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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
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  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Dimanche 10 mai 7 10 /05 /Mai 06:39

   En attendant que Momma accouche, je passais la voir chaque après-midi chez elle. On buvait un thé puis on discutait de choses et d’autres. Mais à chaque fois on revenait à la lactation. Grâce à mon accent « frenchie », on sympathisa facilement. Elle me montrait sans fausse honte ses énormes seins et son ventre arrondi. Elle détaillait comment ses seins réagissaient sentant combien j’étais captivé par sa condition de parturiente. Face à l’intérêt que je lui portai, Momma se confia :

     «  Je reconnais que la motivation première est l’argent. Cela me permet de payer les crédits de la maison et les différentes assurances. Mais en fait, c’est plus compliqué que ça. Je ne peux plus me passer de la "connexion" inexplicable qui se fait pendant l’allaitement. J’aime la sensation de chaleur et de bien-être ressentie durant la tétée. Après la naissance de mon premier enfant, mes seins devinrent très sensibles et je ressentis beaucoup de plaisir à l’allaiter. J’eus des montées de lait impressionnantes et mes seins grossirent énormément. Des montées de lait si importantes que mes seins s’engorgèrent souvent, ce qui engendra des douleurs fréquentes. Je les vidai alors en pressant fortement. Mon mari adorait que je fasse gicler mon lait ainsi. Je l’allaitai quelques fois par jeu, mais il ne buvait pas assez pour désengorger ma poitrine. Quel regret de perdre aussi bêtement ce lait nourricier alors que des gens rêvaient d’en boire. Des hommes me complimentaient sur mes seins et me proposaient discrètement de les téter. Le besoin d’argent se faisant cruellement sentir, on se rendit compte avec mon mari du formidable potentiel que la nature m’offrait. C’est ainsi que nous avons décidé d’un commun accord que je devienne une nourrice professionnelle au service des adultes. Une découverte à laquelle je pris finalement beaucoup d’intérêt. Cela fait près de trois ans maintenant que je pratique ce métier. Vivant modestement, l’argent ainsi gagné améliore notre existence. Il paiera le collège de ma fille plus tard... »

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     J’attends dans l’immédiat d’accoucher, mais cela ne changera rien à mes habitudes de nourrice professionnelle. Tout en allaitant ma fille, je continuerai à allaiter des adultes à raison de deux séances quotidiennes. Et lorsqu’elle sera définitivement sevrée, je continuerai d’allaiter à raison de quatre à cinq séances par jour, ce qui entretiendra mes montées de lait. Oh il y a bien quelques inconvénients à allaiter aussi longtemps. Il n’est pas évident de vivre constamment avec une poitrine pleine de lait et de supporter des engorgements intempestifs. C’est un mode vie que je j’ai choisi. Nourrice est mon métier dorénavant… »

     Merveilleux ! Pendant une semaine, je tétais donc le plus exquis des breuvages qu’une femme puisse offrir. Aucune liqueur, aucune boisson aussi chère soit-elle ne peut se comparer à ce fin nectar offert par la nature. Arrivèrent ensuite les premières montées de lait qui gonflèrent prodigieusement sa poitrine. Là encore je me régalai de ce lait au goût changeant. Avec Momma, je vécus des moments d'une rare intensité que peu d’hommes connaissent dans leur existence. Hélas, il fallut nous quitter un jour car le temps passait, d'autant plus que je me ruinais dans cette relation allaitante…

     Par la suite, on correspondit quelque temps. Elle créa un profil de nourrice professionnel sur un site érotique réputé. Son succès fut immédiat, des dizaines d’amateurs passionnés de lactation érotique se manifestèrent. Elle aurait voulu satisfaire tout le monde, mais face au trop grand nombre, elle dut refuser des clients. Elle s’excusa auprès d’eux en précisant que malgré sa bonne volonté et le plaisir qu’elle éprouverait à les allaiter, elle n’avait pas la capacité d’en allaiter autant. Elle précisa ne plus être disponible pour de nouvelles demandes et ferma sa liste de clients...

