Partager l'article ! Ma femellisation, 9, UNE PUTE: Fatou m’offrit un jour une paire de talon aiguilles. Quelle ne fut pas ma surprise, ...
Fatou m’offrit un jour une paire de talon aiguilles. Quelle ne fut pas ma surprise, moi qui croyais que le travestissement ne l’intéressait pas. Une fois de plus, j’entrai dans le jeu des filles. Impossible de leur résister tellement elles m’excitaient avec leurs fantasmes. Haut perché sur ces escarpins, l’effet fut saisissant. Mariam jalousa mes longues jambes de mannequin. Elle me proposa des bas nylon pour que l’effet soit encore plus féminin. Quelle étrange impression de me voir face au grand miroir de la chambre. Un homme nu, perché sur d'immenses haut-talons, vêtu d'un string de femme avec des jambes gainées de nylon et des cuisses fuselées. Ma démarche hésitante par manque d’habitude amusa beaucoup les filles. Mais comment font les femmes pour marcher avec de telles chaussures ?
Sans m'en rendre compte, les filles m’enfermaient dans un système qui stimulait ma libido féminine en permanence. Je finis par ne plus me rendre compte de cette féminisation tellement leurs délires exacerbèrent mes sens. Je ressentis un plaisir érotique à sentir mon corps épilé, à voir mon sexe lisse dans de délicates dentelles, à ressentir le contact des bas sur mes jambes et la courbure de mes chevilles dans des hauts-talons. Tout cela pour le plaisir de leur appartenir et sans pour autant renoncer à mon statut de mâle. A les entendre, je me prêtais merveilleusement à leurs fantasmes de féminisation. Contrairement aux arguments avancés par les moralisateurs de tout poil, il ne fut jamais question de justifier un quelconque dérangement sexuel ou une névrose psychique. Je me sentais parfaitement bien dans ma nouvelle peau d’homme féminisé tandis que les filles m'encourageaient à continuer dans cette voie.
Leur inclination sexuelle ne consista pas à me déguiser en femme comme certains lecteurs pourraient le supposer. Heureusement, car je n’éprouvai aucune excitation particulière à me travestir. Oh, il y eut bien des séances de maquillage ou d’essayage de lingerie, des jeux sommes tout normaux dans le cadre de la féminisation d’un homme. Mais hormis quelques accessoires indispensables, Fatou comme Mariam n’essayèrent jamais de me travestir ou de me faire sortir vêtu en femme.
Ah si, juste une fois. Un pari stupide perdu sous l’emprise d’une soirée trop arrosée. Mariam se fit prêter les accessoires féminins nécessaires à ma transformation par son ami travesti. Maquillé et "perruqué", affublé d'un soutien-gorge rembourré, habillé d’une minijupe qui laissait voir mes fesses et perché sur d'immenses hauts-talons, je me trouvais ridicule ainsi travesti. Je n’avais rien d’une femme et tout d’un travelo avec mon physique de mec. Par contre, les filles furent follement émoustillées en me voyant accoutré comme une prostituée sexy. Mais qu’est-ce qui motive les travestis qui eux justement s’excitent à affronter le public ainsi vêtu ? Gêné, voire humilié par la situation, je me fis tout petit.
Je fus ensuite contraint à me prostituer pour respecter mon pari. Je ne vous cache pas que cette idée stimula mes sens : vivre l’interdit sexuel avec toute l’angoisse qui s’y rattache. Toucher de l’argent en échange d’un acte sexuel provoqua une tension particulière ou angoisse, humiliation et excitation se mélangèrent au point d'affoler mes sens. On repéra un coin sombre dans une rue tranquille de la ville. Puis les filles m’observèrent tapiner depuis leur voiture garée plus loin. Une fois seul, je ne fus pas rassuré. L’air froid de la nuit se glissa sournoisement sous la minijupe. Et comme je ne portais pour tout dessous qu’un minuscule string, mes fesses furent fus vite glacées. Je fus surpris par le bruit de mes hauts-talons en marchant, ils claquaient si fort dans le silence de la nuit. Que d’émotions, de tension nerveuse, de crainte et d'excitation. Je pensai aussi aux flics qui me surprendraient dans cette tenue s’ils venaient à passer. Quelle honte aussi d'être vu ainsi dans un rôle qui n'était pas le mien habituellement !
Des jeunes gens passèrent sur le trottoir d’en face. Ils m’insultèrent copieusement. Inutile de répondre ! Vu la situation, mieux valait remballer ma fierté de mâle vexé. Inutile aussi de prendre le risque de me faire tabasser. Coup sur coup, deux hommes m’accostèrent par la suite. Mon cœur cogna à tout rompre. Quelle angoisse ! Mal à l'aise, je dus négocier des caresses avec eux, moi un homme passionné par les femmes. Le premier, un vieux, recherchait un jeune travesti androgyne pour le sucer. Il avait été attiré par mes longues jambes, mais en constatant mon âge avancé, il n’insista pas. Ouf ! L’autre voulut me sodomiser. Il m’expliqua qu’un cul l’excitait davantage qu’une chatte de femme béante . Cela serrait bien mieux sa queue. De plus, on pouvait tout faire avec des travestis, contrairement aux femmes coincées par leur pudeur. Finalement, j’annonçai un tarif si élevé qu’il se découragea. Il partit en me traitant de PD. Que répondre ?
Je fus stupéfait quand une femme m’aborda en voiture. D'un âge mature, elle me demanda sans complexe si j’étais actif et si j'acceptais d’être sodomisé. Elle fantasmait visiblement sur les travestis. Elle voulut voir ma queue avant de faire affaire. Je montai dans sa voiture et soulevai ostensiblement ma minijupe dans la pénombre du véhicule. Quand elle vit mon sexe gonflant le petit string que je portais, elle s’emballa. Elle effleura d’une main mon bas-ventre et glissa un doigt alerte dans mon string. Mon pubis lisse lui plut. On partit donc dans sa voiture. En passant devant mes amies ghanéennes, je m'amusai de leurs regards stupéfaits.
Quand je revins le lendemain matin, je montrai fièrement aux filles les mille francs gagnés*. Elles voulurent tout savoir de cette folle nuit. Je me gardai de leur dire combien j’avais apprécié cette femme mature malgré son âge avancé. Un rien perverse, elle m’avait gardé pour la nuit et pris sauvagement par-derrière avec un godemichet. Une vraie salope qui avait bien joui. En me ramenant chez les filles, elle m’avait fait promettre de nous revoir.
Mariam s’extasia à la vue de l'argent si facilement gagné. Tandis qu’elle me suggérait de recommencer l'expérience, je songeais à cette femme. Fallait-il se prostituer pour rencontrer des femmes qui se passionnent pour les travestis ? Par contre, Fatou n’apprécia pas. Elle se sentit trompée. De m'être prostitué en femme la rendit jalouse. Cette aventure laissa des traces indélébiles dans son esprit. Il ne fut plus jamais question de recommencer.
* C’était avant l’Euro.
Bonjour : je ne suis pas (encore ?) travestie (et ma famille n'accepterais pas , de toutes façons !!!) ; mais ton histoire (VRAIE ?) me plait !!!
ERIK / letheilerik@wanadoo.fr
Bonsoir Erik,
Heureux que mon histoire te plaise. On pourrait effectivement penser qu'elle est le résultat d'un affabulateur de première classe. Je te rassure, tu ne peux savoir comme j'avais paniqué à l'époque.
Je suis de ces hommes qui ont préféré favoriser leur sexualité plutôt que leur vie de couple. Il faut parfois avoir du courage pour cela. Ceci précisé, je n'ai rien d'un travesti, si ce n'est d'avoir à la place de mon torse mâle une vraie potrine de femme.
Je recherche à me travestir en pute et dressé
J'aime me faire travestir en pute.
Je suis ouverte à toute proposition
Il y a quelque temps j'avais été contacté par une Sabrina (avec un seul N) qui recherchait une personne qui la travestirait en pute. Je lui avais alors proposé de correspondre. Elle n'avait jamais répondu...
Exprimer pleinement sa féminité passe effectivement par une tierce personne qui nous pousse à devenir pute. Lui appartenir en femme salope est un fantasme qui est vécu comme une consécration lorsque ça arrive.