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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • soumission travesti string feminisation transgenre
  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Samedi 10 janvier 6 10 /01 /Jan 19:01

   Après toute une vie conditionnée par la bienséance familiale que nous imposent les conventions sociales arrive avec l’âge le besoin impérieux d’exprimer un érotisme plus cérébral, voire plus intellectuel. Les années d’expérience ont conduit l'homme que je suis à se débarrasser des préjugés moraux et à vivre enfin une existence sexuelle à la mesure de ses pulsions. Homme mature à l'esprit pervers, mon subconscient est bousculé par de nouveaux fantasmes, tous plus fous les uns que les autres. Une danse sur un volcan qui interpelle ma conscience. 

     De par une virilité parfois défaillante, je bascule avec une joie sauvage dans l’extravagance sexuelle, seule façon de bander à mon âge. Des désirs nouveaux envahissent mes pensées et finissent par réorienter ma sexualité. Baiser ne me convient plus, il me faut des femmes qui fantasment sur la femellisation, des dominatrices qui prennent l’initiative sur ma sexualité. Et de par ma passivité sexuelle nouvelle s’installe aussi le besoin d’exprimer ouvertement la part de féminité qui cohabite en moi. Goûter à un sein plein de lait, boire le jus d’une femme fontaine ou d'une transsexuelle, être sodomisé par un gode ceinture ou  fisté par une main délicate, voilà ce qui m'attire aujourd'hui. 

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     Qu’importe qu’on se sente mec, travesti ou femme dans l'âme, épilation, petites culottes et lingerie féminine excitent tellement mes sens que cela favorise de nouvelles formes de jouissances. L’idée de vivre une relation de soumis avec une femme dominatrice s’installe inconsciemment en moi. Et pour peu que l’une d’elles croise mon chemin et s’excite à me transformer en femelle passive au service de son plaisir, me voilà embarqué dans une spirale sans fin. A mon détriment d’ailleurs puisque je vais y laisser mes oripeaux de mâle. 

     Un jeune homme ne peut comprendre ce lent cheminement. Voyez sur le Web le nombre d’hommes matures en petite culotte ou avec leur sexe encagé qui cherchent à être dominés, féminisés puis abusés par une femme de caractère ! Pas moyen de passer outre tellement ça prend la tête. Me comporter en femelle soumise, prête à tous les excès avec une maitresse, est une situation si excitante qu’elle relance ma libido fatiguée par des années d’une morne existence sexuelle. Et plus ma virilité a des ratés et plus le besoin d’exprimer ma passivité par des comportements féminins s’affirme ouvertement. 

     C’est pourquoi des hommes s’épilent, portent de la lingerie fine sous leurs vêtements masculins, prennent des hormones féminisantes pour avoir des seins et se laissent enculer par des femmes sans pour cela se sentir homo. Reste que ces attitudes choquent encore nombre d'hommes et de femmes. Comprendre la démarche de ces hommes matures et découvrir tout le potentiel sexuel que favorisent ces comportements est une découverte formidable dans la vie... 


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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Dimanche 18 janvier 7 18 /01 /Jan 20:43

     Je rencontrai Amanda, une jeune transsexuelle, quelque temps après ma rupture avec Rio, une transsexuelle brésilienne. Je fus si affecté par notre séparation qu'il me fut difficile d'oublier cette femme exceptionnelle avec qui j'avais vécu les plus folles aventures sexuelles de ma vie. 

     Dans le pays du bout du monde que j'habite actuellement, je fus irrésistiblement attiré par la jeunesse, la peau ambrée et le corps élancé d’Amanda. Nous fîmes l’amour, mais le sexe n’étant pas son truc, je n’insistai pas. Au fil du temps, notre relation évolua vers une amitié singulière. Amanda se prit pour ma fille et je réagis envers elle avec paternalisme. Elle apprécia mes conseils et ma maturité d’esprit, j’appréciai sa jeunesse et son innocence. Elle vint parfois habiter chez moi, le temps de se ressourcer, de retrouver un équilibre perturbé par son existence marginale.

