Partager l'article ! Des hormones, 31, UN ASSERVISSEMENT ?: Soumis à l’influence de Yasmina, trois années passèrent ainsi à prendr ...
Soumis à l’influence de Yasmina, trois années passèrent ainsi à prendre toujours plus d’hormones pour vivre nos fantasmes les plus fous ensemble. Une merveilleuse escalade vers une femellisation que je ne contrôlais plus. Conséquence d’une poitrine qui se développait sous l’influence des hormones, je découvrais avec stupeur combien il était jouissif pour un homme de ressentir pleinement ce que ressent une femme au niveau de ses seins.
J’étais, sur un plan sexuel, un homme comblé bien que ma virilité avait souvent des ratés. Je pouvais enfin me libérer avec Yasmina de toute cette perversité féminine refoulée qui m’habitait depuis tant d'années. Plus aucune retenue avec cette femme ! Qu'il était bon de pouvoir exprimer mes plus folles extravagances sexuelles ! Je me laissais enfin aller, dévoilant avec force détail mes fantasmes sans plus aucune pudeur. Je me confiais intimement, des fantasmes qui restaient enfouies dans mon inconscient et que je ne dévoilais jamais, même à Rio mon ex-compagne transsexuelle. Ce qui excitait d’autant Yasmina quand j'en parlais. Moi qui pensais être un homme libéré sexuellement, je me rendais compte à son contact combien je restais pudique par rapport à ses propres fantasmes. Passer pour un pervers aux yeux d’une telle femme qui me désirait ainsi me procura un sentiment troublant.
Soumis à l'allaitement de Yasmina, un fort désir d’allaiter à mon tour prit corps en moi. Avoir des montées de lait devait procurer des sensations féminines encore plus fantasques. Je finis même par vouloir téter mes propres seins, boire directement le lait qui en jaillirait et ainsi me nourrir de mon propre lait ; un auto-allaitement que certaines femmes réalisent lorsqu'elles ont de gros seins. Une réaction difficilement compréhensible pour des gens qui n’ont jamais vécu une telle expérience. Oui, mais pour arriver à mettre mes tétons dans ma bouche , il fallait développer encore plus mes glandes mammaires et donc prendre toujours plus d’hormones féminines. Un challenge difficilement réalisable quand on sait que je désire rester un homme en apparence. Or, malgré les importantes doses hormonales que prennent les transsexuelles, leurs seins sont d’une taille bien inférieure à celle des femmes biologiques. Ce qui n'empêchait pas certaines d'entre elles d'avoir des montées de lait involontairement, surtout quand elles prenaient trop d'hormones. Fallait-il m'orienter dans cette voie ? Yamina le pensait sincèrement.
J’adorais quand Yasmina me tétait les seins. Par jeu, je les pressais devant sa bouche ouverte, mais aucune goutte n’en sortait. Elle le disait clairement : « Si tu veux avoir de gros seins remplis de lait, augmente tes doses hormonales, prends aussi des anti-hormones mâles pour réussir. » En fait, je ne m'en rendais pas compte, mais Yasmina profitait de mon fantasme pour me femelliser davantage, que j’arrive à un point de non-retour telle une transsexuelle. Qu’une femme en vienne à me désirer ainsi ne manquait pas de m'exciter : « Puisque tu deviens impuissant et stérile, tu n’as plus rien à perdre. me disait-elle. »
Quel fou j’étais de craquer une nouvelle fois ! Malgré ma stérilité apparente et mon impuissance qui s’affirmait, je continuais donc de m’hormoner toujours plus. Non seulement je me nourrissais aux seins de Yasmina, mais conditionné par sa propre libido, je faisais tout mon possible pour développer une grosse poitrine et induire une lactation. Ah ! Si seulement j’arrivais à faire gicler mon lait comme elle ! Pas un seul jour sans que j'aillesur des sites pornos voir des femmes allaitantes dans des vidéos X. Un fantasme fou diront certains, mais si excitant pour Yasmina et pour moi. En me conditionnant à avoir de gros seins débordant de lait, elle me féminisait davantage, ce qui stimulait d’autant sa libido.
Elle aussi avait évolué dans ses fantasmes. De par son clitoris hors norme, Yasmina ne réagissait en fait qu'à des jouissances clitoridiennes, la pénétration ne lui procurant pratiquement aucun plaisir. D'ou sa réaction à ne considérer mon sexe que comme un appendice mort qu'elle préférait torturer à loisir. J'avoue que faire l'amour à cette femme sans avoir à me préoccuper de bander était rassurant dans mon cas...
PS : Selon les psys, ce désir profond d’avoir de gros seins remplis de lait fait de moi un autogynéphile. Je le rappelle, l’autogynéphilie est le désir profond de transformer son corps ou une partie de celui-ci, mes seins en l'occurrence, en celui du sexe opposé dans le but de ressentir une forte excitation sexuelle. En un mot, prendre des hormones féminisantes pour développer mes seins et provoquer des montées de lait me fait bander. Un comble quand on sait que les hormones me dévirilisent complètement.
Ma femme Nadia et moi, son mari soumis et cocu, on adore votre site. Moi personnellement, j'ai bcp aimé votre style d'écriture, vos belles expressions, vos textes (presque sans fautes?). Du Maroc, on vous envoie nos bisous les plus doux et on vous dit: meilleurs souhaits et longue vie à votre site !
Merci à Nadia et à vous Laila pour votre agréable commentaire. Je ne connais pas le Maroc et encore moins Tanger. On dit que c’est un pays agréable à vivre.
A tout hasard, j'ai tapé leilatvx sur le Net par curiosité. Outre les nombreuses propositions de Google, je me suis attardé sur un blog qui semble être le votre : http://lailatvx.blogit.fr/ Pourriez-vous me le confirmer. Si c’était le cas, j’aurai plaisir à le lire et pourquoi pas à le mettre en lien sur mon blog.
Quant à mon écriture, j'ai conscience qu'il me reste beaucoup à faire, ne serait-ce qu'au niveau de la concordance des temps. Mais je progresse…
Plein de bises à vous deux
Voici mon blog:
http://karim-travblog4evercom.blog4ever.com
Mais alors à qui appartiennent les sites qui portent le mêmes nom ? Je fais un lien depuis mon blog...
A moi. Utilise celui que je t'ai envoyé. Gros bisous !
http://karim-travblog4evercom.blog4ever.com
Je viens ici te parler d’une étape de mon adolescence lorsque j’étais encore au lycée.
2 à 3 fois par an, un membre de la famille, un oncle paysan et célibataire, venait nous rendre visite. Il rapportait à mon père sa recette des récoltes qu’ils partageaient ensemble.
Comme il n’y avait pas suffisamment de place pour qu’il dorme, mes parents m’ont demandé de partager, dans ma chambre, mon petit lit avec lui. Je ne pouvais pas refuser.
Ainsi, chaque nuit, quand nous nous endormions, collés l’un à l’autre, je sentais sa respiration sur ma nuque et quelque chose de dur, comme une barre de fer, se frotter sur mes fesses.
Je faisais comme lorsque j’étais, auparavant, à l’internat d’un collège quand certains élèves se relayaient pour me baiser : moi, je faisais toujours semblant d’être endormi, comme étant dans un état léthargique afin de leur faire croire que je ne sentais et ne remarquais rien ! Je faisais le mort, ne donnais aucun signe, ni d’approbation, ni de refus.
Il baissait mon slip et insinuait, lentement et doucement, sa matraque entre mes cuisses. Je le laissais faire. J’adorais cette sensation : sentir sa bite aller et venir entre mes fesses puis son sperme tiède jaillir jusqu’à buter contre mes petites couilles !
Je me sentais femme, femelle et lui, mon amant secret dont je rêvais, celui que j’imaginais chaque fois que je me godais.
Une expérience vécu par nombre d'enfants...
Moi-même j'ai été abusé sexuellement comme on dit en France, et pourtant j'ai adoré. Mais contrairement à toi, je n'ai jamais été sodomisé étant enfant. C'était pour moi la découverte d'une sexualité qui ne demandait qu'à s'épanouir avec des adultes. J'avais abordé ce sujet très discrètement dans mon blog. Ma mère était l'objet de toutes mes attentions sexuelles à l'adolescence. Un directeur de pensionnat, un oncle, puis une tante et une cousine se chargèrent de m'initier sexuellement. Ma mère ne fit que m'accompagner dans ce sens alors que j'aurais aimé aller plus loin avec elle.
Aujourd'hui, l'homosexualité est légale en France, mais les rapports sexuels avec des mineurs sont considérés comme des crimes sexuels. Autre temps, autres moeurs...