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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

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Dimanche 18 janvier 7 18 /01 /Jan 20:43

     Je rencontrai Amanda, une jeune transsexuelle, quelque temps après ma rupture avec Rio, une transsexuelle brésilienne. Je fus si affecté par notre séparation qu'il me fut difficile d'oublier cette femme exceptionnelle avec qui j'avais vécu les plus folles aventures sexuelles de ma vie. 

     Dans le pays du bout du monde que j'habite actuellement, je fus irrésistiblement attiré par la jeunesse, la peau ambrée et le corps élancé d’Amanda. Nous fîmes l’amour, mais le sexe n’étant pas son truc, je n’insistai pas. Au fil du temps, notre relation évolua vers une amitié singulière. Amanda se prit pour ma fille et je réagis envers elle avec paternalisme. Elle apprécia mes conseils et ma maturité d’esprit, j’appréciai sa jeunesse et son innocence. Elle vint parfois habiter chez moi, le temps de se ressourcer, de retrouver un équilibre perturbé par son existence marginale.

      Amanda vivait en fille depuis l'adolescence. Ses parents, des gens de condition modeste,  comptaient sur moi pour la convaincre d'avoir une existence plus normalisée. Mais que pouvais-je faire ? Leur "fils" se sentait femme et aucun raisonnement ne le ferait changer d’avis. Amanda considérait que son corps de garçon était une erreur de la nature. Ayant décroché de l’école à quatorze ans, elle avait quitté la maison familiale pour vivre sa vie en ville avec d’autres transsexuelles. Depuis, elle vagabondait de-ci-de-là se donnant occasionnellement à des hommes contre de l'argent. Son éducation était donc des plus limités ; c’est à peine si elle savait écrire. Son français était tellement châtié qu’elle exprimait ses idées avec beaucoup de difficultés. Par manque de moyen financier, elle prenait rarement des hormones pour se féminiser. Néanmoins, son corps androgyne, sa silhouette élancée et la prestance de ses gestes faisaient qu’on remarquait immédiatement sa transsexualité. Habituée aux regards curieux des gens, elle ignorait ceux qui ne partageaient pas sa féminité ou les insultait selon son humeur . Il en était ainsi depuis des années. Elle assumait ouvertement sa condition transsexuelle et gardait intact l’espoir de devenir totalement femme un jour.

     Les transsexuelles de tous les pays passent généralement par la case prostitution, ce qui fait que leur conception de la sexualité est des plus libérée. Etant biologiquement des hommes, leurs fantasmes ressemblent aux nôtres. Elles censurent donc rarement nos délires de mecs. Amanda ne faisait pas exception. Je pus donc parler ouvertement de mes délires avec elle et parler de ma sexualité sans l’offusquer. Que je sois intégralement épilé et que je porte de minuscules strings de femme ne l’étonna pas. Selon elle, ces petits strings mettaient en valeur mon corps lisse et avantageaient mes fesses nerveuses. Comme j’en avais des dizaines dans mes tiroirs, elle m’en piquait un parfois. Surprenant de la voir déambuler à la maison avec son sexe caché entre ses cuisses pour avoir le pubis aussi plat qu’une femme tandis que moi, je portais mes strings avec le bombé de mon sexe placé en avant comme tous les hommes.

     Bien qu’il n’y ait plus rien de sexuel entre nous, je ne me gênai pas devant Amanda. Etant souvent nu, elle remarqua mes petits seins naissants et comprit que je prenais des hormones en découvrant un tube d’Oestrogel dans ma salle de bain. Inutile de cacher mes délires, les transsexuelles ont un sixième sens pour cela. J’évitai tout de même de trop insister sur la féminité qui s’emparait de mon corps et de mon esprit. Malgré mes tétons naissants, mon corps épilé et mes petits strings, je restais un authentique mâle à ses yeux. Curieuse de tout ce qui touchait à mon intimité, elle fouillait sans cesse mes affaires à la recherche de mes petits secrets cachés. Combien de fois je cherchai ma pince à épiler, mon tube d’hormone ou le petit string sexy que j’affectionnais tant ! Des godemichets et une pompe à tétons disparurent ainsi curieusement. Même mes courriers intimes furent lus discrètement. Curiosité de femme…

    Après des années passées à s’amuser et à traîner dans la rue, Amanda prenait conscience des difficultés de la vie. Ce jour-là, elle avait le cafard. Personne pour lui souhaiter son anniversaire. Désespérée, elle me confia la cruauté de l'existence en pleurant ; un moment d’émotion où elle devint si fragile que je m’attendris. Je la pris dans mes bras et la consolai avec des mots tendres : « André, aide-moi à sortir de cette galère ». Seule dans la vie, Amanda avait besoin qu’on l’aime, qu’on la rassure sur sa pénible destinée. Elle me parla plusieurs fois de suicide tellement elle se sentait mal dans sa peau.

