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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

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DES HORMONES

Lundi 21 novembre 1 21 /11 /Nov 03:17

     Enfin arriva le jour tant attendu de cette partouze. J’en profitai pour prendre un comprimé de Viagra 100 mg. Amber arriva la première à la maison. Sa queue la démangeait tellement qu’elle voulut immédiatement me sodomiser. Comme elle était très excitée, elle jouit rapidement puis son excitation retomba très vite. J’eu l’impression de me reconnaitre dans sa jouissance tellement ses réactions furent similaires aux miennes. Après avoir récupéré, Ambre s’installa devant l’ordinateur de la maison sans plus faire attention à moi.  Je m'inquiétais du retard de son amie. A cause du Viagra, ma queue commençait à me démanger sérieusement.

     Sa copine arriva enfin. On bavarda un instant sur la terrasse en buvant un verre tandis qu’Amber restait « scotchée » à l'ordinateur. Sa copine me fixa de son regard de salope et écarta ses cuisses. Sous sa minijupe, elle ne portait rien. Entre ses cuisses, je distinguai nettement sa verge épilée. Elle se caressa alors devant moi. Une salope, non, une vraie professionnelle du sexe ! Elle savait y faire avec les hommes. Sa réaction m’excita. Je lui dis que j’avais envie de sentir le goût de son sperme dans ma bouche. En fait, je voulais le comparer à celui d’Amber. Je m’agenouillai entre ses cuisses, m’emparai de sa petite verge et je la suçai à fond de gorge. Mais elle résista à mes savantes caresses. A bout de souffle, je lui demandai pourquoi elle ne jouissait pas. Elle me répondit qu’elle se retenait car elle avait envie de me prendre par derrière.

0_557.jpg     Qu’à cela ne tienne, on passa dans la chambre à coucher. En me déshabillant, elle remarqua mon corps entièrement épilé, mes seins qui pointaient anormalement et le petit string de femme que je portais. Mais elle ne fit aucune remarque.  A ses yeux, j’étais un mec.

     J’essayai d’abord de la sodomiser. Mais après toutes ces heures à l’attendre, l’effet du Viagra s’était fortement atténué. Je ne bandai plus assez fort pour lui ouvrir l’anus avec mon gland. J’enfonçai alors délicatement un doigt enduit de lubrifiant puis un deuxième. J’essayai de l’enculer à nouveau. Mais rien n’y fit, ma queue resta désespérément molle ! C’est alors que mon excitation retomba. Finalement, c’est elle qui prit son pied. Elle me sodomisa à fond et jouit follement de sa petite verge nerveuse. Puis comme tous les couples du monde, on discuta tranquillement allongé sur le lit. Elle me parla de ses multiples amants. Comparativement à eux, j’étais à ses yeux un homme plutôt libéré sexuellement. Avantage avec moi, elle pouvait réaliser ce qui l’excitait vraiment. Je lui précisais que mon plaisir résidait essentiellement dans son plaisir. Plus je la sentais s’exciter et plus je m’excitais.

     C'est alors qu'Amber qui voulait voir sa copine m’enculer entra dans la chambre. Elle tenait sa verge bandante d'une main. Tandis que sa copine me prenait à nouveau par derrière. Amber en profita pour me violer la bouche. Sentir son sperme gicler dans ma bouche tandis que sa copine jouissait en même temps dans ma chatte fut un moment inoubliable. Sa semence avait un goût différent, bien plus astringente, car elle ne prenait plus d'hormones. Au passage, je m’interrogeai sur ce gout prononcé pour le sperme des transsexuelles. Recevoir leur semence en moi était comme de communier avec eux. Un peu à l’image d’une femme qui se donne et reçoit le fruit du plaisir de son amant.

     Vers minuit je raccompagnais les deux filles chez elles. Elles voulaient se préparer pour sortir en boîte. De retour à la maison, je fus surpris de bander dur en me déshabillant. Une érection insoutenable ! Il y avait longtemps que je n’avais pas vu ma verge monter aussi haut sur mon ventre. Excité face au miroir de la salle de bain, je me branlais et jouis rapidement en giclant des rafales de sperme translucide. Bander aussi durement me procura une jouissance d’enfer.

006.jpg     Le lendemain matin, rebelotte. Ma queue encore toute raide, je me branlai à nouveau. Mais l’envie était cette fois-ci dans la tête. Je n’arrivai pas à l’orgasme, comme si mon corps refusait le plaisir au niveau de mon sexe. L’envie de jouir était si forte que je dus me violer l’anus avec un gode gonflable. Je ne cessais de le gonfler, à gémir de douleur. Une torture lancinante, un coup de folie où la souffrance renforça mon plaisir. Jouir en même temps de ma verge et de ma chatte me fit crier de plaisir. Une jouissance de femme.

     A l’évidence, Viagra suppléa parfaitement à mon impuissance hormonale. Redevenir homme le temps d’un orgasme me remonta le moral. Je pensai aux acteurs de films pornos qui bandaient des heures durant. On dit qu’ils prennent ces petites pilules bleues plus que de raison. Serait-ce aussi pour moi la façon de compenser une virilité perdue ? A cette idée, je m’emballai ; je pouvais donc continuer à m’hormoner…


Par Epile - Publié dans : DES HORMONES
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Lundi 21 novembre 1 21 /11 /Nov 03:01

     Dans le but d'être viril durant la partouze qui m'attendait, j’avais cessé les applications régulières d’Oestrogel depuis trois semaines en les remplaçant uniquement par Progestogel.  Depuis, j’avais retrouvé des érections nocturnes. Ma verge reprenait une certaine consistance. Ce n’était plus un morceau de chair flasque et inerte. Plus une seule nuit sans que je sois réveillé par ma queue qui bandait. Pour me rendormir, je me masturbais un peu, attendant de débander. Cette nuit là, je me branlais pour voir si j'étais encore capable d'avoir un orgasme. A ma surprise, je débandais rapidement dans les trente secondes suivantes, car le plaisir n'était pas au rendez-vous. Ce n’était là qu'une érection mécanique qui n’avait rien à voir avec la moindre excitation. Cela démontrait au moins que physiologiquement, ça fonctionnait toujours. Restait maintenant à redémarrer "la machine à spermatozoïdes".

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     Or, l’envie de reprendre Oestrogel me tenaillait en permanence : une insistante pulsion qui me travaillait la tête comme une envie de fumer. J'étais en manque, mais je résistais vaillamment. Je respectais un délai de plusieurs semaines, temps nécessaire pour retrouver une spermatogenèse normale. Je ne doutais pas que les petits spermatozoïdes agiles et nerveux seraient de retour. Ensuite, il serait toujours temps de replonger dans les hormones féminisantes ensuite. Si je voulais rester un homme viril, il me faudrait jouer au yoyo comme certaines transsexuelles. Faire une cure hormonale de quelques mois puis arrêter le temps de retrouver ma virilité. Mais est-ce que ma poitrine se développerait alors comme je le souhaitais. J’en doutais.

     Impossible de résister à l’appel des hormones femelles. Mon corps réclamait sa dose quotidienne. Vaincu par une pulsion plus forte que d’habitude, j’en étalais sur les seins et sous les aisselles et là où la peau était mince. Pour finir, je déposais une grosse noisette de gel sur chaque mamelon. J’espérais de cette façon saturer les glandes mammaires. Une fois de plus, je découvrais comme il était facile d’utiliser ce gel. Il n’avait rien d’un médicament. Je le ressentais comme une crème de beauté agréable à étaler. J’en venais à rêver. Ah si seulement les chercheurs trouvaient des produits spécifiques sans avoir à subir d’effets secondaires. Pourquoi pas une crème qui développe uniquement la poitrine, ou même mieux, qui fait grossir le pénis. Je repense aussi à ces hommes et à ces femmes qui s’injectent sous perfusion du sérum physiologique ou une solution salines le temps d’un fantasme. Durant des heures ces personnes vivent avec une très grosse poitrine avant que le produit ne s'élimine de lui même…

     Le lendemain qui suivit cette application d'Oestrogel, patatras, les maux de tête revinrent en force. Toute la journée, la tête grosse comme une pastèque, je fus comme posé sur un nuage, incapable de la moindre initiative.

Deuxième semaines
     Dimanche dernier, mon genou gauche a durement cogné le sol suite à un décollage difficile en parapente. Une blessure superficielle sans importance, bien qu’elle me fit boiter des jours durant. Au fil des jours, la douleur augmenta et devint de plus en plus lancinante. En prenant mon bain le vendredi suivant, je m’aperçus que j’avais deux énormes hématomes, l’un à l’intérieur de la cuisse gauche et l’autre sur le pied. Comme la douleur ne s’atténuait pas, je consultais aux urgences de l’hôpital de la ville. Rien de grave d’après le médecin. Pas de fracture, mais uniquement un fort traumatisme de l’articulation lié au choc : "Il vous faudra du temps pour retrouver toute la mobilité du genou". Rythme cardiaque excellent et pression artérielle normale, j’en déduisis que Dompéridone ne réagissait pas à ce niveau. Comme ma jambe droite continuait de me gêner depuis mon excès de goutte, je me sentais sérieusement handicapé. Déjà que les hormones me déstabilisaient, je ne cessais de m’inquiéter.

Troisième semaine
     J’ai beau aspirer mes mamelons plusieurs fois par jour avec le tire-lait acheté récemment, mais rien n’en sort. Quelle déception, moi qui fondait tant d’espoir sur Dompéridone pour avoir des montées de lait. Même Yasmina est déçue. Face à cet échec et à son éloignement, je désespère...


Par Epile - Publié dans : DES HORMONES
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Vendredi 11 novembre 5 11 /11 /Nov 19:25

     Comme ma copine Amber adore jouir dans le cul des mecs, ses traits masculins reprennent le dessus. Elle estime donc qu’il est temps de corriger cela, mais aussi d'avoir une vraie poitrine plutôt que des faux seins. Elle prend donc des hormones féminisantes depuis trois mois. Et comme toutes les jeunes transsexuelles, elle plonge à fond dedans : Androcur et je ne sais plus quel œstrogène...

      Au fil du temps, je constate combien son corps se transforme. Il devint passionnant d’observer sur elle les changements que j’avais auparavant noté sur moi. En quelques semaines, les traits de son visage s’adoucirent, son corps se féminise, ses fesses s’arrondissent, ses mamelons s’assombrissent et la petite boule annonciatrice de la glande mammaire en développement gonfle sa poitrine. Contrairement à moi, je remarque aussi combien son derrière s'arrondit. Atteinte de boulimie, elle a faim en permanence et grossit donc du ventre. Comme pour moi, elle ressent aussi une grande lassitude et une intense fatigue physique. C’est bien connu des transsexuelles, les hormones, et particulièrement Androcur, fatiguent énormément. Par conséquent, elle passe son temps à dormir. Au lieu de forniquer quand elle vient chez moi, elle s’allonge sur le canapé du salon devant la télévision puis, bercée par les images, s’endort. Totalement passive, elle ne prend plus aucune initiative. Toute trace d’agressivité a disparu en elle et sa libido est tombée. En conséquence, plus aucune sexualité anime notre relation. Je suppose ausi qu'elle a un copain. Sa distraction préférée quand elle ne dort pas est d’exciter les mecs sur le Net. Pour cela, elle montre son cul bien cambré aux gogos. La prenant pour une femme, ceux-ci se branlent à chaque fois devant leur écran.

01     Tout en m’émerveillant de sa transformation, je la conseille utilement. Dommage de ne pouvoir partager avec elle mes impressions sur ma propre féminisation. Comment lui révéler que je prends aussi des hormones féminisantes ?  Je lui parle de Yasmina. Je me lance et j’explique que cette femme est une authentique salope. Dans la foulée, je lui confie qu'elle s’excite à vouloir me féminiser. Sa réaction est immédiate. Elle, qui est ouverte à toute forme de sexualité trouve cela débile. Elle est incapable de comprendre que je puisse être féminisé. Un homme comme moi, ça reste un mec quoiqu'il arrive, même s’il porte des strings de femme et se laisse enculer par elle. A ses yeux, mon anus n’est pas une chatte. Pas question de me «femelliser » puisque je ne suis pas un travesti. Je constate à cette occasion combien elle se moque de ces gens. Je vous l’avais dit, beaucoup de transsexuelles deviennent intolérantes quand on marche sur leurs platebandes.

     Ce jour là, elle me dit sans détour qu’elle a envie de me défoncer le cul. Par provocation, je lui réponds qu’elle n’est plus la salope que j’ai connue. Elle me confie alors avoir cessé les hormones depuis une quinzaine de jours. De parler de cul avec elle réveille ma libido. On se souvint de cette soirée mémorable passée ensemble avec son amie transsexuelle. Surprise ! Elle me l'avait offerte en cadeau de Noël : une salope dépourvue de tout complexe au lit quand elle avait bu. L’idée de me voir enculer par une autre transsexuelle l'avait autant excité que moi. Elle voulait m’entendre crier quand toutes les deux me défonceraient la chatte. On convint donc de passer ensemble la soirée de Noël. Amber me demanda de prévoir beaucoup d’alcool au dîner. Quand elle est soule, sa copine se lâchait complètement.

