilement. Contrairement à la plupart des femmes qui adorent sentir un membre mâle s’enfoncer en elles et jouir à gogo, elle était en fait une clitoridienne qui préférait être caressée et léchée longuement. De voir en même temps deux gays s'enculer la faisait jouir à en perdre conscience. Faisant une fixation sur son énorme clitoris, elle souhaitait le faire grossir davantage, qu’il devienne une grosse queue a fin de me défoncer la chatte. En fait, elle s’intéressait bien plus à "son sexe" qu’au mien... 

     Je me souviens de cette vidéo qu’elle me montra pour mieux situer ce qu'elle attendait de moi. On y voyait un jeune travesti vêtu d’un string sexy, de bas noirs retenus par un porte-jarretelle et chaussé de hauts-talons vernis. Il présentait un plug énorme à la caméra, pas moins de douze centimètres à la base disait-il. Sa chatte bien dilatée, il se pénétra facilement jusqu’à l'engloutir complètement. J’avoue que cet exploit interpella Yasmina au point qu'elle me demanda de m'ouvrir ainsi : "Impossible répliquais-je, les os de mon bassin sont bien trop étroits. Et pourtant à force d’insistance, elle réussit à me pénétrer avec une main. Mon dieu, quel délire ce jours-là, une jouissance fantasque ou je ne pus retenir mes cris, sans commune mesure avec un orgasme mâle. Depuis, nous recommençons régulièrement afin d'habituer ma chatte à ces dilatations extrêmes. Elle me pénètre maintenant d'une main agile et s'enfonce en moi jusqu'au coude en violant mes entrailles. Parfois, elle malaxe vivement ma prostate, ce qui a pour conséquence de faire sortir le liquide séminal par ma verge molle sans aucun orgasme. Elle me demande alors de le boire. J’avoue y prendre goût maintenant. Rien à voir avec le goût écoeurant du sperme après avoir joui.

     Sous le prétexte d’avoir des gros seins, Yasmina me pousse donc à me femelliser encore plus, à prendre toujours plus d’hormones ; d’autant que je me suis accoutumé à leurs effets négatifs. Et tant pis si j’y laisse ma virilité. Que je devienne impuissant et stérile n’a aucune importance à ses yeux. Bander comme un mec ne l’intéresse pas puisqu'elle jouit uniquement de son gros clitoris. Exit donc le mec viril d’il y a deux ans avec sa queue raide et place à une femelle salope avec de gros seins et une chatte ouverte à ses délires. Je lui plais ainsi et je l'aime ainsi.

     A lire les avis d'hommes femellisés, j’ai conscience d’avoir pour conjointe une femme d'exception. Je me considère aujourd'hui comme un privilégié. Quelle ivresse de pouvoir explorer mes fantasmes extrêmes de femellisation sans avoir à subir la censure d'une femme. Avec Yasmina, je peux enfin me laisser aller à tous les délires, rien ne la choque, tout l'excite. Or, il subsiste un doute qui contrarie mon bonheur. Elle a fait de moi un mâle femellisé, mais devenu impuissant par amour. Que se passera-t-il demain, le jour où elle se lassera de moi et me quittera définitivement ? J’avoue que la question m’angoisse parfois...


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Lundi 23 décembre 1 23 /12 /Déc 16:38

     Vous l’avez certainement remarqué, je préfère parler dans mon cas de femellisation plutôt que de féminisation. Bien que ces termes expriment une certaine similitude de comportement, ils reflètent pourtant des attitudes bien différentes. Il me semble donc intéressant de préciser ma pensée à ce sujet. 

     Essayons d’abord de définir la féminisation la plus connue, celle qu’on appelle communément le travestissement et ses variantes. Ce désir de se travestir prend naissance à la puberté, le garçon ne résistant pas à cette pulsion. Il est attiré par tout ce qui touche au féminin, les accessoires de maquillage, les hauts-talons, la lingerie et les robes. Nombreux sont les hommes qui durant leur puberté ont eu leurs premiers émois sexuels avec la petite culotte de leur sœur ou la robe de leur mère. Ce besoin est ancré si fortement en eux qu’aucun sermon familial ne les fera changer d’avis. Tout au long de leur adolescence, ils se sentiront coupables de cette attitude et se féminiseront donc en cachette. Puis une fois adulte, à eux la liberté et le bonheur de pouvoir enfin se féminiser à leur gré. 

