Partager l'article ! MA femellisation, 37, RETOUR VERS LE FUTUR: Au fur et à mesure que j’avançais dans ma femellisation, ma virilité dé ...
Au fur et à mesure que j’avançais dans ma femellisation, ma virilité défaillante ne manqua pas de m’inquiéter. Où était donc passé le jeune homme qui avait des orgasmes à la queue leu leu ? J’avais besoin en fait d'expériences nouvelles pour m’exciter et bander dur. Ne dit-on pas que les hommes en vieillissant deviennent cochons ? Lié à mes pannes d’érection, j’en venais parfois à exprimer de la passivité entre les bras d’une femme, ce qui ne manquait pas de la décevoir, elle qui rêvait d’un amant fougueux. Suite à ces pannes sexuelles, je découvris les vertus des miraculeuses petites pilules bleues. Voir ma verge se dresser et redevenir dur comme un morceau de bois me stupéfia.
Souvenez-vous lorsque je basculai dans le monde inconnu de la féminisation mâle avec mes amies ghanéennes. Ce fut là une découverte merveilleuse ! Avec elles, tout ce que mon subconscient réclamait à corps et à cris et que mon éducation d’homme réprouvait devint normalité. L’envie de me comporter en femelle passive et la découverte de la sodomie s’affirmèrent ouvertement sous leur domination. Etre receveur à l’image d’une femme transforma ma vision de la sexualité. D’apprendre que je n’avais pas forcément besoin de bander pour satisfaire une femme me combla d’aise. Hélas, mâle encore trop fier pour reconnaître mon état de dépendance sexuelle dans un monde de soumission à base de féminisation hormonale, je me séparais brusquement de Fatou et de Maryam.
Après des années d’errance à la recherche de la femme idéale, ce fut Yasmina, ma compagne actuelle, qui eut raison de ma raison. Entre-temps, il y avait eu Rio et sa copine blonde, deux transsexuelles qui avaient exploité à outrance mes penchants de femellisation. Comme j’étais en manque, la perversité dévastatrice de Yasmina me piégea jusqu'à l'outrance. Elle m'enferma dans une femellisation si outrancière que j’en devins esclave par érotisme. Cette femme bouscula mes a-priori de mâle et me poussa dans mes derniers retranchements féminins. Ma libido constamment excitée par ses fantasmes et incapable de vivre autrement ma sexualité, elle m’engagea alors dans une démarche hormonale de femellisation qui modifia profondément ma nature de mâle. Je crus naïvement qu’une poitrine de femme et quelques lingeries sexys sur mon corps totalement épilé me combleraient ! Sot que j'étais, ce ne fut là que le début d’une obsédante aventure.
Vous l’avez compris amis lecteurs, Yasmina profita de mon délire naissant d’avoir de gros seins pour m'asservir encore plus à son fantasme : faire de moi une transsexuelle totalement soumise à sa perversité. Et de la perversité, elle en avait à revendre. Difficile de croire qu’une femme préfère transformer son mari en une femelle salope plutôt que d'avoir un mâle viril à ses côtés. Difficile aussi de comprendre tant qu’on n’a pas plongé dans cette atmosphère particulière où les rôles sexuels sont inversés, où on devient dépendant des hormones prises à haute dose. Son fantasme étant de me transformer à l'image d'une transsexuelle, elle attendait de moi que j'aie de vrais seins et un corps totalement efféminé. Rendez-vous compte, elle en venait à souhaiter que j’aie un vagin à la place de ma verge. Elle pensait ainsi m'offrir comme une femelle en rut à des hommes excités qui me violeraient par tous les orifices. Or, je refusais ouvertement, d'une part j'adorais jouir de mon sexe et d'autre part, la gent masculine ne m'excitait pas du tout. Baiser avec une transsexuelle ou un travesti androgyne, d'accord, mais des hommes… Beurk !
Qu’une femme en vienne à femelliser son amant viril au point de le rendre impuissant et stérile est si particulier que cela mérite quelques explications. Au début, nous faisions l’amour comme tous les couples du monde. Or, je remarquais rapidement que la pénétration n’était pas son truc, Yasmina mouillait difficilement. Contrairement à la plupart des femmes qui adorent sentir un membre mâle s’enfoncer en elles et jouir à gogo, elle était en fait une clitoridienne qui préférait être caressée et léchée longuement. De voir en même temps deux gays s'enculer la faisait jouir à en perdre conscience. Faisant une fixation sur son énorme clitoris, elle souhaitait le faire grossir davantage, qu’il devienne une grosse queue a fin de me défoncer la chatte. En fait, elle s’intéressait bien plus à "son sexe" qu’au mien...
Je me souviens de cette vidéo qu’elle me montra pour mieux situer ce qu'elle attendait de moi. On y voyait un jeune travesti vêtu d’un string sexy, de bas noirs retenus par un porte-jarretelle et chaussé de hauts-talons vernis. Il présentait un plug énorme à la caméra, pas moins de douze centimètres à la base disait-il. Sa chatte bien dilatée, il se pénétra facilement jusqu’à l'engloutir complètement. J’avoue que cet exploit interpella Yasmina au point qu'elle me demanda de m'ouvrir ainsi : "Impossible répliquais-je, les os de mon bassin sont bien trop étroits. Et pourtant à force d’insistance, elle réussit à me pénétrer avec une main. Mon dieu, quel délire ce jours-là, une jouissance fantasque ou je ne pus retenir mes cris, sans commune mesure avec un orgasme mâle. Depuis, nous recommençons régulièrement afin d'habituer ma chatte à ces dilatations extrêmes. Elle me pénètre maintenant d'une main agile et s'enfonce en moi jusqu'au coude en violant mes entrailles. Parfois, elle malaxe vivement ma prostate, ce qui a pour conséquence de faire sortir le liquide séminal par ma verge molle sans aucun orgasme. Elle me demande alors de le boire. J’avoue y prendre goût maintenant. Rien à voir avec le goût écoeurant du sperme après avoir joui.
Sous le prétexte d’avoir des gros seins, Yasmina me pousse donc à me femelliser encore plus, à prendre toujours plus d’hormones ; d’autant que je me suis accoutumé à leurs effets négatifs. Et tant pis si j’y laisse ma virilité. Que je devienne impuissant et stérile n’a aucune importance à ses yeux. Bander comme un mec ne l’intéresse pas puisqu'elle jouit uniquement de son gros clitoris. Exit donc le mec viril d’il y a deux ans avec sa queue raide et place à une femelle salope avec de gros seins et une chatte ouverte à ses délires. Je lui plais ainsi et je l'aime ainsi.
A lire les avis d'hommes femellisés, j’ai conscience d’avoir pour conjointe une femme d'exception. Je me considère aujourd'hui comme un privilégié. Quelle ivresse de pouvoir explorer mes fantasmes extrêmes de femellisation sans avoir à subir la censure d'une femme. Avec Yasmina, je peux enfin me laisser aller à tous les délires, rien ne la choque, tout l'excite. Or, il subsiste un doute qui contrarie mon bonheur. Elle a fait de moi un mâle femellisé, mais devenu impuissant par amour. Que se passera-t-il demain, le jour où elle se lassera de moi et me quittera définitivement ? J’avoue que la question m’angoisse parfois...
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