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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • soumission travesti string feminisation transgenre
  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Samedi 11 juin 6 11 /06 /Juin 17:58

     Un soir, je fus à nouveau piégé par les filles. Comme d’habitude, j’étais nu, juste vêtu d’un petit string. Je venais de préparer le dîner dans cette tenue. Alors que nous dinions tranquillement ensemble, l'ami travesti de Maryam arriva sans crier gare. Il venait récupérer ses affaires. Par décence, je voulus revêtir une tenue plus décente que ce petit string qui ne cachait pas grand chose de mon sexe épilé. J'enfilai rapidement un peignoir. Doté d'un physique androgyne, l’homme me fut sympathique. Rien à voir avec ces travestis d’un goût douteux. Sa jeunesse, son allure gracile ainsi que son côté androgyne étaient très féminins.

t8     Fatou l'invita à dîner avec nous. La soirée dérapa rapidement pour le plus grand bonheur des filles. Provocantes, elles demandèrent au travesti de se déshabiller. Captivé par son corps androgyne, je ressentis une sensation étrange à découvrir ce travesti aussi lisse que moi. Je remarquais ses mamelons gonflés aux aréoles très sombres. Il portait une petite culotte blanche qui contrastait curieusement avec sa peau noire. D'un geste habile, il cacha discrètement son sexe entre ses cuisses afin d'avoir le ventre aussi plat qu'une femme. J’eus l’impression de me voir en négatif. Surprenant constat, rien ne me différenciait de ce travesti si ce n’était la couleur de notre peau et son jeune âge.

     Comme moi, il se passionnait pour la lingerie féminine. On échangea quelques propos à ce sujet. Je lui fis remarquer qu’un string lui conviendrait mieux qu’une culotte. Il mettrait ses fesses rebondies en valeur. La conversation continua sur l’inconvénient de porter des strings trop longtemps. A la longue, leur ficelle irritait la raie des fesses à cause du poids excessif de nos attributs sexuels. D’autant plus que le sexe avait tendance à s’en échapper par l'entrejambe trop étroit. Le travesti abonda dans mon sens. C’est pourquoi lui-même mettait des culottes de femme en dentelle. C’était bien plus confortable à porter tout en restant très excitant. Les filles nous écoutèrent interloqués de voir deux hommes vêtus de dessous féminins discuter de lingerie comme des femmes.

      Excitées de nous voir ainsi, elles voulurent qu’on fasse l’amour ensemble. Je refusai énergiquement, prétextant que les hommes ne m’intéressaient pas. Ils me faisaient même débander. Elles insistèrent en disant que cet ami travesti exprimait sa féminité bien mieux que certaines femmes. Je répondis amusé que je n’étais pas une « gouine ». Les deux filles se jetèrent alors sur moi. Avec l’aide de leur ami travesti, elles m’attachèrent solidement les mains et les pieds avec une paire de bas. Je me défendis mollement. Pourquoi leur résister, l’ambiance, teintée d’un fort érotisme, était si plaisante que je me retrouvai rapidement ligoté à genoux sur la moquette de la chambre.

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     Sous le regard lubrique des filles, le travesti ôta alors sa culotte et commença une lente masturbation devant moi. Je fus impressionné par la taille de son sexe en érection. Je pensai à la réputation qu'avaient les blacks. J'en avais une preuve flagrante sous les yeux. Il voulut s’enfoncer dans ma bouche. Horrifié par ce sexe de mec, je détournai la tête et me débattis dans mes liens. J’hurlai ma colère et criais que je n’étais pas un PD. Fatou et Mariam insistèrent en riant. Elles applaudirent en criant de joie quand le membre énorme s’introduisit enfin dans ma bouche. Je voulus le mordre, mais j’en fus incapable. Ce membre de mâle dans ma bouche sema le trouble en moi. Je tentai alors de le sucer ne voulant pas décevoir les filles. Pas évident la première fois sans le blesser avec mes dents. Je ne sus pas comment m’y prendre et je manquai à chaque fois de m’étouffer.

     Sous le prétexte de s'intéresser à ma chatte, les filles m’enduisirent copieusement l’anus de lubrifiant. Elles ne se gênèrent pas d’y enfoncer les doigts pour me préparer à la sodomie. Elles m’immobilisèrent brusquement pour cela tandis que le travesti bloquait fermement mes hanches par derrière. J’étais à quatre pattes, pieds et poings liés, le cul en l'air, livré à la lubricité des filles et à la queue de ce travesti. Je me débattis et me tordis dans tous les sens, mais il fut impossible d’éviter l’intromission de l'énorme verge. Quand le travesti pénétra lentement mon anus, il y eut un grand silence. Fatou et Mariam observèrent admiratives mon anus se dilater progressivement et le gros membre raidi s’enfoncer délicatement dans mon cul. Mariam me fit remarquer combien sa main avait habitué mon anus à s'ouvrir. Une fois sa queue complètement en moi, le travesti accéléra le rythme et finit par me sodomiser sauvagement. J’eus beau crier et me débattre, il jouit brutalement en ahanant fortement. Pendant tout le temps que dura ce viol, Fatou et Mariam encouragèrent le travesti à me défoncer. A la fin, elles voulurent que je suce le sperme qui coulait encore de sa queue quand il se retira.

03.jpg     Le cul en feu, je venais de me faire violer par un homme. Je ressentis une sensation d’écœurement à laquelle se mêla un plaisir étrange. Je me dis : « André, tu es sur la mauvaise pente. Tu deviens PD à force d’être féminisé par ces filles ». Ecoeuré par ce constat, je menaçai le travesti de porter plainte. Les filles m’en dissuadèrent en précisant que j’avais visiblement éprouvé du plaisir à me laisser enculer. Je voulus alors m’enfuir, ne plus dépendre de ces deux furies. Mais je n’en fis rien, j’étais trop amoureux de Fatou et drogué au sexe par son amie Mariam. Hormis ces deux filles, aucune femme ne m’avait donné autant de plaisir. Je fus déçue de reconnaître mon état. J’abdiquai par Amour jusqu'à en devenir PD. Je me dis qu'un homme qui aime ainsi n’est plus un homme. Il devient un soumis qui abandonne totalement sa condition de mâle. Les filles tentèrent bien de me consoler. Or leur perception bien trop différente de celle des hommes ne me rassura pas.

     Dépucelé ainsi, mon honneur de mâle en prit un sérieux coup. Découvrir qu’un sexe d’homme me donnait plus de plaisir que le gode-ceinture de Mariam me contraria. Je me sentis coupable du plaisir éprouvé. Le membre du travesti vivait en moi et trouvait naturellement la façon idéale de me pénétrer. Je sentais son gland vibrer au fond de mon ventre. Ce membre n'était pas comme un gode inerte, c’était chaud et ça vivait dans mes entrailles. Sans compter que me faire violer ainsi avait favorisé mon côté de femelle passive.

 

     Par la suite, il y eut d’autres pénétrations avec ce travesti. A la fin, je pris goût à sa grosse queue. Il aima aussi décharger son sperme dans ma bouche ; un goût étrange venu d’ailleurs. Recevoir la semence de ce travesti en jouant un rôle passif m’excita à la longue. Finalement, je partageais mon cul avec lui et avec les filles. Mon anus se transforma en une chatte gourmande. Faisant abstraction du dégoût homosexuel lié à mon éducation, j’en oubliai mon statut de mec et profitai pleinement du plaisir ressenti. Jusqu’au jour où ce fut moi qui enculai le travesti. Me voir faire l’amour à ce travesti excita follement les filles. Cela se termina par une mémorable orgie...

