Après ces
laborieuses explications hormonales, entrons dans le vif du sujet. A l’idée de commencer mon traitement, mon esprit est obsédé en permanence par la pensée d'avoir une authentique poitrine de
femme. Et Yasmina, avec son coté pervers, possède le talent de stimuler ma libido en permanence. Hormis Rio et sa copine blonde, c’est la première fois qu’une femme me pousse aussi loin dans la
femellisation. Elle affole tellement mes sens avec son fantasme transsexuel qu’elle brise le peu de raison qu'il me reste.
J’ignore où cela me conduira à mon âge, mais l'envie d'avoir une poitrine
de femme est bien plus forte que tout. Décrire dans ce blog les changements de mon statut de mâle et l’évolution de mon état féminin me donne conscience d’entraîner avec moi des lecteurs qui
hésitent encore à franchir le pas. Mes réactions au début du traitement me semblant extrêmement importantes, j’en détaille les résultats au jour le jour.
Premier mois, Février
- Première semaine :
Vendredi soir 4 février 2011
Que du bonheur en ce vendredi soir ! Mon amie transsexuelle m’apporte les
hormones demandées alors que je m'y attends pas. J'avais dit à Amber, c'est ainsi qu'elle se prénomme, que c’était pour Yasmina, ce qui m’évitait de répondre à des questions embarrassantes. Après
son départ, je regarde les tubes rouge et blanc, un véritable trésor. Je lis et relis les notices d’emploi comme si c’était un roman d’aventure que j'allais enfin vivre. Je sens l’odeur du gel et
je m’en imprègne comme si c’était un parfum rare. Cette odeur accompagnera ma vie des mois durant.
J’ai envie d’appliquer Oestrogel tout de suite. Néanmoins, je préfère
attendre le lendemain car je ne suis pas en forme ce soir ; un coup de fatigue inquiétant. Il n’est pas question d’ajouter les effets de ces hormones à ma santé défaillante. Mais impossible de
résister à ce tube qui m’attend. Obsédé, je ne résiste pas. J’étale une réglette complète sur mon ventre et à l’intérieur des cuisses. A aucun moment je n’ai conscience de prendre un médicament,
mais plutôt d’appliquer une crème de beauté. Et l’odeur caractéristique du gel réjouit mes narines. C’est bien là le drame ! Irrésistiblement, je finis même par masser délicieusement mon sexe et
mes testicules avec jusqu'à en jouir tellement l'excitation est forte. Ca commence
plutôt mal par rapport à la prescription envisagée. J’imagine la réaction des gens de bons conseils : « Il est fou ce mec, on ne joue pas avec les hormones ! »
Le lendemain, Samedi 5 février
J’ai des érections nocturnes toute la nuit. Impossible de dormir car je suis
constamment réveillé par ma queue toute raide. Un authentique priapisme qui dure des heures. Serait-ce là la réaction d'oestrogel quand on le prend la première fois ?
Dans la journée, mes pensées convergent uniquement vers l’idée d’avoir des
seins. Impossible de faire autre chose ! Moi qui me sens l’âme d’un mâle, cela ne manque pas de m’impressionner. Rien d’autre ne m’intéresse au point de négliger mes affaires courantes. Au lieu
de travailler à mon bureau, je me connecte sur le Net et je lis tout ce qui s’écrit à ce sujet. Des mâles avec des seins hormonés, j’en trouve, mais je remarque surtout que je suis le seul à être
conditionné à ce stade par une femme. De vivre ma femellisation sous l’emprise d’une femme me rend différent des autres hommes. Le soir venu, j’applique une nouvelle réglette d’Oestrogel sur le ventre, les cuisses et un peu sur le
sexe. Je retrousse même le prépuce pour en mettre sur le gland tellement cela m'excite.
Troisième jour, Dimanche 6
Toute la nuit, je suis encore réveillé par des érections nocturnes.
Incroyable ! Au petit matin, ma verge m’apparait plus grosse que d’habitude, un peu comme si j’avais pris un aphrodisiaque. Je suis si excité que je me branle en faisant ma toilette. J’ai
plaisir à voir mon sperme gicler en jets puissants sur le carrelage. Alors que la jouissance aurait dû calmer mes sens, je reste obsédé par l’idée d’avoir des seins.
Je crois ressentir les premiers effets d’Oestrogel sur ma santé ; légers
maux de tête accompagnés de troubles de la vision et d’un manque de concentration. Envie de ne rien faire. Je ne pense qu’à manger.
Yasmina me demande de prendre mes mensurations : tour de poitrine 90 et
dessous de poitrine, 85/86cm. Je ne sais pas à quelle taille de soutien-gorge cela correspond. Il faudra que je me renseigne. Comme la carrure des hommes est plus large que celle des femmes, cela
donne toujours des mensurations impressionnantes. D’où l’importance de la profondeur des bonnets pour avoir une idée précise de la taille des seins. Une poitrine d’hommes hormonés
dépassent rarement des bonnets AB. Des seins de filles pubères autrement dit.
