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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
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  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Dimanche 13 février 7 13 /02 /Fév 19:46

       Ce n’était là que le début d’une idylle particulière qui affola mes sens. Je me passionnai pour Fatou et finis par tomber follement amoureux. Son corps était parfait, une lourde poitrine, des fesses rebondies et un ventre à me rendre dingue. Comme ces deux femmes étaient inséparables, on fit donc ménage à trois. Fatou se donna avec tant de fougue par la suite que je m’éclatai comme jamais. Tantôt par devant, tantôt par-derrière, Mariam et moi la prenions ensemble. Ses fesses ouvertes à nos envies emballèrent ma libido à un niveau jamais atteint. Pour la première fois de mon existence, je rencontrais une femme qui adorait être prise par-derrière.

      Tandis que Mariam s’embrasait pour mon cul, Fatou me confia ses fantasmes de féminisation. Était-ce lié à son côté lesbien ? Elle précisa qu’en chaque homme sommeillait une part de féminité, souvent inconsciente d’ailleurs, car réprimé par notre éducation de mâle. L’inversion des rôles sexuels me permettrait de découvrir une sexualité différente. Un univers nouveau s’ouvrirait à moi. Les deux femmes ne voyaient dans ma "sodomisation" que l’écho de cet état. Elles argumentèrent tant et si bien que je finis par abdiquer. Amoureux fou de Fatou, je mis provisoirement de côté mes prétentions de mâle. Se faire enculer par Amour n’est pas donné à tous les hommes. Restait à découvrir comment elle envisageait ma féminisation...  

Bitedressing-101A.jpg     Pour que puisse s’amorcer ma féminisation, Fatou estima qu’il fallait y aller progressivement en évitant de choquer ma sensibilité de mâle. Elle s’occupa d’abord de mon corps. Pour cela, elle m’habitua aux soins cosmétiques et à toutes ces petites choses qui distinguent une femme d’un homme. Me livrer ainsi à elle me procura de délicieuses sensations. Je découvris entre ses mains les plaisirs masturbatoires avec des crèmes et des onguents qui parfumaient le corps.

     Arrivée à ce stade, elle me fit remarquer combien le rasage de mon sexe était désagréable. À la repousse, elle avait l’impression de caresser une barbe de trois jours. À ses yeux, mes poils renvoyaient l’image d’un homme négligé, aux odeurs corporelles désagréables. Me convaincre au fil des conversations que l’épilation était une marque d’hygiène appréciée des femmes lui fut facile tellement j’étais accroc d’elle.

       Ce lent conditionnement l'amena un jour à m’épiler tout le corps à la cire. C’était la première fois de ma vie qu'on m'épilait ainsi. Mariam assista à la séance. Ce qui me frappa fut l’odeur entêtante de la cire chaude. J’eus l'impression d'entrer dans un monde intime réservé aux femmes. Au niveau du sexe et des testicules, ce fut plus délicat. Avec un sourire coquin, Mariam insista pour que l’anus et la raie des fesses soient bien lisses. Une fois l’épilation terminée, Fatou m’enduisit le corps d’une huile aux senteurs délicates. Malgré la douleur ressentie, cela se termina par d’agréables caresses. Elle conclut cette première séance par une savante fellation, une récompense pour m’être livré à ses envies dépilatoires. À cette occasion, je remarquais combien elle était gourmande.  
     Je découvris ainsi épilé une sensation nouvelle à me sentir lisse et doux. Ma peau nue réagissait au moindre courant d’air, à la moindre caresse. Fatou s’intéressa aussi à mon visage. Finis les sourcils en broussaille ou les poils en bataille qui dépassaient des narines et des oreilles. Avoir la peau douce durant plusieurs semaines ajouta à un érotisme de circonstance.

epilation sexe - humour      Par la suite, Fatou me demanda de trouver un institut de beauté qui puisse m’épiler intimement. Quelle humiliation pour un homme ! Expliquer au téléphone une telle épilation ne fut pas facile. En ce temps-là, il n’était pas d’usage que les hommes se fassent épiler en institut. Je remballai ma fierté de mâle face aux jugements acerbes de certaines esthéticiennes. Malgré mon insistance, tous les instituts me refusèrent un rendez-vous. Nombreux furent ceux qui me prirent pour un obsédé sexuel. Après cette vexante épreuve, Fatou et Mariam conclurent que les blancs étaient des gens conditionnés par des habitudes puritaines qui faussaient leur jugement. Je fus bien d’accord. Elle me conduisit alors chez une copine black qui travaillait discrètement au noir comme esthéticienne. Je découvris à cette occasion toute une filière de petits boulots pratiqués en toute illégalité par des gens venus d’Afrique. Et ceci dans une ambiance joyeuse des plus agréables. Le rire et la bonne humeur de ces gens me changèrent des râleurs Parisiens.  

