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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

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DES HORMONES

Lundi 12 septembre 1 12 /09 /Sep 18:43

      Maintenant que ma poitrine a atteint une taille de fille pubère, je me demande si elle peut encore se développer (bonnets AB). Il semble impossible d’aller au-delà d’une taille juvénile chez un homme de mon âge, car je m'y suis pris trop tard. D'ailleurs, arrivée à ce stade, les transsexuelles se font poser de généreuses prothèses mammaires. Or, il n’est pas question de me faire opérer comme elles. Je veux avoir de gros seins, mais naturels. Que me reste-t-il alors ? Selon des femmes qui allaitent, favoriser des montées de lait doit  permettre de gagner une à deux tailles de bonnets, soit passer à un B, voire à un C. Ce serait merveilleux.

     Et oui, tandis que mon ventre grossit outrageusement, j’ai l’impression que ma poitrine ne se développe plus. N'est ce qu'un sentiment ? Je reprends ses dimensions. Pas un seul cm de gagné en un mois ; je suis toujours à 98 cm de tour de poitrine et sous les seins à 92 cm. La tension mammaire et l’excessive sensibilité des mamelons ont totalement disparu suite à la prise de Progestogel. J’arrive même à rouler mes mamelons entre mes doigts sans ressentir de douleur.

big_photo_359371_8550051_201103105659221.jpg     Adepte de l’automédication, j’observe et j’analyse les réactions de mon corps avec attention. Ce manque de réaction peut-il trahir une saturation hormonale. A moins que ce soit lié à Progestogel. Je manque cruellement d’informations. Les signaux envoyés par mon corps sont trop imprécis pour comprendre ce qui se passe exactement et sur le Net, impossible de trouver le bon conseil. Les gens sont si superficiels. Pas question non plus de consulter un endocrinologue ou de faire une prise de sang. Il me prendrait pour un malade. Il me reste Yasmina pour me rassurer. Mais elle ne comprend pas mes appels au secours. Bien au contraire, elle continue à me désirer en femme. Elle dit même que je n'ai pas le courage d'assumer ma transformation. Pour me rassurer dans sa détermination, elle dit qu'elle ne me quittera jamais, que je peux lui faire confiance. Or, je suis prêt à la suivre dans cette démarche, mais elle s'absente parfois plusieurs semaines, voire des mois pour retourner dans son pays ou partir en mission d'aide humanitaire. Et lors de ses absences, je me remets en question si elle est trop loin de moi. 

     Je regarde ma verge flasque comme si les plaisirs qu’elle m’avait données n’étaient plus qu’un lointain souvenir. En quelques mois, j’ai perdu toute vitalité. Je me sens affaibli bien que je m’efforce de faire un peu d’exercice physique. Mais rien n’y fait. Muscles lisses et articulations douloureuses se rappellent constamment à moi. Mon corps se refuse à tout effort. Je perds ma vigueur d’homme et je suis fatigué d’être toujours mal fichu. De plus, mes rondeurs ne manquent pas de m’inquiéter. Au lieu de se féminiser, mon corps vieillit en s'engraissant. Triste constat ! Mon âge serait-il un réel handicap, les hormones féminisantes ne feraient-elles qu’ajouter à mon état déclinant ? Miné par des maux de tête et une faiblesse constante, je me sens usé, impuissant à contrecarrer les aléas de la vie.

     Coté psychisme, j’en prends aussi un sérieux coup. Je ne sais plus qui disait : " La vieillesse est un naufrage. " Je manque totalement de volonté et de concentration. Influencé par les hormones féminisantes, mon cerveau masculin livre une bataille perdue d’avance. Confronté à un fort désir de féminisation et à la nécessité de rester mâle, il est aussi paumé que moi. Le moral au plus bas, une déprime s’en suit. Je m’isole de la société et je perds le sens de l'existence. Je deviens extrêmement critique dans mon approche des choses. Un mal-être s’empare de moi. Je me sens bien uniquement quand j’écris durant des heures sur mes réactions hormonales et ma phobie des seins plein de lait. Hormis ma féminisation, mon travail est le seul point d’équilibre qui me rattache encore à une existence mâle.

hormonage.jpg     Obnubilé par le fait de grossir mes seins, j’ai tendance à m’isoler socialement. Sans Yasmina à mes cotés avec qui partager ma féminité, je me sens prisonnier de mon propre système. Livré à mes divagations solitaires, je remets ma féminisation en question. J’oscille en permanence entre virilité et féminité. Ma féminisation hormonale perturbe trop ma vie et ma santé. J’ai conscience de prendre des risques, de me détruire même. La question d’arrêter mon traitement hormonal se pose maintenant de façon cruciale. J’ai envie d’abandonner, car je sens que je m’enfonce dans un puit sans fond. Quoi de plus anormal qu’un homme stérile et impuissant avec une poitrine de femme ? Faut-il cesser les hormones féminisantes par prudence avant de perdre définitivement mon identité de mâle ? Et lorsque j'en parle avec Yasmina, celle-ci insiste : "Continue! Soit la femme que je désire. Deviens totalement femme si tu m'aimes". Sortir de son fantasme m'est impossible aujourd'hui. Je suis comme un drogué, à en perdre la raison. Intoxiqué par les hormones féminisantes, je m'enfonce dans unespirale sans fin dont je ne suis pas certain de sortir…

     A défaut d’amis dans le même cas, j’en parle sur des forums transsexuelles. En ce mois de vacances estivales, toutes me disent qu’un retour au statut de mâle est utopique. Cesser les hormones féminisantes entraine des effets négatifs aussi perturbants que de débuter un traitement féminisant. Les hormones laisseront des séquelles irréversibles aussi bien dans mon corps que dans ma tête. Mes capacités de mâle viril définitivement altérées, une nouvelle morphologie et une biologie plus féminine ont pris place en moi. Je me suis accoutumé aux hormones femelles et ça devient une question d’équilibre psychique maintenant. Mon cerveau réclame dorénavant sa dose d'hormones en permanence, ses deux hémisphères se livrant une bagarre sans fin. Je risque de partir en vrille si je n'ai plus ma dose quotidienne. D’après certaines transsexuelles, je pourrais même être candidat au suicide. Une déclaration à l'emporte-pièce qui me fait froid dans le dos.

     C’est indéniable, arrêter ce traitement me déstabilisera sérieusement et ses effets négatifs seront aussidévastateurs sur ma santé que si je continuais. Bien qu'il soit aussi mon fantasme, faut-il prendre autant de risques pour satisfaire le fantasme de Yasmina ? Je ne saurais le dire. De par mon âge avancé, cette question me préoccupe maintenant. D’autant plus que j’ai largement dépassé la barrière fatidique des six mois de traitement. Qu’adviendra-t-il de ma condition de mâle et de ma santé plus tard ? Je doute à présent…

 

Par Epile - Publié dans : DES HORMONES
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Samedi 3 septembre 6 03 /09 /Sep 20:05

Septième mois, Août
     Je confirme à présent une accoutumance à Oestrogel à condition d’étaler une seule réglette sur les seins. Lorsque je dépasse cette dose, ma santé défaillante me le rappelle durement. Avec les applications de Progestogel en fin de mois, je retrouve un certain équilibre physiologique. J’ai aussi la sensation que mes seins deviennent plus lourds et moins sensibles. Et pourtant, ce ne sont que deux petites oranges.
 
297385652.jpg Curieusement, mon sein gauche est bien plus gros, alors qu’au début c’était le sein droit qui se développait mieux. Je mesure à nouveau ma poitrine, 99cm, soit plus de 9 cm par rapport au début du traitement. Merveilleux ! A présent, plus question de masquer mes seins aux regards des gens sur une plage, car les mamelons ont doublé de volume. Ils pointent anormalement pour un homme et leur relief gonfle bizarrement mes chemises. Impossible de porter un T-shirt moulant  sans engendrer des regards insistants. Je suis impressionné par ce changement. Quelque part, je me dis que c’est génial d’être un homme différent des autres.
 
     J’adore sentir le balancement de mes seins quand je marche. Leur densité a changé, bien plus lourds que les amas graisseux qu’on observe habituellement chez les hommes de mon âge atteint de gynécomastie. Je porte des vêtements amples pour les masquer aux regards de mes amis ou dans ma vie professionnelle. En me penchant en avant, ils ne se remarquent pas trop. D’autres fois, je me fais provocant et bombe le torse pour que les mamelons pointent et soient bien visibles.
 
     Contrairement à un sportif qui a les pectoraux développés, mes mamelons pointent agressivement sous mes vêtements, un peu comme ceux d’une femme sans soutien-gorge sous un petit haut. En me voyant de profil dans la vitrine des magasins, j'ai l’impression de voir une autre personne. Ce n’est qu’en levant les bras au-dessus de la tête que je constate que mes seins sont encore peu développés par comparaison avec la poitrine des femmes. Même petit, un sein de femme dessine un bel arrondi sur le coté des aisselles du bras qui est levé. Chez moi, ce n’est pas encore le cas. Il me faut donc continuer mes hormones.

Futanari---Manga---Filles---3D-030.jpg J'observe chez les femmes une multitude de formes et de volumes en ce temps où les décolletés sont à la mode. Bien que les soutiens-gorges push-up avantagent les femmes, ils "cassent" la forme naturelle des seins en les rapprochant et en les soulevant trop. Je trouve beaucoup plus érotique des mamelons qui saillent sous un vêtement léger ou des seins libres qui se balancent au rythme des pas. Je ne parle pas ici des femmes qu’une ptose désavantagerait si elles avaient les seins libres ou de celles qui cachent leur poitrine pour des questions de pudeur. Je rappelle que j’habite un pays de soleil où les femmes s’habillent légèrement.
 
    Tandis que j’aspirais mes mamelons avec la pompe à clito, je suis obligé d'aller d’urgence en ville sur un coup de téléphone professionnel. J’enfile en vitesse par-dessus mon pantalon un léger polo puis je pars à mon rendez-vous. Face à mes interlocuteurs, impossible de masquer mes seins dans ce polo trop serré. Ma poitrine dégage quelque chose d’indécent, ce qui ne manque pas de troubler mes interlocuteurs. En retournant chez moi à pieds, je croise un homo efféminé. Par jeu, je me redresse, ce qui fait saillir ma poitrine. Son regard se figent un instant sur mes seins. A-t-il compris ma démarche en voyant ma poitrine anormalement gonflée sous mon polo. Je le pense...

     Je comprends mieux à présent ces hommes atteint de gynécomastie et qui en font un complexe. Cela me fait avoir un regard nouveau sur le torse des hommes. 


 

Par Epile - Publié dans : DES HORMONES
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Vendredi 2 septembre 5 02 /09 /Sep 18:22

Sixième mois, juillet
     Cela fait maintenant six mois que je prends des hormones féminisantes. Chaque soir avant de me coucher, j’étale consciencieusement une réglette d’Oestrogel sur ma poitrine. En fin de mois, une application de Progestogel sur les seins durant une semaine et une  d’Oestrogel sur les autres zones de mon corps. 

     Dès que je tente de dépasser une réglette d’Oestrogel, les effets négatifs se manifestent à nouveau. Un seuil de tolérance imposé par mon corps. Ce qui m’inquiète le plus, c’est ce mal de tête permanent qui perturbe ma vie. Est-ce mon cerveau qui réagit mal aux hormones féminisantes ? Ou peut-être que soumis à leur influence, il effectue sa mutation vers celui d’une femme. L’application de Progestogel en fin de mois me redonne un semblant de tonus. Mes douleurs aux mamelons et les tensions mammaires des seins s’atténuent rapidement. Mes mamelons deviennent aussi moins sensibles au toucher.

shemale-pornstar-041.jpg     Je suis surpris comme ma poitrine grossit. A présent, mes seins sont bien ronds, comme des petites oranges. Mais, ils manquent toujours de grosseur à mes yeux. Ah si seulement je pouvais avoir une poitrine comme celle de Yasmina plutôt que ces petites oranges. La question est de savoir jusqu’où ils peuvent se développer. A ma connaissance, il semble difficile d’aller au-delà d’une taille que je qualifie de juvénile, même en me bourrant d’hormones femelles. C'est aussi une question de génétique. Une mère ou des soeurs ayant une poitrine généreuse permet d'espérer. Je pense à ces transsexuelles qui se font poser des prothèses bien plus conséquentes, seule façon à leurs yeux de satisfaire leur égo féminin.

     Je souhaite en parler avec des hommes qui ont la même démarche que la mienne. Hélas, ma recherche sur le Net reste vaine. Les seuls contacts que j’ai sont sans intérêt car ma vision diffère de la leur. Leur unique plaisir consiste à se travestir et à se laisser défoncer la "chatte" par des hommes virils. Serais-je le seul à franchir le pas de cette façon ? A toutes les femmes qui féminisent un homme en l’hormonant, à tous les messieurs hormonés n’hésitez pas à me contacter pour échanger vos impressions à ce sujet.

     Du coté des transsexuelles, un mur d’incompréhension nous sépare. A leurs yeux, je passe pour un inconscient qui joue avec sa santé. La plupart d’entre-elles rejette mes motivations. Vivre ma féminité en prenant des hormones pour développer une poitrine de femme est une contradiction à leurs yeux. D’après elles, on ne peut être un homme viril et avoir une poitrine de femme. Je me fais même jeter de certains forum de transsexuels français. Ces gens me semblent parfois d'une intolérance excessive dès qu'on manifeste un jugement et un comportement différent du leur. Elles disent que les hormones, c’est tout ou rien et ça se prend pour la vie. On reste homme ou on devient femme. Et dans ce dernier cas, c’est une démarche sans retour. Or, il ne s’agit pas de remettre en question mon identité de genre et encore moins de prendre des anti-androgènes pour casser mon coté mâle.

4560.jpg     Je me rends compte que mes seins « poussent » plus vite. J’ai l’impression qu’en étalant le gel sur les mamelons et les aréoles, la réaction hormonale est plus efficace. La preuve, ma poitrine atteint une taille significative avec une seule dose par jour. Toutes les personnes avec qui j’en parle sur le Web me répondent qu’elles prennent jusqu’à trois réglettes quotidiennes d’Œstradiol pour un même résultat. Par contre, on me déconseille les applications directement sur les seins, dixit le risque d’une tumeur cancéreuse. On me dit aussi que par ce biais, les hormones passent plus vite dans le sang. La question ne manque pas de m’interpeler.

     Produites par les ovaires en fonction d'un cycle menstruel, œstradiol comme progestérone sont généralement transportés par le sang pour se fixer sur les cellules cibles, les récepteurs hormonaux spécifiques comme les glandes mammaires. Elles vont ainsi modifier la transcription de certains gènes dans ces cellules, ce qui entraîne des modifications du métabolisme de celles-ci. Le développement de la poitrine relève de ce principe. Voyez la coupe d’un sein  au chapitre 11. Appliquées sur les mamelons et les aréoles, ces hormones femelles nourrissent-elles directement les canaux galactogènes puis les lobules sans transiter par le sang. Cela entraine aussi un risque accru de cancer si les applications persistent trop longtemps. Bien sur, je peux me tromper, ces observations ne faisant référence à aucune étude médicale. La biologie humaine n’est pas ma spécialité.

     Je note aussi de sérieux changements sur mon visage. Il me semble plus harmonieux. Alors que mes traits sont habituellement d’une dureté à faire fuir les gens, mon expression est maintenant empreinte d’une plaisante douceur. Mes joues creuses se sont remplies, ce qui donne l’impression aux gens que je suis en bonne santé. Coté barbe, je ne remarque pas de changement notoire si ce n’est que l’idée me trotte dans la tête de faire une épilation définitive au laser. Mais j’ai trop de poils gris ou clairs pour que cela soit efficace. Ma chevelure s’épaissit et devient difficiles à coiffer. J’ai des mèches rebelles qui partent dans tous les sens. Je remarque aussi que mes ongles durcissent et poussent plus vite. Mes cordes vocales ne répondent plus comme avant. Ma voix mue parfois sans prévenir et devient plus fluette.

3606351f.png     Coté bassin, j’ai pris une taille de pantalon. Impossible d’enfiler les anciens. Mes hanches et mes fesses se sont arrondies. Elles sont aussi plus bombées, ce qui me donne une cambrure de femme. Je m’étonne comme mes fesses remplissent bien mes pantalons maintenant. Le creux latéral, caractéristique des fesses d’homme, s’est comblé. Idem pour les petites culottes de femme que je porte en permanence sous mes vêtements masculins. La courbure de ma chute de reins dans le grand miroir de la salle de bain me rappelle les publicités vantant les strings de femmes. Par contre, je suis consterné de voir comment mon ventre grossi. Malgré le régime que je m’impose, il devient impossible de garder un ventre plat. Sans compter que mes épaules et mon torse se sont enrobés d’une épaisse couche de graisse que ne désavouerai pas un phoque. Ma silhouette en est toute transformée. Mes muscles ont laissé place à des formes plus lisses, plus féminines. Je remarque combien mes poignets et mes chevilles se sont affinés, ce qui explique certainement mon manque de force physique.

     Coté sexe, c’est la cata. Plus aucune érection. Je m’efforce de me branler pour voir si je suis encore capable de jouir. Impossible d'y arriver si je ne torture pas mon cul en même temps que mon sexe. Le constat est triste. A l’orgasme, ma queue flasque reste molle ; l’éjaculat est claire et liquide comme une eau trouble. Mon sperme s’écoule du gland sans gicler, au rythme des contractions de l'orgasme. En fait, je ne jouis que du liquide prostatique. Plus aucun spermatozoïde n’est produit par mes testicules. Surprenant aussi comme je « mouille » facilement sans m’en rendre compte. En fait, du liquide séminal s’écoule de ma verge et mouille mes culottes à la moindre excitation cérébrale. J’ai souvent par exemple le sexe ou mon string "inondé" par ce liquide lorsque je raconte mes envies à Yasmina. J’apprends que les transsexuelles non-opérées appellent ce liquide séminal de la cyprine par analogie aux femmes.

     Ma libido de mâle au point mort, ma seule jouissance consiste maintenant à voir mes seins grossir en se remplissant de lait. Tous mes efforts convergent dans ce sens. Mais hélas, il n’en sort toujours rien, bien que mon mamelon droit soit boursoufflé comme celui d’une femme qui vient d’accoucher. Serait-ce une indication ? Ah, pouvoir goûter à mon propre lait. Cela finit par m’obséder d’autant plus que Yasmina insiste dans ce sens. Moi qui veux rester homme, j’aurai bientôt du « lait maternel ». L'idée m'excite au plus haut point...

 

 

Par Epile - Publié dans : DES HORMONES
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Samedi 27 août 6 27 /08 /Août 19:59

Cinquième mois, Juin.
     Mes poils, habituellement bruns-clairs, ont blondi et se sont affinés. Cela me rappelle ma jeunesse, lorsque j’avais un système pileux de blond. Ils sont devenus presqu’aussi fins que du duvet. J’en profite pour me faire épiler intégralement le corps. J’apprécie la dextérité de mon esthéticienne. A son regard, je vois qu’elle remarque ma poitrine changeante. Mais en bonne professionnelle, elle n’en dit rien. Comme elle adore presser les points noirs sur la peau, elle en profite au niveau des seins qui ont bien grossis depuis ma dernière épilation. Curiosité de femme qui s’étonne qu’un homme puisse avoir des seins. Je m'amuse de tant d'innocence…

     Alors que d’habitude je m’arrache la peau après une épilation, cette fois-ci plus une seule rougeur, pas un seul bouton, aucune irritation. Un corps lisse et doux au toucher comme celui d’une femme. Est-ce à dire que les hormones aident à mieux supporter les épilations ? J’en suis certain maintenant. Outre mes poils qui repoussent au ralenti, mon odeur corporelle change aussi. Plus féminine. Ma peau fine devient douce, mais plus fragile. Les veines sont bien visibles sous la peau. Yasmina me dit que c'est un bon signe. Lorsque des veines apparaitront sur la peau des seins, ce sera le signe que je suis prêt à induire une lactation. Je ne sais pas si c’est l’effet des bains de piscine, mais ma peau s’assèche sérieusement. Je prends plaisir à l’hydrater avec un lait corporel de femme.

1649_gA.jpgJe profite du dimanche qui suit pour m’épiler intégralement le maillot. Malgré l'épilation définitive, des poils repoussent toujours. Les sensations érotiques habituelles ne sont plus au rendez-vous. Je termine par un lavement profond du colon. Là aussi, je le fais plus par habitude hygiénique que par excitation. Je me "gode" pour voir si ma libido est au rendez-vous. Sans intérêt. Je me branle, non par plaisir, mais juste pour éjaculer. Bizarre de jouir sans bander. Un orgasme rapide en quelque seconde. Un éjaculateur précoce incapable de se retenir. Un bref plaisir lorsque le liquide séminal éjacule de ma queue molle puis c’est fini. Je me surprends à gémir plus que d’habitude à la jouissance J’ai envie d’extérioriser mon plaisir comme une femme. En fait, mon excitation devient beaucoup plus cérébrale.

     Des pectoraux d’homme adipeux ont habituellement les mamelons qui pointent vers le bas. Or les miens poussent en pointe comme ceux des jeunes filles ; bien droit avec les mamelons qui saillent vers l’avant. De ce fait, il devient impossible de masquer ma poitrine. Même sous une chemise ou un T-shirt, les tétons se manifestent fièrement. J’ai beau me pencher en avant pour en atténuer leur relief, ils restent visibles en permanence.

mamelon67.jpgLes hommes en général n’y font pas attention. Un coup d’œil furtif puis ils passent à autre chose. Par contre à voir le regard des femmes, je m’interroge. Avec leur sixième sens, elles comprennent ce qui reste invisible aux hommes. Cela me fait penser à ce déjeuner au restaurant. J’étais attablé avec un ami. Face à notre table, une femme d’âge mur n’arrêtait pas de me fixer, son regard s’attardant beaucoup trop sur ma poitrine. Cela finit par m’interpeller. Visiblement, ma poitrine l’intriguait. D’un coup d’œil furtif, je remarquais effectivement que mes tétons pointaient anormalement sous mon polo. Par provocation, je me redressais pour mieux faire saillir mes seins. Etait-ce une simple curiosité de femme ou s’intéressait-elle aux hommes féminisés ? Peut-être une de ces maitresses-femmes qui adore soumettre les hommes à leurs envies sexuelles. Je ne le sus jamais...

     Gros problèmes de santé en cette fin de mois. Une arthrose de la nuque handicape sérieusement mes jours. Le médecin me prescrit des élongations chez le kiné et précise que mes maux de tête proviennent certainement de là. Je ne suis pas convaincu car il ignore que je prends des hormones féminines. Peut-être que ces hormones accélèrent le processus de la maladie ? Une flemme généralisée me prend. Je n’ai plus de volonté et aucune envie de m’investir dans mon business. Moralement, je me sens fragile. 

2010-vatican-sex-02.jpgMa relation avec mon amie transsexuelle n’a plus rien de sexuel, car Amber prend aussi des hormones féminisantes à présent ; Androcur et je ne sais plus quoi. D'ailleurs, c'est moi qui lui paie ses frais de pharmacie à ce sujet. Elle veut avoir des seins bien sur, mais aussi atténuer des traits masculins qui s’affirment à force de jouissances. Quant à moi, je suis curieux de suivre  les transformations hormonales sur son corps et son esprit.

     Comme moi, elle devient passive sur le plan sexuel. On parle de sexes mais sans le pratiquer. Plus aucune envie de faire l’amour. Lorsque je la suce pour voir, elle a tout de même une érection, mais qui retombe immédiatement après avoir joui. Elle me dit que son plaisir est contrarié. Elle n’arrive pas à expliquer pourquoi. Je comprends alors qu’elle est face à un choix contrariant. Elle qui adore jouir en me défonçant le cul découvre qu’être femme ne peut pas se faire en préservant sa virilité. C’est l’un ou l’autre, à moins de jouer au yoyo avec les hormones, ce que font certaines de ses copines. Elle ajoute que jouir lui donne l’impression de neutraliser l’action des hormones féminisantes. Je la rassure bien que je n’en sache rien.

     Une chose me surprend maintenant chez Amber. Elle adore jouer inconsciemment avec mon coté féminin. Une pulsion naturelle qui la pousse à caresser mes seins, un peu comme si c’était les siens. Elle apprécie la grosseur anormale des tétons et joue souvent avec en les roulant entre ses doigts. En riant, je lui dis que j’ai plus de poitrine qu’elle. Elle ne s’en offusque pas, bien au contraire. Peut-être un transfert inconscient de sa féminité sur moi. Et mon corps toujours lisse ne fait qu’ajouter à ce transfert. Comme moi, elle a horreur des poils sur la poitrine des hommes... Mais contrairement à elle, je n’éprouve aucune envie d’être femme. Je n'ose toujours pas lui parler de ma femellisation avec Yasmina. En lui confiant cela, je choquerais son tempérament de femme et perdrait de mon prestige auprès d'elle.

     Ceci dit, Yasmina garde aussi le secret sur ma féminisation, c'est notre secret ! Elle veut un mari macho, un vrai mâle en public. Le combat entre mon statut de mâle et ma nouvelle condition de femme me semble maintenant supportable. Serais-je en train de trouver un nouvel équilibre ?

     Avec le temps, se met en place la crainte de ne plus retrouver mon potentiel de mâle d’antan. Je cogite sur ma virilité. A mon âge, ça risque d’être une descente aux enfers, sans espoir de retour. Si Yasmina venait à me quitter un jour, plus aucune femme ne voudra de moi. Que ferait-elle d’un homme au corps féminisé définitivement stérile et impuissant de surcroit. Quelque part dans mon subconscient une petite lumière rouge s’allume. Faut-il cesser ma féminisation avant qu’il ne soit trop tard ? Et pourtant, je continue. C’est plus fort que moi, je veux des seins toujours plus gros…

 

Par Epile - Publié dans : DES HORMONES
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Mercredi 24 août 3 24 /08 /Août 20:31

- Quatrième mois, Mai
     Je viens d’acheter un mètre de couturière pour mesurer mon tour de poitrine. 97/98 cm pour 86 sous les seins. Waouh, plus de sept cm en moins de trois mois de traitement. Si j’en crois les transsexuelles, c’est exceptionnel. Et pourtant ce chiffre ne reflète que partiellement ce qui se passe au niveau des seins. Il semble que mon corps réagisse mieux aux applications d’Oestrogel et de Progestogel directement sur la poitrine. Mes seins ont maintenant la taille d’une mandarine dont une majeure partie se trouve à l’intérieur du torse. Ils ne se développent plus vers l’avant. Ils se remplissent et prennent de la rondeur sur les cotés, au niveau des aisselles. En fait, ma poitrine devient plus lourde, plus dense, bien que ses mensurations n’évoluent pas. En me voyant dans le grand miroir de la salle de bain, je pense à des petits seins de fille pubère.

aaaaa.jpg Comme mes tétons pointent en permanence sous un T-shirt ou sous un vêtement léger, un regard avisé remarque leur renflement. Cela m’oblige à faire attention dans ma vie professionnelle. Plus question d’être torse-nu devant des amis. D’ailleurs, ma copine transsexuelle l’a remarqué. En experte qu’elle est, elle constate que mes mamelons grossissent et pointent anormalement pour un homme. J'ai envie de lui confier mon secret. Bien que cela n’ait rien à voir avec un amas graisseux, je rétorque que les hommes de mon âge ont tendance à grossir du ventre, mais aussi de la poitrine. Il est possible qu'elle se doute du subterfuge puisque c’est elle qui m’a achetée les hormones en question. D’un tempérament superficiel, elle n’insiste pas. Elle conclut en précisant que j’ai grossi du ventre.

      Ma libido de mâle à zéro, je fais maintenant une fixation sur des montées de lait. J’aspire régulièrement avec la petite pompe à clito pour simuler la succion d’un bébé. Seul nous importe avec Yasmina de voir mes seins grossir et avoir du lait.

     Pour la première fois, elle-même a des gouttes de lait qui perlent à ses seins. Je goutte, c'est doux et sucré. Ce n'est là que la première étape anonciatrice des montées de lait. Il faut maintenant que je téte ses seins plusieurs fois par jour pour stimuler la lactation.

young-shemale-girl05.jpg Est-ce lié à mon âge ? J’ai l’impression de perdre mon potentiel physique de mâle. Je n’ai plus aucune force. Mes muscles fondent et régressent à vu d’œil. Je me sens si faible que je deviens incapable de faire un effort soutenu. Marcher une heure relève de la performance. Mes articulations ne réagissent pas correctement face à ma volonté. Elles me font horriblement souffrir. Je remarque aussi combien les attaches de mes poignets et de mes chevilles se sont affinées. A l’évidence, mon corps se transforme. Mon bassin est plus enveloppé et mes cuisses s’arrondissent. J’ai beaucoup grossi. Mon ventre est bien visible maintenant et j’ai perdu mes abdominaux. Cela me chagrine, moi qui étais si svelte auparavant. Par contre, des amis me trouvent meilleurs mine. Je remarque effectivement d’infimes changements du visage. Il m’apparait plus doux.

     Depuis que je suis repassé à une réglette d’Oestrogel, mon corps assimile mieux cette hormone, mais les maux de tête et les confusions mentales persistent, les douleurs articulaires aussi. Le matin au réveil, je suis essoufflé et je sens mon cœur cogner. Sur le plan intellectuel, je redeviens capable de gérer plusieurs problèmes simultanément, mais sans l’efficacité que j’avais auparavant. Par contre, je déprime sur tout et j’ai l’humeur sensible. Un film triste me fait venir les larmes aux yeux. Face à cet état, il y a des moments où j’ai envie de tout abandonner. Ma perception changeante de la vie me pose problème. Un comportement passif s’affirme. J’attends que les événements viennent à moi. N’ayant plus la volonté de vaincre, mes affaires s’en ressentent.

     Ma verge flasque en permanence, il m’est impossible d’avoir une érection. Sous Progestogel, elle se gonfle un peu. Je me masturbe pour voir. Je finis par jouir, mais avec la queue molle. J’éjacule un sperme clair et transparent. Fini la blancheur des spermatozoïdes d’antan. Je pense être devenu stérile.  Une azoospermie qui ne manque pas de m’interroger. Je sens aussi que mon testicule droit, le plus gros, régresse. Je prends conscience de perdre définitivement ma virilité. Or, en plus des stimulations de Yasmina, une force incontrôlable me pousse à continuer mon traitement hormonal. Seuls m'inquiète les effets secondaires qui limitent ma prise d'hormone quotidienne. J'aimerai tellement me féminiser plus vite.

     Je reste à une application d’Oestrogel quotidienne et une semaine de Progestogel en fin de chaque mois. Cette dose semble être un bon équilibre entre féminisation et réaction physique. Je prends des compléments alimentaires depuis une semaine ; des gélules qui stimulent la mémoire et des hormones de croissance. J’espère qu’elles vont bien interférer avec les hormones féminisantes.

    Etre un homme avec des seins n’a plus rien d’exceptionnel à mes yeux maintenant.  Je trouve normal de prendre des hormones féminisantes et de voir mon corps se transformer. Seule m’importe de vivre le fantasme de Yasmina qui me désire Femme jusqu'au bout des ongles. Malgré son influence à me féminiser, mon subconscient me dicte de cesser les hormones. Je temporise, on verra ça lorsque j'aurai eu des montés de lait. Je commence à mesurer le danger de devenir définitivement stérile et impuissant. Il faudra que j'essaie le viagra pour voir où j'en suis...

 



 

Par Epile - Publié dans : DES HORMONES
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Jeudi 18 août 4 18 /08 /Août 17:25

- Troisième mois, Avril
     Nous sommes le 8 et je m’inquiète car mon dernier tube d’Oestrogel est presque vide. Je commence donc à trafiquer une ordonnance avec mon ordinateur afin de me prescrire frauduleusement cette hormone. Alors que je finalise ce faux, je reçois comme par hasard les 5 tubes d’Oestrogel commandés en Thailande. Le colis, ayant transité par l’Australie, a été inspecté par la douane de ce pays avant de repartir pour sa destination finale. Et nouvelle surprise, mon amie transsexuelle passe me voir le soir avec deux autres tubes. Est-ce là un signe du destin ? En tout cas, la Providence m’accompagne dans ma démarche de féminisation. Me voilà assuré de suivre mon traitement pendant des mois sans risque de « rupture de stock » comme disent les commerçants. Pour fêter l’événement, je double la dose d’Oestrogel le soir même avec les conséquences que vous connaissez maintenant…

week-end du 9 avril
     Je déprime tellement d’être toujours mal foutu que je repasse à une réglette d’Oestrogel. Impossible d’augmenter la dose sans ressentir des effets négatifs importants sur ma santé. Chaque soir, j’applique le gel directement sur les seins puis le restant en alternant tantôt sur les cuisses et le ventre ou sous les bras. Résultat, je me sens mieux dans mes bottes. Les maux de têtes deviennent supportables et je retrouve mes esprits. Par contre une petite déprime me perturbe durant quelques jours.

     A en croire un site pharmaceutique, Oestrogel doit être étalée sur un maximum de surface de peau en préférant les endroits où la peau est fine. Rendez-vous compte, il faut étaler ce gel sur 40 cm2 au minimum et seulement 10% d’estradiol sera absorbé par l’organisme. Quel gâchis !

     Ce matin au réveil, nouvelle pulsion dévastatrice. J’applique une autre réglette d’Oestrogel sur le ventre, les cuisses et sous les bras tout en appliquant une réglette de Progestogel comme prévue sur les seins. Puis je masse fortement mamelons et aréoles jusqu’à complète pénétration. Conséquences dans les heures suivantes,  j’ai la tête grosse comme une pastèque. Je sens nettement que ça « tire » dans les seins.

     La glande mammaire de droite se développe bien maintenant, une boule solidaire du mamelon d’environ trois à quatre centimètres de diamètre. J’aime bien sentir cette excroissance très dure qui résiste à la pression des doigts. Une émotion magique, inconnue il y a encore un mois. A gauche, c’est moins convaincant.

     J’ai l’impression aussi que l'aréole droite augmente de surface. Elle s’élargit tout en se boursoufflant. Est-ce dû au fait que j’applique directement Oestrogel sur les seins et que je masse fortement au niveau des mamelons ? Je ne saurais le dire. Quant au risque de cancer, je n’y songe même pas.

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     Ma poitrine se développe bien plus vite depuis que j’applique Oestrogel sur les seins. N'est-ce qu'un sentiment ou une réalité ? Je les regarde grossir avec émerveillement. Cela me procure des sensations inouïes. C’est bien connu des femmes, la stimulation des seins procure une réaction cérébrale perçue comme un plaisir, ce qui incite à renouveler la stimulation. C’est aussi cette réaction qui les pousse à allaiter. Et pour moi, c’est exactement pareil. Je passe mon temps à toucher mes mamelons et à tâter mes seins.

     Les hommes de mon âge ont souvent un amas graisseux qui se forme sous la poitrine, une gynécomastie. Avec les hormones, cet amas réagit dans le bon sens. On dirait des pectoraux, bien qu’en voyant les mamelons pointer, on puisse s’interroger. Je m’en rends compte parce que j’attire les regards quand je suis torse-nu. J’en ressens un certain trouble. 

     Lors de certains gestes, mes bras frottent inconsciemment sur les seins, un nouveau relief dont je prends conscience. Idem quand je baisse les yeux et que je constate le volume de ma poitrine. Cela me rappelle que j’ai des seins de femme maintenant. J’en viens à fantasmer sur les grosses poitrines pleines de lait. Une petite escapade sur le Net à ce sujet. La plus grosse taille de seins jamais atteinte officiellement est de 130 cm de tour de poitrine pour  un tour de cage thoracique sous les seins de 87 cm. 4,5kg par sein, de quoi fantasmer. Mais c’est oublier le mal de dos qu’un tel poids engendre.

     J’utilise quotidiennement la petite pompe à clitoris sur les tétons pour stimuler les glandes mammaires. Avec l’espoir qu’en développant les canaux lactifères, cela favorise les montées de lait et fait par conséquent grossir les seins, à l’image d’une femme enceinte. J’ai senti mon mamelon droit humide en retirant la pompe. Etait-ce une sécrétion mammaire ? J’ai gouté, mais cela n’avait aucun gout. Peut-être une sécrétion libérée par l’aréole, celle qui lubrifie le mamelon en le préparant à la succion du nourrisson. Chouette !

     Pour que mes seins soient esthétiques, il faut que le creux qui persiste au-dessus de la poitrine se remplisse. Cela me prouve qu’ils n’ont pas encore atteint leur taille définitive. De par mon âge, ce sera difficile, j’en ai conscience. Chose surprenante lorsque je cours, ma poitrine remue comme celle d’une femme. De sentir le poids de mes seins se balancer au rythme de mes pas est une impression merveilleuse. Je sais enfin ce que ressent une femme…

     Coté sexe, calme plat, mais c’est sans importance aux yeux de Yasmina. Ce qui nous importe, c’est que j’ai de gros seins remplis de lait. Alors, je fais ce qu’il faut pour cela, d’autant plus que j’y prends un plaisir inouï.

15 avril
     Je reprends Progestogel depuis quelques jours, ce qui permet de mieux supporter les effets secondaires. Je ressens un certain équilibre, un bien-être que j’avais oublié. Mes seins évoluent. Ils ne poussent plus vers l’avant. Ils s'arrondissent et se développent plutôt latéralement sur les cotés. Avec cette hormone, mes mamelons deviennent moins sensibles et donc moins douloureux.

     Une nouvelle rassurante au réveil. J’ai un semblant d’érection matinale. Peut- être est-ce dû à Progestogel.

20 avril
     Je m’habitue à ma nouvelle condition de mâle avec des seins. Une sensation que bien peu d’hommes connaissent. J’arrête les applications de Progestogel après une semaine. Une certaine routine s’installe...

 

Par Epile - Publié dans : DES HORMONES
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