Partager l'article ! Ma femellisation, 15, LAURE: Mon corps écrasé de soleil, je somnolai sur la petite plage isolée en pensant aux me ...
Mon corps écrasé de soleil, je somnolai sur la petite plage isolée en pensant aux merveilleux orgasme que me procurait ma libido. Une femme d’âge mure cherchant manifestement une place où s’allonger s’installa près de moi. Surpris dans mon intimité, je redonnai rapidement à mon bikini une forme plus convenable et me retournai sur le ventre. Quelle intruse ! Ne pouvait-elle pas me laisser tranquille dans mon coin ? Il y avait assez de place ailleurs. Elle étendit un paréo sur le sable, s’agenouilla dessus et dégrafa son soutien-gorge sans aucune gêne. Puis elle étala une lotion bronzante sur son corps en insistant sur sa poitrine. Du coin de l’œil, je regardai discrètement. Je vis distinctement ses mamelons se dresser lorsqu'elle les enduisit d'huile.
Après quelques minutes à s'observer, on finit par se parler.
Laure, c’est ainsi qu’elle se prénommait, me confia avoir remarqué mon ventre lisse : une façon élégante de me dire qu’elle m’avait surpris dans mes occupations intimes. En guise de réponse, je
me remis sur le dos. Elle contempla alors avec curiosité mon ventre épilé dans le petit bikini de femme. Notre conversation porta sur mon corps intégralement lisse et sur mon aversion des poils.
Je lui confiai que j’adorai m’exposer ainsi au soleil dans de minuscules maillots. Le temps passa à discuter et à nous baigner. Vers midi, je l’invitai à déjeuner à la maison.
Laure était une touriste de passage. Mariée à un riche américain resté à
New York, cette Française d’une quarantaine d’années était en vacances. Excités par le soleil et la mer,
on fit l'amour comme deux jeunes amants. Ma nudité l'emballa. Son corps généreux aux seins lourds me
captiva. Il se dégageait d'elle une sensualité troublante. Notre relation fut si agréable qu'elle quitta son
hôtel et s’installa chez moi. Alors qu’elle était venue pour une quinzaine de jours, elle resta six mois. Elle s'absenta juste quelque temps pour rassurer son mari.
Adepte du dieu soleil et de la mer, il ne se passa pas un seul jour sans que nous allions nous érotiser à la plage. Comme elle appréciait mon corps lisse et mes petits bikinis, elle s’acheta les mêmes et les roula comme moi en de minuscules strings sur ses hanches rondes. Elle adora surtout faire l’amour dans la mer, prise par devant ou par derrière avec l'eau qui s'infiltrait par tous les orifices. Par la suite, ce fut elle qui m’épila les zones intimes, une excitante découverte pour elle. Bien dans sa nouvelle peau d'amante, elle me répéta sans cesse être au paradis. Elle en oublia sa vie de citadine new-yorkaise.
Je remarquai qu’elle ne prenait aucune précaution particulière quand nous faisions l’amour. Je lui demandai si elle avait des enfants. Hélas non, son mari était stérile. Cela la rendait malheureuse d’ailleurs. Je pressentis chez elle une forte envie d’enfanter.
Et ce qui devait arriver arriva. Après quelque temps, elle me confia, radieuse, être enceinte. En réaction, je l'invitai à se faire avorter. Maladroit que j'étais, je n'avais rien compris. Avoir un bébé ne pouvait être qu’un don du Ciel à ses yeux, surtout avec un mari stérile. Pensez donc, une femme de quarante ans qui n’avait jamais eu d’enfant. Mais comment allait réagir son mari ? Elle éluda ma question d'un geste ample du bras. J'embrassai son ventre avec toute la fougue d'un futur père qui n'a rien à se reprocher.
Ce jour-là, on fit l'amour merveilleusement. Elle m'offrit tout ce dont une femme enceinte est capable. Etait-ce sa condition de femme enceinte ou la libido débordante des femmes de cet âge qui la rendait si gourmande ?
Au fil des semaines passées ensemble, elle fit une fixation sur son bébé. Elle détailla les moindres réactions de son corps et consulta tous les gynécologues de la ville. Surtout ne pas perdre ce merveilleux don du ciel. Et moi, inconscient des conséquences de sa maternité, je la regardai s'épanouir. Elle était si heureuse qu'elle répandait le bonheur autour d'elle.
A présent, son ventre rond se remarquait bien. J'avais plaisir à le caresser et à écouter les palpitations de l'enfant. Je redécouvrais le miracle de la fécondation. Au niveau de sa poitrine, j'assistais à une fantastique transformation. Ses seins se gonflaient, ses aréoles se boursoufflaient et les mamelons bourgeonnaient à vue d'oeil. Quel plaisir de les sucer. J'attendais impatiemment des montées de lait. Ah, boire le lait maternel comme un bébé serait une belle expérience...
Hélas, les meilleures choses ayant une fin, il fallut nous séparer. Son mari la réclamait auprès de lui. J’accompagnai tristement Laure à l’aéroport. Notre séparation fut d'une tristesse démoralisante. Je la serrai dans mes bras avec toute l’énergie du désespoir sentant son gros ventre contre le mien. Elle pleura puis me sourit difficilement . J'en fus ému. On échangea nos adresses et nos numéros de téléphone. Elle promit de revenir, je promis de la revoir aux USA.
Malheureusement, je n’eus plus jamais de ses nouvelles. Je profitai d'un voyage pour la voir à New York. Mais Laure n'habitait plus à l'adresse indiquée. Je frappai à toutes les portes de l'immeuble et montrai sa photo aux habitants. Personne ne se souvenait d'elle. Malgré mon insistance, on ne put me renseigner. J'en fus consterné.
Je suppose que par crainte de me voir réclamer la paternité de l’enfant qu’elle portait, Laure préféra disparaître définitivement de ma vie. Aujourd’hui, elle coule certainement des jours heureux, partagés entre notre enfant et son mari. Je me consolai en concluant que j’avais été un géniteur ayant contribué à son bonheur. Mais je fus malheureux d'apprendre que quelque part aux USA vivait un enfant dont j’étais le père. Heureux d’avoir pu donner un sens à la vie de cette femme, je ne sus jamais si c'était une fille ou un garçon...
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