      Je pris goût à ces séances d’épilation à la cire encouragé par le fait que Fatou et Marial avaient horreurs des poils. Malgré la fugitive douleur ressentie à l'arrachage, c’était à chaque fois un grand moment de détente dans l’ambiance feutrée du salon d’esthétique de la copine black de Fatou. Mes habitudes évoluèrent tellement que je finis par apprécier ma peau douce et lisse comme de la soie. L'institut de beauté de cette femme devint pour moi le temple de la féminité. Je pris goût  à l’odeur de la cire, à tous ces produits qui entretiennent la peau des femmes. J’appris tout des crèmes qui atténuent les rougeurs de l’épilation et les boutons à la repousse. Je me passionnai pour ces liquides onctueux aux parfums délicats qu’on étale sur le corps. Je trouvais un plaisir particulier à me masser la poitrine, le sexe et les fesses avec.  

     Je pris soin moi-même de chasser les poils rebelles avec une pince entre deux épilations à la cire. À mon tour, j'eus horreur de ces poils qui faisaient si négligés. Comme les femmes, j’avais sur moi en permanence une pince à épiler. Elle devint l'accessoire indispensable dans ma panoplie des produits de beauté. C’était des instants magiques ou j’oubliai tout. J’insistai particulièrement sur mon sexe et mon pubis, là où se manifestait auparavant une virilité bien poilue. Je faisais la guerre aux poils comme une femme. À m'occuper de mon corps ainsi, cela  me rappelait en permanence le désir de féminisation de Fatou.

manwax3642bigA     À force d’aller en institut pour me faire épiler, je devins inconsciemment semblable à toutes les femmes. Non, pire ! J’eus des théories sur la façon d’épiler, sur les poils incarnés et sur les lotions qui évitaient rougeurs et irritations de la peau. Je parlai de gommage comme une femme. Mes gestes dépilatoires furent ceux d’une femme. Mes réactions aux poils devinrent celles d’une femme. Avec l’épilation à la cire, c'était trois semaines d’une peau douce et agréable avant que les poils ne repartent à l’assaut de mon corps. Malheureusement, après chaque épilation ou à chaque repousse, c'était un vrai calvaire. Rougeurs et irritations firent que je m’arrachai la peau pendant plusieurs jours. Au niveau de la poitrine et du pubis, cela devint un véritable calvaire au point que je me grattais jusqu'à m'arracher la peau. Les poils repoussaient drus et épais, des poils de mec qui laissaient d'horribles des marques sur ma peau. Malgré les conseils de l’esthéticienne, rien n’y fit. Crèmes et lotions, toutes plus miraculeuses les unes que les autres, n’y changèrent rien. Dur dur d’être lisse comme une femme quand on est un mec…  

 59460731_p.jpg    Et que dire de cette récente séance d’épilation teintée d’un érotisme particulier ? Normal qu’ensuite les esthéticiennes prennent les hommes pour des obsédés sexuels. Fatou et Mariam m'accompagnaient ce jour là chez leur copine esthéticienne. Celle-ci venait juste de terminer mon épilation et s’apprêtait à appliquer sur mon corps une lotion huileuse pour retirer les traces de cire encore collées à ma peau. Avec un sourire complice, Fatou lui proposa de le faire elle-même. La copine se retira et s'occupa d'une autre cliente. Fatou s’empara alors de la lotion et commença à masser mon corps avec. Très vite cela dégénéra et je finis par avoir une érection. Elle s’amusa avec mon sexe, décalotta le gland et passa des petits coups de langue furtifs dessus. La situation fut si excitante que Mariam s’empara à son tour de ma verge, l’enduisit généreusement avec la lotion huileuse et me masturba violemment tout en étirant mes bourses. Excitée, Fatou se caressa le clitoris puis s’accroupit sur mon visage pour me faire gouter sa chatte. Tandis que je jouissais comme un fou, elle déversa dans ma bouche tout son plaisir...

 

Par hommeofeminin.erog.fr - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Jeudi 17 février 4 17 /02 /Fév 19:30

     Avant de vous raconter mes péripéties sexuelles, laissez-moi vous décrire l’environnement social qui marqua mon enfance et ma jeunesse. Come-back de quarante ans. Imaginez la société au moment de la révolution sociale de 68 ainsi que la libération sexuelle qui s’en suivit. Les femmes actuelles qui montrent avec tant de facilité leurs strings et exposent leur nombril percé ne se doutent pas des tabous sexuels de ce temps là.

 

   C’était les débuts du rock en France et le costume trois pièces était le seul vêtement qui habillait les hommes. Aucune minijupe en vu à l’époque. Hors de question pour une femme de découvrir ses genoux, les robes et les jupes descendaient bien en dessous. Quant au string, il restait à inventer. De plus, aucun hyper-marché pour présenter à nos envies masculines des petites culottes de femmes. La lingerie était vendue par des corsetières et la gaine était le sous-vêtement préféré des dames, bien qu'il torturait outrageusement les corps. Il fallait avoir la taille très fine, les seins en pointe et les hanches rebondies. La pilule contraceptive n’existait pas, l’avortement était interdit et une fille mère était la honte de ses parents.

 

     Pas d’éducation sexuelle dans les écoles, cela choquait qu'on parle publiquement de sexe à des enfants. La sexualité se pratiquait donc en cachette et s’apprenait de façon empirique.  Bien que dissimulée, la pédophilie était une pratique courante, les oncles ainsi que les tantes se chargeant discrètement d'initier les ados aux choses du sexe. Mais coté BDSM ou homosexualité, c’était prendre le risque de passer pour un malade ou un obsédé sexuel aux yeux du public.

 

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     Les homos qu'on appelait alors des pédérastes dissimulaient leurs attirances masculines et les plus efféminés évitaient d'onduler des fesses en public s'ils ne voulaient pas se faire insulter voire rosser par les machos. Malmenés par l’opinion publique, leur cas relevait de la maladie et de la Loi. De par un service militaire obligatoire, l'Armée se chargeait de les réorienter dans le droit chemin.

 

     Les hommes ignoraient tout du clitoris des femmes et celles-ci se cachaient du plaisir honteux qu’elles en éprouvaient. La pornographie était ignorée du grand public et mis à part quelques rares photos échangées sous le manteau, pas de revues X et encore moins de films et de cinémas pornos. La télé était en noir et blanc, la vidéo personnelle relevait d’un rêve et Internet de la science fiction. Demandez à vos parents, il fallait attendre 21 ans pour s’émanciper. C’était le début des sixties, on se préparait à aller sur la Lune et la Terre entière pensait que Mars était habité par des petits hommes verts. J'étais un jeune homme plein de fougue et j'avais soif d'aventure. La vie commençait pour moi...


A suivre



Par Microstring - Publié dans : UNE JEUNESSE DOREE
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Dimanche 20 février 7 20 /02 /Fév 01:56

     En fait, tout commença avec le fort attachement qui me lia à Maman. C’est une longue histoire que je vous confie là. Dévoiler ma relation maternelle m'oblige à raconter des secrets enfouis au plus profond de ma mémoire. Aussi loin que remontent mes souvenirs d'enfant, ce ne fut que du bonheur avec elle.

 

     Ce qui caractérisait Maman durant mon enfance était sa lubie des soins hygiéniques, des soins corporels répétés et insistants. Elle m’expliquait que les hommes étaient sales et ne savaient pas s’occuper d’eux-mêmes. Je ne sus jamais si elle faisait référence à mon père. Elle apportait donc la plus grande attention à me laver minutieusement. Bain ou douche quotidienne qu’on prenait ensemble transformait ces contraintes en d’agréables moments. Quand elle me lavait, c’était parfois intrusif, notamment dans mon petit derrière et sur les parties génitales. Elle savonnait avec insistance mon sexe puis me demandait d’écarter les cuisses pour laver entre mes fesses. Elle décalottait aussi ma petite verge sous le prétexte de bien la laver. Parfois, elle s’amusait à la faire se dresser gaillardement. On riait tous les deux de ce jeu. Ma toilette terminée, on pouvait embrasser mon derrière sans crainte tant il était propre. Et pour finir, elle me massait le corps avec une lotion hydratante. Elle profitait de ces moments d’hygiène pour m'expliquer les différentes parties du corps. Je pris donc l’habitude d’être lavé ainsi et de sentir ses doigts s’insinuer dans mon intimité.