     Aux lecteurs qui ne sont pas convaincus par la lactation entre adultes, consultez le site américain Fetlife.com. Hormis les nombreuses femmes qui s’adonnent à l’allaitement érotique, recherchez le groupe « Professionnal Adult Wet Nurse and Milkmaids ». Vous serez surpris par ces femmes qui proposent leur lait en échange d'une compensation financière. On y découvre même des transsexuelles qui conseillent utilement sur la façon d’induire une lactation chez les femme nées génétiquement mâles. Une fois de plus, l’Amérique nous montre la voie, des esprits chagrins diront qu'elle impose sa Loi…

 

 

Par Epile - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
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Samedi 16 mai 6 16 /05 /Mai 18:17

     "Par la suite, mon mari acheta un écarteur vaginal, un spéculum si vous préférez, et tel un gynécologue, il ouvrit mon vagin pour mieux en explorer les chairs. J’appréciai de m’abandonner à ses visites intimes qui violaient ma pudeur. Grâce à un petit miroir posé entre mes cuisses, il montrait les détails de mon vagin largement ouvert ainsi que son doigt qui entrait et sortait de mon urètre. Etrange sensation de voir mes chairs intimes ainsi exposées. Mon urètre se dilata si facilement que le doigt de mon mari finit par glisser sans forcer. Bien dilatée, je me passai par la suite de Xylocaïne, un simple gel lubrifiant suffisant amplement. Il se servit de sa première phalange pour caresser mon point G plus sensible par ce chemin. Un plaisir peu commun s’empara alors de moi.

     Alors que je m’habituai aux doigts de mon mari, il essaya d’introduire un petit vibromasseur. Il m’expliqua que sentir mon urètre vibrer au niveau du point G engendrerait d'irrésistibles orgasmes. Croyez-moi, si j’avais su combien ce petit appareil me stimulerait, je l’aurai essayé bien plus tôt. Une fois enduit de gel lubrifiant, il l’introduisit délicatement. Grâce aux vibrations, il glissa sans forcer dans mon urètre tout en l’étirant. Les vibrations me procurèrent d’abord une sensation de picotement et d’agacement incontrôlable. Mon mari le poussa délicatement dans les profondeurs de mon urètre. Et en arrivant au sphincter, les vibrations l’ouvrirent d’un seul coup. Incapable de me contrôler, je jouis en laissant mon urine gicler sans plus aucune retenue Une pure extase de me laisser aller ainsi.

     Ces orgasmes intenses me donnèrent l’idée d’essayer avec son pénis, une escalade somme toute normal arrivé à ce stade. Or, insérer un petit vibromasseur fut une chose, mais entrer le pénis de mon mari en fut une autre. Il habitua d’abord mon urètre à se dilater en y insérant un deuxième doigt puis un troisième. La Xylocaïne vint en renfort afin de ne pas gâcher mon plaisir. Il ne réussit pas du premier coup malgré l’impressionnante dilatation de l’urètre. Il insista néanmoins en utilisant une grande quantité de lubrifiant. Il faut savoir que contrairement au vagin, l’urètre n’est pas auto-lubrifié.

      La première fois, son gland bien trop gros ne réussit pas à forcer mon petit trou. Son membre au gland turgescent ne glissa pas comme dans mon vagin car les chairs de l’urètre trop serrées se rétractèrent en même temps que ses mouvements d’intromission. Il faut savoir que l’urètre n’étant rattaché à aucun muscle, il « flotte » librement entre le vagin et la vessie. Mais passée la phase d’étirement, le plaisir arriva. A force d’entrer et sortir sa verge dans mon urètre, je jouis simultanément plusieurs fois de suite. Dans un éclair de lucidité, je demandai à mon mari de pousser plus fort, de s’enfoncer encore plus en moi. Il força, mais après sept à huit centimètres de pénétration, il sentit un blocage. Follement excitée, je lui dis d’insister malgré la douleur. Et d’un seul coup son pénis pénétra dans ma vessie en forçant le sphincter à s’ouvrir. Son gland à l’intérieur de ma vessie, ce fut l’extase, brutal et indomptable. Sous les coups de boutoirs de son sexe, l’enfer se déchaîna. Impossible de décrire mes jouissances, des orgasmes à répétition qui s’enchaînèrent sans me laisser le temps de reprendre mon souffle. Quand son sperme gicla dans ma vessie, ce fut l’apothéose. Incapable de me contrôler, j’hurlai de plaisir en l’aspergeant de cyprine mélangée à mon urine. Que se passa-t-il ensuite ? Je fus incapable de me le rappeler. Tout ce dont je me souvins, je jouis tellement de fois que je perdis la notion du temps. Je pense même m’être évanouie. Il me fut impossible par la suite de décrire la sensation éprouvée, une explosion hors du temps. De ma vie, je n’avais ressenti de telles jouissances orgasmiques.

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     Chose surprenante, lorsque je repris conscience, mon mari essayait de sortir son pénis de ma vessie. Mais le sphincter s’étant refermé, son gland restait coincé dedans. A chaque fois qu’il tenta d’en sortir, j’eus l’impression qu’il déchirait mes entrailles. Je paniquai et nous vit à l’hôpital, soumis à la moquerie du personnel soignant. Heureusement que mon mari ne s’affolait pas facilement, il avait sa recette. Il me parla des politiques et de leur incapacité à gérer notre société, ce qui nous déconnecta complètement de la sexualité. Et en moins de dix minutes sa verge se rétracta suffisamment pour sortir son gland de ma vessie. L’urètre enfin dégagé, je pissai des flots d’urine mélangés à son sperme.

     J’insistai par la suite pour que mon mari me prenne ainsi à chacun de nos ébats. A la fin, j’en oubliai presque mon vagin tellement mon plaisir par l’urètre fut fort. Pour ne pas le brimer, je le prenais à chaque fois à fond dans ma bouche et avalais sa semence lorsqu’il jouissait. Il prit goût à mes fellations gourmandes et décharger son sperme de cette façon le combla autant que jouir dans mon urètre.

     Par contre une angoissante question se posa à moi. Allais-je devenir incontinente à force d’avoir l’urètre régulièrement dilaté et le sphincter de ma vessie forcé. Je craignis que mon petit trou s’élargisse monstrueusement et m’oblige à faire pipi toutes les dix minutes. Il y avait tellement de femmes qui parlaient d’incontinence que je m’inquiétai. Aussi étrange que cela paraisse, je n’eus jamais de fuite. Je dirais même que je contrôlais mieux ma vessie. Peut-être était-ce liés aux exercices de Kegel que je pratiquais quotidiennement depuis la naissance de nos deux filles, des exercices qui renforçaient mes muscles périnéaux. Bien que mon mari me pénétra souvent l’urètre avec son pénis, je dormis les nuits sans aucun problème de fuite. Comme toutes les femmes, je faisais pipi trois à quatre fois par jour.

     Un conseil de prudence à celles qui se lancent dans cette forme d’extase. Ayez toujours une hygiène irréprochable, ne forcez jamais les chairs et stérilisez systématiquement tout ce qui s’introduit dans l’urètre afin d’éviter une infection. Pour conclure, je dirai que je jouis à présent de mon urètre comme une femme jouit de son vagin. De plus, mon mari adore me prendre ainsi car son pénis est mieux serré dans mon petit trou… »


Par Epile - Publié dans : DIVERS
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Samedi 13 juin 6 13 /06 /Juin 22:27

     Un de mes lecteurs avec qui je corresponds régulièrement m'a conseillé de détailler les conséquences de mon annonce. Voilà qui devrait le satisfaire...

 « Homme mature cherche femme qui souhaite féminiser un homme à outrance. Je lui offre mon corps jusqu'à avoir des seins hormonés. S'il le faut, je serai opéré du vagin rien que pour son plaisir. Madame, faites de moi votre soumis femellisé ! Je suis "ouvert" à toutes propositions sérieuses. »

     Ne recevant pas de réponse à mon annonce, je vous laisse imaginer ma déception. Hormis une jeune femme qui s’intéressa par curiosité à mes seins hormonés et deux maitresses vénales qui me proposèrent des séances de féminisation forcée, je constatai une fois de plus combien les femmes recherchaient avant tout des hommes qui les baisent royalement. Place à la copulation et à la nature animale des humains ! Exceptionnelles  les vraies amatrices d’homme femellisé.

     Or, trois mois plus tard, alors que j'avais oublié mon annonce, je reçus un email d’une femme qui trouvait mon annonce à son goût. Elle se prénommait Nat. Après quelques échanges sur le web, j’eus une vision plus précise de ses attentes. Célibataire et d’un âge certain, elle tenait un bar essentiellement fréquenté par de jeunes travestis dans une petite ville de province en France. A la recherche de leur identité de genre, ceux-ci venaient y faire la fête tout en testant leur pouvoir de femme sur les hommes comme sur les femmes d’ailleurs. Les penchants de Nat à leur égard étaient légendaires et tous les travestis de la région se devaient de passer par son bar. Au début, elle se moqua gentiment de ces garçons maquillés, "perruqués" et habillés comme des filles. Puis à force de les voir ainsi, l’image qu’ils dégagait finit par stimuler ses sens. Prise dans le tourbillon de leur féminisation, elle les conseilla et les encouragea à se féminiser toujours plus. Elle devint incapable par la suite de voir les hommes autrement. Elle les croisait parfois le jour en ville. Habillé comme tous les hommes, il était difficile d'imaginer que la nuit venue, ils se métamorphosaient en papillons qui se brûlaient les ailes au contact des hommes.

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      De par son âge avancé, la solitude commençait à lui peser, surtout quand elle se retrouvait seule dans son appartement face à ces problèmes. Bien qu’elle "goûta" sans modération à ses jeunes clients travestis pour se consoler, ces oisillons encore trop sauvages manquaient d'expérience : « Ils n’ont pas l’esprit assez mature pour satisfaire mes penchants sexuels. » Néanmoins, dès qu'une nouvelle tête apparaissait, elle s'empressait de la choyer. Nat me parla aussi d'un problème d’exploitation de son bar. Le propriétaire de l’immeuble voulant récupérer son bien, il s'était lancé dans une démarche administrative pour faire fermer son bar. Et quoi de mieux comme argument officiel que d’avancer la gêne nocturne apportée au voisinage. Un combat qui la décourageait, car ce propriétaire avait de puissantes relations.

     Dénaturée par sa clientèle travestie, l’idée avait pris corps dans son esprit de prendre pour amant régulier un homme bien à elle, un homme mature avec qui elle partagerait sa vie et ses fantasmes. Les hommes de la ville l’appréciaient beaucoup, mais lorsqu’ils découvraient ses véritables orientations sexuelles, ils se sauvaient par crainte d'y laisser leur virilité.  En conséquence, elle s’inscrivit sur un site de rencontres érotiques, le même que moi. Elle espérait y trouver l’homme de sa vie. Les réponses fusèrent nombreuses trop nombreuses mêmes. Mais pourquoi les hommes éprouvaient-ils le besoin de montrer leur queue ? Cela l'agaçait prodigieusement. Je lui demandai pourquoi j'avais été retenu. La photo jointe à mon annonce, où on me voyait intégralement épilé dans un minuscule string blanc de femme, se distinguait des autres. Selon elle, je dégageais un érotisme plein de promesses. 

 String-blanc.jpg

     Nat me demanda si j’étais prêt à aller jusqu’au bout de ses fantasmes. Elle me prévint, être féminisé à son contact dans le milieu travesti où elle vivait en permanence deviendrait un acte irréversible. Elle exprima clairement l’idée de m’hormoner pour que je réagisse en femme. Et pour finir, elle me prévint qu'elle voulait que j’ai un vagin à la place de mon pénis. Devenu femme jusque dans ma chair, il me faudra alors la partager avec ses clients travestis, des jeunes à la queue vaillante.

     Émoustillé par ses propos, je n’hésitai pas. Le hasard avait mis sur mon chemin cette femme. Avec de tels délires, cela méritait toute mon attention. Que Nat désirait que j'aille jusqu’à l’ultime opération ne put que stimuler mon imagination. Et pourtant avoir un vagin ne m'attirait pas. A mon avis, aucune femme en ce bas monde ne désire faire de son mari une transsexuelle avec un vagin à la place d'un membre viril. C'est là un fantasme de mec ! Pour mieux me situer, je lui détaillai ma relation vécue avec Yasmina ainsi que mes envies laitières. Lorsqu’elle apprit que j’avais déjà une poitrine hormonée et quelques gouttes de lait qui en avaient jailli, elle s’emballa :

Puissions-nous vivre ce fantasme ensemble le plus vite possible.

Je le souhaite vivement, répondis-je.

Qu’espérer de plus de cette femme d’expérience ? Restait à nous rencontrer réellement, car le Net réserve parfois des surprises… 


 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION DES HOMMES
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