Partager l'article ! Ma femellisation, 34, UNE REVELATION: Par crainte d’offusquer Yasmina à notre première rencontre, je me montrai& ...
Par crainte d’offusquer Yasmina à notre première rencontre, je me montrai dans une sage culotte de femme. Je rappelle que dans son pays, le travestissement au même titre que l’homosexualité est passible d’emprisonnement. Bien que la culotte que je portais soit échancrée sur le devant, on pouvait la confondre avec un petit slip d’homme. Ceci dit, un œil exercé aurait remarqué que le renfort de tissu qui contient habituellement les attributs masculins n’existait pas. Mais seuls les hommes féminisés s’intéressent à ce genre de détail.
Mon corps intégralement épilé la surprit, mais cela ne lui déplut pas. Elle trouva même agréable de le caresser, insistant au niveau de la raie des fesses si douce au toucher. Contrairement aux hommes de son pays fiers de leur pilosité, ma peau lisse lui rappela la douceur d’une femme. En fait, Yasmina avait horreur des poils et prenait, elle-même, soin de s’épiler intégralement. Elle demandait en conséquence à ses copines de jeu d’être aussi lisses qu’elle. Quel plus beau spectacle à mes yeux que de voir deux femmes s’épiler intimement la chatte. Les personnes qui adorent « déguster » une vulve savent de quoi je parle. Comment en profiter pleinement lorsqu’un poil vient à se coincer entre les dents ?
Ce fut moi qui parlais le premier de féminisation lors d'une autre rencontre. Et quoi de mieux que de dévoiler mon corps épilé juste vêtu pour la circonstance d’un minuscule string en dentelle rose. Provocant n’est-ce pas ! Séquence émotion au moment de retirer mon pantalon... De me montrer dans cette délicate lingerie devint crucial pour moi. Ou Yasmina partagereait mes penchants féminins ou e serait la fin de notre idylle. Mon désir d’être femellisé par une femme était si fortement ancré en moi que je trouvais normal d’insister ainsi.
En découvrant la protubérance de mon sexe dans ce minuscule string de femme, elle s’en étonna. Et pourtant, elle avait maintes fois vu sur le Net, des mecs travestis en femme, mais elle zappait rapidement leur préférant des soumis qui offraient leur cul ouvertement. Or là, c’était la première fois qu’elle avait devant elle un homme féminisé. D’un regard interrogateur, elle me fixa dans les yeux tout en caressant délicatement le bombé de mon sexe au travers du fin tissu. Ouf, à l’inverse de la plupart des femmes, elle ne censura pas mon penchant féminin.
Curieuse, elle me demanda d’expliquer mon attitude et essaya de comprendre. Quoi de mieux alors de lui confier ma relation avec mes amies ghanéennes à l’origine de mes premières aventures de féminisation. Yasmina s'intéressa à ce qui poussait ces deux femmes à agir ainsi et pourquoi je m’excitais moi-même à être féminisé. Je fus incapable d’expliquer la motivation amoureuse de Fatou. Par contre, en parlant des envies sodomites de Mariam, elle retrouva ses propres envies. En me faisant découvrir toute la féminité qui sommeillait en moi, ces deux femmes m’avaient révélé à moi-même. J’ajoutais aussi que je fus captivé par l’inversion des rôles sexuels. Explorer par ce biais ma féminité fut une découverte qui bouleversa ma sexualité. On se donne mieux à une femme lorsqu’on se sent soi-même femelle.
Emportée par l’atmosphère dégagée par mes propos, Yasmina ouvrit alors l’armoire de sa chambre, fouilla dans sa lingerie et me passa un collant noir. Elle voulut voir par jeu l’effet qu’il rendrait sur moi. Une telle attitude me rassura. Elle remarqua de suite mon aisance à les enfiler. Normal, j’avais maintes fois mis des bas avec Fatou et Rio. Le contact des collants sur mes jambes engendra une réaction immédiate ; mon sexe se réveilla sous le fin tissu. Quand je me mis sur la pointe des pieds devant le miroir, elle envia le galbe de mes longues jambes gainées de nylon. Se rendant compte que j’avais perçu son air envieux, elle modéra ses paroles et précisa que mes fesses manquaient de rondeur. Pas assez cambrées à son goût. Sa remarque m’amusa.
En ne rejetant pas mon penchant féminin, Yasmina le reconnaissait implicitement : "L'examen de passage est réussi, me dis-je". Ouf, il aurait été regrettable de me séparer d’une femme aux vertues aussi perverse.
Pour terminer de la convaincre, je lui parlai du milieu transsexuel fréquenté durant ma liaison avec Rio et des extravagances sexuelles vécues avec ses amies. Tout le temps que dura mon récit, Yasmina ne cessa inconsciemment de caresser son clitoris. Cela me rappela l’attitude craintive et à la fois passionnée de ma cousine qui, petite fille, se touchait inconsciemment au travers de sa culotte. Sa réaction m’encouragea à lui confier tous les détails sulfureux de ma relation avec Rio.
Waouh, faire d’un homme une femme... De par son penchant lesbien et son tempérament dominateur, ce fut une révélation pour Yasmina. A défaut d’une fille dans son lit, avoir un mari en société qui soit en même temps une femelle vicieuse au lit stimula son esprit. Mais qui étaient donc ces hommes féminisés ? Elle se renseigna sur le Net. Influencée par les sites pornos, elle en déduisit que c’était des travestis qui s’excitaient à être féminisés, se comportaient en femme soumise et offraient leur cul en guise de chatte. Un monde nouveau s’ouvrit à elle. Elle me questionna des jours durant, voulant tout savoir sur ces hommes féminisés. Sans le reconnaître explicitement, elle éprouvait un intérêt particulier pour les transsexuelles, des hommes qui s’identifiaient comme des femmes. Ainsi, on pouvait faire d'un homme une femme sexuellement passive, exiger qu'il s’épile intégralement, qu'il s’habille de lingerie fine, qu'il se comporte en femelle soumise, voire qu'il ait des seins hormonés, sans compter son anus qui devenait une « chatte » ouverte à toutes ses envies. Bien que ce fût encore trouble dans son esprit, elle en conclut à travers moi que l’amant idéal ne pouvait être qu’un mâle renaissant de ses cendres en une femme.
De là naquit son délire de me femelliser à outrance. Peut-être aussi que son viol expliquait cette envie de me déviriliser en me femellisant. Comme j’étais en manque depuis des mois, je plongeai avec une joie sauvage dans son délire. Ce fut donc à partir d’une vision marginale de la transsexualité et autour de pratiques sexuelles déviantes que se construisit notre couple. D’où cette attirance réciproque qui nous lia si profondément. Où cela nous mena-t-il ? Vous avez la réponse dans ce blog...
Ma femme et moi, on adore tes récits.
Gros bisous du Maroc !
Ravi Laila que mon blog te plaise. Aujourd'hui, les femmes se choquent moins de ces jeux féminins que beaucoup d'hommes apprécient. Bises à vous deux.