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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • soumission travesti string feminisation transgenre
  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Mercredi 25 mai 3 25 /05 /Mai 17:41

    A  la longue, je vécus soumis à tous les délires sexuels de Fatou et de Mariam. C'était si agréable de se laisser faire ! En développant mon côté féminin, elles favorisèrent aussi ma passivité sexuelle. Pour une fois qu’un homme se donnait sans retenue, Mariam en profita. Ce fut parfois d’une bestialité inquiétante. Dominer un homme  lui permettait d’extérioriser tout le sadisme qui dormait en elle. Elle-même ne se reconnaissait plus quand on faisait l’amour. Elle m’ouvrait l'anus jusqu’à me faire crier de douleur, variant ses caresses jusqu’à l’obscénité. J’appris à être propre pour cela. C’est ainsi que je redécouvris les lavements du colon, mais rien à voir avec ceux de mon enfance. Elle me remplissait le ventre avec toutes sortes de liquides et m’obligeait à me retenir jusqu’à ce que la douleur devienne insupportable. Elle fermait mon anus avec un accessoire spécial, une double poire qui empêchait toute fuite. Elle aima me voir souffrir et me tordre de douleur lorsque survenaient les premières crampes intestinales Me vider était ressenti comme une délivrance. Je découvris à cette occasion combien la douleur peut  renforcer le plaisir. De la part d’une infirmière, cela ne m’étonna pas.

10851     Inutile de vous décrire tous les gadgets qui forcèrent mon intimité. Les jouissances de Mariam reposaient principalement sur la dilatation extrême de mon anus. Elle l'appela "sa chatte". Elle voulut y entrer une main, masturber ma prostate pour me faire éjaculer ainsi. Elle avait lu quelque part que caresser un soumis de cette façon le vidait lentement de son sperme, sans gicler sans avoir le plaisir de l'orgasme. Au début, ce fut difficile, j'avais selon elle les hanches trop étroites. A défaut de jouissance, sentir sa main dans mon ventre me procura des sensations nouvelles. Terrible ! Mêler la douleur à cette possession intime fit de moi un autre homme. Par ce biais, elle arriva même à me faire boire ma semence. Qui n'a jamais vécu cela sous le joug d'une femme excitée ainsi ne peut comprendre.

     Quant à Fatou, je lui offris mon âme tellement j’étais amoureux. Quoi de plus fort que d'être au service de son plaisir tout en reculant mes propres limites. Livrer mon corps et mon esprit, lui donner le droit d'en jouir sans aucune condition était la plus belle preuve d'Amour que je pouvais lui donner. Une passion dévastatrice m'envahit, comme une drogue dont je ne pouvais plus me passer. J’aurais aimé décrire les sentiments qui m’unissaient à elle, mais je m’en garderai. Le lecteur s’intéresse à ma transition sexuelle et non à mes sentiments amoureux. En écrivant cela, il me vient à l’esprit une chanson de Jacques Brel qui refléte parfaitement mes sentiments amoureux : « Ne me quitte pas ». Quoi de plus beau que les paroles de cet air célèbre quant on aime à la folie : « Je serai l’ombre de ton ombre… » Aucun homme, pas même un poète, n’est capable de se donner ainsi à une femme. Moi, je l’étais.

      J’aimais aussi voir Mariam faire l’amour à Fatou. Cela se transformait en une explosion des sens à laquelle je participai allégrement, tantôt en tant qu'homme ou comme une femme selon les circonstances. D’autres fois, je ne devais pas m’en mêler, c’était une affaire de femmes d’une délicatesse inouïe. Il se passait entre elles deux une chimie affective incompréhensible pour un homme.

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     Quand Mariam me pénétrait, Fatou nous observait troublée par sa violence. Non seulement elle découvrait le sadisme de sa maitresse, mais de me voir possédé ainsi affolait ses sens. Arrivait l’instant où Mariam la défonçait à son tour passant de mon cul à sa chatte, revenant à mon cul puis dans le sien sans tenir compte de nos cris. Fatou et moi, nous nous serrions alors fortement la main face à ses assauts répétés, unis dans un même concert de cris et de jouissances. Il y avait à cet instant en Mariam comme une joie sauvage à nous défoncer. Peut-être la jalousie de me voir aimer Fatou à ce point.

     D’autres fois, elle se caressait devant moi et giclait des litres de cyprine tellement ça l’excitait de voir Mariam m’enculer avec force. D'entendre mes cris de douleur l'excitait au plus haut point. Elle jouissait alors en collant sa vulve contre ma bouche. De me forcer à boire le fruit de ses jouissances ajoutait à notre plaisir. Remise de ses émotions, elle me confiait qu’aucun homme ne buvait sa mouille de cette façon. Je répondais qu’avaler ce précieux nectar jusqu’à le sentir dans mes entrailles était pour moi une façon de communier avec elle. Encore aujourd’hui, je reconnaitrai son goût parmi des milliers de femmes.

 

Par Microstring - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Dimanche 29 mai 7 29 /05 /Mai 03:02

     Arriva ce fameux jour anniversaire ou on dina tous les trois dans un grand restaurant parisien pour fêter l’événement. Au dessert, Fatou sortit un cadeau de son sac. Mon cœur empli d’une émotion mal contenue, j’ouvris la petite boite et regardai surpris les deux femmes. C’était un minuscule string en dentelle rose. Fatou me demanda avec son charmant accent d’aller aux toilettes et de l’enfiler à la place du slip d'homme que je portais. Etrange impression que d’enfiler un string de femme dans des toilettes publiques. Cela me fit bander. Je rangeai difficilement mon sexe dans ce petit bout de dentelle. Au retour, les deux filles fixèrent mon ventre avec insistance. C’est ainsi que je commençai à porter de la lingerie de femme sous mes vêtements masculins.  

super-32227-36396      A la suite de ce cadeau, Fatou jeta tous mes slips de mec et exigea que je porte dorénavant uniquement des culottes et des strings de femme en guise de sous-vêtement. A voir l’exaltation que cela engendra chez les deux filles, je ne leur refusai pas ce plaisir. Une nouvelle escalade de ma féminisation sans que je m'en rende compte tellement leur plaisir de porter ces fins tissus était partagé. Inconsciemment, j’éprouvai finalement une provocante délectation à extérioriser ma féminité de cette façon. Ces délicats tissus dans lesquelles je rangeais mon sexe m’érotisèrent beaucoup par la suite. Au point de ne plus pouvoir m'en passer. Oh bien sûr, je me posai des questions face à ces délires féminins. J’eus conscience d’entrer dans une spirale sans fin. Mais cela m’était trop agréable de me laisser aller au gré des fantasmes de Fatou et de Mariam.  

    Comme mon sexe avait tendance à déborder des strings féminins, l’entrejambe n’étant pas adapté au sexe des hommes, Fatou me montra comment le ranger dedans. Elle avait un ami travesti qui lui avait montré comment il faisait. Curiosité toute féminine ! Exit la protubérance typique des mâles à l'entrejambes ! Il fallait remonter les testicules dans le ventre, ce qui n’est pas facile au début, tirer la verge en arrière et coincer le tout avec un string bien serré pour avoir le pubis aussi plat qu’une femme. Malgré la protubérance de mes testicules sur le pubis, cela faisait illusion. Quand je serrais les cuisses, mon sexe disparaissait complètement. Avec la peau des testicules qui débordait légèrement, cela suggérait les grandes lèvres d'un vagin. On pouvait alors croire à un pubis de femme. Une situation pour le moins inconfortable quand je m’asseyais brusquement, mes testicules se rappelant douloureusement à moi. Je finis par m’habituer à ranger mon sexe ainsi avec le temps.

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      Fatou voulut un jour que nous allions ensemble à la piscine dans un maillot de bain avec mon sexe justement caché entre mes cuisses. De voir le regard des femmes se poser sur mon bas-ventre sans relief l’amusa beaucoup. Moi j'étais moins fier. Heureusement, le temps se gâta et on dut s’abriter de la pluie.

     Par la suite, j’eus plaisir à accompagner les filles dans les boutiques de lingerie fine. De voir ces montagnes de culottes et de strings de toutes les couleurs et de toutes les formes stimulait mon imagination. Fatou repérait toujours le minuscule string qui me  convenait à merveille. Elle me provoquait parfois devant la vendeuse en me demandant mon avis. Gêné, je répondais gauchement.

    A sa demande, je finis par acheter mes strings de femme seul malgré la réaction des vendeuses. « Encore un malade » devaient-elles penser. Cela se voyait à ce point dans mes yeux ? La vendeuse devinait que c'était pour moi, même si je précisais que c’était pour faire un cadeau à ma femme. Chacun savait que l'autre savait, mais aucun n'en parlait le premier. Certaines vendeuses, souvent des jeunes femmes sans expérience, étaient encore plus gênées que moi. Depuis, j’ai beaucoup moins d'appréhension et je m'amuse de l’expression surprise de certaines vendeuses. Avec l’expérience, j’ai remisé ces complexes au vestiaire tandis que les vendeuses se sont habituées à tous ces mecs qui achètent des petites culottes.

     Je pris pour habitude de me rendre dans une petite boutique spécialisée. A cette époque la mode était aux minuscules strings à ficelle. Plus ils étaient mini et plus ils étaient chers d'ailleurs. Je raffolais de ces minuscules choses et ranger mon sexe dedans m'excitait beaucoup. La jeune vendeuse finit par savoir ce qui me plaisait. Elle me téléphonait dès qu'elle recevait des nouveautés et je ne résistais jamais à ses appels...

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      Avec le temps, mon attirance pour ces fins tissus ne fit que s’accroître. Mes tiroirs regorgèrent de dizaines de culottes et de strings, parfois microscopiques, que j’enfilai au gré de mes pulsions. Plus c’était petit et plus j’adorai. Chaque matin, j’hésitai longuement avant d'enfiler la petite culotte que je porterai pour la journée.  Fatou la choisissait souvent pour moi. Et de ranger d’une main leste mon sexe qui en débordait me rappelait que je portais une lingerie de femme voulue par les deux filles. Par contre, Fatou m'interdit de mettre ses propres culottes. Elle disait que je les déformais...