      Amanda vivait en fille depuis l'adolescence. Ses parents, des gens de condition modeste,  comptaient sur moi pour la convaincre d'avoir une existence plus normalisée. Mais que pouvais-je faire ? Leur "fils" se sentait femme et aucun raisonnement ne le ferait changer d’avis. Amanda considérait que son corps de garçon était une erreur de la nature. Ayant décroché de l’école à quatorze ans, elle avait quitté la maison familiale pour vivre sa vie en ville avec d’autres transsexuelles. Depuis, elle vagabondait de-ci-de-là se donnant occasionnellement à des hommes contre de l'argent. Son éducation était donc des plus limités ; c’est à peine si elle savait écrire. Son français était tellement châtié qu’elle exprimait ses idées avec beaucoup de difficultés. Par manque de moyen financier, elle prenait rarement des hormones pour se féminiser. Néanmoins, son corps androgyne, sa silhouette élancée et la prestance de ses gestes faisaient qu’on remarquait immédiatement sa transsexualité. Habituée aux regards curieux des gens, elle ignorait ceux qui ne partageaient pas sa féminité ou les insultait selon son humeur . Il en était ainsi depuis des années. Elle assumait ouvertement sa condition transsexuelle et gardait intact l’espoir de devenir totalement femme un jour.

     Les transsexuelles de tous les pays passent généralement par la case prostitution, ce qui fait que leur conception de la sexualité est des plus libérée. Etant biologiquement des hommes, leurs fantasmes ressemblent aux nôtres. Elles censurent donc rarement nos délires de mecs. Amanda ne faisait pas exception. Je pus donc parler ouvertement de mes délires avec elle et parler de ma sexualité sans l’offusquer. Que je sois intégralement épilé et que je porte de minuscules strings de femme ne l’étonna pas. Selon elle, ces petits strings mettaient en valeur mon corps lisse et avantageaient mes fesses nerveuses. Comme j’en avais des dizaines dans mes tiroirs, elle m’en piquait un parfois. Surprenant de la voir déambuler à la maison avec son sexe caché entre ses cuisses pour avoir le pubis aussi plat qu’une femme tandis que moi, je portais mes strings avec le bombé de mon sexe placé en avant comme tous les hommes.

     Bien qu’il n’y ait plus rien de sexuel entre nous, je ne me gênai pas devant Amanda. Etant souvent nu, elle remarqua mes petits seins naissants et comprit que je prenais des hormones en découvrant un tube d’Oestrogel dans ma salle de bain. Inutile de cacher mes délires, les transsexuelles ont un sixième sens pour cela. J’évitai tout de même de trop insister sur la féminité qui s’emparait de mon corps et de mon esprit. Malgré mes tétons naissants, mon corps épilé et mes petits strings, je restais un authentique mâle à ses yeux. Curieuse de tout ce qui touchait à mon intimité, elle fouillait sans cesse mes affaires à la recherche de mes petits secrets cachés. Combien de fois je cherchai ma pince à épiler, mon tube d’hormone ou le petit string sexy que j’affectionnais tant ! Des godemichets et une pompe à tétons disparurent ainsi curieusement. Même mes courriers intimes furent lus discrètement. Curiosité de femme…

    Après des années passées à s’amuser et à traîner dans la rue, Amanda prenait conscience des difficultés de la vie. Ce jour-là, elle avait le cafard. Personne pour lui souhaiter son anniversaire. Désespérée, elle me confia la cruauté de l'existence en pleurant ; un moment d’émotion où elle devint si fragile que je m’attendris. Je la pris dans mes bras et la consolai avec des mots tendres : « André, aide-moi à sortir de cette galère ». Seule dans la vie, Amanda avait besoin qu’on l’aime, qu’on la rassure sur sa pénible destinée. Elle me parla plusieurs fois de suicide tellement elle se sentait mal dans sa peau.

     Elle espérait à présent trouver un travail normal, s’insérer dans la société active et vivre comme tout le monde. Or, conditionnée par sa vie marginale, elle végétait dans un univers hors de la réalité. De par son état transsexuel, il lui était difficile de trouver un travail qui ne soit pas en rapport avec le sexe. Notre société est ainsi faite qu’elle considère que les transsexuelles existent uniquement pour satisfaire la libido des autres gens. Mais Amanda ne s’intéressait pas au sexe si ce n’était pour trouver l’argent nécessaire à sa subsistance. Une fellation par ci, une autre par là et hop, quelques billets gagnés assuraient sa misérable existence.

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     Comment aider une personne aussi asociale ? En tant que transsexuelle, elle connaissait par coeur la libido des hommes, une experte en ce domaine, mais trouver un travail et s’intégrer dans le monde professionnel relevait d’un challenge impossible. Je rencontrai toutefois le directeur de la restauration d’un grand hôtel. J’avais remarqué qu’il employait des hommes au comportement efféminé. Malgré leur statut, ces gens jouissaient d’une excellente réputation dans l’hôtellerie. Serviables et toujours de bonne humeur, ils appréciaient le contact avec la clientèle. Je lui demandai s’il avait une place pour une transsexuelle. Il refusa catégoriquement prétextant que ces personnes n’étaient pas fiables professionnellement. De plus, la clientèle se choquait de leurs attitudes exagérément efféminées contrairement aux homos qui eux demeuraient respectueux en toute occasion. Je n’insistai pas.

     Cependant, je ne perdis pas espoir. J’expliquai le métier de serveur à Amanda en précisant qu'elle devait se préparer pour un premier rendez-vous :

-          Si tu veux un emploi de serveur dans cet hôtel, tout dépendra de l’apparence que tu auras. Désolé Amanda, tu dois te comporter en garçon si tu veux travailler.

Elle me regarda surprise. 

-          Mais André, je suis une femme, c’est impossible…

-          Je te comprends. Mais il faut t’adapter ; à la rigueur faire comme si tu es un homme efféminé. Le reste, j’en fais mon affaire.

     On discuta longuement. Vaincue par mes arguments, elle finit par accepter. On arrivait en fin d’année et l’hôtel avait besoin de personnels en "extra". Vite rédiger un CV bidon avec une photo où elle ne faisait pas efféminée. Puis je l’accompagnai dans un magasin de la ville pour acheter les vêtements masculins nécessaires à ce premier entretien : un pantalon noir d’homme à la place d’une robe, une paire de chaussures à lacets à la place de haut-talons et une chemise blanche classique à la place d’un petit haut sexy. Quel désagréable moment à passer ! Devant le miroir de la cabine d’essayage, elle en pleura de dépit. La vendeuse s’attendrit face à cette fille bizarre.

-          André, je ne peux pas m’habiller ainsi, je ne suis pas un garçon.

-          Fais un effort Amanda, je t’en prie.

     Elle voulut laisser tomber, mais j'insistais malgré ses larmes. Je lui dis combien ses efforts seraient récompensés. Et puis après le travail, elle reprendrait son statut de femme. Cela la rassura.

     Elle se prépara à la maison des heures durant en suivant mes conseils. Pas facile de retrouver des habitudes masculines, elle qui se sentait femme depuis tant d’années. Vêtue de ses habits masculins, il fallut ramener ses longs cheveux noirs en un discret chignon coiffé en arrière de la tête. Et surtout, ne pas se maquiller, contrôler ses gestes féminins et éviter d’onduler des fesses. Après moult hésitations, on se rendit ensemble à ce premier entretien. Je la présentai au directeur de la restauration qui la fit entrer seule dans son bureau...

     Depuis, les mois ont passés. Amanda travaille comme serveur en extra dans l’hôtel en question. Tel un équilibriste, elle porte des plateaux pleins de verres et de plats à bout de bras, circule entre les tables avec une aisance remarquable. Elle trouve l’équipe de restauration sympa et se donne à fond à son travail. Elle s’est habituée à être appelée par son prénom de garçon. Le personnel de l’hôtel l’a intégré et la clientèle l’apprécie beaucoup. Elle s’amuse même de certains clients qui la draguent. Je ne l’ai jamais vue aussi heureuse...

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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Samedi 24 janvier 6 24 /01 /Jan 19:06

      Je racontais précédemment qu’Amanda, une amie transsexuelle, vivait enfin heureuse. Grâce à moi, elle avait à présent un travail régulier et bien rémunéré. Bien qu’elle ait été obligée de se comporter en « garçon manqué » à l’image de ses collègues serveurs, elle m’était reconnaissante de lui avoir trouvé un emploi adapté à ses capacités et correctement rémunéré. Elle me répétait sans cesse que j’étais la seule personne qui l’aidait réellement.

-          André, comment te remercier pour l’aide précieuse que tu m’apportes ?

Sa question m’étonna. Je l’aidais gracieusement et n’attendais rien en retour si ce n’était qu’elle se sente bien dans sa peau de fille paumée. Il existait entre-nous une relation qu’on pourrait qualifier de paternelle et pas question de sexe puisqu’elle ne m’inspirait pas. Or, de par sa condition transsexuelle, Amanda fréquentait un milieu marginal où la sexualité était constamment présente. Je lui parlais donc de mes fantasmes et de mes délires sans aucune gêne. Parfois étonnée par mes turpitudes, mais jamais offusquée, elle découvrait avec surprise toute la lubricité dont était capable l’homme mature que j’étais devenu.

     Lorsque j’étais en manque, je lui demandais parfois de me présenter une de ses copines transsexuelles non opérées, voire une jeune femme de son milieu. Mes pensées libertines me conduisirent ce jour là  vers une pulsion incontrôlable. Accroc au lait maternel, j’eus envie de goûter aux seins laiteux d’une femme. Il y avait si longtemps que cela ne m’était plus arrivé.

-          Amanda, j’ai envie de téter une femme qui allaite, de boire à ses seins jusqu’à la vider de son lait ? Trouve-moi cette femme s’il te plait

Surprise par ma demande, Amanda me regarda étonnée. Croyant que je plaisantais, mais face à mon air sérieux, elle  comprit et fit une grimace de réprobation.

-          Tu es sérieux ? Autant il est facile de trouver une fille ou une transsexuelle qui « couche », autant c’est difficile de satisfaire une demande aussi particulière.

-          Justement Amanda, tu fréquentes des filles faciles qui sont devenues des mères. Beaucoup ont des enfants et allaitent aujourd’hui.

-          Oui, mais celles qui offrent leurs seins à téter à un inconnu ne courent pas les rues…

-          Je sais que tu trouveras, répondis-je. Me présenter une telle  femme prouvera ta reconnaissance.

Comprenant la force de mes attentes, elle répondit :

-          Je trouverai cette femme alors…

Connaissant par expérience la difficulté de trouver des femmes qui se passionnaient pour la lactation érotique entre adultes, je l'encourageai dans sa recherche. Même sur le Net, les femmes allaitantes étaient rares. Dès que l’une d’elles montrait le bout de ses seins, une meute de mâles en rut se jetait dessus. Croulant sous les demandes, la pauvre femme retirait rapidement son annonce.

     Dans le modeste quartier habité par Amanda, la plupart des mères allaitaient leurs nombreuses progénitures au sein. L’argent venant trop souvent à manquer, il était plus économique de nourrir leur bébé ainsi plutôt que d’acheter du lait artificiel et de donner le biberon. Amanda passa en revue ses connaissances et se rappela une cousine qui accepterait peut-être de m’allaiter. A vingt six ans, elle élevait déjà trois enfants, conclusion de ses folles amours avec d’anciens amants. Pour arrondir ses fins de mois difficiles, elle se prostituait occasionnellement, en cachette de son compagnon actuel. Or, elle allaitait encore son dernier enfant, une fille de six mois. Amanda me prévint. Malgré son jeune âge, sa cousine avait acquis des rondeurs parasites conséquences de ses accouchements successifs. Elle me vanta son humeur joyeuse et sa poitrine qu’elle avait très grosse à force d’allaiter. N’étaient-ce pas là les signes encourageants d’une bonne nourrice ?