     Elle espérait à présent trouver un travail normal, s’insérer dans la société active et vivre comme tout le monde. Or, conditionnée par sa vie marginale, elle végétait dans un univers hors de la réalité. De par son état transsexuel, il lui était difficile de trouver un travail qui ne soit pas en rapport avec le sexe. Notre société est ainsi faite qu’elle considère que les transsexuelles existent uniquement pour satisfaire la libido des autres gens. Mais Amanda ne s’intéressait pas au sexe si ce n’était pour trouver l’argent nécessaire à sa subsistance. Une fellation par ci, une autre par là et hop, quelques billets gagnés assuraient sa misérable existence.

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     Comment aider une personne aussi asociale ? En tant que transsexuelle, elle connaissait par coeur la libido des hommes, une experte en ce domaine, mais trouver un travail et s’intégrer dans le monde professionnel relevait d’un challenge impossible. Je rencontrai toutefois le directeur de la restauration d’un grand hôtel. J’avais remarqué qu’il employait des hommes au comportement efféminé. Malgré leur statut, ces gens jouissaient d’une excellente réputation dans l’hôtellerie. Serviables et toujours de bonne humeur, ils appréciaient le contact avec la clientèle. Je lui demandai s’il avait une place pour une transsexuelle. Il refusa catégoriquement prétextant que ces personnes n’étaient pas fiables professionnellement. De plus, la clientèle se choquait de leurs attitudes exagérément efféminées contrairement aux homos qui eux demeuraient respectueux en toute occasion. Je n’insistai pas.

     Cependant, je ne perdis pas espoir. J’expliquai le métier de serveur à Amanda en précisant qu'elle devait se préparer pour un premier rendez-vous :

-          Si tu veux un emploi de serveur dans cet hôtel, tout dépendra de l’apparence que tu auras. Désolé Amanda, tu dois te comporter en garçon si tu veux travailler.

Elle me regarda surprise. 

-          Mais André, je suis une femme, c’est impossible…

-          Je te comprends. Mais il faut t’adapter ; à la rigueur faire comme si tu es un homme efféminé. Le reste, j’en fais mon affaire.

     On discuta longuement. Vaincue par mes arguments, elle finit par accepter. On arrivait en fin d’année et l’hôtel avait besoin de personnels en "extra". Vite rédiger un CV bidon avec une photo où elle ne faisait pas efféminée. Puis je l’accompagnai dans un magasin de la ville pour acheter les vêtements masculins nécessaires à ce premier entretien : un pantalon noir d’homme à la place d’une robe, une paire de chaussures à lacets à la place de haut-talons et une chemise blanche classique à la place d’un petit haut sexy. Quel désagréable moment à passer ! Devant le miroir de la cabine d’essayage, elle en pleura de dépit. La vendeuse s’attendrit face à cette fille bizarre.

-          André, je ne peux pas m’habiller ainsi, je ne suis pas un garçon.

-          Fais un effort Amanda, je t’en prie.

     Elle voulut laisser tomber, mais j'insistais malgré ses larmes. Je lui dis combien ses efforts seraient récompensés. Et puis après le travail, elle reprendrait son statut de femme. Cela la rassura.

     Elle se prépara à la maison des heures durant en suivant mes conseils. Pas facile de retrouver des habitudes masculines, elle qui se sentait femme depuis tant d’années. Vêtue de ses habits masculins, il fallut ramener ses longs cheveux noirs en un discret chignon coiffé en arrière de la tête. Et surtout, ne pas se maquiller, contrôler ses gestes féminins et éviter d’onduler des fesses. Après moult hésitations, on se rendit ensemble à ce premier entretien. Je la présentai au directeur de la restauration qui la fit entrer seule dans son bureau...

     Depuis, les mois ont passés. Amanda travaille comme serveur en extra dans l’hôtel en question. Tel un équilibriste, elle porte des plateaux pleins de verres et de plats à bout de bras, circule entre les tables avec une aisance remarquable. Elle trouve l’équipe de restauration sympa et se donne à fond à son travail. Elle s’est habituée à être appelée par son prénom de garçon. Le personnel de l’hôtel l’a intégré et la clientèle l’apprécie beaucoup. Elle s’amuse même de certains clients qui la draguent. Je ne l’ai jamais vue aussi heureuse...

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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