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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
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  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Dimanche 26 juin 7 26 /06 /Juin 22:05

    Marqué à jamais par l'aventure vécue avec Fatou et Mariam, j’eus un passage à vide. Comme j’avais ces deux filles dans la peau, je m’expatriai donc vers d’autres contrées. Seul moyen à mon avis pour essayer de les oublier. Malgré la mer et le soleil tropical du pays que j’habitais maintenant, je n’y arrivais pas. Trouver deux femmes en une seule, qui de plus se passionneraient à me féminiser, relevait de l’impossible. On n’a qu’une seule chance dans sa vie. Etais-je passé à côté ? Le moral au plus bas, je traversai une période où l'existence me sembla sans intérêt. Je me réfugiai dans le travail, évitant de penser à cet amour perdu. 

     Conditionné par ces deux filles, je continuai néanmoins à satisfaire mes envies de féminisation, mais en solitaire cette fois-ci. Oh, ce fut très discret par rapport à ce que j’avais vécu. Je me contentai d’avoir un corps aussi lisse que celui d'une femme et de porter des petits strings féminins en guise de sous-vêtements. Je trouvai un salon d’esthétique qui accepta de m’épiler alors que ce n’était pas encore l’usage ici. Bien sûr, il ne fut pas question d’épiler les zones intimes. Puritaines jusque dans l’âme, les esthéticiennes de ce pays se choquaient de telles pratiques. Avec le temps il s’installa tout de même une certaine complicité avec mon esthéticienne. D'une part, j’étais un bon client et, de par mon âge, je n’avais rien d’un pervers sexuel à ses yeux. Et pourtant, si elle savait…

56.jpg     Vous vous en doutez, je ne portais plus de slips de mecs depuis longtemps, même dans des cas intimes. Je vins donc à mes rendez-vous chez l'esthéticienne vêtu de sages culottes de femme et adaptées à la circonstance. Seul un œil exercé se rendait compte de la différence. Hormis une petite doublure à l’entrecuisse, les culottes de femmes n’ont aucun renfort sur le devant contrairement aux slips d’hommes qui eux sont renforcés pour maintenir les attributs mâles. Leur tissu très fin laissait donc entrevoir la forme de mon sexe tout en le masquant subtilement aux yeux de mon esthéticienne.

     A chaque épilation, je vins par jeu avec des culottes de plus en plus plus petites. Par réflexe professionnel, l’esthéticienne épilait les poils qui en dépassaient sans se rendre compte de mon subterfuge. Hélas, il ne fut jamais question d’aller au-delà. D’ailleurs, elle n’insistait jamais entre les cuisses. Pudeur de femme ! Une fois seul à la maison, je m’épilais les «parties interdites ». Au niveau des testicules si fragiles, pas facile de retirer les bandes de cire. Quant au sillon interfessier, je ne voyais rien de mon travail dépilatoire. Quelle maladresse, que de contorsions et de souffrance à m’épiler ainsi ! Mais une fois lisse, quel plaisir de sentir la douceur de ma peau à ces endroits intimes. Bien souvent, mes doigts s’égaraient là où Mariam m'avait donné tant de plaisir. Cela se terminait à chaque fois par une délicieuse masturbation. J’adorais ensuite m’enduire le corps de lotions ou de crèmes hydratantes. Ma salle de bain se remplit de nombreux produits de beauté, ce qui ne manquait pas de surprendre les invités qui se rendaient aux toilettes.

     Il y avait à quelques kilomètres de chez moi, une petite plage isolée de toute habitation. Je pris l’habitude de m’y rendre le matin en semaine pour profiter de la mer et du soleil en toute tranquillité. C’était aussi l’endroit idéal pour pratiquer un peu d’exercice. Il y avait plus loin d’énormes rochers en bord de mer sur lesquels je m’efforçai de courir comme un jeune cabri. 

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     Découvrir les plaisirs de la plage en solitaire fut un régal. Enduire d’huile bronzante mon corps lisse, exposer aux rayons du soleil mon ventre et mes fesses épilés stimula une terrible sensualité en moi. Hélas, bien qu’isolée, pas question de me mettre nu ou de porter un minuscule string sur cette plage. Quelqu’un pouvait me surprendre. De plus, des voyeurs se cachaient parfois dans les bosquets environnants.

        Selon mon habitude, j’utilisais des bikinis de femme en guise de maillot de bain. Leur coupe plus ajustée et leur matière plus fines me convenaient à merveille. Comme mes culottes, leur entrejambe très étroit cachait difficilement mon sexe. Lorsque j’écartai les cuisses, un observateur attentif pouvait discerner mes testicules épilés. De par leur matière extensible, en roulant ces bikinis sur mes hanches, ils se transformaient en de minuscules strings qui recouvraient juste la protubérance de mon sexe. Un peu à l’image d’un cache-sexe ou de ces microstrings d’aujourd’hui qui couvrent à peine la vulve des femmes. Si une personne s’approchait ou lorsque je me levais pour me baigner, je déroulais le maillot pour lui redonner l’apparence d’un maillot de bain décent. Ce qui aurait été impossible avec un string.

