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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

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Dimanche 3 mai 7 03 /05 /Mai 20:19

    Dans la vie de tous les jours, Kate est une femme douce et aimable. Comme beaucoup de mère, elle adore ses deux filles et son mari. Mais dans un registre plus intime, elle se métamorphose lorsqu’il s’agit de sa sexualité. Elle exhibe non ses faiblesses de femme, mais sa volonté de se surpasser, de « brûler » son corps dans une projection qui va au-delà de la raison.  Son devenir tendant vers une sexualité volontaire, son mari ne fait que s’adapter à ses désirs. Femme mature, la voilà donc à explorer avec lui un territoire inconnu, lieu de toutes les impudeurs cachées.  Le coït urétral chez elle n’est que l’aboutissement de caresses contre nature. Elle expérimente l’obscène et les images qui s’en dégagent lui procurent d’intenses émotions. C’est pourquoi, elle encourage son mari à explorer les plaisirs nouveaux de son urètre…

     « Quelques jours plus tard, mon mari reçut par la poste une sonde bien plus grosse. Je craignis qu’elle me fasse mal, mais il me rassura : « N’ais crainte ma chérie, l’urètre chez les femmes se dilate facilement si on prend les précautions d’usage. » Nouvelle séance encore plus excitante que les premières, un sentiment d’étirement des chairs qui me laissa pantois. Lorsque la sonde franchit le sphincter de la vessie, j’eus un sursaut incontrôlable et je jouis sans même caresser mon clitoris. J’avouai alors à mon mari combien j’appréciais ces nouvelles caresses. Je le remerciai du plaisir qu’il m’offrait en le prenant dans ma bouche. Lui aussi jouit rapidement tellement il avait été excité de me caresser ainsi.

     Au cours des semaines suivantes, nos jeux sexuels se concentrèrent principalement sur la dilation de mon urètre. Et ressentir le sphincter de ma vessie s’ouvrir sous la poussé de la sonde me procura des sensations inouïes. En fait, la sonde excita bien mieux mon point G par ce chemin. Je rebondis de jouissance en jouissance jusqu’à m’écrouler sans force tellement cela m’épuisa. J’en vins à préférer ces plaisirs à la pénétration vaginale. Après quelques temps, mon urètre s’adapta facilement à ces dilations.

tumblr mwvqnvVzRn1s2pyv5o1 250      Une idée me traversa l’esprit. Mon mari, arriverait-il à entrer un doigt ? Il me sourit sans rien dire... Je réussis un jour devant lui à y entrer mon index. Oh rassurez-vous, juste la première phalange. Un doigt dans l’urètre et mon autre main caressant mon clitoris, je vous laisse imaginer mon orgasme. Difficile de décrire le plaisir ressenti et mon intérêt grandissant pour ce petit trou. On essaya aussi des bougies coniques, de plus en plus grosses. Rien qu’en les achetant, je mouillai ma culotte. Waouh, vite rentrer à la maison, me déshabiller et me mettre en position gynécologique pour sentir en moi ces bougies. Mon mari en prit une et la trempa dans une solution stérilisante après avoir coupé la mèche avec un ciseau. De le voir préparer la bougie m’excita au point que je le suppliai d’aller plus vite. Mon petit trou ne pouvait plus attendre.

    Il enfonça alors délicatement la pointe de la bougie qui était beaucoup plus grosse que mon doigt. Bien que brulantes, mes chairs distendues me procurèrent un plaisir inouïe. Lorsque la bougie atteignit le sphincter de la vessie, j’explosai comme une folle. Une pure extase, je rebondis d’orgasme en orgasme, une jouissance continue, sans plus aucun temps mort.

     D’étirement en dilatation mon mari me dit un jour : "Maintenant tu es prête. Je vais essayer d'y entrer un doigt." Or, c’est un solide gaillard mesurant près d’un mètre quatre vingt dix. Ses doigts étaient bien plus gros que les miens. Afin d’éviter la douleur à l’introduction, il acheta de la Xylocaïne à 5%, un anesthésiant local. Il se lava consciencieusement les mains, se coupa l’ongle du majeur à raz et l’enduisit copieusement de Xylocaïne. Quand il commença à me sonder, je me penchai en avant pour mieux voir son doigt s’enfoncer. Je ne sus pas lequel de nous deux fut le plus excité. Lorsque son doigt franchit le sphincter, j’explosai littéralement. Impossible de me retenir, impossible de me contrôler tant mon plaisir fut fort. A la fin,  je fus au bord de l’évanouissement. Mes cris réveillèrent certainement tout le quartier. Mon mari impressionné me calma de ses doux baisers. Jamais de ma vie je n’avais jouis aussi fortement... »

A suivre


Par Epile - Publié dans : DIVERS
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