     Autrement dit, la féminisation consiste avant tout à se travestir passagèrement avec ce que la femme a de plus féminin, voire de plus sexy, un travestissement qui vise à prendre l’apparence d’une femme et à s’approprier par  jouissance les symboles de la féminité. Cette irrésistible pulsion, pratiquée le plus souvent en solitaire, pousse le travesti à la masturbation et à l’orgasme. Puis, satisfait sexuellement, son envie de se féminiser retombe et il reprend les apparences d’un homme jusqu’à la prochaine fois.

Cum03.jpg

     Contrairement aux travestis dont les désirs de féminisation prennent naissance à la puberté, les envies de femellisation se déclarent généralement bien plus tard. Beaucoup d’hommes en ressentent les prémices à un âge mature. Avec les premières défaillances sexuelles apparaît dans leur esprit l'idée d'être passif entre les bras d'une femme. Et quoi de mieux alors que d'exprimer ce côté féminin qui vit en chaque homme ! Je le dis et le répète, nombre de personnes ne se retrouvent pas dans la classification trop rigoureuse des genres mâle ou femelle. Qu’un homme désire vivre en totale dépendance sexuelle d’une femme, qu'il souhaite un corps féminisé avec de gros seins, une verge bandante et un cul ouvert à toutes les orgies échappe encore à une majorité de gens. 

     La femellisation se vit essentiellement dans une relation permanente de domination-soumission (D/S) entre une femme au caractère dominant, autrement dit une maitresse et un homme passif, son soumis, tous deux jouissant de l’inversion des rôles sexuels mâle-femelle. La maitresse s’excite à faire de son soumis une femelle objet de ses fantasmes et le soumis s’excite à être traité en femelle passive. Comme ce conditionnement demande du temps, il s’installe entre eux une  relation complice qui perdure parfois toute une vie.

     La relation du couple étant principalement basé sur la confiance, la Domina va travestir son soumis bien sur, mais ce qu’elle attend de lui, c’est qu’il devienne une femelle sexy jusque dans son corps, mais aussi dans son esprit, qu’il soit une salope soumise, une pute ouverte à tous ses fantasmes. Elle exige de lui pour commencer un corps intégralement épilé et qu'il porte en permanence de la lingerie de femme sous ses vêtements masculins, une façon de lui rappeler sa condition de femelle soumise. Dans l’intimité de sa maison, elle l’habille donc de lingerie fine, d'un minuscule string, de bas filet et de chaussures à talons aiguilles. Très souvent, elle exige de lui des signes indéfectibles d’appartenance tels qu'un piercing, un tatouage ou le port d’une cage de chasteté qui l'empêche de jouir comme un homme. Le soumis devient alors la femelle de la maison pour son plus grand plaisir. 

     Eh oui, le caractère passif d'un homme soumis et femellisé fait qu’il éprouve une intense excitation à se plier aux exigences sexuelles de sa Domina. Il prend un vif plaisir à devenir son jouet sexuel. Se sentir pute et objet des fantasmes de sa maitresse lui apportent un sentiment de honte et d'humiliation par rapport aux autres hommes, un avilissement de sa condition de mâle viril, mais aussi une stimulation de sa libido. Sa maitresse devient dès lors le moteur de sa sexualité et sa femellisation le conduit à "vaginaliser" son anus, celui-ci se transformant en une chatte ouverte à toutes les fantaisies. Les plugs, les godes-ceintures et les défonces anales deviennent alors la base de sa sexualité. Fortement conditionné par ses jouissances femelles, sa libido évolue vers toujours plus de féminité, ce qui fait que ses orgasmes mâles passent au second plan. 

     Selon la nature des délires de chacun, le couple s'aventure par la suite dans une dérive sexuelle de plus en plus outrancière. Il apparait un désir commun d’aller toujours plus loin dans la perversité que permet une telle relation.  Il se crée chez la maitresse le désir de détruire toute virilité mâle chez son soumis femellisé. Comme elle fantasme de le voir avec un vrai corps de femme, elle lui propose carrément de prendre des hormones féminisantes. Quoi de plus excitant alors pour elle de voir sa femelle avec des seins et des formes féminines à l’image d’une transsexuelle même si cela s'oppose à sa virilité. L'idée, bien que choquante, stimule aussi les neurones de son soumis. Au fur et à mesure que ses seins se développent et que son corps se féminise sous l'action des hormones, il se laisse tenter. Se met aussi en place un processus inconscient de dépendance hormonale. Féminiser son corps au-delà de toute raison et être possédé comme une femelle en rut engendre chez lui un plaisir sadique qui remet en cause sa nature profonde de mâle, quitte à y laisser sa virilité. Mais que lui importe, accroc aux hormones, devenir une femelle toujours plus salope aux yeux de sa maitresse l'excite au plus haut point. Dès lors, soumis à une sexualité femellisante, plus rien ne s'oppose à ce qu'il se transforme en une personne transgenre au bénéfice de sa Domina...

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION DES HOMMES
Ecrire un commentaire - Voir les 8 commentaires
Lundi 9 décembre 1 09 /12 /Déc 16:44

          Yasmina possédait l’art de stimuler ma libido comme aucune autre femme n'avait su le faire auparavant. Emportées par sa perversité et la force de ses fantasmes de femellisation, toutes mes convictions de mâle tombèrent aux oubliettes. Moi l’hétéro convaincu, je fus prêt à faire le grand saut avec elle. Que les autres femmes me parurent fades par comparaison. Comme je ne désirais pas faire la même erreur qu’avec mes amies ghanéennes, Yasmina m’engagea dans un processus hormonal féminisant qui me piégea définitivement.

      De par ses tendances lesbiennes, elle me préférait aux filles qui, contrairement à moi, manquaient de perversité au lit. S’occuper de leur chatte ne lui suffisait plus. De par ma femellisation libérée de toute contrainte, je renouvelais sans cesse sa libido. Découvrir qu’on pouvait transformer un homme à ce point fut une révélation. Pour elle qui aimait les jeunes filles autant que les hommes soumis, faire de son amant une femelle en rut, une vraie salope, devint sa passion. Elle en rêva à haute voix.  Et moi, je me nourrissais de sa perversité pour surpasser la sienne. Oh, contrairement aux romans érotiques, cela ne se fit pas en quelques jours, on ne transforme pas un homme en femelle d’un coup de baguette magique. Au début d'ailleurs, j'avais naïvement mis une condition : préserver mon statut d’homme viril en société. Pour elle, il fallait comprendre que le reste du temps, je serai femme à 100%...

    Un seul but alors chez Yasmina, féminiser non seulement mon corps, mais aussi mon esprit pour ensuite pratiquer des jeux les plus déviants possible : " Mets-toi dans la peau d’une femelle, vis pleinement ce que tu ressens puis comporte-toi comme telle." Etant sage-femme, cet état passait obligatoirement par les hormones féminisantes. Elle se procura facilement ces hormones à l'hôpital ou elle travaillait. A son avis, il n’y avait que par ce biais que je me féminiserai en ayant de vrais seins de femme. L'idée m'excita, mais me fit peur aussi. J'avais beaucoup lu sur les effets secondaires des hormones féminisantes et je craignais pour mon coté mâle. Ce fut bien plus tard que je compris qu’elle désirait inconsciemment faire de moi une transsexuelle. Or, contrairement à ce que je pensais jusqu'à présent, la crainte de me femelliser à ce point excita mes neurones.

     Soumis à l'influence de Yasmina, avoir des seins énormes devint aussi mon obsession. C'est pourquoi, malgré mes réserves, je plongeais avec une joie sauvage dans un traitement hormonal féminisant. Plus ma poitrine se développait, plus je m’excitais et plus j'abusais des hormones, abandonnant progressivement mon identité de mâle viril. Inconsciemment, j'entrai pleinement dans son jeu. Elle-même me poussait à consommer toujours plus d'hormones...

90267674 o

          Je le détaille aux chapitres « DES HORMONES », les hormones féminisantes modifièrent profondément mon physique, mon caractère, ma santé, mon allure générale ainsi que ma libido de mâle. Le moteur principal de mon excitation fut le développement de mes seins. Un tel état de femellisation me perturba sérieusement et remit en cause mon statut d’homme viril. Les hormones prises à long terme eurent des effets irréversibles, non seulement sur mes seins qui pointèrent de plus en plus, mais aussi sur mon corps qui s’enroba d'une épaisse couche de graisse. Quant à ma virilité, elle s'atrophia progressivement jusqu'à ne plus pouvoir bander dur.  De plus, mon caractère s’adoucit ; je devins plus tolérant face aux choses de la vie. Une petite déception tout de même : Je trouvai que ma poitrine ne se développait pas suffisamment. Et contrairement aux femmes, elle poussait en pointe. La progestérone, réputée arrondir la forme des seins, n’y changea pas grand-chose si ce ne fut de retrouver un certain tonus physique. Néanmoins, de voir mes seins devenir très sensibles et se développer de jour en jour me rendit dingue au point que préserver ma virilité devint secondaire. Et pourtant, je refusais de prendre des anti-hormones mâles, tel Androcur, qui m'auraient rendu définitivement stérile et impuissant.

     Tout au long de ma cure hormonale, je ressentis d’irrésistibles pulsions qui me poussaient à me masturber violemment. Des envies qui se produisaient lorsque j’étalais de l’Oestrogel sur ma poitrine. Peut-être une réaction de défense inconsciente du mâle qui se féminisait. A chaque application, j'avais un début d’érection et, hop, je ne pouvais pas m’empêcher de branler ma verge endormie. Je pestais contre cette queue ramollie qui n'arrivait plus à jouir correctement. Excité comme une pucelle, j’enduisais alors ma main d’Oestrogel puis je me branlais sauvagement avec. A cette condition seulement, ma verge se raidissait légèrement et j’arrivais à éjaculer quelques gouttes d’un sperme transparent. Vivre le combat sexuel de mon corps masculin qui s’opposait à la féminisation ne fut pas chose facile. Tantôt homme et tantôt femme, je remettais sans cesse en question mon identité sexuelle de mâle.

     Je craignais aussi que ma femellisation ne se traduise par une discrimination sociale. Des signes de féminisation finiraient par me trahir auprès des gens de mon entourage, ne serait-ce que mes seins proéminents et ma voix à la tonalité fluctuante. Et être pris pour un travelo n’avait rien de réjouissant. Mais c’était plus fort que moi. Conditionné par les hormones et soumis à l’influence perverse de Yasmina, je m’isolais de mes amis et de ma famille afin de mieux vivre ensemble nos penchants sexuels. A l’image d’un drogué, j’entrais dans une spirale infernale qui me conduisait vers une quête insensée dont ni moi ni Yasmina ne connaissions l’issue. Par contre, Yasmina se réjouissait de ma dépendance hormonale et de ma féminisation outrancière. Mon dieu qu’il devenait difficile de rester un homme dans ces conditions. Ah si seulement je pouvais vivre ma femellisation au grand jour et crier mon bonheur sur les toits. Hélas, la morale des hommes me l'interdisait... 

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
Ecrire un commentaire - Voir les 8 commentaires
Vendredi 29 novembre 5 29 /11 /Nov 17:22

     Par crainte d’offusquer Yasmina à notre première rencontre, je me montrai  dans une sage culotte de femme. Je rappelle que dans son pays, le travestissement au même titre que l’homosexualité est passible d’emprisonnement. Bien que la culotte que je portais soit échancrée sur le devant, on pouvait la confondre avec un petit slip d’homme. Ceci dit, un œil exercé aurait remarqué que le renfort de tissu qui contient habituellement les attributs masculins n’existait pas. Mais seuls les hommes féminisés s’intéressent à ce genre de détail. 

     Mon corps intégralement épilé la surprit, mais cela ne lui déplut pas. Elle trouva même agréable de le caresser, insistant au niveau de la raie des fesses si douce au toucher. Contrairement aux hommes de son pays fiers de leur pilosité, ma peau lisse lui rappela la douceur d’une femme. En fait, Yasmina avait horreur des poils et prenait, elle-même, soin de s’épiler intégralement. Elle demandait en conséquence à ses copines de jeu d’être aussi lisses qu’elle. Quel plus beau spectacle à mes yeux que de voir deux femmes s’épiler intimement la chatte. Les personnes qui adorent « déguster » une vulve savent de quoi je parle. Comment en profiter pleinement lorsqu’un poil vient à se coincer entre les dents ? 

     Ce fut moi qui parlais le premier de féminisation lors d'une autre rencontre. Et quoi de mieux que de dévoiler mon corps épilé juste vêtu pour la circonstance d’un minuscule string en dentelle rose. Provocant n’est-ce pas ! Séquence émotion au moment de retirer mon pantalon... De me montrer dans cette délicate lingerie devint crucial pour moi. Ou Yasmina partagereait mes penchants féminins ou e serait la fin de notre idylle. Mon désir d’être femellisé par une femme était si fortement ancré en moi que je trouvais normal d’insister ainsi. 

     En découvrant la protubérance de mon sexe dans ce minuscule string de femme, elle s’en étonna. Et pourtant, elle avait maintes fois vu sur le Net, des mecs travestis en femme, mais elle zappait rapidement leur préférant des soumis qui offraient leur cul ouvertement. Or là, c’était la première fois qu’elle avait devant elle un homme féminisé. D’un regard interrogateur, elle me fixa dans les yeux tout en caressant délicatement le bombé de mon sexe au travers du fin tissu. Ouf, à l’inverse de la plupart des femmes, elle ne censura pas mon penchant féminin.

     Curieuse, elle me demanda d’expliquer mon attitude et essaya de comprendre. Quoi de mieux  alors de lui confier ma relation avec mes amies ghanéennes à l’origine de mes premières aventures de féminisation. Yasmina s'intéressa à ce qui poussait ces deux femmes à agir ainsi et pourquoi je m’excitais moi-même à être féminisé. Je fus incapable d’expliquer la motivation amoureuse de Fatou. Par contre, en parlant des envies sodomites de Mariam, elle retrouva ses propres envies. En me faisant découvrir toute la féminité qui sommeillait en moi, ces deux femmes m’avaient révélé à moi-même. J’ajoutais aussi que je fus captivé par l’inversion des rôles sexuels. Explorer par ce biais ma féminité fut une découverte qui bouleversa ma sexualité. On se donne mieux à une femme lorsqu’on se sent soi-même femelle.

     Emportée par l’atmosphère dégagée par mes propos, Yasmina ouvrit alors l’armoire de sa chambre, fouilla dans sa lingerie et me passa un collant noir. Elle voulut voir par jeu l’effet qu’il rendrait sur moi. Une telle attitude me rassura. Elle remarqua de suite mon aisance à les enfiler. Normal, j’avais maintes fois mis des bas avec Fatou et Rio. Le contact des collants sur mes jambes engendra une réaction immédiate ; mon sexe se réveilla sous le fin tissu. Quand je me mis sur la pointe des pieds devant le miroir, elle envia le galbe de mes longues jambes gainées de nylon. Se rendant compte que j’avais perçu son air envieux, elle  modéra ses paroles et précisa que mes fesses manquaient de rondeur. Pas assez cambrées à son goût. Sa remarque m’amusa.

55254ee7.jpg      En ne rejetant pas mon penchant féminin, Yasmina le reconnaissait implicitement : "L'examen de passage est réussi, me dis-je". Ouf, il aurait été regrettable de me séparer d’une femme aux vertues aussi perverse.

     Pour terminer de la convaincre, je lui parlai du milieu transsexuel fréquenté durant ma liaison avec Rio et des extravagances sexuelles vécues avec ses amies. Tout le temps que dura mon récit, Yasmina ne cessa inconsciemment de caresser son clitoris. Cela me rappela l’attitude craintive et à la fois passionnée de ma cousine qui, petite fille, se touchait inconsciemment au travers de sa culotte. Sa réaction m’encouragea à lui confier tous les détails sulfureux de ma relation avec Rio.

     Waouh, faire d’un homme une femme... De par son penchant lesbien et son tempérament dominateur, ce fut une révélation pour Yasmina. A défaut d’une fille dans son lit, avoir un mari en société qui soit en même temps une femelle vicieuse au lit stimula son esprit. Mais qui étaient donc ces hommes féminisés ? Elle se renseigna sur le Net. Influencée par les sites pornos, elle en déduisit que c’était des travestis qui s’excitaient à être féminisés, se comportaient en femme soumise et offraient leur cul en guise de chatte. Un monde nouveau s’ouvrit à elle. Elle me questionna des jours durant, voulant tout savoir sur ces hommes féminisés. Sans le reconnaître explicitement, elle éprouvait un intérêt particulier pour les transsexuelles, des hommes qui s’identifiaient comme des femmes. Ainsi, on pouvait faire d'un homme une femme sexuellement passive, exiger qu'il s’épile intégralement, qu'il s’habille de lingerie fine, qu'il se comporte en  femelle soumise, voire qu'il ait des seins hormonés, sans compter son anus qui devenait une « chatte » ouverte à toutes ses envies. Bien que ce fût encore trouble dans son esprit, elle en conclut à travers moi que l’amant idéal ne pouvait être qu’un mâle renaissant de ses cendres en une femme.

     De là naquit son délire de me femelliser à outrance. Peut-être aussi que son viol expliquait cette envie de me déviriliser en me femellisant. Comme j’étais en manque depuis des mois, je plongeai avec une joie sauvage dans son délire. Ce fut donc à partir d’une vision marginale de la transsexualité et autour de pratiques sexuelles déviantes que se construisit  notre couple. D’où cette attirance réciproque qui nous lia si profondément. Où cela nous mena-t-il ? Vous avez la réponse dans ce blog...


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 23 novembre 6 23 /11 /Nov 03:01

     Petite fille à la puberté précoce, Yasmina n’avait alors que dix ans. Elle possédait déjà une attirante poitrine et quelques poils pubiens poussaient sur son pubis alors que les filles de sa classe devaient se contenter de bourgeons en guise de mamelons. Enviée par ses copines, elle ne se gênait pas de leur montrer fièrement ses jeunes seins. En voyant le regard envieux des garçons, elle prenait conscience de devenir une fille attirante. Ce qu’elle ignorait, c’était que son maître d’école s’intéressait également à ses appâts naissants.

     A l’heure de la récréation, il la retint dans sa classe. Avait-elle fait une bêtise ? Non, il la rassura. Par contre, il lui reprocha de montrer ses seins à toutes ses copines. Ce n’était pas juste, il demanda lui aussi à les voir à son tour. Yasmina le regarda étonnée. D’un geste hésitant, elle déboutonna sa chemisette et dévoila sa jeune poitrine à cet homme détenteur de l’autorité. Elle ne portait pas encore de soutien-gorge à son âge. Son maître ne résista pas en voyant ses seins juvéniles pointer si fièrement. Il les titilla d’abord doucement puis en pinça les bouts. Yasmina se laissa faire éprouvant une troublante sensation à être caressée ainsi par un adulte.

     Ne résistant pas à la tentation, le maitre d’école défit alors sa braguette et sortit son membre poilu raidi par l’excitation. Yasmina regarda, à la fois anxieuse et curieuse, ce gros  sexe tendu de plaisir. Le maitre lui demanda de le masturber. Elle hésita puis avança timidement une main. Elle fut surprise par la fermeté de la verge dure comme un morceau de bois. Le maitre d’école prit alors sa main et mima le geste de la masturbation. Emporté par une pulsion incontrôlable, il lui saisit la tête et la força à sucer son gland turgescent. Yasmina fut surprise. Malgré sa crainte, elle tenta de prendre l'énorme gland en bouche, mais elle manqua de s’étouffer tellement la verge était grosse.

     Insatisfait par ses caresses maladroites, le maitre souleva subitement sa jupe d’écolière, baissa sa petite culotte et caressa sa jeune vulve à la pilosité naissante. Puis il y introduisit délicatement un doigt. Angoissée par la situation, Yasmina se laissa faire sans rien dire. Elle ne comprit pas lorsqu’il la pénétra de son membre viril. Ses chairs tendues à vif, elle ressentit une vive douleur, geignit un peu et finalement éprouva un plaisir étrange à sentir ce phallus aller et venir en elle. Lorsque le maitre d’école jouit, elle ne put retenir un cri de plaisir. Son corps se tendit, elle ferma les yeux et jouit pour la première fois de sa vie. L’odeur particulière du sperme et de la cyprine monta à ses narines. Etre déflorée et abusée ainsi marqua son caractère pour toujours. De par ce viol, je compris d’où lui venait cette aspiration sadique à dominer un homme en abusant de son cul.

     Ce qui me surprit le plus chez Yasmina fut sa détermination à avoir un enfant par la suite. J'avais exprimé ouvertement l'envie d'avoir un enfant avec elle, une fille de préférence. Depuis l'idée avait fait son chemin. Souvenez-vous, quand nous nous étions connus, je l'avais provoqué en lui proposant d'avoir une relation incestueuse avec notre future fille. En cela, je voulais tester sa capacité de perversion. Or, elle avait trouvé l'idée non seulement excitante, mais  avait précisé en plus qu'on l'initierait sexuellement ensemble pour que je puisse en profiter pleinement quand elle serait en âge de faire l'amour.

     En fait, cette idée avait fait son chemin depuis longtemps ; elle avait déjà tout manigancé. Elle attendait que nous soyons mariés pour cela. Ensemble, elle avait prévu que nous éduquerions sexuellement notre fille dès sa naissance, attendant que son corps se transforme, que ses seins se développent, que sa vulve devienne abricot et que ses premiers émois sexuels la conduisent au plaisir de la chair avec nous deux: " On l’initierait délicatement à l’amour, c'est toi qui la déflorerais à la puberté, ce qui lui évitera d’être perturbée comme je l'ais été moi-même à dix ans." Devant mon air surpris, elle me raconta sa triste aventure. Elle avait été violée plusieurs fois par son instituteur et ne s'était jamais confiée.

     Or, même sans être marié, Yasmina espéra tomber enceinte. Une logique reconnue dans son pays qui oblige le père biologique à se marier avec la mère avant la naissance de l'enfant. Or, après plusieurs mois, elle désespéra d'y arriver. Je lui rappelais que les divers traitements hormonaux pris suite à ma femellisation m'avaient certainement rendu stérile. Je fis un spermogramme qui confirma que mes spermatozoïde n'étaient pas assez nombreux pour la féconder naturellement. Il fallut se rendre à l'évidence, j'étais devenu stérile...

tétons-copie-1

     Voyez jusqu'où la perversité de Yasmina la conduisit. A défaut d'avoir un enfant ensemble, elle suggéra d'adopter une fillette indigente trainant dans les rues de sa ville. Nous lui apporterions réconfort et amour maternel en échange de son éducation sexuelle.      J'entrai dans son jeu pour voir si elle était prête à assumer ce fantasme. Je lui proposais de rechercher une gamine abandonnée de 7 à 8 ans dans la rue, un âge ou une fillette prend conscience de sa sexualité, et de la prendre en charge dans ce but. L'idée lui plut tellement qu'elle me demanda d'adopter rapidement cette gamine si elle la trouvait.

     Pour Yasmina, il ne s’agissait pas de violer une fillette à son tour, mais de l’aimer comme sa propre fille, de l’initier à l’amour afin de lui apprendre une sexualité débarrassée des contraintes morales qui avaient empoisonnées sa propre existence de petite fille violée. Selon sa conception, il appartenait aux parents d’initier sexuellement leur fille au même titre que toute autre éducation leur incombant. Cela créait un lien bien plus intime. Elle ne comprenait pas cette société occidentale qui lui interdisait une telle éducation sexuelle. Pourquoi un adulte serait-il coupable si l'enfant y participait allègrement ? C'est bien souvent la curiosité de la sexualité chez les adultes qui le pousse à tester ses parents Pourquoi cet enfant se sentirait-il fautif de goûter au sexe avec ses parents ? Bien au contraire, cette initiation renforcerait le lien affectif familial et éviterait les dérives futures à son avis. Face à sa détermination, je frissonnais. L’interdit est un stimulant notoire de la sexualité chez les hommes et je ne faisais pas exception.

     Dans ce pays musulman où il est coutumier de marier les filles à l'adolescence en échange d’une confortable dote, c’était selon elle ne rien comprendre aux traditions et aux mœurs séculaires de son peuple. Surpris par ses arguments, je lui confiais alors en détail ma relation intime avec Maman. Mon histoire la passionna. Quoi de mieux ensuite que d’évoquer ce chef-d’œuvre de l’inceste écrit par Pierre Louÿs : « Trois filles et leur mère ». L’histoire d’une mère qui se prostitue et entraîne ses filles avec elle pour leur plus grand bonheur. Yasmina en conclut que nous avions vraiment la même ouverture d’esprit à ce sujet. Enfin un amant qui pensait sexe comme elle... 


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés