Lundi 12 septembre
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Pour vous, tout a commencé innocemment à l’adolescence, un âge où la montée hormonale vous a poussé à de fréquentes masturbations à défaut d'une copine
avec qui satisfaire ce désir nouveau qui vous submergeait. Une incontrôlable envie qui vous a pris au ventre avec une force incroyable. Vous vous êtes faufilé discrètement dans la chambre de
votre sœur ou à défaut dans celle de votre mère pendant leur absence. Vous avez ouvert l’armoire aux senteurs si féminines, vous avez touché et senti avec ivresse la lingerie exposée à votre
regard. En tremblant d’émotion, vous avez choisi une petite culotte sexy, oui, celle en dentelle rouge. Irrésistiblement, votre instinct vous a poussé à l’essayer. Vous l’avez enfilé sur vos
hanches juvéniles tout en vous admirant dans le miroir de la grande armoire. Excité de vous voir ainsi, votre verge turgescente a jailli du fin tissu et vous à poussé à une vive masturbation.
Peut-être même que vous avez joui dans la petite culotte de votre soeur. De voir par transparence votre semence perler goutte à goutte vous a procuré un plaisir plus fort que toutes les
masturbations que vous connaissiez jusqu’à présent.
Au fil du temps, vous vous êtes pris de passion pour la lingerie féminine.
Vous avez même "emprunté" des petites culottes à votre sœur, un précieux butin que vous ressortiez à chacune de vos envies. Puis suivirent d’autres lingeries intimes toujours plus érotiques,
jusqu’à des jupes au raz des fesses, des talons aiguilles vertigineux, des perruques et des maquillages outranciers. A chaque séance, vous vous masturbiez tant le plaisir était fort. Vous avez
découvert par ce biais une jouissance nouvelle, totalement différente de celle que vous connaissiez avec les femmes. Hélas, après chaque orgasme, vous vous sentiez honteux et coupable, car un
homme hétéro ne se livre pas à ces jeux féminins. Pour des questions de pudeur publique, il ne doit jamais remettre en cause sa virilité.
Votre conscience vous dictait alors de renoncer, de jeter ces lingeries
féminines si attirantes, de corriger ce plaisir que vous cachiez à votre femme ou à votre compagne. Vous ne vouliez plus recommencer. Or, le virus de la féminisation était en vous. Vous ignoriez
que vous étiez dans une spirale qui échappait à votre contrôle. Par faiblesse, vous avez recommencé en vous cachant, quitte à vous dégoûter un peu plus après chaque nouvelle expérience.
Puis est arrivé ce jour ou votre compagne vous a surpris travesti en fille
dans sa propre lingerie. Et pour comble, vous veniez de jouir dans sa petite culotte. Quelle honte ! Elle s’est d’abord indignée puis s’est ouvertement moquée de
votre penchant ridicule. Après de vaines explications, elle vous a quitté pour un autre homme, bien plus
« sain » celui-là. Eh oui, face à ce désir irrépressible de féminisation, vous vous êtes senti honteux devant elle, sans défense, incapable de vous justifier.
Avec le temps, cette séparation vous a finalement arrangé. De par votre
nouveau célibat acquis, vous pouviez enfin vous livrer ouvertement à vos plaisirs féminins les plus extrêmes, mais en solitaire. Vous vous êtes donc consolé en achetant tous ces vêtements et
cette lingerie sexy qui vous excitaient tant : habillé en femme devant le grand miroir, vous vous masturbiez sans cesse en regardant vos jambes gainées de soie, votre corps épilé, vos tétons
qui pointaient, votre queue dressée qui débordait de la petite culotte sexy. Vous preniez des poses suggestives, excessivement féminines, tout en éprouvant une sensation bizarre. Vous ne vous en
rendiez pas compte, mais en vous dévirilisant ainsi, vous étiez en train de renoncer à votre statut d’homme viril…
Pour vous consoler, vous avez rencontré sur le Net des gens qui
partageaient les mêmes attirances sexuelles que vous : échanger vos fantasmes de féminisation et jouer sexuellement à la femme soumise auprès des hommes vous stimulait toujouts plus.
Conditionné par d'autres travestis, vous avez même envisagé un traitement hormonal pour mieux vous féminiser et surtout développer votre poitrine. Vous avez discuté de vos fantasmes avec des
hommes, des hétéros puis vous avez accepté des rendez-vous intimes. Des hommes toujours plus nombreux que vous faisiez jouir dans votre bouche ou dans votre chatte. Rien à voir avec les gays.
Ceux-ci ne vous attiraient pas. Avec les hétéros, vous pouviez enfin vous travestir à votre gré, jouer de votre féminité et les exciter comme une femme. Ces hommes recherchaient une femme sexy
qui puisse surtout satisfaire leurs penchants sexuels les plus outranciers, des jeux comme la sodomie qu’une femme n’accepte pas facilement, des actes sexuels que les hommes n’osent pas demander
à leur femme par pudeur. Eux utilisaient à leur guise la femelle en chaleur que vous étiez, faisaient de vous un objet sexuel soumis à leurs fantasmes les plus osés. Et vous, vous appréciez cette
inversion des rôles, être une femme soumise entre leurs bras. Vous avez alors découvert combien une queue de mec entre vos lèvres vous procurait un plaisir bien plus fort qu’un vagin de femme,
combien le goût du sperme vous ravissait en lieu et place de la cyprine. Je ne sais plus sur quel blog j’avais lu que des travestis éjaculaient plus abondamment avec un homme qu’avec une femme,
surtout lorsqu’on les traitait en pute.
Ca, c’était au début, quand vous découvriez le bonheur de vivre
ouvertement votre féminité. Votre féminisation a fait son chemin depuis. Est venue entre-temps l’envie d’être pris comme une femme, un besoin irrépressible d’être enculé, défoncé, dilaté, ouvert
au plaisir de l’autre associé à une certaine douleur. Vous avez acquis de l’assurance et sans même vous en rendre compte, vous avez pris du plaisir par-derrière en oubliant vos érections. Vous
n’éprouviez même plus le besoin de jouir et d’éjaculer tant la sodomie vous rendait fou de plaisir. Au-delà des premières pénétrations, parfois très douloureuses, votre anus se transformait en
une chatte accueillante qui vous procurait un plaisir de femme. Oui, en devenant une femelle soumise vous renonciez inconsciemment à votre virilité de mâle. Vous n'étiez plus qu'une femme
travesti en chaleur...
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