     Les filles, comme moi d'ailleurs, trouvèrent normal par la suite que je déambule dans l'appartement avec mon corps lisse juste revêtu d'un petit string qui mettait mes fesses en valeur. Sentir ces fines lingeries sur mon sexe épilé entretenait ma libido. Le renflement que faisaient mes attributs masculins sous le string ainsi que mes fesses dénudées excitaient beaucoup les filles. Elles ne pouvaient s'empêcher de toucher. Etre une poupée sexuelle dont ces dames abusaient à leur gré devint une habitude à laquelle je pris goût...


Par Microstring - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Lundi 30 mai 1 30 /05 /Mai 18:38

     Je ne sais si je vous l’ai dit, mais les filles avaient leur ventre aussi lisse que mon sexe. C’était un plaisir immense de caresser leur vulve avec ma langue dans ces conditions. Ce jour-la, ce fut imprévu. Alors que Fatou venait de jouir comme une folle dans ma bouche, elle invita Mariam à faire de même.  Celle-ci posa sa vulve mouillée sur ma bouche encore pleine de la cyprine de Fatou. Je suçai son clitoris charnu en découvrant le goût différent de sa mouille. Ma langue eut vite raison de son plaisir. Mariam jouit rapidement en gardant son vagin collé à mes lèvres. Au lieu de s’écarter de moi après sa jouissance, elle resta immobile pendant quelques secondes serrant fermement ma bouche contre sa vulve. Je me laissai faire surpris. Qu'avait-elle encore dans la tête ? Puis soudain, elle se vida de son urine en moi. Elle serra énergiquement ma tête entre ses cuisses et m’obligea à avaler ce liquide chaud qui giclait à grands jets dans ma bouche. Je déglutis avec peine son urine essayant de tout avaler. Pendant qu’elle pissait en poussant très fort, Fatou nous regarda excitée. Une fois de plus, elle constata la perversité de sa copine. Boire ce liquide chaud d’un goût nouveau ne me déplut pas tellement la situation fut excitante.

     Et que penser de cette ballade en voiture ? On devait se rendre chez des amis. Je conduisais tranquillement pendant que les filles discutaient en admirant la ville. Soudain Mariam exprima une envie irrépressible de faire pipi. Je tentais de repérer des toilettes publiques. Mais rien en vue. Dans ces moments d’urgence les w.c. viennent toujours à manquer. Je proposai de stationner la voiture et de prendre un café dans un bar pour que Mariam profite des toilettes.

36.jpg     Comme elle ne pouvait plus se retenir, elle suggéra de se vider dans ma bouche : « Chiche s’exclama Fatou ! » Aussitôt dit, aussitôt fait. Bien que contrarié par leur décision, j’arrêtai néanmoins la voiture en pleine circulation. Je passais sur le siège arrière avec Mariam tandis que Fatou prenait le volant à ma place. Elle redémarra promptement pour ne pas trop gêner les autres voitures. Je m’allongeai sur la banquette tandis que Mariam écartait prestement sa culotte d'une main et venait s’accroupir contre mon visage en se tenant de l'autre main à la carrosserie. Quel soulagement pour elle de se vider dans ma bouche, une véritable délivrance. De mon côté, pas une goutte d’urine ne fut perdue malgré les à coups de la circulation. D’ailleurs, Fatou faillit avoir un accident à force de nous regarder dans le rétroviseur. Elle se fit traiter de chauffard. Pour toute réponse, elle tira la langue. Elle se rendit compte par la suite que sa culotte était toute mouillée d’excitation…

     Ces fantaisies liquides se répétèrent au point que boire l’urine des filles ou nous pisser dessus devint fréquent. C’est bien connu, les femmes éprouvent toujours l’envie de faire pipi après un orgasme. La salle de bain devint donc l’endroit idéal pour ces jeux liquides.  La position favorite était de m'assoir nu sur la cuvette des w.c.  Les filles se cambraient vers moi en avançant leur bassin, écartaient avec leurs doigts les lèvres de leur vulve pour en dégager l’urètre. Puis elles m’aspergeaient ensemble de leur urine. Debout comme des mecs, elles tournaient leur bassin pour orienter le jet, visant tour à tour ma bouche et ma verge en érection. Une douche des plus érotiques. Incapable de résister à la vue de leur vulve ouverte d'où s'écoulaient les jets de liquide, je me masturbais comme un dément. Sentir l'urine chaude asperger mon corps et inonder ma bouche me faisaient rapidement jouir. Par contre, j’évitais l’urine du matin, trop forte à mon goût.

     Il me revient en mémoire ce que j'avais écrit à Fatou en ce temps-là : 

"Quoi de plus délicieux, de plus luxuriant et davantage pétillant que ton champagne doré. Il embaume mes lèvres qui effleurent l'écrin duquel s'écoule ce divin breuvage. Ta coupe ouverte sur ma bouche, tu répands ton nectar limpide et nacré sur moi. Ma langue lape avec une délectation sublime, ma bouche avide déguste cette merveilleuse offrande féminine..." 


Par Microstring - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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