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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
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  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Samedi 5 mars 6 05 /03 /Mars 15:39

     Entre quatre et cinq ans, j’éprouvais l’envie de provoquer mon père. Enfant au caractère difficile, je vivais en fait mon complexe d’Œdipe. Attiré par ma mère, je rejetais mon père tandis que s’affirmait mon identité de genre masculine. Seul m’importait de conquérir Maman, un peu par la faute de mon père trop souvent absent. Néanmoins, celui-ci remplit son rôle en me détachant d’elle puisqu’il m’envoya en pension. Le rôle d'un père est d'éloigner son fils de sa mère, de lui permettre de dépasser l'amour maternel en grandissant et d'aimer d'autres femmes. Ce fut sa manière de le faire que contesta Maman. On ne coupe pas aussi brutalement les liens intimes qui unissent un fils à sa mère. Les garçons à cet âge sont admirateurs de leur mère, la première femme de leur vie. Ils compareront durant des années les autres femmes qu'ils rencontrent à ce symbole féminin. L'absence d'un père peut justement interférer sur le comportement futur du garçon.

 

     N’ayant donc comme référence familiale que Maman, passer de l’état de garçon à celui de fille parce qu’elle me désirait ainsi me sembla normal. Et comme je l’aimais follement, j’acceptai tout d’elle pour mieux lui plaire, pour mieux la conquérir devrais-je dire. Bien trop jeune pour comprendre une telle situation, jouer le rôle de sa fille ne me gêna donc pas. Et être le fils de mon père encore moins. Malgré les détournements féminins de Maman, je me sentis garçon dans l'âme.

 

petit garçon en fille     Certes, Maman interféra sur ma condition de petit garçon. L’impact de ses travers féminins risquait de modifier plus tard la perception de mon identité masculine. Néanmoins, je trouvai normal cette féminisation et je n'en ressentis aucun malaise. Même petit, un enfant devine les interdits sociaux bien qu'il ne les comprenne pas encore. Il sait d’instinct ce qui est mal, ce qu’il ne faut pas faire. C’est pour cela que les enfants mal dans leur peau se cachent pour vivre leur sexualité. Moi, je vivais au grand jour la fille que Maman désirait. Comment mieux la conquérir ?

 

     Découvrir ce qu’il y avait de féminin en moi m’était plutôt agréable. Un enfant unique qui voit sa mère se maquiller a naturellement envie qu’elle le maquille aussi. Il en est de même de sa lingerie et de ses vêtements. Quel est le petit garçon qui n’a jamais joué avec les chaussures de sa mère ou flashé sur sa lingerie ? Et n’oublions pas ; à cause des absences de mon père, mon épanouissement dépendait uniquement de Maman. Contrairement à lui, elle comprenait mes angoisses d’enfant et me rassurait quand j’avais des craintes. Dans ces conditions, impossible de résister aux câlins de Maman.

 

     Malgré ses débordements féminins et bien que je continue à la téter, j’évoluai comme tous les garçons. Je sentis en moi le désir ardent d’être un homme comme mon père, un homme capable de gagner sa vie, d’aimer une femme, de fonder une famille et d’élever ses enfants. Je trouve un peu attardé les clichés sur l’éducation des enfants ! Pourquoi se cacher de nos élans naturels ? Pourquoi faut-il que les filles soient habillées en rose et les garçons en bleu ? Parce qu’on offre depuis toujours une poupée à une fille et une voiture à un garçon ? Chaque enfant fait les choses qu’il aime et non celles qu’aiment ses parents. Choisir entre Bambi et Cendrillon lui appartient.

 

petite garçon     En fait, par cette relation extravertie, Maman me permit de visiter l’autre sexe. En chaque homme, il existe une part de féminité. Pouvoir la vivre sans contrainte favorisa mon épanouissement. Cette féminisation maternelle et les aléas de la vie qui suivirent marquèrent mes comportements sexuels ultérieurs. Je suis reconnaissant à Maman de m’avoir ouvert l'esprit dans ce sens. Grâce à elle, je n'éprouve aucun complexe sexuel aujourd'hui.

 

     Et oui, je trouve aberrant que la société nous divise en deux sexes que tout oppose. Laisser s'exprimer la part de féminité qui cohabite en chaque homme ne peut que favoriser la compréhension entre les deux sexes. Pourquoi réprimer  le penchant féminin des hommes. A cause de préjugés ringards ou de religions dépassées ? Nous sommes tellement assujettis au Système que nous refusons de l’admettre. Après les lois sur l’égalité des femmes et la reconnaissance homosexuelle, il reste maintenant aux hommes épris de féminisation à gagner ce difficile combat. A nous d’abolir les tabous imposés par une société coincée dans ses préjugés sexuels afin de mieux respecter la nature humaine.

 

     Si ce blog permet une réflexion à ce sujet, j’aurai réussi là où ont échoué beaucoup d’autres hommes…

 

Par Microstring - Publié dans : UNE JEUNESSE DOREE
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Jeudi 10 mars 4 10 /03 /Mars 15:17

     Après cet interlude existentiel, revenons à l’évolution sexuelle du petit garçon amoureux de sa mère.

 

chateau-wikipedia-800PX--1.JPG     Le pensionnat où m’envoya mon père se trouvait dans la région parisienne à une nuit de train de la maison familiale. Le TGV n’existait pas encore. Par un beau dimanche de septembre, Maman m’accompagna pour cette première rentrée scolaire. Dans le train, j'eus envie de téter Maman pour calmer mes angoisses. Elle me comprit. On s'enferma dans le petit espace des toilettes et je vidais ses seins : "Allez bois mon fils, c'est peut-être la dernière fois" me dit-elle tristement. En arrivant, on visita le domaine où j'allai résider : un magnifique château 18ième paré dans le hall d’entrée d’un double escalier en marbre blanc. Derrière, un immense parc avec un grand lac, dimmenses statuts en pierre de taille et des allées de gravier blanc. C’était beau et impressionnant, mais cette splendeur d’un autre temps ne me consola pas. De savoir que Maman me quitterait me rendait malheureux.

 

     Nous nous promenâmes tristement dans le parc en admirant les arbres majestueux. Pensif, je me concentrai sur le crissement du gravier sous mes pas. Soudain, Maman se cacha dans un bosquet isolé pour rompre la tristesse qui nous envahissait. Je la trouvai facilement dans sa cachette. Sans que je m’y attende, elle dégrafa son corsage et prit un sein dans sa main : « Bois mon chéri, jusqu’à la dernière goutte. Demain tu en seras privé ». Sans hésiter, je me penchai vers sa poitrine et j’avalai le précieux nectar jusqu’à le sentir couler au fond de mes entrailles de gosse. Un dernier don que Maman m’offrait avant de me quitter. Ce lait maternel dont je serai dorénavant privé à cause d’un père intransigeant.

 

     L’heure de nous quitter approcha. Mon dieu que la séparation fut difficile, une séparation pleines d’effusions. On pleura beaucoup tous les deux. Je m’agrippai à Maman avec insistance. Un surveillant vint nous séparer. Je me débattis. Quel déchirement ! Comme dans un film, nos regards ne se quittèrent plus jusqu’à ce qu’elle soit hors de ma vue. Encore aujourd’hui, je me souviens de cette horrible journée. Rien ne put me consoler de cette séparation. Au cours des jours suivants, je fus complètement déstabilisé. Je pleurai sans cesse l'absence de Maman. Seul le contact de son corps et ses seins laiteux pouvaient me consoler. Je voulus la revoir à tout prix tellement je fus malheureux.

 

 

     Durant des jours et des nuits, l’idée de la rejoindre me tarauda l’esprit. J’échafaudai alors un plan avec toute l’inconséquence d’un petit garçon de sept ans. Dans mon livre de géographie, il y avait une carte routière de la France. Paris-Toulouse, une route marquée en rouge, la nationale 20. Entre-temps, Maman avait quitté son Alsace natale pour s'installer dans le Sud-ouest. J’étudiai l’itinéraire et retint de mémoire le nom des grandes villes à traverser. Châteauroux, Limoges, Cahors, etc. Totalement inconscient, la distance ne me sembla pas un obstacle malgré les sept cents kilomètres qui me séparaient de Maman. Je pensai naïvement qu’en volant des bicyclettes au cours du 'voyage' et en faisant du stop en voiture, j’y arriverai. Il y aurait certainement des granges dans la campagne environnante pour dormir la nuit. 

panneau-A20A.jpg

 

     Enfin, je me décidai. La nuit venue, tandis que tout le monde dormait dans le grand dortoir, je pris mon sac rempli de victuailles accumulés en cachette depuis des semaines puis je fis le mur, comme on disait à l’époque. Perdu au milieu de la nuit, la ville me sembla immense. Qu’il fut difficile de m’orienter face aux multiples panneaux indicateurs sur les routes. Où était la nationale 20 tracée en rouge dans mon livre de géographie ?

 

     De plus, je n’avais pas prévu que la France entière se lancerait à ma recherche. Et comme j’étais vêtu de l’uniforme bleu du pensionnat, on me repéra facilement. Deux jours après, les gendarmes me retrouvaient. J’avais volé une bicyclette et pédalé des heures durant. Puis vaincu par la fatigue et transi de froid, je m’étais endormi sous le porche d’un immeuble dans une ville inconnue.

 

     Quel scandale quand on me ramena au pensionnat entre deux gendarmes ! On me sermonna méchamment et mon père fut convoqué. Il me gronda vertement. Je répondis obstinément que je voulais revoir Maman. Enervé par mon insistance, il me gifla. Ma fugue ne modifia pas sa décision, on me garda au pensionnat. Par contre, je devins un héros pour mes copains de classe. Même les grands me regardèrent respectueusement. Puis avec le temps, je m’habituai à ma nouvelle condition "d’orphelin". Je ne revis Maman qu’aux vacances de Noël trois mois plus tard...


A suivre

 

Par Microstring - Publié dans : UNE JEUNESSE DOREE
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Samedi 19 mars 6 19 /03 /Mars 04:53

     Je vous laisse imaginer mes retrouvailles avec Maman aux vacances de Noël. Près de trois mois d’une difficile séparation venaient de s’écouler. Je la reconnus immédiatement au milieu de la foule sur le quai de la gare. Elle rayonnait. Mon dieu qu’elle était belle dans son manteau d’hiver avec ses longs cheveux noirs et ses immenses yeux couleur myosotis. Elle m’attendait majestueuse parmi tous les gens pressés. Inutile de vous préciser que je me jetais avec fougue dans ses bras. Incapable de prononcer un mot, je ne me lassais pas de la regarder, d’admirer son visage et d’écouter sa voix chaude. Sentir sa poitrine généreuse contre mon visage réveillait tant de souvenirs. Selon son habitude, mon père était absent.

 

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     Cela se passa le soir même après son bain. Tandis que je retrouvais ma chambre d'enfant et mes jouets, Maman entra subrepticement. Vêtue d’un peignoir blanc, elle s’approcha et me serra dans ses bras tout à la joie de me revoir à la maison. En se penchant, son peignoir s’entrouvrit et dévoila un sein. Ce fut un réflexe naturel, l’instinct de l’enfance. Je pris le sein dans ma bouche et le tétai. Surprise, Maman eut un bref mouvement de recul. Mais après cette légère hésitation, elle s'abandonna à mes lèvres gourmandes. Quel régal de sentir à nouveau le mamelon se durcir dans ma bouche et de téter son sein nourricier. J’aspirai gloutonnement. Hélas, la source était tarie. Déçu, je changeai de sein et j’aspirai à nouveau. Rien non plus !  Finalement, Maman pressa son sein d’une main comme seule savent le faire les mères. Quelques gouttes du lait maternel s'écoulèrent alors dans ma bouche, sans plus.

       Déçu, je demandai alors à Maman pourquoi elle me privait de son lait. Elle répondit qu’elle n’avait plus de lait parce que j’avais cessé de la téter depuis des mois. La source était tarie. Face à ma déception, elle me demanda de patienter quelques jours, le temps qu'elle favorise de nouvelles montées de lait. Pour cela il fallait que je tète souvent ses seins vides. Elle même se sucerait les seins à longueur de journée et prendrait des médicaments pour faire venir le lait plus vite. Au cas où elle n'arriverait pas à réamorcer son lait, elle appellerait ma tante en renfort me dit-elle en plaisantant. Celle-ci allaitait ses deux filles et habitait une maison voisine. Satisfait de sa réponse, je n'insistais plus. En moins d'une semaine, Maman eut  à nouveau des montées de lait. Oh, ce n’était plus l’abondance d’antan, mais au moins je retrouvais le goût de mon enfance.

       A chaque jour qui passait, sa poitrine produisit un peu plus de lait. On reprit donc nos habitudes maternelles. Plusieurs fois par jour, je tétai Maman. Elle dégrafait son corsage d’un geste adroit, en sortait un sein, prenait le mamelon entre deux doigts pour le faire ressortir davantage puis m’invitait à téter. On retrouva naturellement la complicité qui nous unissait depuis ma naissance. A ses yeux, j’étais resté le petit garçon qu’elle avait quitté trois mois auparavant. Et pourtant à sept ans, les conversations avec mes copains de classe m’avaient affranchi. Je vous laisse imaginer les discussions dans un pensionnant où il n’y avait que des garçons. Cette fois-ci, je ne profitai pas uniquement de me nourrir, mais aussi du plaisir de téter une poitrine que je voyais autrement...

 

      Notre premier bain fut un vrai bonheur. Bien que j'eusse sept ans, Maman me lava selon son habitude. Elle s’émerveilla de voir combien ma petite verge avait grossi. Comme d'habitude, elle retroussa le prépuce et lava le gland. Je me laissai faire en avançant le bassin pour lui faciliter le travail. Elle prit ma verge tendue, l’embrassa et s’amusa de mon érection : "on dirait un petit homme maintenant ! " Mon sexe se raidit encore davantage sous la chaleur de sa bouche. J’en éprouvai un certain plaisir. Pour finir, elle enfila sur mes hanches une petite culotte de fille achetée pour la circonstance. Je retrouvai enfin la paix après ces horribles mois passés au pensionnat.

 

v1jvon5q     Dans les jours qui suivirent, je redécouvris sa phobie de la propreté corporelle. En tant que sage-femme, j’eu droit à un lavement intestinale dans les règles de l’art. D’après elle, mon séjour au pensionnat m’avait rendu négligent de ce coté. Il fallait décongestionner l’intestin de toutes les saletés que j’avais mangé là-bas. Comme après chaque lavement suivit une impression de calme. On dirait aujourd’hui qu’on se sent Zen.

 

      Avant de m’endormir, Maman me raconta l’histoire de cette fillette qui refusa de porter des culottes alors que sa maman avait cessé de lui mettre des couches. Comme elle contrôlait parfaitement ses besoins naturels, la fillette assimila les culottes à des couches de bébé. Il fallut lui expliquer que les grandes filles portent toujours des culottes: « Comme toi » ajouta Maman. On en ria ensemble. C’est bien plus tard que je découvris que des femmes n'en portaient pas sous leur robe et que des hommes s’excitaient avec. Mais là, c’est une autre histoire. Puis on se partagea le lait de sa poitrine. Je tétai son sein gauche, le sein du cœur, tandis qu’elle but à son sein droit. Rasséréné, j’en oubliai le pensionnat et sa vie de cauchemars.

 

      Hélas, les meilleures choses ont toujours une fin. Les vacances d’hiver arrivant à leur terme, il fallut reprendre le chemin du pensionnat. Cette fois, j'y allai seul...

A suivre


Par Microstring - Publié dans : UNE JEUNESSE DOREE
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