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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • soumission travesti string feminisation transgenre
  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Lundi 30 mai 1 30 /05 /Mai 22:44

      Arriva inconsciemment la prochaine étape de ma féminisation. Les lavements, les sondes anales et les spéculums prirent beaucoup de place dans  nos jeux liquides. Etant infirmières, les filles disposaient de tous l'arsenal nécessaire à la clinique où elles travaillaient. Elles utilisaient pour mes lavements une poche en caoutchouc reliée  à une canule par un tuyau. La poche, une fois remplie de liquide, était fixée en hauteur. Le liquide se vidait alors dans mon colon par simple gravitation. Fixé au tuyau, il y avait un petit robinet qui permettait de doser le débit en fonction de la force des spasmes ressentis. La première fois, ce fut non seulement humiliant devant ces deux femmes, mais aussi très douloureux. Des crampes intestinales qui me rappelèrent d’horribles crises de coliques. Je remarquais combien Mariam s’excitait à me voir souffrir ainsi. Quel sadisme chez elle ! Néanmoins, je ressentis un plaisir étrange à sentir mon ventre se remplir de liquide.  Et quel bonheur de me vider ensuite, une merveilleuse délivrance. Par la suite, je devins un fervent adepte des lavements au point de ne plus pouvoir m’en passer. Cela me rappela les lavements hygiéniques de Maman à la différence que j’aimai me remplir toujours plus avec les deux filles.

 

     Mariam adorait aussi m’enfoncer des sondes anales le plus profondément possible dans le colon. De par son métier, elle suivait avec facilité le parcours de la sonde en tâtant mon ventre, une experte en la matière. Tandis que la sonde se frayait un chemin dans mes entrailles, elle me fixait d'un regard excité. Elle la reliait ensuite au robinet de la douche à travers un dispositif qui permettait à l’eau de circuler dans mon colon en un flot continu.

 

v1jvon5q     Elle me faisait parfois des lavements à base d’huile lorsque je ne répondais pas à ses envies. Ces lavements sont réputés punitifs parce que le colon évacue ce liquide visqueux durant des heures, voire des jours et tachait mes strings et mes pantalons. D’autres fois, elle insérait un spéculum qui laissait mon anus largement ouvert après un lavement, ce qui était très humiliant. Toujours ce côté sadique et pervers qu’elle pouvait extérioriser avec moi.

      Je fis un jour l’expérience d’un lavement bien particulier. Les deux filles avaient bu beaucoup de bière et s’étaient retenues le plus longtemps possible avant d’uriner. Tout en s’amusant, elles urinèrent dans le bocal habituellement réservé aux lavements. Je les regardai faire devinant enfin ce qui se tramait. Mariam enfonça la sonde dans mon anus et ouvrit le clapet. De sentir leur urine chaude me remplir les entrailles me procura des sensations inouïes. Afin de garder ce précieux liquide le plus longtemps possible, Mariam me ferma l’anus avec un plug gonflable. Impossible dans ces conditions d’évacuer trop vite. 

     Dénaturée par son métier, Mariam affabula sur un lavement particulier. Il nécessita pour cela une stérilisation parfaite des accessoires utilisés. Un jeu captivant, mais oh combien dangereux si on ne respecte pas une hygiène absolue. Elle me demanda d'abord de pisser pour vider complètement ma vessie tandis qu’elle et Fatou ne cessaient de boire de la bière pour mieux remplir la leur. Elle m'enfonça ensuite avec des gestes experts une sonde stérilisée dans la vessie. Elle brancha dessus une double tuyauterie puis l'enfonça dans sa propre vessie et celle de Fatou en écartant bien les vulves pour en dégager l’urètre. Etant toutes les deux infirmières, ce geste médical lui était habituel. Puis elle s'allongea alors sur le lit avec Fatou à son côté. Elle me demanda alors de m'allonger sur le tapis en contrebas d’elles deux. Par simple gravitation, je sentis l'urine de Maryam et de Fatou remplir doucement ma vessie vide. Waouh, quelle étrange sensation ! Je gardai ce précieux liquide dans mon ventre longtemps tellement cela m'excita. Marcher dans la rue avec l’urine de ces deux femmes dans mon ventre me procura une étrange émotion. Mais incapable de me retenir, je finis par pisser après des heures de rétention. Quel régal de voir ma verge pisser l’urine de Mariam et de Fatou...  

