Partager l'article ! Allaiter, 9, DES ALLAITEMENTS IMPUDIQUES: Après ces explications laborieuses sur la taille des seins et les soutiens-gor ...
Après ces explications laborieuses sur la taille des seins et les soutiens-gorges à utiliser, revenons à ma discussion avec Eva. Assise sur le canapé du salon avec ses énormes seins sortis du corsage, je me passionnai pour ses confidences. Non seulement cette femme hallucinait sur sa généreuse poitrine, mais aussi sur son délire extravagant de produire toujours plus de lait. Allaiter toujours plus de clients, je trouvai cela fascinant. Délirer à ce point me rappela ma propre phobie d’avoir de gros seins plein de lait pour allaiter à mon tour, ce qui pour un homme relevait d’un véritable challenge.
Eva me changeait de ces femmes qui s’offusquaient dès qu’on parlait de lactation érotique : « Je ne suis pas une vache à lait » ou « mon lait, c’est pour bébé ». Quand je ne me faisais pas traiter de débile mental ou de pervers… Au cours de montées de lait trop généreuses, les femmes en général préféraient gaspiller ce précieux breuvage en vidant leurs seins à la main alors que tant d’autres personnes rêvaient de le boire. Quel monstrueux gâchis de dilapider son lait quand on a la chance de pouvoir allaiter. Et que dire de ces femmes qui, refusant d’allaiter leur bébé à la naissance, prenaient des médicaments pour neutraliser les montées de lait. Des féministes qui rejetaient leurs fonctions naturelles au détriment de leur enfant. Que ces mères indignes évitent de me donner des leçons ! Avoir des seins qui gonflent et deviennent lourds et très sensibles sous l’action des montées de lait est une expérience merveilleuse. Que ce soit avec un nouveau-né ou un adulte, allaiter est un geste fort qui se partage à deux. Moi qui essaie d’avoir de gros seins, qui rêve de pouvoir allaiter, j’envie les femmes pour cela.
Malheureusement, les préjugés dans lesquels on nous élève, l'emprise des lois et de la religion nous contrarient dans la recherche de notre propre sexualité. Le plaisir ne se résume pas à écarter les cuisses ou à s’enfoncer dans des vulves humides. Tout individu doté d'une intelligence devrait apprendre à outrepasser les principes moraux et à braver la Loi des Hommes, seule façon de s’épanouir dans une totale jouissance. Plus on avance en âge, plus cette jouissance nous conduit vers la recherche de plaisirs raffinés. Je plains les gens qui ne franchissent jamais la barrière morale de leur pudeur. Ah comme j’aurais aimé être élevée dans un abandon total des principes sexuels entre un père et une mère qui m'aurait éduqué sexuellement. Mais bon, ne rêvons pas. Oh, voilà que je m’égare dans des considérations sexo-philosophiques…
Mais revenons à Eva. Elle m’expliqua longuement le processus de lactation qu’elle poursuivait. Pour me mettre dans l’ambiance, elle me rappela le rôle historique des nourrices :
« Les nourrices avaient pour fonction non seulement de garder les bébés, mais surtout d’allaiter les enfants qu’on leur confiait, d’où leur nom. Cela se faisait contre rémunération bien sur. Pour mieux gagner leur vie, certaines louaient leurs services à plusieurs familles et allaitaient donc plusieurs enfants en même temps. Sans compter qu’il leur arrivait parfois d’allaiter discrètement des hommes. Il était reconnu à l’époque que le lait maternel avait des vertus régénératives chez les hommes âgés... L’allaitement durait plusieurs années parfois. Bien souvent la nourrice s’arrangeait pour que l’enfant devienne dépendant de son lait car c’était un revenu assuré pour elle. L’usage voulait que les enfants allaités par des nourrices soit de fait « frère ou sœur de lait », une appellation tombée en désuétude aujourd’hui.
Ce qui distinguait les nourrices des autres femmes était leur opulente poitrine toujours pleine de lait. Or, ce n’était pas lié à leur corpulence, mais à leurs glandes mammaires qui se développaient bien plus à force d’allaiter plusieurs enfants tout au long de leur vie. De ce fait, leurs seins produisaient donc plus de lait qu’une mère nourrissant uniquement son bébé. Hélas, la médecine moderne s’en mêla et déconseilla vivement l’allaitement par les nourrices pour des questions d’hygiène. A ses critiques s’ajoutèrent les contraintes de la modernité, le travail des femmes qui laissait moins de temps pour allaiter et les industries laitières appâtée par les débouchés financiers du lait artificiel. Ce qui raya définitivement de la vie sociale les nourrices traditionnelles. Le biberon avait gagné la bataille et tant pis pour les bébés qui en subissaient les conséquences ! Pourtant ces nourrices rendaient de nombreux services aussi bien aux mères indigentes qu’à celles de l’aristocratie et de la haute bourgeoisie. Dans ces milieux, allaiter son enfant renvoyait à une animalité mal acceptée.
Heureusement qu’on assiste aujourd’hui à un regain d’intérêt pour l’allaitement naturelle. Conseillés par l’OMS, nombreux sont les organismes qui favorisent l’allaitement au sein malgré les contraintes de la vie moderne. Reconnaissons qu’il est difficile pour une mère d’allaiter son enfant quand elle reprend son travail. Un problème partiellement résolu au Canada où les entreprises proposent au sein de leurs structures des garderies d'enfants et des salles d’allaitement.
Conditionnées par ces nouveaux comportements, les médias et l’Internet en particulier, ne se privèrent pas d’en parler avec moult photos à l’appui. Ce qui créa par conséquent bien des fantasmes chez les hommes qui rêvèrent de gros seins qui giclent du lait tous azimuts. Et ne parlons pas des femmes allaitantes qui se sentent brimées par les interdits sociaux. Combien auraient aimé secrètement que leur conjoint s’intéresse à leurs seins plein de lait ? L’allaitement procure du plaisir, ne pas le reconnaître, c’est ignorer les lois de la nature. Tout ces amateurs de lait profitent donc de ce fantasme pour se dévoiler ouvertement sur le Net. On le constate aujourd’hui, les nourrices sont de retour, mais sous une forme dénaturée par la morale puritaine. Soit elles tirent leur lait pour le vendre en flacon à des mères indigentes, soit elles s’adressent discrètement à un public d’adultes sur le Net. »
Mon Dieu comme j’aimerais être à la place de ces femmes qui ont des seins généreux et ressentent les fourmillements annonciateur des montées de lait. Ah ! je rêve du jour ou j'aurais de si gros seins que je pourrais les sucer directement et de cette façon induire une lactation plus facilement . Pouvoir m'allaiter directement à mon tour ! L'idée occupe en permanence mon esprit...
A suivre
> Totalement blasé, il ne me serait resté que la dépravation.
Si je lis entre les lignes, cela sous-entend que pour toi la sexualité n'est qu'une fuite en avant ? Il en faudrait "toujours plus" ?
C'est un point de vue intéressant !
"Une fuite en avant", non l'expression ne me convient pas. Les lois et la morale populaire limitent la sexualité par la pudeur qu'elles nous imposent. S'affranchir de ces limites permet de pratiquer une sexualité plus ouverte qui, j'en conviens, risque de conduire vers la dépravation et la débauche.
La débauche, disait Balsac, ce monstre admirable avec lequel veulent lutter les esprits fort...