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     Quelques jours plus tard, elle la rencontra et lui parla ouvertement de mon délire. Entre prostitués, la pudeur n’était pas de mise. Cette dernière s’étonna tout de même d’une demande aussi particulière, mais elle en avait vu d’autres avec les hommes. Après réflexion, elle accepta à condition d’être rétribuée. Elle pensa à ses trois enfants élevés avec difficulté. Elle vivait chichement car ni elle ni son copain actuel ne travaillait. Quelques billets supplémentaires ne pouvaient donc qu’améliorer son ordinaire. Peut-être même que ce client était disposé à payer beaucoup plus si elle offrait sa chatte en même temps. Amanda répondit qu'elle n'était pas le type de femme que son ami recherchait sexuellement. Restait à convenir d’un rendez-vous en toute discrétion, car son compagnon actuel devant ignorer cet arrangement…

     Accompagnée d’Amanda, elle vint chez moi en fin d’après-midi avec son bébé dans les bras. Malgré son corps aux rondeurs parasites, son sourire et sa fraîcheur naturelle me captivèrent. Embarrassée par la situation particulière, elle ne sut quoi faire et comment se comporter. Allaiter un homme mature pour la première fois lui parut plus difficile que de donner sa chatte. On but un verre ensemble, tout en parlant de lactation, ce qui la mit à l’aise. Novice en matière d’allaitement entre adultes, je lui expliquai que la production de lait d’une mère s’adaptait à la demande. Si nous étions deux à téter régulièrement, moi et son enfant, elle produirait automatiquement plus de lait. Elle s’étonna de mes connaissances en matière de lactation car selon elle, les hommes en général ne se passionnaient pas pour  ce sujet. Je lui racontai alors mes diverses expériences. Je précisai dans la foulée mon intention de la revoir souvent pour  qu’elle m’allaite régulièrement. Un client à long terme, elle mesura tout l’intérêt financier d’une telle relation.

     A ma demande, la cousine s’assit sur le canapé puis je m’allongeai à coté d’elle, la tête reposant sur un coussin posé sur ses cuisses. Elle souleva alors son petit haut, dégrafa son soutien-gorge et me présenta un gros sein gonflée de lait. Elle me précisa :

"Je l'ai réservé pour toi. Il est rempli de lait depuis ce matin."

 Ce fut avec ravissement que je tétai aux seins prodigues de cette mère de trois enfants. Quel délice de retrouver le goût du lait maternel ! Je trouvai son lait si délicieux que je vidai ses seins sans qu’elle s’en rende compte. Amanda avait mis sa musique préférée et nous regardait amusée.Tandis que je tétais, elle discutait avec sa cousine de choses et d’autres sans plus faire attention à moi. Habitudes de femmes qui se racontent les derniers potins du quartier tout en allaitant leur bébé. C’était certain, demain tout le monde connaîtrait cette aventure, excepté son mari…

     Par la suite, on sympathisa et notre relation devint beaucoup plus complice. Je la tétai quelques fois en même temps que sa fille, ce qui l'amusa beaucoup. Elle me nourrit ainsi durant des semaines. A la fin, je devins dépendant de son lait, ce qui me coûta une véritable fortune. D’aucun pourrait croire que j’essayai de lui faire l’amour. Pensez donc, une pute. Et bien non ! Même si je devinais chez elle une certaine excitation à être tétée par un homme, je ne tentais jamais de geste déplacé. Les femmes qui offrent leurs seins laiteux à un étranger sont si rares que je ne voulais pas prendre le risque de la contrarier. Or, l’odeur de sa cyprine envahit plusieurs fois mes narines. Il m’arrivait aussi de bander en la tétant. Ce fut elle qui craqua la première. Lorsque je m’enfonçai dans son ventre, je fus déçu, sa chatte ne serra pas assez ma queue. Comme je n’arrivai pas à jouir, elle termina par une fellation sous le regard troublé d’Amanda.

     Grâce à ces discrets allaitements, la cousine s’offrit toutes ces petites choses qu’une jeune mère désargentée désire posséder pour elle et ses enfants. Son compagnon s’interrogea sur ses absences répétées,et sur la provenance de l'argent, mais il ne sut jamais rien de ma passion gourmande. C’est bien connu, les femmes ont l’art de trouver les mots qui rassurent leur conjoint.

A suivre

 

Par hommeofeminin@gmail.com - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
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