 

Photo domi97 015     Une autre fois Mariam voulut pratiquer un lavement bizarre. Je lui demandai des précisions. Elle ne répondit pas. Curieux et excité par tant de mystère, je me laissai tout de même faire. Elle lubrifia généreusement mon cul et enfonça la canule au maximum. Le bocal était rempli d’un liquide dont j’ignorais la composition. Comme d’habitude, ses gestes étaient très professionnels. Elle ouvrit ensuite le petit robinet et attendit tandis que le liquide s’écoulait dans mon intestin. Une odeur particulière se répandit dans la salle de bain.  Je tentai de deviner, peut-être de l’anis. Avec l’arrivée des premiers spasmes du colon, Mariam régula le débit en fermant plus ou moins le robinet. Après dix minutes, le boc à lavement fut complètement vidé. Plus de deux litres de liquide venaient d’être transvasés dans mon colon. Mon ventre gonflé telle une baudruche, des vertiges me prirent la tête.

     Je me sentis défaillir. Je me massai le ventre pour calmer les douleurs. Mais rien n’y fit, la tête me tourna encore plus et mon regard devint vitreux. Je voulus me vider pour retrouver un peu d’équilibre, mais Mariam refusa fermement. Comme d’habitude, elle plaça un plug spécial pour m’empêcher de me vider. Je me plaignis de malaises inhabituels. Elle me rassura. Ce ne fut qu’après une attente interminable qu’elle m’autorisa à me vider. Je fus incapable de me lever tellement je fus pris de vertige. Mariam m’aida à m’assoir sur la cuvette des toilettes puis elle me laissa seul pendant que je me vidais.  J’eus encore la force de me laver avec la pomme de douche puis je m’écroulai sur le carrelage. J’eus beau m’asperger la tête et laisser l’eau couler sur mon corps, rien n’y fit.

6a0borvu.jpg     C’est dans cet état que Mariam me trouva. Elle ferma l’eau du robinet de la douche et au lieu de s’inquiéter de mon état, elle s’empara de mon cul et le dilata avec une facilité déconcertante. Elle y entra ses doigts bien lubrifiés puis une main entière tellement mon anus était décontracté. Inconscient, je me laissai faire tout en gémissant légèrement. Dans les brumes incontrôlables de mon cerveau, je sentis sa main fourrager dans mon ventre. Mariam continua son excitante besogne. Finalement, le liquide séminal s’écoula de ma verge molle. Je ne ressentis aucun plaisir à jouir ainsi si ce n’était la main de Mariam qui fourrageait dans mon cul largement ouvert. Pour finir, elle me demanda de boire le sperme qui s’en écoula. J'en fus incapable...

     En fait, Mariam avait mélangé à l’eau du lavement une demi-bouteille d’apéritif anisé. Non seulement l'alcool avait réagi plus rapidement que si je l'avais bu par les voies naturelles, mais par ce biais, j'en avais absorbé bien plus que je n'en supportais habituellement.  Quand je bois, mon instinct me dicte d’arrêter avant l'ivresse. Mais la, aucun réflexe de ce genre d’où une réaction beaucoup plus violente...


Par Microstring - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Mardi 31 mai 2 31 /05 /Mai 19:34

     Les filles fantasmèrent étrangement sur ma féminisation et plus étrangement encore sur ma poitrine, Fatou en particulier. Elle adora exciter mes mamelons, les pincer, les sucer et tirer dessus pour les allonger, une fixation sur mes seins qui m’amusa au début. Elle acheta une pompe aspirante pour cela. Hormis les mamelons qui pointaient en permanence, le résultat ne fut pas concluant à ses yeux. C'est alors qu'elle me suggéra de prendre des hormones féminisantes. Mariam en rajouta : « Ce serait chouette d’avoir des seins de femme avec une queue de mec ! » Face aux délires des filles, l’idée m'amusa. Hum, une vraie poitrine de femme à la place de mes pectoraux ; le summum de la féminité pour un homme. Une fois de plus, je ne me rendais pas compte de cette escalade féminine voulue par ces deux femmes.

     Néanmoins, je résistai. Je précisai que cela aurait des conséquences néfastes sur ma vie et ma santé. On ne joue pas avec les hormones. Modifier biologiquement l’anatomie de mon corps me sembla une aventure trop hasardeuse. D'autant plus qu'on dit que les hormones féminisantes rendent stérile et impuissant. Fatou insista. Etant infirmière, elle connaissait tout des hormones féminines, elle gérerait facilement cet aspect. Après mûre réflexion, je refusai. Je voulais rester un mâle qui exprime toute sa vigueur, ne serait-ce que pour l’enfanter le moment venu. Me féminiser devait rester un jeu. Préserver mon statut de mâle face à ces deux femmes représentait déjà un sérieux challenge. Sot que j'étais, j'ignorais encore tout de leur détermination à mon égard.

DSC00013.jpg     Quelque temps après, je ressentis des troubles de santé. Malaises, fatigue et vertige devinrent mon lot quotidien. Je craignis aussi pour mon cœur à cause de palpitations anormales. De plus, je ne me donnais plus sexuellement avec le même entrain. Je m'inquiétai de tant de passivité face à leurs assauts sexuels. Les filles me rassurèrent gentiment sur ma santé déficiente. Je consultai finalement un médecin. Septique face à mes symptômes, il compléta son diagnostic en demandant une analyse de sang. L'analyse sanguine prouva un taux de testostérone anormalement bas ainsi qu'un taux d'œstradiol, une hormone féminine, étrangement élevé. Il me prescrivit donc des hormones mâles pour compenser ce déséquilibre.

Equivoque-038A.jpg     Lorsque j'en parlai aux filles, elles m'avouèrent incorporer discrètement des hormones féminisantes à ma nourriture. Les malaises ressentis n’étaient que la conséquence des effets secondaires de ces hormones que j’ingurgitai en toute ignorance. Et les douleurs dans ma poitrine correspondaient à mes seins qui se développaient. Je sentis effectivement à la palpation une petite protubérance naître sous chaque mamelon.

     Tout en caressant mes seins naissants, Fatou s’excusa d’avoir abusé de ma confiance. C’était plus fort qu’elle, une pulsion qui dépassait sa raison. Et Mariam la poussait continuellement à agir dans ce sens.  Entre-temps, mes seins continuèrent à se développer. Quelle sensation étrange de me sentir pousser une poitrine de femme ! Cela fit le bonheur de Fatou, même si ma libido s’en trouva perturbée. Elle insista par la suite pour que je continue à prendre des hormones féminisantes. Partagé entre l’idée de lui plaire et la raison du mâle, j’hésitai longuement. Seule concession à ses envies, j'acceptais de prendre des compléments alimentaires, du Pueraria Mirifica précisément. Ce que j'ignorais alors, c'était que cette plante qui contenait des oestrogènes commençait inconsciemment à conditionner mon esprit vers toujours plus de féminité...


Par Microstring - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Mardi 7 juin 2 07 /06 /Juin 18:38

     Fatou m’offrit un jour une paire de talon aiguilles. Quelle ne fut pas ma surprise, moi qui croyais que le travestissement ne l’intéressait pas. Une fois de plus, j’entrai dans le jeu des filles. Impossible de leur résister tellement elles m’excitaient avec leurs fantasmes. Haut perché sur ces escarpins, l’effet fut saisissant. Mariam jalousa mes longues jambes de mannequin. Elle me proposa des bas nylon pour que l’effet soit encore plus féminin. Quelle étrange impression de me voir face au grand miroir de la chambre. Un homme nu, perché sur d'immenses haut-talons, vêtu d'un string de femme avec des jambes gainées de nylon et des cuisses fuselées. Ma démarche hésitante par manque d’habitude amusa beaucoup les filles. Mais comment font les femmes pour marcher avec de telles chaussures ?

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      Sans m'en rendre compte, les filles m’enfermaient dans un système qui stimulait ma libido féminine en permanence. Je finis par ne plus me rendre compte de cette féminisation tellement leurs délires exacerbèrent mes sens. Je ressentis un plaisir érotique à sentir mon corps épilé, à voir mon sexe lisse dans de délicates dentelles, à ressentir le contact des bas sur mes jambes et la courbure de mes chevilles dans des hauts-talons. Tout cela pour le plaisir de leur appartenir et sans pour autant renoncer à mon statut de mâle. A les entendre, je me prêtais merveilleusement à leurs fantasmes de féminisation. Contrairement aux arguments avancés par les moralisateurs de tout poil, il ne fut jamais question de justifier un quelconque dérangement sexuel ou une névrose psychique. Je me sentais parfaitement bien dans ma nouvelle peau d’homme féminisé tandis que les filles m'encourageaient à continuer dans cette voie.

    Leur inclination sexuelle ne consista pas à me déguiser en femme comme certains lecteurs pourraient le supposer. Heureusement, car je n’éprouvai aucune excitation particulière à me travestir. Oh, il y eut bien des séances de maquillage ou d’essayage de lingerie, des jeux sommes tout normaux dans le cadre de la féminisation d’un homme. Mais hormis quelques accessoires indispensables, Fatou comme Mariam n’essayèrent jamais de me travestir ou de me faire sortir vêtu en femme.

029frA.jpgAh si, juste une fois. Un pari stupide perdu sous l’emprise d’une soirée trop arrosée. Mariam se fit prêter les accessoires féminins nécessaires à ma transformation par son ami travesti. Maquillé et "perruqué", affublé d'un soutien-gorge rembourré, habillé d’une minijupe qui laissait voir mes fesses et perché sur d'immenses hauts-talons, je me trouvais ridicule ainsi travesti. Je n’avais rien d’une femme et tout d’un travelo avec mon physique de mec. Par contre, les filles furent follement émoustillées en me voyant accoutré comme une prostituée sexy. Mais qu’est-ce qui motive les travestis qui eux justement s’excitent à affronter le public ainsi vêtu ? Gêné, voire humilié par la situation, je me fis tout petit.

      Je fus ensuite contraint à me prostituer pour respecter mon pari. Je ne vous cache pas que cette idée stimula mes sens : vivre l’interdit sexuel avec toute l’angoisse qui s’y rattache. Toucher de l’argent en échange d’un acte sexuel provoqua une tension particulière ou angoisse, humiliation et excitation se mélangèrent au point d'affoler mes sens. On repéra un coin sombre dans une rue tranquille de la ville. Puis les filles m’observèrent tapiner depuis leur voiture garée plus loin. Une fois seul, je ne fus pas rassuré. L’air froid de la nuit se glissa sournoisement sous la minijupe. Et comme je ne portais pour tout dessous qu’un minuscule string, mes fesses furent fus vite glacées. Je fus surpris par le bruit de mes hauts-talons en marchant, ils claquaient si fort dans le silence de la nuit. Que d’émotions, de tension nerveuse, de crainte et d'excitation. Je pensai aussi aux flics qui me surprendraient dans cette tenue s’ils venaient à passer. Quelle honte aussi d'être vu ainsi dans un rôle qui n'était pas le mien habituellement !

CrDs-021.jpg     Des jeunes gens passèrent sur le trottoir d’en face. Ils m’insultèrent copieusement. Inutile de répondre ! Vu la situation, mieux valait remballer ma fierté de mâle vexé. Inutile aussi de prendre le risque de me faire tabasser. Coup sur coup, deux hommes m’accostèrent par la suite. Mon cœur cogna à tout rompre. Quelle angoisse ! Mal à l'aise, je dus négocier des caresses avec eux, moi un homme passionné par les femmes. Le premier, un vieux, recherchait un jeune travesti androgyne pour le sucer. Il avait été attiré par mes longues jambes, mais en constatant mon âge avancé, il n’insista pas. Ouf ! L’autre voulut me sodomiser. Il m’expliqua qu’un cul l’excitait davantage qu’une chatte de femme béante . Cela serrait bien mieux sa queue. De plus, on pouvait tout faire avec des travestis, contrairement aux femmes coincées par leur pudeur. Finalement, j’annonçai un tarif si élevé qu’il se découragea. Il partit en me traitant de PD. Que répondre ?

     Je fus stupéfait quand une femme m’aborda en voiture. D'un âge mature, elle me demanda sans complexe si j’étais actif et si j'acceptais d’être sodomisé. Elle fantasmait visiblement sur les travestis. Elle voulut voir ma queue avant de faire affaire. Je montai dans sa voiture et soulevai ostensiblement ma minijupe dans la pénombre du véhicule. Quand elle vit mon sexe gonflant le petit string que je portais, elle s’emballa. Elle effleura d’une main mon bas-ventre et glissa un doigt  alerte dans mon string. Mon pubis lisse lui plut. On partit donc dans sa voiture. En passant devant mes amies ghanéennes, je m'amusai de leurs regards stupéfaits.

     Quand je revins le lendemain matin, je montrai fièrement aux filles les mille francs gagnés*. Elles voulurent tout savoir de cette folle nuit. Je me gardai de leur dire combien j’avais apprécié cette femme mature malgré son âge avancé. Un rien perverse, elle m’avait gardé pour la nuit et pris sauvagement par-derrière avec un godemichet. Une vraie salope qui avait bien  joui. En me ramenant chez les filles, elle m’avait fait promettre de nous revoir.

     Mariam s’extasia à la vue de l'argent si facilement gagné. Tandis qu’elle me suggérait de recommencer l'expérience, je songeais à cette femme. Fallait-il se prostituer pour rencontrer des femmes qui se passionnent pour les travestis ? Par contre, Fatou n’apprécia pas. Elle se sentit trompée. De m'être prostitué en femme la rendit jalouse. Cette aventure laissa des traces indélébiles dans son esprit. Il ne fut plus jamais question de recommencer.

* C’était avant l’Euro.


Par Microstring - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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