      Les bikinis de femmes sont souvent vendus avec des soutiens-gorges assortis. Que faire de ces hauts devenus inutiles ? J’eus alors une idée de génie. Je me mis à la couture pour cela. Un coup de ciseau, un peu de fil à coudre et une aiguille pour modifier la ficelle qui reliait les deux triangles du soutien-gorge et je me retrouvais avec deux minuscules cache-sexes. Un côté micro qui me ravissait. A l’achat, je choisissais donc ces bikinis en conséquence, prenant soin de prendre la plus petite taille existante. Je découvris ainsi qu’il existait du 34. De par leur soutien-gorge minuscule, j’achetai même des maillots de bain de fillettes. Idéal pour cette fonction !

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     Ma libido ainsi satisfaite, je pus me livrer à mes jeux de plage favoris. Rien à voir avec les pâtés de sable que font les enfants. Qui n’a pas enduit d’huile bronzante son sexe épilé et son anus lisse ne peut comprendre le plaisir qu’on en retire. De par la forte lumière du soleil, le moindre poil parasite se voyait sur mon ventre. J’en profitais donc pour m’épiler avec une pince. Des heures durant, je chassais les intrus à la recherche d’un sexe et d’un pubis toujours plus lisse. Ces instants passés sur la plage me déconnectaient complètement de mes turpitudes professionnelles. La tête vide, j’oubliais tout.

     Je fus surpris un jour par un jeune homme du pays. Certainement un voyeur qui m’avait vu dans mes œuvres. Un homme en string qui s'épile le sexe ne pouvait être qu'un gay à ses yeux. Il me proposa tout naturellement de me sucer. Etonné, j'acceptai par curiosité. De constater qu’il lui manquait des dents devant me fit sourire. Cela favorisa la fellation. A l'orgasme, je le prévins et au lieu de me finir à la main, il avala avec gourmandise le fruit de ma jouissance. On se revit à l'occasion par la suite. A chaque fois complice, il me donnait de plus en plus de plaisir au point que je finis par m'habituer à ses fellations.

      Vous le savez peut-être, les anciens prêtent des vertus au bain de siège à l’eau salée. Je me régalais donc de lavements du colon à l’eau de mer. Pour cela, les petites bouteilles de soda en plastique étaient idéales. Une fois remplie d’eau, j’introduisais le goulot dans mon anus et pressais fortement la bouteille. Par la pression ainsi créée, l’eau s’insinuait dans mon ventre et remontait délicieusement dans mes intestins. Je recommençais plusieurs fois ce manège avant de sentir mes entrailles se remplir complètement. Mon ventre ainsi gonflé par l’eau de mer, je me retenais le plus longtemps possible avant d’évacuer.  

      Me remplir le cul au maximum devint un plaisir sans cesse renouvelé. Je commandai pour cela  un gode gonflable. Sentir mon ventre se gonfler comme une baudruche prête à éclater, éjecter le gode de mon anus dilaté me rappela les excès de Mariam. Je suis certain qu’elle aurait aimé me voir ainsi. Mais cela ne me suffit pas. J’éprouvai aussi le besoin de martyriser cet anus qui en voulait toujours plus.

     Un de mes jeux préférés consistait à ramasser des galets très lisses et de plus en plus gros sur la plage. L’anus bien huilé et dilaté, j’en introduisais un maximum. Là aussi, je les gardais le plus longtemps possible. Mon cul s’animait sous leur poids et tentait vainement de les rejeter par réflexe. Marcher avec un tel poids dans le ventre, m’obligeait à serrer l’anus distendu, ce qui me procurait des sensations très particulières. Je devais contrôler en permanence mon sphincter. Sans compter que j'avais le derrière en feu tellement ces galets m'irritaient.

      Bien sûr, ces séances de bronzage très spéciales se terminaient à chaque fois par de fabuleuses masturbations. J’adorais voir mon sperme gicler en de minces filets blanchâtres dans la mer. Je découvris à cette occasion que les petits poissons du lagon étaient friands de mes jouissances. A la longue, ceux-ci me reconnurent. Je m’amusais de les voir tourner autour de mon sexe pendant que je me masturbais. Comme des poissons d’aquarium, ils attendaient impatiemment leur nourriture.

     De par ces plaisirs marginaux, je ne me rendais pas compte que je m’isolais de plus en plus des femmes. Et pourtant, je continuais à croire naïvement que l'une d’entre elles s'éclaterait ainsi avec moi...

