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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
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  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Mardi 22 février 2 22 /02 /Fév 14:53

   De par les sentiments qui m'unissaient à Maman, je lui vouais une immense admiration. Elle était au centre de mon univers d’enfant. Notre complicité intime au détriment d’un père souvent absent et le plaisir de m’allaiter malgré mon âge avancé favorisaient les sentiments que j’éprouvais pour elle. Bien plus tard, je me rendis compte que cet attachement était la conséquence d’une mère en manque qui faisait un transfert sur son petit garçon. Quant à moi, le complexe d’Œdipe était beaucoup plus développé que chez les autres garçons. 

 

tetons.jpg

 

      L'opulente poitrine de Maman et le plaisir que j’éprouvai à la téter conditionnèrent mon équilibre de petit garçon. Rendez-vous compte, ses mamelons avaient la taille d'une grosse tétine de biberon. Comme il m’était impossible de me passer de son lait nourricier, j’étais constamment collé à sa poitrine. Sentir son sein dans ma bouche et le lait s'écouler dans mes entrailles me rassurait. Loin d'elle l’idée de programmer mes tétées. Maman me donnait le sein quand j’en avais envie sans tenir compte des impératifs horaires conseillés par les médecins. Comme tous les enfants du monde, je préférais parfois jouer avec sa poitrine plutôt que la téter. Maman s’amusait alors à me provoquer. De part ses seins généreux, elle avait le privilège de pouvoir se les sucer. Elle me faisait donc croire qu’elle buvait son propre lait à ma place, ce qui me rendait jaloux. Finalement, on se partageait sa poitrine, moi, je tétais à un sein et elle à l’autre.

 

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     C’est sur l’injonction de mon père qu’elle cessa de m’allaiter. Celui-ci trouva anormal qu’un garçon de quatre ans ne soit pas encore sevré. Elle essaya, mais privé du lait maternel, mon caractère s’en ressentit vivement. Je devins horriblement coléreux. Je fis même une forte allergie au lait de vache. Adepte de la nature, Maman rejeta tous ces laits artificiels. Fabriqués par des industriels peu scrupuleux, ils me rendaient trop malades.

 

     Se passant de l'accord de mon père, elle décida de reprendre l’allaitement au sein en cachette. Pour me calmer c’est certain, mais aussi parce qu’elle sacralisa ces moments intimes avec son fils chéri. Du fait qu'elle avait cessé de m'allaiter plusieurs semaines, ses seins ne produisirent plus suffisamment de lait. Il fallut ré-induire une lactation. Or, comme Maman adorait se sucer les seins, elle relança facilement sa lactation.  Après quelques temps d'adaptation, ses montées de lait s'intensifièrent ce qui lui permit de répondre à ma gourmandise. J'eus tellement besoin de son lait qu'elle ne chercha plus jamais à me sevrer. Lorsque j'entrai en classe primaire, elle m'allaitait encore. Je venais d'avoir cinq ans. 

 

     Encore aujourd’hui, je me vois plonger mon visage dans sa poitrine, attraper son téton d’une bouche gourmande, aspirer goulûment son mamelon puis sentir le délicieux breuvage couler dans ma gorge. Fils et mère, nous étions en parfaite symbiose sans que mon père s’en doute...

 

A suivre

 

Par Microstring - Publié dans : UNE JEUNESSE DOREE
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Vendredi 25 février 5 25 /02 /Fév 20:46

     Quelques temps après, Maman me confia son désir de concevoir une petite fille avec mon père. L’idée d’avoir une sœur avec qui jouer m’emballa. J'imaginai Maman en train de nous allaiter ensemble, moi sur un sein et ma petite soeur sur l'autre. A chaque tétée, on changerait de seins pour éviter de créer des jalousies. Lorsque je lui en parlai, elle s’en amusa. Hélas, la relation entre mes parents se dégrada de plus en plus. Maman supposa alors que mon père avait une maitresse car il ne lui faisait même plus l’amour. Et comme en ce temps là, on se mariait pour la vie...

  

     Il lui devenait dans ces conditions impossible d'engendrer une fille. Maman finit par faire une fixation sur moi, un transfert inconscient qui prit de l’ampleur au fur et à mesure que son couple se détériorait. Aussi surprenant que cela paraisse, ce désir correspondit à une période où je vécus mon complexe d’Œdipe. Tandis que mon genre masculin s’affirmait, je devins amoureux de Maman. Un seul but, lui plaire et encore mieux, la conquérir !

 

commodeA.jpg     Comme beaucoup de femmes, Maman se passionnait pour la lingerie fine. La commode de sa chambre regorgeait de soutiens-gorges, de culottes, de porte-jarretelles et de bas. Je me régalais de la voir choisir ses dessous quand elle s’habillait. Elle hésitait souvent et me demandait mon avis. Glisser une culotte sur ses hanches, agrafer un soutien-gorge sur sa poitrine ou dérouler des bas sur ses longues jambes produisaient sur moi d’étranges émois.

   

    Ce jour là, surprise ! Maman devança mes pensées ! Elle choisit dans la commode sa plus petite culotte puis l’enfila sur moi. Pris au jeu, j'en choisis d’autres et les essayais. Hélas, elles étaient toutes trop grandes pour mon "bijou". C'était ainsi qu'elle appelait ma petite verge. Elle profita donc de faire ses courses dans un magasin de lingerie pour acheter des culottes de petite fille à ma taille. Une fois à la maison, Maman me donna un bain puis enfila une de ces culottes sur mes hanches. Elle me trouva adorable ainsi vêtu. A son avis, ces culottes me convenaient bien mieux que des slips de garçon. Un jour où je la regardais s’habiller, elle essaya son soutien-gorge sur ma poitrine d’enfant ainsi qu'une de ses petites robes. « Pour jouer » me dit-elle.

 

     Et ce transfert alla crescendo. Elle laissa pousser mes cheveux blonds pour les coiffer à la façon d’une fille. Elle me fit même des nattes. Elle profita de se maquiller pour me maquiller aussi. Le blush transforma mon regard. Et je découvris le gout du rouge à lèvres bien avant d’embrasser une femme. Plus tard, elle m’épila les sourcils et me vernit les ongles. Bien sur, on partagea ces moments intimes uniquement pendant les absences de mon père.  

 

aze-500x500.jpg     Je m’habituai aux fantaisies de Maman au point de trouver normal ses débordements féminins. Mes références de petit garçon furent tellement bouleversées que je me piquai à son jeu. A la fin, il m’arriva même de jouer avec ses petites culottes. Ce qui me captiva fut le contact soyeux de ses bas nylon sur mon sexe de garçon. Maman ne me fit jamais de reproches lorsqu’elle me surprenait ainsi. Amusée, elle réajustait ma culotte et me conseillait sur mes choix. De sentir la délicatesse de ces fins tissus habiller mon ventre nu finit par me procurer une étrange exaltation.

 

     Je voulus avant tout plaire à Maman pour qu’elle m’aime encore plus. Par ce transfert inconscient, je devenais sa poupée d’Amour, la fille qu’elle voulait avoir. A cinq ans, je ne comprenais rien à ces comportements d’adultes. Je ne voyais qu’une mère nourricière que j’aimais passionnément et qu’il me fallait conquérir. Quoi de mieux alors que de satisfaire ses caprices. Chose surprenante d’après Maman, me traiter ainsi en petite fille adoucit mon caractère, je devins plus docile, moins capricieux et plus équilibré.

 

A suivre…

      

Par Microstring - Publié dans : UNE JEUNESSE DOREE
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Mercredi 2 mars 3 02 /03 /Mars 03:59

     A la longue, mon père s’inquiéta de ces attitudes ambigües. Selon lui, l’influence maternelle perturbait sérieusement mon éducation de garçon. De me voir réagir en fille le contraria. Il me demanda si j’aimais porter des petites culottes de filles. Je répondis ce que Maman m’avait dit : " Les culottes de fille me conviennent mieux ; elles sont bien plus douce sur ma peau que des slips de garçon." Au comble de l’exaspération, il tenta de corriger la relation fusionnelle avec Maman avant qu’il ne soit trop tard. Pas question de faire de son fils un garçon efféminé !

 

love     Le drame eut lieu lorsqu’il nous surprit un soir dans ma chambre. Maman me donnait la tétée avant de me souhaiter bonne nuit. Voir son fils coiffé et maquillé comme une poupée, juste vêtu d'une petite culotte de fille et être encore allaité à cet âge le contraria. Emporté par une colère subite, il s’en prit à Maman. Il lui reprocha mon éducation particulière : « Mon fils n’est pas une fille. Tu veux en faire un PD ? » En conséquence, il décida de m'éloigner d'elle pour qu’on me donne une éducation plus conventionnelle. Et surtout, il voulut casser la relation fusionnelle que je partageais avec Maman. 

 

     Afin de me défaire de l’influence néfaste de Maman, mon père m’inscrivit donc comme interne dans un pensionnat de garçons, très loin de la maison familiale, près de Paris. Maman tenta bien de s’y opposer, mais que pouvait-elle faire face à l'autorité paternelle ? Elle rétorqua que j’avais tout d’un petit garçon normal, dans mes attitudes et dans mes jeux : « Il sait qu'il est un garçon, il fait la différence dans ses dessins - les personnages, moi, lui et toi sont sexués - Il n'a aucune conversation ambigüe. Il ne fait qu’imiter sa mère, ce qui est normal à son âge ». Hélas, rien ni personne ne modifia la décision de mon père. Maman en pleura de rage et d’impuissance. Ce fut à la suite de cet incident qu'elle me sevra du lait maternel, contrainte et forcée puisque je partais loin d'elle. J’allais avoir sept ans...

 

A suivre…

 

Par Microstring - Publié dans : UNE JEUNESSE DOREE
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