Coté sexe, je passe la journée à écrire sur mes sensations. Je suis
toujours aussi obsédé par l’idée d’avoir des seins. Une force inconnue m'y pousse. J’en profite également pour mesurer ma verge. Je suis dans une bonne moyenne, presque 18 cm en érection pour 14
cm de circonférence. Incapable de faire quoi que ce soit, je passe mon dimanche après-midi à épiler les poils rebelles sur mon pubis et sur mon sexe. Bizarre cette obsession constante de
voir mon sexe et mon ventre totalement lisse. Suite à de nombreuses séances laser, la pilosité a nettement diminué à ces endroits, mais ça repousse toujours, bien que les poils soient plus fins
et moins drus. Le soir venu, j’applique une nouvelle réglette d’Oestrogel avant de me
coucher.
Quatrième jour, Lundi 7
Les effets des hormones sont maintenant présents et mon travail s’en ressent.
Maux de tête permanents, esprit embrumé et trouble de la vision. Et la faim me tenaille en permanence. J’ai lu sur un site de Trans qu’il fallait se masser les seins pour accélérer le
développement de la poitrine. Alors je les masse.
Coté sexe, mon excitation de mâle est au paroxysme. Idem, pour mes
érections nocturnes qui ont encore perturbées ma nuit. Suite à une pulsion incontrôlable, je me masturbe. Mais la jouissance ne calme pas mes envies de féminisation.
J’applique à nouveau une réglette d’Oestrogel le soir en évitant cette
fois-ci mon sexe. Je crains pour ma virilité.
Cinquième jour, Mardi 8
J’ai l’esprit embrumé au réveil ; un peu comme un lendemain de fête. Maux
de tête et état vaseux handicapent sérieusement ma journée de travail. Difficile aussi de me concentrer intellectuellement sur une tâche. Il m’est impossible de conduire rapidement selon mon
habitude. Et pour cause, mon champ visuel se réduit à vu d’œil. Ma perception de l’espace change complètement. Je navigue dans du coton sans plus aucun repère. Bien moins précis dans ma conduite,
j’ai failli avoir un accident de voiture.
Après avoir étalé le gel sur mon ventre le soir, je me rends compte qu’il
fallait prendre une demi-réglette au lieu d’une complète. Cela explique certainement les effets secondaires ressentis. Je verrai à en parler avec Yasmina. N'oublions pas qu'elle est sage-femme et
connait assez bien les traitement hormonaux pour les femmes ménopausées, ce que les spécialistes appellent THS pour Traitement Hormanal Substitutif.
Sixième jour, Mercredi 9
Comme Yasmina est retournée dans son pays, je discute au téléphone de mes
réactions hormonales avec elle. Je lui raconte mon obsession au sujet de mes seins. Cela me prend la tête au point d’en devenir dingue. Je lui parle aussi des premiers effets perturbants
sur ma santé. Elle veut connaître les moindres détails puisque je l’ai rendu responsable des conséquences sur ma santé. Elle me conseille de diminuer la dose d’Oestrogel à ¾ de réglette au lieu
de rester à une réglette complète comme cela est prévu la deuxième semaine ; le temps de m'accoutumer. Lorsque je lui confis que j’applique aussi Oestrogel sur mon sexe, elle ne trouve rien à
redire. Elle ne semble pas faire cas de ma virilité.
Puis on parle de la prolactine, une hormone qui stimule la lactation chez les
femmes allaitantes. S’en suit alors un long échange d’idées tellement le sujet nous passionne. Elle veut que je prenne de la Dompéridone pour favoriser des montées de lait, ce qui accélérera
aussi le développement de ma poitrine. Je rétorque que cela ne sert à rien puisque les glandes mammaires ne sont pas encore développées. Elle me conseille alors d’utiliser une pompe aspirante sur
les mamelons. Cela stimulera les glandes mammaires. On s’interroge ensuite sur le meilleur moment d’associer Progestogel à Oestrogel. Je l’appliquerai la dernière semaine de chaque mois.
Le soir venu, je n’applique que trois quart de réglette comme convenu. Une
fois de plus, j’ai plaisir à masser mes attributs sexuels avec ce gel, mais sans dépasser la dose prévue. Je remarque combien mes testicules et ma verge sont traversés par de grosses veines. J'en
déduis qu'étaler le gel dessus accélère l'efficacité du gel. Et pourtant je sais qu’appliquer cette hormone directement sur mon sexe ne peut qu’handicaper mon impuissance et ma stérilité. Mais
c’est plus fort que moi, j’en ai envie.
Septième jour, Jeudi 10
Déjà une semaine que j’ai débuté ma cure hormonale. Je me réveille après
avoir passé une excellente nuit. Je n’ai pas eu d’érection cette nuit et je m’habitue aux effets négatifs liés à ma prise d’hormone. Est-ce le résultat d’une accoutumance ou le fait d’avoir
diminué la dose d’Oestrogel ? Par contre, je ressens toujours une grande fatigue.
Mon sexe se ramollit à vu d’œil, un peu comme du caoutchouc mou. Pas
bandant pour un homme viril. Une nouvelle pulsion me prend le soir en étalant Oestrogel sur mon ventre. Une envie subite d’en appliquer dans le rectum et sur la prostate. J’ai lu quelque part que
les œstrogènes s’opposent à la croissance de la prostate. Et comme je sens des petits problèmes de ce coté, je tente le coup. Vite, une réglette en plus que j’entre sans difficulté au fond du
rectum en me dilatant l’anus avec un spéculum. A cause de l’alcool contenu dans le gel, ça chauffe délicieusement mes entrailles. Ajouté au plaisir de l’interdit, cela m’excite encore plus.
Habituellement, je me serais masturbé, mais là, ma libido de mâle ne réagit pas.
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