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Mardi 28 juin 2 28 /06 /Juin 18:10

     Ce jour-là, j’étais allongé sur la plage, et comme d’habitude, à l’écart de quelques importuns. Le soleil caressait ma peau lisse, s’insinuait malicieusement entre mes cuisses enduites généreusement d’huile bronzante. Une douce langueur m'envahit et je m’endormis.

     Dans mon sommeil, j'eus envie de caresses sur mon ventre, de mains qui remontent mes cuisses, de baisers sur mon corps enfiévré, d’une bouche voluptueuse sur mon sexe chaud. Tout mon être réclama la sensualité d'une femme. Il me fallut ses mains, sa peau à goûter et son corps à consommer voluptueusement. J’eus besoin de cet échange fougueux et délirant de deux êtres qui s'accouplent en gémissant de plaisir.

00-20HMast2.jpg     Mon ventre trembla d'impatience. L’excitation se fit grandissante et m’enveloppa d’un désir encore plus  irrépressible. Je me retournai, m'étirai, m'offris au soleil comme je le ferai avec une femme. Ma main se coula sur mon ventre puis s’insinua entre mes cuisses. Je me concentrai sur le plaisir qui montait. Je jouai avec mon sexe dressé. Mes doigts s'activèrent, pétrirent les bourses, caressèrent la verge vibrante qui se gonfla de désir. Je continuai ma descente et glissai vers le sillon des fesses, à la recherche de la grotte secrète. Torturé d’envie, je déglutis. Mon corps s'agita. Je voulus à cet instant qu’une femme goûtât à la source de la vie. A cette idée, mes sens se déchaînèrent. J'eus faim d'un autre corps qui me libère de cette montée tumultueuse, de cette fusion incandescente. Mes sens emportés dans une tempête érotique, je brûlai sous mes caresses, à la recherche de la délivrance. Mon cœur battit plus rapidement.

     Soudain, une autre main me caressa aussi, me libéra de cette lave brûlante. Je n’osai pas ouvrir les yeux par crainte de voir s’évanouir mon plaisir. Une main me masturba vite, toujours plus vite tandis qu’une autre bien huilée s’enfonça en moi. Des doigts entrèrent, ressortirent puis entrèrent à nouveau dans l’anus. Hum, je brûlai littéralement. J’imaginai dix autres mains sur mon corps. Le plaisir monta irrésistiblement. Je fus emporté par sa violence. Pris de vertige, mon esprit ne fut plus maître de mes pensées. Non, pas tout de suite ; que cela dure encore, c'était si bon... Mais les mains allèrent trop loin transformant ma chair en une torche enflammée de plaisir. Irrésistiblement, l’orgasme arriva, surgissant des profondeurs de mon corps. Il me ploya sous sa violence. Mon ventre se tordit de plaisir. J'exhalai un râle continu, emporté par la formidable explosion de jouissance.

Equivoque-143.jpg     Assommé de plaisir, de longs instants passèrent avant de reprendre conscience. Je regardai autour de moi encore stupéfait par tant de plaisir. Etait-ce un mirage ? Aussi loin que portait mon regard encore trouble, rien que la plage, le soleil et la mer qui chantait. Et moi allongé sur le sable avec mon ventre lisse sur lequel s’étalait le fruit de ma jouissance.


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Samedi 2 juillet 6 02 /07 /Juil 17:43

     Mon corps écrasé de soleil, je somnolai sur la petite plage isolée en pensant aux merveilleux orgasme que me procurait ma libido. Une femme d’âge mure cherchant manifestement une place où s’allonger s’installa près de moi. Surpris dans mon intimité, je redonnai rapidement à mon bikini une forme plus convenable et me retournai sur le ventre. Quelle intruse ! Ne pouvait-elle pas me laisser tranquille dans mon coin ? Il y avait assez de place ailleurs. Elle étendit un paréo sur le sable, s’agenouilla dessus et dégrafa son soutien-gorge sans aucune gêne. Puis elle étala une lotion bronzante sur son corps en insistant sur sa poitrine. Du coin de l’œil, je regardai discrètement. Je vis distinctement ses mamelons se dresser lorsqu'elle les enduisit d'huile.

RD873419.jpg     Après quelques minutes à s'observer, on finit par se parler. Laure, c’est ainsi qu’elle se prénommait, me confia avoir remarqué mon ventre lisse : une façon élégante de me dire qu’elle m’avait surpris dans mes occupations intimes. En guise de réponse, je me remis sur le dos. Elle contempla alors avec curiosité mon ventre épilé dans le petit bikini de femme. Notre conversation porta sur mon corps intégralement lisse et sur mon aversion des poils. Je lui confiai que j’adorai m’exposer ainsi au soleil dans de minuscules maillots. Le temps passa à discuter et à nous baigner. Vers midi, je l’invitai à déjeuner à la maison.
 
