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Dans l'article précédent, j'exprimais mon attirance envers les transsexuelles non-opérées et donc l'idée d'être qualifié d'homosexuel par une société bien-pensante. A lire les réactions des lecteurs, il me semble intéressant de développer ce point de vu car beaucoup de gens s'interrogent à ce sujet.
"Coucher" avec une transsexuelle fait-il de nous des homos ?"
Il faut savoir que les hommes appréciant les transsexuelles ne sont pas attirés par les hommes. Bien au contraire, ils éprouvent une véritable aversion sexuelle à leur égard. Par contre, ils ne résistent pas à l’hyperféminité des transsexuelles. Ils les trouvent plus vraies que nature et bien plus sexy que beaucoup de femmes. Et là, plus question de chromosomes XY, c’est de l’attirance sexuelle pure ! Reconnaissons que les transsexuelles symbolisent aujourd’hui une féminité portée à son paroxysme ; féminité que les femmes biologiques abandonnent par soucis d’égalité sociale. Un droit normal, mais aussi un combat féministe qui finit par agacer les hommes. A mon avis, le féminisme consiste à rendre ses lettres de noblesse à la féminité, pas à nier les différences entre sexes.
Mais ou sont donc passées les pin-up des années cinquante ou les starlettes dénudées des sixties ? La mode d'aujourd'hui oblige les femmes à avoir une allure androgyne. Comme nous les hommes, toutes portent le pantalon et la veste aujourd'hui. Ont-elles conscience que cette mode est imposée par des stylistes homos qui préfèrent les hommes aux femmes ? Eux désirent des femmes aux formes longilignes, aux seins et aux fesses effacées, à l'image des jeunes garçons efféminés qu'ils adorent. Jeunesse et allure androgyne sont donc devenues des impératifs féminins. En conséquence, madame ne veut plus d'enfant car la grossesse dénature sa silhouette. De plus, son indépendance si chèrement acquise serait menacée. Si elle cède malgré tout au désir d’enfanter, elle refuse d’allaiter. Tout ce qui pourrait rappeler la maternité est banni, à commencer par ses seins qui n’ont plus aucune utilité maternelle. Les couples modernes se veulent égalitaires et infertiles par conséquent. L’égoïsme des femmes occidentales me révolte au point de leur préférer les femmes des pays émergents pas encore dénaturés par ces idées.
Cela explique peut-être le succès des transsexuelles bien plus féminines, libres de pensée et appréciant les choses du sexe sans se choquer. Les femmes en viennent d'ailleurs à les jalouser tellement elles sont belles, sexy et plus femelles. A défaut de transsexuelles, l'autre alternative est de nous rabattre sur des domina, seules garantes d'une libido qui exacerbe nos sens. Mais qu'il est difficile d'apprécier leur "fouet"... Nous voilà donc brimés par la gente féminine au point de nous rabattre sur les transsexuelles ou à devenir PD. Est-ce la seule façon qu'il nous reste pour exprimer une sexualité épanouie et libérée ? Oui, je le crains amèrement ! Nous ne sommes que des hommes après tout. L’attirance à l’égard des femmes sexys est une réaction naturelle chez les mâles. Or les femmes modernes nous en privent au non de l'égalité des sexes.
Bien qu’une relation transsexuelle engendre des caresses assimilables à de l’homosexualité, n’oublions pas que ces femmes sont avant tout attirées par des hommes hétéros ; ce qui les fait rejeter naturellement les femmes et les gays. Quant aux hommes qui les fréquentent, ils sont uniquement attirés par des femmes. Par expérience, je peux affirmer qu’une transsexuelle aux traits masculins ne les attire pas. Pire même; ils s'en moquent. C’est aussi le cas des travestis poilus qui se sentent femme le temps d'un orgasme. Ceux-ci engendrent dans l'esprit des gens une confusion des genres avec les transsexuelles.
Peut-on dire alors d’une relation avec une transsexuelle opérée qu’elle est hétérosexuelle ? A lire les avis des transsexuelles et les réactions des hommes qui les fréquentent, j'en suis certain. Mais qu'en est-il des femmes transsexuelles non-opérées, celles qui préfèrent jouir de leur sexe pour des questions d'équilibre psychologique ? Des psys, responsables de la normalité et spécialistes de la transsexualité, peuvent-ils répondre clairement à ce sujet ? Ceux-ci savent-ils au moins ce que ces femmes particulières pensent, ressentent et attendent de la société. Les ont-ils fréquenté hors de leur cabinet afin de mieux les comprendre ? J’en doute car l’analyse depuis leur canapé les déconnecte de la réalité. L’orientation sexuelle ou l’identité de genre ne se définit pas dans des livres, mais au contact d'une vie quotidienne avec ces gens. A cette occasion, je rappelle que la cour Européenne des Droits de l’Homme a obligé la France à légiférer sur l’identité de genre et la transsexualité. Ce qui permet officiellement aux transsexuelles d’avoir aujourd’hui un statut officiel de femme. Imaginez la tête d'un flic lorsqu'il voit une belle femme lui présenter son passeport et qu'il y lit sexe : Homme. Doit-il dire Monsieur ?
Manquerait-on à ce point de tolérance en France ? Je le pense, moi qui reviens de Thaïlande. Ce pays, fortement influencé par les préceptes du Bouddhisme, ne considère pas la transsexualité comme une déviance. La preuve, les garçons efféminés prennent des hormones féminisantes dès l’âge de dix ans et disposent de toilettes séparées dans plusieurs lycées. En précisant cela, j’écarte la prostitution des ladyboys à Phuket, des prostitués qui attirent les hommes du monde entier. A vous mesdames de nous proposer autre chose...
PS : A voir le taux de fréquentation en nette diminution sur mon blog, j'en déduis que cette question ne passionne pas les foules. Il semble que mes lecteurs préfèrent suivre mon évolution de soumis femellisé à outrance...
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