PRESENTATION

  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

DERNIERS COMMENTAIRES

Recherche

Samedi 6 décembre 6 06 /12 /Déc 19:01

     Après ces considérations importantes sur sa conception des nourrices pour adultes, reprenons les explications d’Eva :

     « Tu comprends bien qu’étant moi-même une telle nourrice, mon but est d’allaiter toujours plus de clients. La nature m’a doté de seins généreux et de montées de lait impressionnantes. N’est ce pas là un signe du destin ?

     Tu le sais peut-être, les montées de lait dépendent étroitement de la stimulation des glandes mammaires et sont donc directement liées aux nombres de tétées quotidiennes. En un mot, plus une femme allaite et plus elle produit de lait. Pour nourrir son bébé de trois mois, une mère produit en moyenne 750 à 850 ml de lait par 24H00. Quant aux mères qui nourrissent des jumeaux leurs glandes mammaires s’adaptent naturellement à la demande, ce qui fait qu'elles doublent facilement leur capacité de production. Et que penser de ces mamans qui dès qu’elles entendent crier leur nourrisson ont des montées de lait ?

     Vois aussi mon exemple ! Quand j’ai commencé à vendre mon lait, les nourrices du site me conseillèrent de tirer mon lait, même la nuit, toutes les deux à trois heures pour en produire plus. Une condition toutefois pour que ça marche, vider complètement mes seins à chaque séance pour bien stimuler la production des glandes mammaires. Elles avaient juste omis de préciser qu’il fallait ralentir le nombre de tétées quelques jours après. Résultat, je me retrouvai avec des seins énormes engorgés en permanence. De plus, je tirais naïvement mon lait jusqu’à la dernière goutte en pensant limiter ainsi l’engorgement et donc les écoulements de lait involontaires. Or, cela ne fit qu’engendrer des montées de lait encore plus conséquentes. Les soutiens-gorges d’allaitement et les coquilles que je portais ne servirent à rien tellement mon lait s’écoulait de mes seins. A ce rythme, je finis par produire près de quatre litres par 24H00. Mon frigo ne se désemplit plus. Combien de femmes peuvent se vanter d’atteindre une telle quantité ? C’est la même chose avec mes clients. Comme ils sont gourmands, ils me vident complètement à chaque tétée. D’où des glandes mammaires qui produisent toujours plus de lait afin de répondre à leur demande.

     Il y a des femmes qui tentent de battre des records avec leur poitrine énorme. D’autres n’hésitent pas à se faire poser des implants mammaires démesurés. Moi, ce qui m’importe, c’est de produire toujours plus de lait. De par une morphologie avantageuse, il existe chez moi un délire fébrile de savoir jusqu’où je peux aller, de définir ma capacité physiologique maximum. Voilà où réside mon fantasme. A ma connaissance, aucune femme n’a relevé ce défi, c’est justement cela qui me passionne ».

     Son challenge me rappela étrangement ma propre démarche avec Yasmina. Grossir toujours plus mes seins avec des hormones féminisantes puis induire une lactation pour qu’ils grossissent encore plus en se gonflant de lait. Ah! si seulement j'arrivis à une taille C, je pourrais boire directement à mes seins. Et quel bonheur de pouvoir vivre ce que ressent une femme quand elle allaite... Sur un site internet, j’avais discuté avec des transsexuelles qui induisaient volontairement une lactation. Adepte de l’ANR ou de l’ABF*, c’est ainsi qu’américains et canadiens désignent l’allaitement entre adultes, c’était pour elles le meilleur moyen de se sentir femme. A force d’allaiter, elles arrivaient à avoir une taille de bonnet appréciable, du C, voire du D pour les plus favorisées biologiquement. Inutile de préciser qu’elles préféraient leurs seins naturellement hormonés aux grosses prothèses mammaires artificielles. Avec mon petit A, je perdais tout espoir d’allaiter. Fallait-il y laisser ma virilité tellement ce défi m’excitait :

-          Incroyable ! Mais n’est-ce pas gênant d’allaiter si souvent et d’engendrer des montées de lait en permanences ?

-          Non, plutôt une obsédante volupté…

-          Waouh, je vous admire pour cela. Qu’une femme en vienne à ces extrêmes par passion me fait délirer autant que vous.