     Laure était une touriste de passage. Mariée à un riche américain resté à New York, cette Française d’une quarantaine d’années était en vacances. Excités par le soleil et la mer, on fit l'amour comme deux jeunes amants. Ma nudité l'emballa. Son corps généreux aux seins lourds me captiva. Il se dégageait d'elle une sensualité troublante. Notre relation fut si agréable qu'elle quitta son hôtel et s’installa chez moi. Alors qu’elle était venue pour une quinzaine de jours, elle resta six mois. Elle s'absenta juste quelque temps pour rassurer son mari.

      Adepte du dieu soleil et de la mer, il ne se passa pas un seul jour sans que nous allions nous érotiser à la plage. Comme elle appréciait mon corps lisse et mes petits bikinis, elle s’acheta les mêmes et les roula comme moi en de minuscules strings sur ses hanches rondes. Elle adora surtout faire l’amour dans la mer, prise par devant ou par derrière avec l'eau qui s'infiltrait par tous les orifices. Par la suite, ce fut elle qui m’épila les zones intimes, une excitante découverte pour elle. Bien dans sa nouvelle peau d'amante, elle me répéta sans cesse être au paradis. Elle en oublia sa vie de citadine new-yorkaise.

Enceinte.jpg     Je remarquai qu’elle ne prenait aucune précaution particulière quand nous faisions l’amour. Je lui demandai si elle avait des enfants. Hélas non, son mari était stérile. Cela la rendait malheureuse d’ailleurs. Je pressentis chez elle une forte envie d’enfanter.

     Et ce qui devait arriver arriva. Après quelque temps, elle me confia, radieuse, être enceinte. En réaction, je l'invitai à se faire avorter. Maladroit que j'étais, je n'avais rien compris. Avoir un bébé ne pouvait être qu’un don du Ciel à ses yeux, surtout avec un mari stérile. Pensez donc, une femme de quarante ans qui n’avait jamais eu d’enfant. Mais comment allait réagir son mari ? Elle éluda ma question d'un geste ample du bras. J'embrassai son ventre avec toute la fougue d'un futur père qui n'a rien à se reprocher.

       Ce jour-là, on fit l'amour merveilleusement. Elle m'offrit tout ce dont une femme enceinte est capable. Etait-ce sa condition de femme enceinte ou la libido débordante des femmes de cet âge qui la rendait si gourmande ?

     Au fil des semaines passées ensemble, elle fit une fixation sur son bébé. Elle détailla les moindres réactions de son corps et consulta tous les gynécologues de la ville. Surtout ne pas perdre ce merveilleux don du ciel. Et moi, inconscient des conséquences de sa maternité, je la regardai s'épanouir. Elle était si heureuse qu'elle répandait le bonheur autour d'elle.

     A présent, son ventre rond se remarquait bien. J'avais plaisir à le caresser et à écouter les palpitations de l'enfant. Je redécouvrais le miracle de la fécondation. Au niveau de sa poitrine, j'assistais à une fantastique transformation. Ses seins se gonflaient, ses aréoles se boursoufflaient et les mamelons bourgeonnaient à vue d'oeil. Quel plaisir de les sucer. J'attendais impatiemment des montées de lait. Ah, boire le lait maternel comme un bébé serait une belle expérience...

     Hélas, les meilleures choses ayant une fin, il fallut nous séparer. Son mari la réclamait auprès de lui. J’accompagnai tristement Laure à l’aéroport. Notre séparation fut d'une tristesse démoralisante. Je la serrai dans mes bras avec toute l’énergie du désespoir sentant son gros ventre contre le mien. Elle pleura puis me sourit difficilement . J'en fus ému. On échangea nos adresses et nos numéros de téléphone. Elle promit de revenir, je promis de la revoir aux USA.

     Malheureusement, je n’eus plus jamais de ses nouvelles. Je profitai d'un voyage pour la voir à New York. Mais Laure n'habitait plus à l'adresse indiquée. Je frappai à toutes les portes de l'immeuble et montrai sa photo aux habitants. Personne ne se souvenait d'elle. Malgré mon insistance, on ne put me renseigner. J'en fus consterné.

     Je suppose que par crainte de me voir réclamer la paternité de l’enfant qu’elle portait, Laure préféra disparaître définitivement de ma vie. Aujourd’hui, elle coule certainement des jours heureux, partagés entre notre enfant et son mari. Je me consolai en concluant que j’avais été un géniteur ayant contribué à son bonheur. Mais je fus malheureux d'apprendre que quelque part aux USA vivait un enfant dont j’étais le père.  Heureux d’avoir pu donner un sens à la vie de cette femme, je ne sus jamais si c'était une fille ou un garçon...

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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