     Excité par notre conversation, Amber me demanda de sucer sa verge. Comme à chaque fois, je fus impressionnée par sa grosseur, un clitoris pas très féminin. Il fallut me réhabituer avant de l’engloutir complètement dans les profondeurs de ma gorge. Et de savoir que son énorme engin me défoncerait le cul m’excita encore plus. La soif de sentir son sperme gicler au fond de ma gorge étant plus forte que tout, elle ne résista pas longtemps à mes savantes caresses. A chaque fois qu’elle s’enfonçait dans ma gorge, elle poussait des cris comme une vraie femme. Quand elle jouit, j’appréciais son sperme au goût plus doux et moins astringent qu’auparavant. Comme le mien, il était devenu liquide et transparent.


Par Epile - Publié dans : DES HORMONES
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Samedi 29 octobre 6 29 /10 /Oct 17:52

     Le week-end du 15 août, je discute à nouveau des effets de Dompéridone sur ma poitrine avec Yasmina. Comme moi, elle s’emballe à l’idée que son homme puisse avoir des montées de lait. De mon coté, je l’envie d’avoir une poitrine si grosse qui lui permette de se sucer les mamelons. Ah si seulement je pouvais avoir la même poitrine et boire mon propre lait. Les jeunes hommes agiles qui arrivent à se sucer la verge et à éjaculer dans leur bouche de cette façon me comprendront. Ma jouissance serait alors à son comble.

     C’est dingue comme cette femme affole mes sens. Selon elle, je ne suis pa loin de réaliser notre fantasme. Si je prends un anti-horme mâle, je vais réussir grossir mes seins encore plus, à les sucer et donc par ce biais à induire une lactation. Excité comme une puce par notre conversation, je décide de me rendre à la plage : " Prends dans ton armoire ce minuscule bikini d’un rouge éclatant avec des boucles métalliques dorées sur les cotés." Acheté l'an dernier il était impossible de le porter en public, sa coupe étant bien trop féminine pour moi. Ah, ces pulsions incontrôlables qui dominent ma volonté !

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     C’est bien connu des travestis et des fétichistes de la lingerie féminine, les culottes de femme ne couvrent pas entièrement les fesses comme les slips d’hommes. Et elles sont bien trop étroites à l’entrejambes pour y loger correctement la protubérance de notre sexe mâle. D’ailleurs, elles s’insinuent malicieusement entre nos fesses à cause du poids de nos attributs sexuels, ce qui fait qu’elles couvrent encore moins nos fesses. Or là, surprise, le bikini s’ajuste parfaitement à mon derrière plus rond et mieux cambré depuis que je prends des hormones. Et mon sexe plus petit y trouve une place convenable pour se loger. Je mesure alors combien mon corps a changé. Tout excité, je me regarde ainsi vêtu dans le miroir du salon. Je trouve excitant le renflement de mon sexe dans ce minuscule bikini de femme. Mais je me sens ridicule avec mon ventre bedonnant et mes seins proéminents. Face à ce miroir, je n’ai rien d’une femme et tout d’un vieux travelo. Qu’importe, je vis enfin ses fantasmes grâce à Yasmina.

bikini rouge

     Une fois sur la plage, la pudeur me reprend face à la foule des baigneurs. C’est dimanche et il y a plein de monde. Je me déshabille et m’allonge sur ma serviette de bain dans un coin discret. Le regard insistant des gens qui passent me gêne et aucune femme à l’horizon pour apprécier ma féminité. Ce jour là, je ne me baigne pas, j’ai trop honte de me montrer. Déçu, je retourne chez moi. Et là, c’est le grand jeu. Excité par mon petit bikini, je me fais un lavement profond du colon suivi d’une violente masturbation. J’ai envie de jouir, mais je n’y arrive pas. Je tire sur ma queue inerte et martyrise à tout va mes testicules en m’insultant. Finalement la jouissance arrive et là surprise, mon sperme gicle à plusieurs centimètres. Est-ce le fit d'avoir arrêté les hormones ? Par contre, je m’inquiète toujours autant de sa transparence. Suis-je devenu définitivement stérile ?

    Fabuleux 15 août ! Tandis que la Vierge monte au ciel, je sens mes seins travailler à nouveau sous l’action de Dompéridone. J’ai l’impression qu'ils se gonflent et je ressens de constants picotements. A l’évidence, les glandes mammaires réagissent fortement à ce médicament. J’en viens à espérer que mes seins prendront encore plus de volume.

    Dans la semaine, Amber, ma copine transsexuelle, me rend visite. Elle me surprend alors que je somnole allongé dans un transat au bord de la piscine. Selon mon habitude, je porte pour tout vêtement un petit string des plus féminins. Elle ne s’étonne pas de me voir ainsi. Il lui arrive à ma demande d’acheter de tels strings rien que pour moi. Bien sur, elle en profite également pour renouveler sa lingerie à mes frais. Ce jour là, elle me reproche de laisser trainer régulièrement des strings et des petites culottes partout dans la maison. La femme de ménage, une mère de famille très prude, s’en est étonnée dernièrement. Amber lui a répondu que c’était à une de mes copines. Après tout, Yasmina est absente et quoi de plus normal qu’une femme oublie ses petites culottes chez moi.

     Amber remarque aussi mon embonpoint et combien mes seins ont anormalement grossi. Par provocation, je lui réponds que j’ai plus de poitrine qu’elle. J’espère ainsi lui faire avouer qu’elle se doute que je prends des hormones. L’amener sur mon terrain serait formidable. N’oubliez pas que c’est elle qui m’a acheté les premiers tubes d’Oestrogel et de Progestogel. Or, elle ne se doute de rien. Malgré mes petits travers féminins, je reste un homme viril à ses yeux.

     Le 17 août, cela fait une bonne semaine que j’ai cessé les hormones. Après des mois de sommeil, ma verge se réveille à nouveau ; des érections nocturnes si fortes qu’elles me réveillent. Serait-ce là le signe d’un retour de virilité ? Dans les jours qui suivent, j’ai une forte remontée de ma libido. Je retrouve goût à me branler et à voir ma verge grossir entre mes doigts. Alors qu’auparavant, une simple branlette me suffisait, j’ai besoin maintenant de pimenter mes masturbations. Et quoi de mieux que de me faire de profonds lavements puis de m’ouvrir la chatte avec un gode. Et là, la jouissance vient, une éjaculation rapide qui me fait pousser des gémissements incontrôlables en me contorsionnant de plaisir comme une femme ; un plaisir beaucoup plus cérébral…

      Toujours de forts maux de tête, mais localisé à l’avant, sur le coté droit du front. Peut-être est-ce lié à Dompéridone. Cela ne manque pas de m’inquiéter. Déjà qu’à mon âge, je suis fragile, je crains sérieusement pour ma santé. Faut-il me sevrer progressivement pour que mon corps s’habitue à un retour à la normale ou puis-je cesser d’un seul coup ? C’est l’occasion de le constater.

     Mais dominé par mes pulsions, je ne résiste pas une fois de plus au plaisir d’étaler Oestrogel sur mes seins. J’en étale même sur mon sexe et entre les fesses bien que je sache que cela me rend impuissant. Ma dépendance aux hormones féminisantes, cette envie incontrôlée d’en étaler toujours plus, ne manque pas de m’inquiéter. Partagé entre la volonté d’avoir de gros seins plein de lait et de rester un homme viril, je deviens dingue. Quelque part, je me sens prisonnier de mes propres envies. Comme les drogués, mon plaisir passe avant ma santé. Je sais que je me détruis, mais je n’y peux rien. Un jeu de yoyo très critiquable...

Jeudi 18 août :

     Je n’ai pas eu d’érection nocturne comme les nuits précédentes.  Devant ma mine de déterré, Ambre me propose de venir partouzer avec une copine, ce qui stimule ma libido. Serais-je assez viril ? J’en doute. Bander dur pour les enculer me sera difficile. Reste à voir si une bonne dose de Viagra m’aidera. Ce sera l'occasion d'essayer.

 

Vendredi 19

     Privés d’Oestrogel, mes mamelons perdent de leur sensibilité. On peut à nouveau les rouler entre les doigts et les pincer fortement. Les tensions mammaires dans la poitrine disparaissent aussi. Néanmoins, je continue Progestogel. J’ai l’impression que cette hormone me fait du bien. On lui prête certaines vertus chez les hommes. Je constate aussi que ma libido se transforme. Elle redevient plus masculine.

 

     Au matin du 22, je ne résiste pas, je suis sérieusement en manque. Je masse longuement mes mamelons avec une généreuse dose d’Oestrogel. J’aimerai tant voir mes seins encore grossir tout en restant viril…

 

     Le 23 août, j’ai un mal de ventre terrible. Peut-être un repas mal digéré. Je me fais un lavement qui m’épuise. Envie de me masturber aussi, mais je me retiens. Il faut que je sois viril durant la partouze qui m’attend avec Amber et sa copine. J'espère retrouver des érections de mâle d’ici là. Ce sera aussi l’occasion de voir si je suis encore capable de produire des spermatozoïdes. Je dois impérativement cesser Oestrogel plusieurs semaines si je veux arriver à un résultat tangible. Je suppose aussi que jouir souvent favorisera un retour plus rapide de ma virilité. Alors je me force à avoir des orgasmes le plus possible. Mais la transparence du liquide séminal ne manque pas de m’inquiéter. Suis-je devenu définitivement stérile ?


 

Par Epile - Publié dans : DES HORMONES
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Vendredi 21 octobre 5 21 /10 /Oct 21:15

    Moi qui résistais à toutes les maladies, j’ai un nouveau problème de santé en ce vendredi 5 août. Des symptômes bizarres ne manquent pas de m’inquiéter. Douleur sourde à l’orteil gauche puis genoux et mollet droit qui gonflent à ne plus pouvoir courir. Est-ce une phlébite liée à la prise d'hormones ? Mon médecin, ignorant que je prends des hormones féminisantes, conclut à une « goutte », une réaction consécutive à un excès d’acide urique. C’est la première fois que cela m’arrive. La machine humaine commence à se dérégler comme dirait mon garagiste. Y aurait-il un rapport de cause à effet avec ma cure hormonale ?

     Après la consultation, je me rends donc dans une pharmacie pour acheter les médicaments prescrits. Les pharmacies me font réagir de la même façon que les magasins de lingerie, une caverne d'Alibaba où je peux me procurer tous ce qu'il faut pour satisfaire mes fantasmes de femelle. Et là, je repense à Dompéridone. Je prétexte prendre habituellement ce médicament pour corriger de fréquentes nausées. Mon âge rassure la pharmacienne qui me remet  d'emblée deux boites. Elle me précise aimablement que je ne peux pas bénéficier du tiers payant car je n’ai pas d’ordonnance. Mais je me fous de ce détail. La vue de ces petites boites, si anodines pour la plupart des gens, fait immédiatement remonter mon moral d’un cran.

     Je prends immédiatement deux comprimés que je laisse fondre sous ma langue. Leur goût est agréable. La posologie conseillant de ne pas dépasser 8 comprimés par jour, je me limite à 6 comprimés pris deux par deux avant chaque repas. Parmi les effets indésirables, la notice d’emploi précise une augmentation du taux de prolactine, une hormone qui favorise les montées de lait chez la femme ainsi qu’une possible gynécomastie chez les hommes. Que désirer de plus…

      Il me reste un point à éclaircir. Ce médicament est un antagoniste de la Dopamine, un neurotransmetteur qui gère le plaisir. De plus, la Dopamine maintient la pression artérielle en entrainant une vasoconstriction. Quelles en seront les conséquences sur ma santé à mon âge. Mon cœur ne sera-t-il pas trop bousculé par cette molécule ? Je mesure combien la biologie humaine est complexe. Et jouer au cobaye risque de me poser de sérieux problèmes de santé.

     Je ne sais si c’est lié à la prise de Dompéridone, mais une grande fatigue musculaire et d’importants maux de tête perturbent ma journée du lendemain. Je me traine sans force. Je suis incapable du moindre effort physique. Soulever une grosse pierre pour aider un ami m’est impossible. Le soir, je m’écroule littéralement devant la télévision. Un coté déprime aussi qui, je l’espère, disparaitra après un bon sommeil réparateur. Trop fatigué, je me couche en oubliant d’appliquer Oestrogel. Le lendemain, mon état de santé ne s’améliore pas.

     Dimanche 7 août, deuxième jour sous Dompéridone. J’ai eu Yasmina au téléphone. Quand elle a appris que je prenais six comprimés par jour, elle a bondit au plafond. C’est beaucoup trop à son avis. Cela peut expliquer les troubles ressentis. On convient de passer à quatre comprimés quotidien. Par contre, elle me conseille de favoriser les montées de lait en aspirant au moins Quatre à huit fois par jour les mamelons avec ma petite pompe à clitoris.

     C’est bien connu des femmes qui allaitent, aspirer les mamelons stimule les glandes mammaires et favorise donc les montées de lait.  J’aspire donc tour à tour chaque mamelon avec ma petite pompe. L’aspiration ne provoque aucune douleur. Mes mamelons seraient-ils redevenus insensibles ? Je supporte durant de longues minutes cette puissante succion au point d’en oublier ce gadget accroché à mes mamelons comme une sangsue.

     Vidée de son air, la poire se détache soudain du mamelon droit. Quelle surprise ! Des gouttes d’un liquide ambré s’en écoulent. Etonné, je goutte. Hum, une consistance comme de l'eau très sucrée. Je m’en régale comme du plus précieux des nectars. Cela me procure une impression euphorique. Tout émoustillé, j’essaie ensuite sur le mamelon gauche. Mais là, rien ne s’en écoule.

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     Surgit alors un nouveau fantasme. Ah si seulement je pouvais me sucer les seins et sentir mon propre lait couler dans ma bouche. L'idée germe dans l'esprit de Yasmina: " Il faut à tous prix que tu développes ta poitrine, qu’elle grossisse encore plus pour arriver à te sucer les mamelons. Cela stimulera les montées de lait, j'en suis certaine. "De songer à m’autoalimenter de cette façon me rappelle mon adolescence, lorsque j’étais souple comme un singe. J’adorai alors me sucer la verge et jouir dans ma bouche. Des auto-fellations qui marquèrent ma jeunesse.

      Le lendemain après mon bain, je constate que le mamelon droit est tout boursoufflé. On distingue nettement les pores des canaux galactophores. D’ailleurs, ils sont recouverts d’une substance brunâtre. Certainement lié à l’écoulement d’hier. Lorsque j’en parle à Yasmina, elle me dit que c’est du colostrum, un liquide nourricier très riche, annonciateur du lait maternel. Enfin j’approche de mon but.  Elle me conseille d'acheter un tire-lait, une machine électrique avec deux ventouses placées sur les tétons et qui imite la succion d'un bébé. Savoir que je pourrai bientôt allaiter fait que mon humeur revient au beau fixe. Je m’étonne de cette réaction versatile alors que j’étais si déprimé la veille. Parallèlement aux prises de Dompéridone, je décide d’arrêter Oestrogel et Progestogel.


Par Epile - Publié dans : DES HORMONES
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Jeudi 29 septembre 4 29 /09 /Sep 21:21

     Après plus de six mois de traitement hormonal, je me sens moins motivé par la femellisation voulue par Yasmina. Je suis déçu par ma poitrine qui reste trop petite malgré les hormones. Et il manque Yasmina à mes cotés pour me stimuler. Bien qu'elle m’excite comme aucune autre femme ne sait le faire, elle habite si loin de chez moi maintenant que nos échanges sur le Net ne me suffisent plus. Je désespère...

     Ah si seulement elle pouvait vivre près de moi, mais elle n'arrive pas à se faire muter. Sa vie professionnelle de sage-femme se passe ailleurs malheureusement. A côté d'elle, je serais certain de me donner à fond à cette femme qui préfère femelliser un homme plutôt que d'avoir à ses côtés un mâle qui éjacule du foutre à gogo. Elle me veut femme afin de disposer sexuellement de moi à sa guise, cela pour son plus grand bonheur. Que lui importe mon sexe masculin puisque c’est d’une "femelle" dont elle a envie dans l’intimité. Son plaisir galvaniserait alors le mien et me permettrait de retrouver mon exubérance d’antan.

     N’oubliez pas que le fantasme de Yasmina consiste à faire de moi un homme d'apparence virile en société tout en ayant de gros seins remplis de lait etune chatte ouverte à ses fantasmes dans l’intimité de notre couple. Si ce n’était la difficulté liée à mon âge d’avoir un vagin à la place de ma queue, elle aimerait que je subisse une telle chirurgie. Que je devienne impuissant et stérile lui importe donc peu. Elle s’intéresse plus à la Femme que je deviens qu’à l’homme que je suis. Ce qui me surprend, c’est que je m'habitue à cette idée. Voila dans quel état d’esprit je me trouve en cette mi-août.

   Préoccupée par sa spécialité de sage-femme, elle ne mesure pas réellement les effets néfastes de son fantasme sur ma santé. Ce qui finit par m’exaspérer. Elle croit que tout est possible. Mais on ne transforme pas un homme en femme sur un coup de baguette magique. C'est oublier que je suis biologiquement un mâle.

prostate.gifUn fait révélateur sur ma santé déclinante m’interpelle à présent. Ma prostate ne cesse de grossir. La vessie comprimée par celle-ci, il devient impossible de passer une nuit complète sans être réveillé par une forte envie de pisser. Une réaction naturelle à mon âge selon mon médecin traitant. A l’approche de la soixantaine, l’organisme masculin favorise les œstrogènes au détriment des hormones mâles. Ce phénomène, qu’on appelle andropause, est caractéristique de ce déséquilibre hormonal. Embonpoint, amas graisseux sur la poitrine, ventre qui s'arrondit, atrophie musculaire, perte de mémoire et j’en passe, en sont les conséquences les plus visibles. Difficile parfois de faire la part des choses entre vieillesse et hormones féminisantes.

     Il y a danger chez moi, car l’hypertrophie de la prostate risque d’engendrer une tumeur cancéreuse. D’après les spécialistes, ce type de cancer affecte autant d’hommes que le cancer du sein affecte de femmes. Et moi, je prends conscience de jouer avec le feu.  A ce propos, je comprends mal la réaction des hormones sur la prostate. On dit communément que la testostérone favorise son grossissement en engendrant des risques de tumeur cancéreuse en vieillissant. D’un autre coté, les médecins précisent que les hormones féminines favorisent aussi le même risque de cancer. Contrairement aux antihormones mâles qui elles contrarient effectivement l’hypertrophie de la prostate, mais avec les conséquences sur l'impuissance et la stérilité que l’on connait. Alors qui faut-il croire ? Je manque cruellement de connaissance à ce sujet. Et mes observations personnelles ne suffisent pas à expliquer ce qui se passe.  Outre "saw palmetto", faudra-t-il donc prendre plus tard Androcur ou Finastéride pour bloquer l'hypertrophie de ma prostate ? La question se pose. D'autant plus que l’impuissance et la stérilité s’installe en moi. Yasmina désire que je franchisse le pas. Prendre des anti-androgènes ne peut que favoriser ma femellisation et m'évitera les risques d'une hypertrophie de la prostate. Moi, je fais de la résistance, je refuse d'abandonner définitivement ce qui faisait de moi un mâle viril et puissant.

teton.jpg Etre un homme viril dans un corps féminisé, préserver ma condition de mâle en ayant une grosse poitrine de femme pleine de lait démontre pour certains que je suis psychologiquement déséquilibré. Je dirais plutôt que c'est un choix sexuel, un mode vie contradictoire, choisi en pleine conscience avec ma compagne. On a qu'une seule vie et j'aurai tord de me priver de cette merveilleuse expérience.  L’incompréhension des transsexuelles à ce sujet est révélatrice de ce malentendu. Ces dames n’apprécient pas qu’on joue dans leur cours. Et encore moins de prendre des hormones uniquement pour avoir des seins. On devient femme ou on reste un homme selon elles ! Point de salut entre les deux. Sur certains sites transsexuelles, on m’affuble même de quolibets peu flatteurs lorsque je tente une explication. Un comportement qui me surprend de la part de ces gens, eux qui se réclament justement d’une société tolérante. Quant aux femmes, elles préfèrent en rire. Un mec, c’est viril et ça bande. Il n’y a que les travestis qui se passionnent pour mon état. Or mis à part les minuscules strings et culottes de femme que j'adore porter,  je n'éprouve aucun plaisir à me travestir. 

     Je pense qu'il est temps d’interrompre mon traitement hormonal si je ne veux pas enterrer définitivement mon identité de mâle et y laisser ma santé. Mais c’est plus fort que moi. Bien que je désire rester un homme viril, soumis à l'influence de Yasmina, je continue à étaler ces hormones femelles sur mes seins, sur mon ventre et mes cuisses avec une délectation qui dépasse la raison. Cruel dilemme !

     Parallèlement à mes angoissantes questions existentielles, je n’ose toujours pas discuter de ma féminisation hormonale avec Amber. A défaut de Yasmina auprès de moi, ce serait chouette de partager mes impressions féminines avec elle. Mais un homme à ses yeux, c'est viril et macho. Elle se choquerait de mes confidences. Ce serait incongru, même si elle adore défoncer mon cul ou jouir dans ma bouche. Et pourtant, elle ne s'offusque pas de mon corps intégralement épilé et des petits strings de femme que je porte en guise de sous-vêtements. Il est vrai que contrairement à elle qui est  transsexuelle, je ne cache pas mon sexe entre les cuisses. Bien au contraire, la protubérance qu’il fait dans ces lingeries trop petites dégage un érotisme particulier.

   

Par Epile - Publié dans : DES HORMONES
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