 

Par Microstring - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Vendredi 17 juin 5 17 /06 /Juin 16:25

     Mon existence entre ces deux  femmes et leur ami travesti ne fut que du bonheur. Les mois passèrent en parfaite symbiose, dans une totale harmonie. Je devins l’homme le plus heureux du monde, même si j’éprouvai parfois de la gêne à être un amant féminisé. Je m’habituai à ma nouvelle condition de mâle actif et de femme passive. Je plaignis les hommes coincés dans des valeurs morales rétrogrades à mes yeux. Mieux valait se faire plaisir ainsi que d’être brimé toute sa vie pour des questions de fierté ou d’honneur mal placé. Etre un homme tout en vivant sexuellement ma féminité devint mon sacerdoce. Notez que je ne parle pas encore de "femellisation". Je n'étais alors qu'un timide débutant à ces jeux féminins. Et ma foi, si je prenais mon pied à me faire sodomiser pourquoi m’en priver. Etrange situation où je ne ressentais rien d'homosexuel à de telles attitudes. Pourtant, je me posais souvent la question. Partager ces comportements marginaux avec ce travesti et les filles me rendit encore plus complice.

     C’est alors que Mariam révéla à Fatou et à son ami travesti une machination incroyable. L’idée enflamma leurs sens et stimula leur esprit machiavélique. Cela dépassa tout ce qu’un esprit sain pouvait imaginer. Emballé, émerveillé, ébloui, les superlatifs ne manquèrent pas pour décrire la situation. Mariam réussit à convaincre tous les protagonistes concernés par cette horrible machination. Moi-même, je restais dans l'ignorance jusqu'au dernier moment.

     Lorsque les filles me prévinrent de leur projet, tout était déjà organisé. Je ne pouvais plus reculer. Elles en seraient les spectatrices privilégiées. Je fus choqué par une telle idée. Aucune femme dans ma vie n’avait atteint un tel degré de perversité : "A en devenir malsain me dis-je." Je refusai leur deal monstrueux, d’autant  plus que les filles n’auraient aucun contrôle si cela dérapait. Qu'elles aient pensé à un tel scénario me sembla dantesque.

     En fait, il s’agissait d’organiser mon enlèvement et ma séquestration par des inconnus puis pieds et poings liés à me violer outrageusement. Ces gens profiteraient de mon corps sans vergogne, au gré de leurs envies durant tout un week-end.  En arriver à cet extrême me fit penser à ces femmes gynarchistes et vengeresses qui s’excitaient à jeter en pâture leurs soumis. Fatou et Mariam étaient-elles extraverties au point de prendre leur fantasme pour la réalité ?

     Leur ami travesti avait contacté des homos purs et durs dans ce but ; d'authentiques machos gays bardés de clous et de cuir qui s’éclataient en dominant violemment des hommes soumis. L’idée leur avait plu. Mariam évita de me dire comment cela se passerait. Face aux élucubrations des filles, je n’eus plus le choix ? J’en conclus que j’habitais une maison de détraqués sexuels. Les filles me répondirent que je les aimais parce qu’elles étaient justement ainsi. Elles n’avaient pas entièrement tords. Aucune femme n'avait su stimuler ma libido à ce point…

133.jpg     A partir de cet instant, la situation devint infernale. Ce fut le début d’un véritable calvaire d'angoisses. Un sentiment menaçant m’envahit progressivement. A chaque instant du jour ou de la nuit, je vivais dans la crainte d’être kidnappé puis abusé violemment par des inconnus. Fallait-il leur résister et me battre au risque de prendre des mauvais coups ? J'imaginais des hommes cagoulés qui me forçaient à monter dans leur voiture. Les yeux masqués, ils me conduisaient dans une maison abandonnée. Et là commençait mon martyre. Livré à leurs pulsions sexuelles, je craignais surtout la sauvagerie d'un tel viol. Et pourtant, cette idée déclencha en moi des poussées d’adrénaline insoupçonnables. La peur, l’angoisse et l’excitation de vivre si intensément me mirent la pression. Je pensai à ces jeunes gens qui provoquaient le sort dans des sports à haut risque. Le grand frisson quoi ! Mais là, c’était différent. J’étais LA victime passive qui n’avait pas le choix.

     Je vécus dans une angoisse permanente durant les semaines qui suivirent. Je devins un homme traqué, épié et suivi dans ses moindres déplacements. Je me méfiai des inconnus dans la rue et je ne manquai jamais de me faire accompagner dans mes déplacements. Dès que j’étais seul, j’observai autour de moi, je me retournai sans cesse pour voir si j’étais suivi. J’évitai même de sortir le soir. Une peur viscérale s’installa à la longue, obsédante, incessante, comme une douleur lancinante. Une crainte indescriptible au point de menacer Fatou et Mariam de les quitter. Je m'énervai sans cesse entre ces deux femmes et leur copain travesti, leur reprochant d'en venir à de tels extrêmes. Rien n'y fit, je me sentis désarmé face à leurs obsessions sexuelles.

     J’insistai pour que ce jeu pervers cesse. Or, les filles semblaient conditionnées par leur ami travesti. Je les menaçai de réagir violemment s’il le fallait. Ma relation avec elles se compliqua sérieusement.  Je précisai détenir en permanence un couteau à cran d'arrêt sur moi. J'eus l’impression trouble de priver de dessert les filles, voire même de briser leur rêve en refusant une telle aventure.

     Les semaines et les mois passèrent. Voyant que rien n’arrivait, je finis par me calmer. Chacun d'entre nous finit par ranger au placard ce délire de viol collectif. Encore aujourd'hui, j'ai des frissons qui me parcourent l'échine quand j'y pense...


Par Microstring - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Mercredi 22 juin 3 22 /06 /Juin 19:58

    Alors que je poursuivais une vie amoureuse pleine d'imprévus érotiques, Mariam tomba enceinte. Elle voulut me faire endosser la paternité du bébé qu’elle portait. Cela me sembla impossible puisque je ne jouissais pratiquement jamais en elle, d'autant plus qu'elle se passionnait uniquement pour ma "chatte". Elle appelait ainsi mon anus "vaginisé". C’était le ventre de Fatou qui profitait de mon sperme.

      En la suivant discrètement, je découvris qu’elle avait un amant. Certainement le père du bébé qu'elle portait. C'était un macho fier de ses muscles qui refusait d'assumer sa paternité. Je m’offusquai d’une telle situation et reprochai à Mariam ses comportements fallacieux. Je fus surpris quand Fatou prit fermement sa défense. A partir de là, notre relation se dégrada rapidement. Souvenez-vous que ces deux femmes m'avaient fait prendre des hormones féminisantes sans mon consentement. Et cette affaire de viol présumé m'avait aussi fortement perturbé. Depuis, j'étais devenu prudent à leur encontre. Face à leur comportement démoniaque et craignant pour mon statut de mâle, je décidai de les quitter. Sans compter que je ne me voyais pas être le père d'un enfant que je n'avais pas conçu. A regret, je l’avoue, je décidai de rompre. Terminer une aussi belle relation me fit mal au cœur. Mais ce fut une question de survie pour l’homme que j’étais encore...

     Que d'amertume suite à cette rupture. Impossible d’oublier mes amours ghanéennes. L'âme en peine, je m’exilai vers d’autres cieux afin de guérir d'un désarroi dangereux pour mon équilibre. Malgré le temps qui passait, je ne réussis pas à oublier ces deux femmes. Quels regrets de n’avoir pas eu l’intelligence de gérer jusqu’au bout cette magnifique idylle. J’avais été si heureux avec elles et, chose merveilleuse, j’avais vécu une sexualité à la mesure de ma passion. J'en vins même à me dire qu'au lieu de rompre comme un imbécile, j'aurais dû épouser Fatou.

   Incapable de m'en défaire, ces deux Africaines m’avaient inoculé le virus de la féminisation. Je continuais donc à porter de minuscules strings de femme et à m'épiler intégralement le corps. Le ver était dans le fruit... Je ne cessais de penser à Fatou. Je repensais à une histoire qu'elle m'avait racontée. Un marabout du pays avait emboucané un homme de son village. Sa femme l'avait consultée car son mari infidèle avait voulu la quitter. Le sorcier lui avait alors demandé de revenir avec quelques gouttes de son sperme. A l'aide de ses gris-gris, il avait invoqué ses dieux et avait conditionné l’homme qu’elle aimait. Et cela avait  marché. Celui-ci était resté auprès d'elle. Selon Fatou, l'histoire ne précisait pas un détail. Sur les conseils du marabout, cette femme avait enfin compris qu'il fallait faire l'amour à son mari comme il le souhaitait...

     Après tout, si avoir des seins de femme était le fantasme de Fatou, cela s’inscrivait dans une suite logique de ma féminisation et de notre amour. A ce stade de raisonnement, l'idée de prendre des hormones féminisantes ne choqua plus mon esprit. Il me semblait bien plus important d'aimer Fatou et de vivre avec elle. Pourquoi lui refuser ce plaisir ? Je manquais alors d'expérience et ma féminisation n'en était qu'au stade de la découverte. Je lui avais donné par mes attitudes une bien piètre preuve d’amour. Je me sentis coupable d'un tel égoïsme.

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     Déçu par ma nouvelle vie d'exilé, je retournai à Paris quelques mois plus tard avec l’espoir de retrouver ces deux femmes. Un seul but, faire mon mea-culpa et reprendre cette merveilleuse relation à trois. Et si mon bonheur en dépendait, j'adopterais le bébé de Mariam. Ma recherche des filles me conduisit d'abord vers leur copine esthéticienne. Depuis son institut clandestin, elle m'affirma ne plus les voir. Elle supposa qu'elles étaient rentrées au pays. J'évoquai l'idée de les rejoindre au Ghana. Mais sans numéro de téléphone et sans adresse précise, comment les retrouver à Accra, la capitale ?

     Dépité, je lui demandai si elle connaissait une autre fille dans le style de Fatou. Les Africaines n'ont pas les a priori des Occidentales, elles réagissent avec un naturel qui  nous désarme. Tout en riant, l'esthéticienne se moqua gentiment de moi : « C’est Fatou que tu aimes. Aucune autre femme ne pourra la remplacer. Elle est dans ton coeur pour la vie. » Sa remarque me fit mal, car elle avait raison. J’en profitai pour me faire épiler intégralement dans son institut. Lorsqu'elle épila mon intimité, je me mis à bander. Pour me consoler de ma tristesse, elle me fit une branlette. Il y avait si longtemps que je n'avais pas joui entre les mains d'une femme que mon sperme gicla rapidement. Elle s'en amusa. On se quitta en s'embrassant. Je lui promis de la revoir. En fait, elle devint mon esthéticienne attitrée quand je revenais à Paris.

     Je continuai mes recherches. Malheureux, l'âme en peine, j'errai dans les milieux blacks de Paris. Je contactai toutes les connaissances de Fatou et de Mariam, la clinique où elles avaient travaillé, les restaurants et les endroits où nous nous rendions ensemble. Rien à faire, Fatou et Mariam avaient bel et bien disparu !

     Oh, il y eut bien quelques aventures par la suite, mais sans commune mesure avec ces deux femmes. Que les autres femmes me semblèrent fades après cette intense liaison africaine ! Hormis une curiosité passagère, rares étaient celles qui s’excitaient réellement à me féminiser. 

super-32227-36396     Revivre une telle relation avec une femme qui se plaise à me féminiser me manqua terriblement. Il y a tant de choses à découvrir dans ces comportements particuliers. Ce lent processus de féminisation d’un homme par une femme est sans limites. Il permet d’explorer un monde insolite qui renouvelle sans cesse la sexualité. Et être femme parmi les femmes amène cet homme à se conduire différemment avec elles. L'intime complicité qui s’installe alors entre eux renforce les sentiments et le respect.

        Profitant de mes voyages en France, j’essayai des professionnelles vivant de leurs charmes, dominatrices et soi-disant spécialistes de la féminisation des hommes. Hélas, ces femmes ne comprirent rien à mon délire. Elles confondirent à chaque fois travestissement et féminisation. Sans compter qu’il leur manquait ce côté naturel qui faisait la force de ma relation avec mes deux Ghanéennes. Le sexe ne se monnaie pas, il se pratique entre des individus qui sont en totale harmonie des corps et de l'esprit. A chaque fois déçue, je m’en retournai dans ma bulle délesté de quelques billets de banque.

     Que le verbe aimer est difficile à conjuguer ! Son passé n'est pas simple, son présent n'est qu'indicatif et son futur est toujours conditionnel. Déçu d’avoir perdu ces deux femmes à jamais, je retournai dans mon pays, au soleil

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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