-          Figures-toi mon petit qu’entre autres clients masculins, j’ai des sportifs et des bodybuilders bien musclés. Ils consomment mon lait comme complément alimentaire. Ils affirment que les nutriments et les protéines contenues dans le lait de femme fournissent de l’énergie et construisent les muscles de façon plus naturelle.

-          Cela me surprend. Et c’est confirmé ? 

-          Je ne sais pas, mais ils sont de plus en plus nombreux à s’inscrire sur ma liste de clients…

-          Vous m’aviez dit aussi combien vous adoriez vous sucer les seins et boire votre propre lait.

 

auto-allaitement.jpg

-          C’est une gourmandise que je satisfais depuis que ma fille a cessé de téter.

Sa réponse me rappela Maman qui elle aussi buvait son propre lait.

-          Vous me faites penser Eva à ces hommes qui boivent leur sperme quand ils jouissent. Moi, je n’y arrive plus, ça m’écœure maintenant.

-          Oui je sais. Mes seuls clients qui sont habitués au goût de leur sperme ont commencé très tôt, à l’adolescence.

Je confirmai. A quinze ans, il n'était pas encore question de "coucher" avec des filles du temps de ma génération. Et pourtant, je ne cessai d'affabuler sur elles. Pour apaiser mon esprit tourmenté et ma queue bandante, je me masturbais à longueur de journée. Au cours d'une discussion, un copain de classe me parla d'auto-fellation. Mince et d'une souplesse au dessus de la moyenne, je réussis à me sucer le gland sans trop de contorsions. Me sucer la verge ainsi et jouir directement dans ma bouche m'apporta de nouvelles sensations. A défaut de fille, me nourrir de mon propre sperme devint un plaisir qui me rappela le lait de Maman. Or aujourd’hui, je suis incapable d’avaler mon sperme après un orgasme. Autant j’en ai envie avant de jouir autant cela m’écœure après l'orgasme libérateur. Mais comment font tous ces soumis que des maitresses obligent à boire leur sperme ?

Eva s’amusa de ma réplique.

-          Pour en revenir à la lactation mon petit, je bois mon lait uniquement si je n’ai personne sous la main. Lorsque mes seins s’engorgent, je sors un sein et je le vide pour mon plus grand plaisir. Ca me soulage immédiatement. Mais je reconnais que c’est épuisant parfois. Supporter à longueur de temps une poitrine si lourde pèse sur mon dos. Quant aux montées de lait, elles sont parfois douloureuses, sans compter que mes mamelons deviennent très sensibles à cause des nombreuses tétées.

-          Puis-je vous poser une question indiscrète ?

-          Oui, que veux-tu savoir ?

-          Avez-vous un compagnon de vie actuellement ?

-          Non. De par mon métier de nourrice, j'évite de m’encombrer d’un amant, il serait trop jaloux. Des clients m’apportent heureusement ce moment d’intimité dont une femme ne peut se passer. Si un homme me veut tout à lui, qu’il se passionne autant que moi pour mes seins plein de lait et m’assume financièrement. Tu sais, je gagne bien ma vie maintenant.

     A voir la qualité des habits et les bijoux que portait Eva, je n'en doutai pas. Vendre son lait en allaitant des adultes lui rapportait gros. Je songeai alors aux prostitués de France et à tous ces hommes qui cherchaient désespérément une femme allaitante, des hommes prêts à payer cher une femme vénale pour satisfaire leur fantasme lactophile. Elles étaient vraiment stupides ces prostitués françaises d’ignorer cette « spécialité » si rémunératrice bien que contraignante…

 

* ANR et ABF, deux sigles utilisés en Amérique du Nord pour désigner les amateurs de lactation.

 

ABF correspond à "Adult Breast Feeding". Cette expression s'adresse à des adultes amateurs de lactation érotique en général.

ANR correspond à "Adult Nursing Relationship". Cette appellation définit des couples qui basent leur relation sur un allaitement à long terme. Ceux-là sont d'authentiques lactophiles.

Dans les deux cas, ce mode de vie exclut les amateurs de régression enfantine ou de couches-culottes qui jouent au bébé.

A suivre

 

Par Epile - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Retour à l'accueil
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés