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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
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  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Dimanche 14 janvier 7 14 /01 /Jan 22:47

     Je souhaiterais revenir sur l'allaitement long développé au chapitre 2, "Allaitement prolongé". L’allaitement long, une expression choquante de nos jours tellement les femmes manquent au principe le plus élémentaire de nourrir leur bébé au sein. Dans cette forme d’allaitement, c’est l’enfant qui décide naturellement de son sevrage, autrement dit, c’est un allaitement à la demande à la condition que la mère puisse suivre les contraintes qui lui sont liées.

     Le mode de vie des femmes d’aujourd’hui fait qu’elles doivent reprendre impérativement leur activité professionnelle après un congé de maternité. Et pourtant, des femmes souhaiteraient le prolonger tant le plaisir partagé avec leur bébé est grand. De ce fait, nombreuses sont celles qui cessent d’allaiter après trois mois, une privation qui perturbe profondément leur bébé. D’autres femmes, considérant que l’esthétique de leurs seins est plus importante que d’allaiter leur enfant, passent directement au biberon. Des laits faits par des industriels peu scrupuleux, plus intéressés par le profit que par la santé des nourrissons. Nous vivons actuellement un exemple concret avec Lactalis et ses laits pour bébés. Comparativement au lait naturel, ces laits artificiels engendrent souvent maladies et complications. Certains psys conseillent même de cesser l’allaitement long, car il prouverait un raté du sevrage tandis que des lesbiennes féministes s’opposent carrément à la lactation. Une fonction animale de femelle selon elles, indigne des femmes. Or, des spécialistes précisent même que des enfants allaités artificiellement seront des enfants contrariés plus tard. On le constate les opinions sur l’allaitement naturel divergent, souvent au détriment de l’enfant.

     Je ne rappellerai pas ici les bénéfices de l’allaitement naturel. Quant à l’allaitement long, le lait maternel reste recommandé en complément de la nourriture solide au-delà de 6 mois, car il couvre une part importante des besoins nutritionnels et des apports énergétiques de l’enfant. De plus, toutes les études sur l’allaitement long démontrent un développement cognitif et social bien meilleur que chez l’enfant allaité artificiellement. De toute façon, je ne vois pas l’utilité d’imposer une limite d’âge à la pratique de l’allaitement long dans la mesure où l’enfant finit par s’arrêter de lui-même. Il existe plusieurs schémas de sevrage, fonction de la durée d’allaitement :

-          Quand l’enfant commence à parler et à marcher autour d’un an à un an et demi

-          Puis à l’âge de raison vers six à sept ans

-        Et enfin à la prépuberté, lorsque le corps de l’enfant se transforme sous l'action de la montée hormonale, lorsque sa sexualité propre se développe. On considère qu’il cesse son allaitement au moment où lui-même s’ouvre au monde extérieur.

2dd3461e      L’allaitement long choque beaucoup en France. Non seulement on le considère indécent, mais  on a aussi tendance à l’assimiler à de l’inceste. Un dégout purement culturel. Or, une relation incestueuse se caractérise d’abord par la recherche d’un plaisir sexuel qui répond à un mécanisme hormonal bien précis, mécanisme qui, à défaut d’hormones sexuelles spécifiques, n’existe pas encore chez l’enfant en bas âge. À l’évidence, on a tendance à associer les seins à la sexualité et donc à les réserver au monde adulte. Et pourtant dans les cultures, dites, anciennes les seins étaient naturellement dénudés, car ils n’avaient pas ce caractère sexuel qu’on leur prête actuellement. Dans beaucoup de cultures asiatiques comme africaines, les mères donnaient le sein jusqu’à un âge très avancé. Ces mères avaient compris que nourrir un enfant au sein lui évitait des carences nutritives susceptibles de nuire à son développement.

     En ce qui concerne « la rupture ombilicale » de l’enfant, le sevrage, il intervient lorsque l’enfant  commence à s’extérioriser du milieu familial et entreprend son propre processus procréatif ; une réaction innée qui survient au plus tard à la prépuberté. Toutes les données historiques sur l’allaitement naturel nous démontrent que le sevrage naturel a lieu vers l’âge de deux à trois ans. A cause de la pression culturelle, beaucoup de mamans continuent d’allaiter en secret sans même en parler à leur médecin tellement elles sont gênées par la forte intimité qu'elles partagent avec leur enfant. Restent malheureusement ces femmes qui n'arrivent pas à produire suffisament de lait ou qui ont  des problèmes de santé…

      Des études effectuées sur  des mammifères conduisent à définir l’âge du sevrage vers 5 à 7 ans. La palette est donc large en matière d’allaitement naturel. Tout comme l’enfant apprend à marcher, à parler, il décide de son sevrage quand il s’ouvre au monde extérieur. Le sevrage long se fait toujours progressivement ce qui laisse le temps, à l’enfant comme à la maman, de se séparer en douceur, d’autant plus qu’une mère comme son enfant tire un plaisir certain de l’allaitement : le sevrage progressif présente moins de risque de dépression, un peu de nostalgie quand même et des seins douloureux pour la maman en attendant que les montées de lait régressent. À moins que le conjoint prenne la relève si la mère éprouve le besoin de continuer. Mais bien souvent après un allaitement long, la maman ressent généralement le besoin de se reposer et de reprendre une vie plus ordinaire.

     Difficile donc pour les adeptes de l’allaitement long de donner un âge de sevrage précis. Les spécialistes définissent néanmoins un seuil bas de 2 ans et demi et un seuil haut vers 6 à 7 ans. Ce qui n’empêche pas certaines mères d’allaiter jusqu’à ce moment  où leur l’enfant s’ouvre au monde extérieur, soit à la prépuberté vers dix ans...


Par hommeofeminin@gmail.com - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
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Mercredi 31 janvier 3 31 /01 /Jan 22:47

     Je viens de me rendre compte que cet article n'était pas répertorié correctement. Je l'ai donc déplacé du livres "Allaitement érotique" vers "Transexuelles".

     J'avais fait le test du site COGIATI concernant la tendance transsexuelle MtF des individus. (http://transsexual.org/cogiati_french.html) Ce test s’adresse à des gens atteints de dysphorie de genre, homme vers femme non opérés. Il ne m'est donc pas destiné, mais j'ai trouvé amusant de le faire. Il est assez ancien et n’est malheureusement plus mis à jour. Néanmoins le résultat est assez bluffant. Amies transgenres, je vous invite à répondre à ce questionnaire et à découvrir votre véritable identité de genre.

     A noter que ce test ne reconnait pas l’autogynéphilie, une forme de fétichisme lié au fait qu’un homme s’excite à l’idée d’avoir une anatomie féminine sans pour autant se sentir transsexuelle. Ce qui est mon cas puisque je ne désire pas changer de genre bien que j'ai une poitrine hormonée. Les lecteurs habitués à mon site le savent, je suis à la fois une femme avec un pénis et un homme avec des seins. Et j'aime ça ! Passer de l'un à l'autre avec le sentiment de ne jamais perdre la voie du retour. Avoir une grosse  poitrine de femme débordante de lait m’excite jusqu’à en devenir obsédé. Ah ! Comme j’aimerais pouvoir me téter directement les seins et boire directement mon propre lait, un challenge difficile, mais que je vivrai un jour, j'en ai la certitude...

077257edc3534522301ce5135bb4b1e7

     Voici le résultat de mon test COGIATI :

Your COGIATI result value is: -165. Vous faites partie de la catégorie suivante :

COGIATI catégorie DEUX : HOMME FEMININ

     Cela signifie que le COGIATI a classé votre identité de genre intérieure comme étant essentiellement masculine et que vos problèmes de genre sont affaire d'expression personnelle plutôt qu'un problème médical. Le conflit que vous éprouvez est essentiellement causé par une honte intérieure de vos besoins et de vos désirs ou en raison de la curiosité que ces besoins représentent. Il y a, quoi qu'il en soit, quelque indication d'une part féminine de votre être et cela est intrinsèque à votre constitution.

ACTIONS SUGGEREES:

     Votre situation est relativement simple, aussi devriez-vous pouvoir être soulagée. Étant donné que votre situation n'est pour l'essentiel pas liée à une cause physique ni biologique, les suggestions vous concernant sont relativement simples.

  1. Si vous avez quelque mal-être concernant votre expression de genre, de légers conseils peuvent vous être très utiles. Le but premier serait de vous rendre possible la jouissance de votre expression de genre libérée de tout sentiment de honte ou de gêne, et de résoudre toutes les questions restantes que vous pourriez avoir.
  2. Votre problème de genre et votre expression de celui-ci sont plus qu'un simple jeu ;  une forme d'expression d'identité personnelle, mais il n'y a pas d'indice de transsexualisme. Au contraire, toutes les informations suggèrent que la voie du transsexualisme n'est pas celle que vous devriez prendre. Elle vous plongerait dans une profonde insatisfaction. Il est possible qu'un petit pas vers une plus grande expression féminine de vous-même puisse vous apporter plus de bonheur, mais une telle entreprise ne devrait être faite qu'avec d'extrêmes précautions.
  3. Si vous ne l'avez pas déjà fait, envisagez de rejoindre les nombreux groupes dédiés au jeu des genres sous différentes facettes. Il y a tout un monde d'amis à découvrir qui partage vos intérêts. Il y a aussi des publications, des séjours, des activités qui étendraient votre expression de genre.

           Hélas, trouver des gens ayant les mêmes comportements autogynéphiles que moi semble difficile. Reste que l'anonymat du Web permet d'en parler ouvertement...


Par hommeofeminin@gmail.com - Publié dans : DES TRANS
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Lundi 3 septembre 1 03 /09 /Sep 02:49

HOMO OU HETERO ? A vous de choisir

    Bien que je pense être un hétéro convaincu, j’éprouve une irrésistible attirance envers les transsexuelles non-opérées. Elles stimulent ma libido tout autant que les femmes, mais dans un registre sexuel différent. L’ambigüité de leur état ambivalent, une féminité oubliée des femmes, un corps hyper-sexualisé, des fesses nerveuses avec des seins hormonées ou gonflés par de généreuses prothèses réveillent mes instincts les plus mâles. Et que dire de leur clitoris si particulier ou de leur chatte ouverte à toutes les extravagances ? Elles ont ceci de merveilleux qu’elles pratiquent le sexe comme nous les hommes. Contrairement aux femmes, leurs fantasmes sont les miens et mes fantasmes sont les leurs, ce qui, je l’avoue, favorise une relation sulfureuse. 

     Quelle joie pour moi de les observer dans ce qu’elles ont de plus féminin et de plus sexy. Plus aucune femme n’arrive à s'habiller comme elles, à onduler des hanches comme elles. Plus aucune femme ne sait aguicher comme elles un homme. Elles seules savent mettre en valeur leurs appâts naturels. Quand je fais l’amour, caresser leur corps androgyne et voir leur petit clitoris se dresser affole mes sens. Lorsqu’elles éjaculent en poussant des cris de femelle, elles me font penser à des femmes fontaines. Quelle trouble aussi de sentir le fruit de leur orgasme gicler. Avec le temps, je me suis habitué à déguster ce nectar offert avec tant d’entrain. Et lorsque leur clitoris s’enfonce en moi jusqu’aux tréfonds de mes entrailles, cela me procure bien plus de sensations que les godes-ceintures de ma compagne. Et attention à ceux qui rêvent d'elles comme des bêtes de sexe, ne vous méprenez pas sur ces femmes d’un genre particulier. Quand elles aiment, elles attendent des hommes Amour et respect.

04AA     Mais

     Mais alors suis-je devenu gay ? Prendre du plaisir avec le clitoris des transsexuelles ou les enculer ferait-il de moi un homo qui s’ignore ? Les avis divergent sur ce point. Pour la plupart des gens, les transsexuelles non-opérées sont des hommes travestis et rien d’autres. Non pas que ces gens soient homophobes, mais parce qu’ils ignorent les problèmes d’identité de genre et d’orientation sexuelle. Pour eux, la biologie et la génétique s’imposent. Si la transsexuelle possède des chromosomes XY, elle est un homme, un point c’est tout. La plupart des gens perçoivent les transsexuelles comme une perversion de l’esprit humain et coucher avec elles relève donc de l’homosexualité. Même si les transsexuelles sont bien plus féminines que nombre de femmes, elles ne seront jamais Femme à leurs yeux. Un raisonnement qui rappelle l’obscurantisme d’une époque heureusement révolue ou il fallait être homme ou femme. Entre les deux, point de salut ! 

     Il faut savoir que les hommes qui apprécient les transsexuelles ne sont pas attirés par les hommes. Bien au contraire, la plupart éprouvent une forte aversion sexuelle à leur égard. Beurk, des poils et une queue ! Par contre, ils ne résistent pas à l'hyperféminité des transgenres. Ils les trouvent plus vraies que nature et bien plus sexy que beaucoup de femmes. Et là, plus question de chromosomes, c’est de l’attirance sexuelle pure ! Reconnaissons que les transgenres symbolisent aujourd’hui une féminité portée à son paroxysme ; féminité que les femmes biologiques abandonnent par soucis d’égalité sociale ; un combat féministe qui, de plus, féminise la société et finit par agacer les hommes d’ailleurs. Mais ou sont donc passées les pin-up des années cinquante ou les starlettes dénudées des sixties ? Cela expliquerait-il le succès des transsexuelles bien plus libres de pensée, bien plus sexy et qui apprécient les choses du sexe sans se choquer ? Serions-nous brimés par la gente féminine au point de nous rabattre sur des transsexuelles ? Nous ne sommes que des hommes après tout. L’attirance à l’égard des femmes sexys est une réaction de mâle que nous impose la nature.

     Bien qu’une telle relation engendre des attitudes sexuelles assimilables à de l’homosexualité, n’oublions pas que les transsexuelles sont avant tout attirées par des hommes hétéros ; ce qui les fait rejeter naturellement les femmes et les gays sur un plan sexuel. Peut-on dire alors d’un tel rapport qu’il devient hétérosexuel ? A lire les avis des transsexuelles et les réactions des hommes qui les fréquentent, je le pense... 


Par Microstring - Publié dans : DES TRANS
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