 

     Adepte des médecines douces, elle m'initia à sa science sous le prétexte d’une bonne hygiène de vie. Etant sage-femme de métier, j’eu droit à des soins spécifiques : Thermomètre ou suppositoires qu’elle enfonçait profondément dans mon derrière lorsque j’étais malade. Sous le prétexte que le "caca" empoisonnait le corps, elle m’initia plus tard aux lavements du colon. La première fois, je fus intrigué. Elle installa un bocal remplit de liquide en hauteur puis le relia à un tube terminé par une canule. Elle lubrifia mon anus et y enfonça délicatement la canule. De voir mon ventre se gonfler sous l’effet du liquide injecté m’amusa,  mais je déchantai vite en ressentant les premières douleurs intestinales. Elle me massa alors le ventre en me demandant de garder le liquide le plus longtemps possible. "Serre les fesses mon chéri"! Impressionné, je regardai mon ventre gonflé comme une baudruche. Quelle délivrance lorsque j’évacuai aux toilettes. Par sa douceur, Maman me rassurait et les câlins qui suivirent me furent des plus agréables.

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     Lorsque mon père s’absentait, j’avais droit au lit conjugal. Je devenais alors son petit homme. Elle me rappelait sans cesse que c’était elle qui m’avait mise au monde : « C’est un peu à moi tout cela ! » disait-elle en jouant avec ma petite verge. Je me calais alors contre elle en écartant les nombreux oreillers du lit. J’aimais son odeur, un parfum si particulier que quarante ans plus tard je le reconnaitrais entre mille. Tout en m’allaitant, Maman me laissait jouer avec sa lourde poitrine. Je pressais maladroitement ses seins et je regardais le liquide laiteux jaillir des tétons. " Ouille !" Elle criait lorsque je pinçais ou mordait trop fort un sein. J’adorais aussi sentir la chaleur de son ventre contre mon visage. Elle me laissait toucher son corps de Femme. Une curiosité de petit garçon qui ignorait encore tout de la sexualité. Je me rappelle ce triangle touffu entre les cuisses et son ventre chaud. Les femmes ne s’épilaient pas intimement à cette époque. Je demandais à Maman pourquoi elle n’avait pas de zizi. Fille ou garçon, elle m’expliquait alors les différences.

 

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     Tout en me montrant son pubis, elle disait que c'était par là que j'étais né. J’écartais alors les poils pour découvrir le mystère de ma naissance. Je touchais d'un doigt hésitant sa vulve par curiosité. Maman se laissait faire. "Plus tard, ton zizi s’enfoncera dans le vagin de la femme que tu aimeras et ce sera ainsi que tes propres enfants naîtront." Petit garçon innocent, je voulus essayer. Mais Maman m'expliqua qu’un fils ne fait jamais ça avec sa mère. Encore trop petit, je ne comprenais rien à ses explications. Je ne voyais en elle qu'une mère nourricière que j'aimais passionnément.

 

     Tout en me donnant le sein, elle continuait ce jeu toute seule. Je regardais sa main s’agiter fébrilement entre ses cuisses. Le regard fixe, elle soupirait de plus en plus rapidement, se cambrait en poussant des gémissements puis je voyais sa cyprine gicler d'un coup. Etonné, je regardais, ne pensant même plus à téter. Attiré par le mystère de sa jouissance, je touchais sa vulve mouillée. Elle gardait alors ma petite main sur son ventre encore tremblant de spasmes tout en se calmant. Une odeur particulière s'en dégageait. J’aimais son regard à ce moment là. 

 

     Ensuite, elle me racontait des histoires tout en me serrant tendrement contre elle : Des histoires d’amour ou un Prince charmant sauvait sa Belle. Ou si elle était contrariée par mon père, des histoires de femme trompée, de roi homosexuel et d’enfants précoces auxquelles je ne comprenais rien. Je m’endormais alors en m'assimilant à ce jeune Prince adolescent qui tombait amoureux de sa mère....


     Fils unique, je vivais en permanence dans le giron de Maman. Malheureuse avec mon père, elle se confiait à moi. Je devenais alors son petit homme. J’étais triste de l’entendre se plaindre ainsi. Je lui caressais tendrement les cheveux en essayant maladroitement de la consoler d’un mari trop souvent absent. Dans ces moments là, je devenais plus adulte qu’elle. Bien plus tard, je compris que je comblais un manque affectif lié à un mari absent. Fils prodigue à ses yeux, j’étais fier d’occuper cette position privilégiée auprès d’elle.

A suivre


 

Par Microstring - Publié dans : UNE JEUNESSE DOREE
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