Samedi 16 mai
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18:17
"Par la
suite, mon mari acheta un écarteur vaginal, un spéculum si vous préférez, et tel un gynécologue, il ouvrit mon vagin pour mieux en explorer les chairs. J’appréciai de m’abandonner à ses visites
intimes qui violaient ma pudeur. Grâce à un petit miroir posé entre mes cuisses, il montrait les détails de mon vagin largement ouvert ainsi que son doigt qui entrait et sortait de mon urètre.
Etrange sensation de voir mes chairs intimes ainsi exposées. Mon urètre se dilata si facilement que le doigt de mon mari finit par glisser sans forcer. Bien dilatée, je me passai par la suite de
Xylocaïne, un simple gel lubrifiant suffisant amplement. Il se servit de sa première phalange pour caresser mon point G plus sensible par ce chemin. Un plaisir peu commun s’empara alors de
moi.
Alors que je m’habituai aux doigts de mon mari, il essaya
d’introduire un petit vibromasseur. Il m’expliqua que sentir mon urètre vibrer au niveau du point G engendrerait d'irrésistibles orgasmes. Croyez-moi, si j’avais su combien ce petit appareil me
stimulerait, je l’aurai essayé bien plus tôt. Une fois enduit de gel lubrifiant, il l’introduisit délicatement. Grâce aux vibrations, il glissa sans forcer dans mon urètre tout en l’étirant. Les
vibrations me procurèrent d’abord une sensation de picotement et d’agacement incontrôlable. Mon mari le poussa délicatement dans les profondeurs de mon urètre. Et en arrivant au sphincter, les
vibrations l’ouvrirent d’un seul coup. Incapable de me contrôler, je jouis en laissant mon urine gicler sans plus aucune retenue Une pure extase de me laisser aller ainsi.
Ces orgasmes intenses me donnèrent l’idée d’essayer avec
son pénis, une escalade somme toute normal arrivé à ce stade. Or, insérer un petit vibromasseur fut une chose, mais entrer le pénis de mon mari en fut une autre. Il habitua d’abord mon urètre à
se dilater en y insérant un deuxième doigt puis un troisième. La Xylocaïne vint en renfort afin de ne pas gâcher mon plaisir. Il ne réussit pas du premier coup malgré l’impressionnante dilatation
de l’urètre. Il insista néanmoins en utilisant une grande quantité de lubrifiant. Il faut savoir que contrairement au vagin, l’urètre n’est pas auto-lubrifié.
La première fois, son gland bien trop gros ne
réussit pas à forcer mon petit trou. Son membre au gland turgescent ne glissa pas comme dans mon vagin car les chairs de l’urètre trop serrées se rétractèrent en même temps que ses mouvements
d’intromission. Il faut savoir que l’urètre n’étant rattaché à aucun muscle, il « flotte » librement entre le vagin et la vessie. Mais passée la phase d’étirement, le plaisir arriva. A
force d’entrer et sortir sa verge dans mon urètre, je jouis simultanément plusieurs fois de suite. Dans un éclair de lucidité, je demandai à mon mari de pousser plus fort, de s’enfoncer encore
plus en moi. Il força, mais après sept à huit centimètres de pénétration, il sentit un blocage. Follement excitée, je lui dis d’insister malgré la douleur. Et d’un seul coup son pénis pénétra
dans ma vessie en forçant le sphincter à s’ouvrir. Son gland à l’intérieur de ma vessie, ce fut l’extase, brutal et indomptable. Sous les coups de boutoirs de son sexe, l’enfer se déchaîna.
Impossible de décrire mes jouissances, des orgasmes à répétition qui s’enchaînèrent sans me laisser le temps de reprendre mon souffle. Quand son sperme gicla dans ma vessie, ce fut l’apothéose.
Incapable de me contrôler, j’hurlai de plaisir en l’aspergeant de cyprine mélangée à mon urine. Que se passa-t-il ensuite ? Je fus incapable de me le rappeler. Tout ce dont je me souvins, je
jouis tellement de fois que je perdis la notion du temps. Je pense même m’être évanouie. Il me fut impossible par la suite de décrire la sensation éprouvée, une explosion hors du temps. De ma
vie, je n’avais ressenti de telles jouissances orgasmiques.
Chose surprenante, lorsque je repris conscience, mon mari
essayait de sortir son pénis de ma vessie. Mais le sphincter s’étant refermé, son gland restait coincé dedans. A chaque fois qu’il tenta d’en sortir, j’eus l’impression qu’il déchirait mes
entrailles. Je paniquai et nous vit à l’hôpital, soumis à la moquerie du personnel soignant. Heureusement que mon mari ne s’affolait pas facilement, il avait sa recette. Il me parla des
politiques et de leur incapacité à gérer notre société, ce qui nous déconnecta complètement de la sexualité. Et en moins de dix minutes sa verge se rétracta suffisamment pour sortir son gland de
ma vessie. L’urètre enfin dégagé, je pissai des flots d’urine mélangés à son sperme.
J’insistai par la suite pour que mon mari me prenne ainsi
à chacun de nos ébats. A la fin, j’en oubliai presque mon vagin tellement mon plaisir par l’urètre fut fort. Pour ne pas le brimer, je le prenais à chaque fois à fond dans ma bouche et avalais sa
semence lorsqu’il jouissait. Il prit goût à mes fellations gourmandes et décharger son sperme de cette façon le combla autant que jouir dans mon urètre.
Par contre une angoissante question se posa à moi.
Allais-je devenir incontinente à force d’avoir l’urètre régulièrement dilaté et le sphincter de ma vessie forcé. Je craignis que mon petit trou s’élargisse monstrueusement et m’oblige à
faire pipi toutes les dix minutes. Il y avait tellement de femmes qui parlaient d’incontinence que je m’inquiétai. Aussi étrange que cela paraisse, je n’eus jamais de fuite. Je dirais même que je
contrôlais mieux ma vessie. Peut-être était-ce liés aux exercices de Kegel que je pratiquais quotidiennement depuis la naissance de nos deux filles, des exercices qui renforçaient mes muscles
périnéaux. Bien que mon mari me pénétra souvent l’urètre avec son pénis, je dormis les nuits sans aucun problème de fuite. Comme toutes les femmes, je faisais pipi trois à quatre fois par
jour.
Un conseil de prudence à celles qui se lancent dans cette
forme d’extase. Ayez toujours une hygiène irréprochable, ne forcez jamais les chairs et stérilisez systématiquement tout ce qui s’introduit dans l’urètre afin d’éviter une infection. Pour
conclure, je dirai que je jouis à présent de mon urètre comme une femme jouit de son vagin. De plus, mon mari adore me prendre ainsi car son pénis est mieux serré dans mon petit
trou… »
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