PRESENTATION

  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

DERNIERS COMMENTAIRES

Recherche

Dimanche 21 décembre 7 21 /12 /Déc 20:01

     Je vous laisse imaginer dans quel état d’esprit je reçus Eva chez moi. Etre face à une femme qui fantasmait sur une poitrine la plus grosse possible et qui rêvait d’allaiter les hommes de la Terre entière enflamma mes sens. Mon dieu, quel délire ! Ses seins nus et énormes d’où une goutte de lait perlait encore, finirent par trahir mon émoi. Mon estomac saturé, je n'avais pas réussi à les vider complètement. Elle remarqua la bosse sous mon pantalon et s’en amusa :

"Viens mon petit, on est là pour la tétée, pas pour faire l’amour me lança-t-elle".

Assise sur le canapé, elle posaa un coussin sur ses cuisses pour bien caler ma tête dans le but de m’allaiter. Je m’allongeai maladroitement en travers de ses cuisses. D’autorité, elle tourna mon visage vers son sein, ce qui manqua de m’étouffer. Puis elle saisit son mamelon et le titilla fermement entre le pouce et l’index. Une goutte de lait s’en échappa : « Je prépare la « tétine », me dit-elle ». L’extrémité du mamelon gonfla et se durcit rapidement. D’une main agile, elle l’introduisit dans ma bouche ouverte comme le ferait une mère avec son enfant. Le téton était ferme et le sein sentait bon le lait maternel. Je commençai à sucer. J’eu quelques difficulté au début à m’adapter à la forme du sein trop gros. Eva me conseilla tout en positionnant correctement ma tête et son sein pour favoriser une tétée en douceur. Heureusement que ma passion de la lactation avec Yasmina m’avait enseigné les bons mouvements de succion. Il ne s’agit pas d’aspirer comme le font mécaniquement la plupart des hommes, mais de prendre pleinement le sein dans la bouche puis de former la langue en cuillère pour envelopper correctement le mamelon par dessous. Alors la tétée peut commencer pour le plus grand plaisir d'Eva. 

     Excitée par ce délicieux contact, ma bouche engloutit un maximum de chair et ma langue s’adapta parfaitement au sein d'Eva. Quand le lait coula, une langueur étrange m’envahit, un mélange de plaisir et de douceur. J’avalai ce rare breuvage avec délice. Ma succion dans un va et vient permanent sembla ravir Eva. 

     Elle rejeta sa tête en arrière et accompagna mes succions d’un léger mouvement de son bassin. Ses cuisses s’ouvraient puis se resserraient imperceptiblement. A cause de ce mouvement mon corps glissa. Elle s’en aperçu, passa machinalement sa main gauche entre mes cuisses et d’un mouvement ferme me remonta vers son sein. Son geste brutal écrasa mon sexe dans le pantalon. Avait-elle senti la raideur de ma verge sous sa main ? Toujours est-il, qu’elle la laissa posée en travers de mon ventre : «  Je te retiens, mon petit, ainsi tu ne glisseras plus. Allez, tête, tête encore. Régales-toi et vide complètement cette mamelle, il y en aura une autre après. »

 allaiter

Je tétai longuement, à un rythme régulier, sentant le lait chaud envahir délicieusement mes entrailles. Je bus ainsi pendant cinq minutes tandis qu’Eva pressait son sein régulièrement d’une main pour mieux en extraire le lait. Curieusement, le goût du lait changea au fur et à mesure que le sein se vidait. Une fois vidé, elle fit alors un mouvement en arrière et le dégagea de ma bouche. Le mamelon énorme et tout boursoufflé faisait bien deux centimètres de long. Je remarquai le regard troublé d’Eva. Visiblement mes tétées réagissaient sur sa libido : « A l’autre maintenant, dit-elle d’une voix calme en me présentant le sein gauche ».

Le téton était déjà raidi. Elle me l’enfourna dans la bouche et me dit d’une voix rauque :

- Allez vas-y, prend ton plaisir mon petit, déguste sans modération. Bravo, tu têtes bien avec ta langue, c’est agréable. 

- J’adore, fut ma seule réponse, la bouche à nouveau pleine.

Et je me remis à téter délicieusement, mon visage coincé d’un côté par le sein que je venais de vider et écrasé de l’autre par la masse laiteuse qui remplissait ma bouche. 

     Eva avait, me sembla t-il, remonté sa robe sur ses cuisses potelées. Ses doigts bougèrent sous mon corps à demi allongé, un mouvement lent d’abord qui s’accéléra et devint répétitif. Je sentis distinctement l’odeur caractéristique de la cyprine monter à mes narines. N’y tenant plus, Eva accéléra le rythme et jouit dans un râle sans fin. Alors qu’elle se cambrait de plaisir, son sein s’échappa de ma bouche. Quelques gouttes s’écrasèrent sur mon visage. J’attendis sans bouger, ne voulant pas perturber sa jouissance. Elle reprit rapidement ses esprits.

- Allez petit, c’est fini. Tu m’as fait jouir tellement c’était bon.

- Mais je n’ai pas terminé Eva, il reste du lait dans votre sein… 

- Regarde mon petit comme tu m’as excité, je suis toute mouillée ! J’ai encore envie de jouir rien que pour toi. Veux-tu maintenant que je te fasse goûter à ma jouissance…

Elle se pencha alors en avant, souleva d’une main son sein à moitié-plein de lait et mis son téton facilement dans sa bouche tellement le sein était volumineux. Puis elle commença à se téter. Devant mon air ébahi, elle en rajouta. Elle releva sa robe et écarta largement ses cuisses. Elle ne portait pas de culotte. Je vis distinctement sa chatte épilée encore toute mouillée par sa précédente jouissance. Provocante, elle se caressa la vulve devant moi sans aucune gêne tout en buvant son propre lait. Je m'accroupis devant elle et je regardai émerveillé. Au moment de jouir, elle me saisit vivement la tête et l’appuya contre son vagin ouvert. Elle se cambra puis arrivèrent des giclées de cyprine que je bus avidement. Quelle sensation bizarre de sentir le goût du lait se mélanger à la cyprine.

     Je ne résistai pas. Excité par l'ambiance, mon visage tout humide de sa mouille, je sortis ma verge du pantalon et je me masturbai à mon tour debout devant elle. Eva cessa de se téter et me regarda en profitant du plaisir qu’elle avait engendré. Lorsque j'éjaculai, je visai sa vulve entre ses cuisses écartées. De longs jets puissants de sperme comme ceux de ma jeunesse passée. Je ne pus retenir des cris tellement ma jouissance fut forte…


Par Epile - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Retour à l'accueil
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés