Partager l'article ! Une jeunesse dorée, 8, LES RETROUVAILLES: Je vous laisse imaginer mes retrouvailles avec Maman aux vacances de No ...
Je vous laisse imaginer mes retrouvailles avec Maman aux vacances de Noël. Près de trois mois d’une difficile séparation venaient de s’écouler. Je la reconnus immédiatement au milieu de la foule sur le quai de la gare. Elle rayonnait. Mon dieu qu’elle était belle dans son manteau d’hiver avec ses longs cheveux noirs et ses immenses yeux couleur myosotis. Elle m’attendait majestueuse parmi tous les gens pressés. Inutile de vous préciser que je me jetais avec fougue dans ses bras. Incapable de prononcer un mot, je ne me lassais pas de la regarder, d’admirer son visage et d’écouter sa voix chaude. Sentir sa poitrine généreuse contre mon visage réveillait tant de souvenirs. Selon son habitude, mon père était absent.
Cela se passa le soir même après son bain. Tandis que je retrouvais ma chambre d'enfant et mes jouets, Maman entra subrepticement. Vêtue d’un peignoir blanc, elle s’approcha et me serra dans ses bras tout à la joie de me revoir à la maison. En se penchant, son peignoir s’entrouvrit et dévoila un sein. Ce fut un réflexe naturel, l’instinct de l’enfance. Je pris le sein dans ma bouche et le tétai. Surprise, Maman eut un bref mouvement de recul. Mais après cette légère hésitation, elle s'abandonna à mes lèvres gourmandes. Quel régal de sentir à nouveau le mamelon se durcir dans ma bouche et de téter son sein nourricier. J’aspirai gloutonnement. Hélas, la source était tarie. Déçu, je changeai de sein et j’aspirai à nouveau. Rien non plus ! Finalement, Maman pressa son sein d’une main comme seule savent le faire les mères. Quelques gouttes du lait maternel s'écoulèrent alors dans ma bouche, sans plus.
Déçu, je demandai alors à Maman pourquoi elle me privait de son lait. Elle répondit qu’elle n’avait plus de lait parce que j’avais cessé de la téter depuis des mois. La source était tarie. Face à ma déception, elle me demanda de patienter quelques jours, le temps qu'elle favorise de nouvelles montées de lait. Pour cela il fallait que je tète souvent ses seins vides. Elle même se sucerait les seins à longueur de journée et prendrait des médicaments pour faire venir le lait plus vite. Au cas où elle n'arriverait pas à réamorcer son lait, elle appellerait ma tante en renfort me dit-elle en plaisantant. Celle-ci allaitait ses deux filles et habitait une maison voisine. Satisfait de sa réponse, je n'insistais plus. En moins d'une semaine, Maman eut à nouveau des montées de lait. Oh, ce n’était plus l’abondance d’antan, mais au moins je retrouvais le goût de mon enfance.
A chaque jour qui passait, sa poitrine produisit un peu plus de lait. On reprit donc nos habitudes maternelles. Plusieurs fois par jour, je tétai Maman. Elle dégrafait son corsage d’un geste adroit, en sortait un sein, prenait le mamelon entre deux doigts pour le faire ressortir davantage puis m’invitait à téter. On retrouva naturellement la complicité qui nous unissait depuis ma naissance. A ses yeux, j’étais resté le petit garçon qu’elle avait quitté trois mois auparavant. Et pourtant à sept ans, les conversations avec mes copains de classe m’avaient affranchi. Je vous laisse imaginer les discussions dans un pensionnant où il n’y avait que des garçons. Cette fois-ci, je ne profitai pas uniquement de me nourrir, mais aussi du plaisir de téter une poitrine que je voyais autrement...
Notre premier bain fut un vrai bonheur. Bien que j'eusse sept ans, Maman me lava selon son habitude. Elle s’émerveilla de voir combien ma petite verge avait grossi. Comme d'habitude, elle retroussa le prépuce et lava le gland. Je me laissai faire en avançant le bassin pour lui faciliter le travail. Elle prit ma verge tendue, l’embrassa et s’amusa de mon érection : "on dirait un petit homme maintenant ! " Mon sexe se raidit encore davantage sous la chaleur de sa bouche. J’en éprouvai un certain plaisir. Pour finir, elle enfila sur mes hanches une petite culotte de fille achetée pour la circonstance. Je retrouvai enfin la paix après ces horribles mois passés au pensionnat.
Dans les jours qui suivirent, je redécouvris sa phobie de la propreté corporelle. En tant que sage-femme, j’eu droit à un lavement intestinale dans les règles de l’art. D’après elle, mon séjour au pensionnat m’avait rendu négligent de ce coté. Il fallait décongestionner l’intestin de toutes les saletés que j’avais mangé là-bas. Comme après chaque lavement suivit une impression de calme. On dirait aujourd’hui qu’on se sent Zen.
Avant de m’endormir, Maman me raconta l’histoire de cette fillette qui refusa de porter des culottes alors que sa maman avait cessé de lui mettre des couches. Comme elle contrôlait parfaitement ses besoins naturels, la fillette assimila les culottes à des couches de bébé. Il fallut lui expliquer que les grandes filles portent toujours des culottes: « Comme toi » ajouta Maman. On en ria ensemble. C’est bien plus tard que je découvris que des femmes n'en portaient pas sous leur robe et que des hommes s’excitaient avec. Mais là, c’est une autre histoire. Puis on se partagea le lait de sa poitrine. Je tétai son sein gauche, le sein du cœur, tandis qu’elle but à son sein droit. Rasséréné, j’en oubliai le pensionnat et sa vie de cauchemars.
Hélas, les meilleures choses ont toujours une fin. Les vacances d’hiver arrivant à leur terme, il fallut reprendre le chemin du pensionnat. Cette fois, j'y allai seul...
A suivre
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