HOMME FEMELLISE AUX HORMONES PAR SA MAITRESSE...

Que faut-il penser de la Progestérone ?

      Sans entrer dans les détails du cycle menstruel de la femme, ceci n’étant pas l’objet de ce blog, la Progestérone, une hormone stéroïdienne secrétée par les ovaires, intervient essentiellement dans l’embryogenèse et la grossesse. Elle inhibe les contractions musculaires utérines et prépare l’utérus pour que l’œuf fécondé puisse être nidifié correctement. Outre les problèmes de menstruation, on prescrit aussi Progestérone aux femmes ménopausées et à celles qui ont les seins douloureux. Certaines femmes disent même que cette hormone développe leur poitrine. 

     La célèbre pilule contraceptive exploite justement les propriétés de la Progestérone. Elle épaissit la muqueuse utérine, ce qui empêche le passage des spermatozoïdes et donc la fécondation. C’est d’ailleurs pour cela qu’une femme enceinte ne peut retomber enceinte. Son taux de Progestérone est bien trop élevé par rapport à son taux d’œstradiol. A savoir que le taux de ces hormones dans le sang est géré par l’hypophyse.

     Les biologistes nous disent que Progestérone est aussi un précurseur dans la biosynthèse des estrogènes et des androgènes, d’où sa sécrétion en faible quantité dans les glandes surrénales et dans les testicules chez l’homme. J’éviterai de dire selon quel principe n’étant pas un spécialiste de cette discipline. Mais cela me questionne : Qu’en est-il exactement chez les hommes qui prennent des hormones féminisantes sans pour autant remettre en cause leur statut de mâle ?

     Comme nombre d’hommes soumis aux fantasmes de leur compagne, je désirais juste au départ développer une poitrine de femme à l'aide d'hormones féminisantes tout en préservant ma virilité. Une façon extrême, voire dangereuse pour certaines personnes, d’exprimer mon coté féminin de mâle. Or, je constatais rapidement qu’il n’existait rien sur le Net au sujet de gens comme moi. Je me rabattis alors sur des sites transsexuels, sites qui ne me convenaient pas non plus dans la mesure où les trans désirent avant tout changer de sexe et devenir totalement femme. Une constante apparaissait néanmoins. On y affirmait que les œstrogènes développaient effectivement les seins, mais en pointe. Par contre, Progestérone arrondissait leur forme. 

     Au début de mon traitement, j’alternais Oestrogel et Progestogel selon un cycle trois semaines une semaine, à l’image du cycle menstruel féminin comme le conseillent les médecins. Avez-vous remarqué combien le sexe mâle est parcouru par un réseau de grosses veines à fleur de peau. Contrairement aux femmes, moi j’étale donc Oestrogel et Progestogel matin et soir sur les seins, le sexe, le ventre et à l’intérieur des cuisses en massant énergiquement. La croissance de la poitrine me semble bien plus rapide ainsi. Avec Progestogel, celle-ci s’arrondit particulièrement du coté des aisselles, sans pour autant prendre du volume d'ailleurs. Sous l’action de cette hormone, les seins deviennent aussi plus lourds.

     Tandis qu’Oestrogel favorise le développement des alvéoles de la glande mammaire, Progestérone favorise le développement des canaux galactogènes, les conduits qui drainent le lait depuis les alvéoles jusqu’aux mamelons. J’en déduis donc que le volume des seins est intimement lié au développement des glandes mammaires. Reste à savoir si favoriser la lactation chez moi les fera grossir encore plus. Ah passer d'un bonnet AB à C me réjouirait. Arrivé à ce stade de développement, je suis certain d'arriver à me sucer les seins...