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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
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  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Samedi 13 décembre 6 13 /12 /Déc 19:44

     Bien que Yasmina ait merveilleusement comblé plusieurs années de mon existence par sa sexualité outrancière, je pressentis ma rencontre avec Eva comme une chance exceptionnelle. En manque de gros seins plein de lait depuis ma séparation, une véritable obsession me prenait la tête à cause d’elle. Par ses comportements anticonformistes, cette femme me rendait dingue, ce qui occasionna chez moi d’insolites questionnements. Les jours précédant notre rencontre à la maison, je passai des heures sur Internet à lire des articles sur les femmes allaitantes qui offraient leurs seins ou à regarder des photos de poitrines énormes giclant des litres de lait. Et impossible dans la rue de détacher mon regard de la poitrine opulente des femmes. Qui n’a pas rêvé de tétons pointant agressivement sous un T-shirt léger ou de seins s'agitant lourdement en marchant ne peut comprendre. Certaines femmes s’en rendaient compte dans la rue tellement je fixai leur poitrine. En voyant leur regard dédaigneux, j'éprouvais alors la sentation d'être un vieux cochon.

     En attendant Eva, je me retrouvai donc seul avec mes fantasmes laitiers. Obsédé et en manque, je m’inscrivis sur tous les sites parlant de lactation érotique. Hélas sans grand succès d’ailleurs. Ou j’habitais trop loin de la femme qui voulait partager son lait avec moi ou alors ses aspirations différaient notablement des miennes. Déçu, je surfai donc sur le Net comme un forcené pour finir par fantasmer de délire en délire à la recherche de situations extrêmes. J’étais malade, accroc au lait maternel et la seule façon de guérir était de me nourrir à d’énormes seins plein de lait. Malheureux en Amour, j’étais prêt à une union impossible avec le Ciel et l’Enfer pour cela…

     Contrairement au monde animal, les femmes sont les seules êtres vivants sur terre à ressentir une forte excitation sexuelle au niveau des seins. D'où l'intérêt pour un homme de bien les caresser. De plus, comme nos sociétés modernes portent un fort attrait érotique aux seins, les femmes s’en servent ouvertement pour attirer les hommes. Elles nous racolent avec  des décolletés vertigineux, des soutiens-gorges qui avantagent leur poitrine ou des petits top super moulants. Voyez aussi le succès de la chirurgie mammaire qui leur permet d’avoir une poitrine parfaite ou bien la publicité sur les murs des villes qui stimule toujours plus nos envies. C’est indéniable, les gros seins ont un fort potentiel attractif et fascinent les hommes. Et les femmes le savent. Je pense aussi aux médias à sensation qui se font régulièrement l’écho de seins les plus gros du monde. J’ai conscience par cette tribune d’énerver les féministes. Même si elles précisent qu’elles ne sont pas des objets sexuels, la nature humaine fonctionne ainsi. Nous sommes avant tout conçus pour copuler entre nous afin d’assurer la continuité de l’espèce humaine.

     A force de voir sur le Net des photos et des vidéos de femmes atteintes de gigantisme mammaire, je m’intéressai à elles. Malgré ce handicap lourd à porter, il existe dans notre monde une véritable surenchère des seins anormalement démesurés. Des seins si gros que certaines femmes les exhibent comme des trophées. Il faut dire qu’elles en tirent parfois un revenu appréciable. Ce n’est ni beau ni excitant, mais ça vaut le coup d’œil, croyez moi.

     Annie Hawkins-Turner est la femme ayant la plus grosse poitrine naturelle au monde. Elle figure d’ailleurs dans le Guinness book, le livre des records. Comme elle dit : « Je suis souvent imitée mais jamais égalée ». Atteinte de « gigantomastie », un développement exagéré des seins, sa taille de soutien-gorge est 102ZZZ, une taille américaine impossible à trouver dans le commerce. Son tour de poitrine avoisine les deux mètres et chaque sein pèse environ 25 Kg. On lui a proposé une réduction mammaire mais elle a refusé : « Pourquoi réparer quelque chose qui n’est pas cassée ? » se justifie-t-elle.

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     Une telle poitrine engendra chez moi des interrogations particulières : Quelle quantité maximum de lait cette femme serait-elle susceptible de produire ? Certainement de quoi nourrir un cheptel d’hommes aussi gourmands que moi. Autant on vantait les plus gros seins du monde, autant on ignorait cette question. Je ne trouvais aucune réponse sur le Net ni dans le Guiness book. De par des glandes mammaires hyper-développées, cette « championne » devrait certainement produire bien plus de lait que les autres femmes. Dix litres par 24H00, peut-être plus... 

     Encore plus insolite ! Inspiré par Eva qui buvait son propre lait directement à ses gros seins, je me demandai combien de temps une telle femme survivrait en buvant son propre lait ? Certainement plus qu’une femme qui ne se nourrissait pas ainsi.

     Certaines femmes obsédées par leurs seins vont jusqu’à abuser des opérations chirurgicales ; des augmentations mammaires au-delà de la raison pour faire parler d’elles dans les médias. Que dire de Mayra Hills, la femme aux plus gros implants mammaire du monde ? 52L en taille US ! Sous le pseudo de Norma Stitz, elle joua dans plus d’une cinquantaine de films X tellement son succès fut grand. Hélas, d’autres femmes en sont mortes comme Lolo Ferrarri. Certaines femmes réalisèrent tardivement qu’elles étaient dans l’excès comme Pamela Anderson qui depuis a subit une réduction mammaire. 

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Contrairement à ce qu’on pourrait penser, ce n’est pas une photo retouchée. Les énormes prothèses vides de lait de Mayra Hills ne présentent aucun intérêt à mes yeux si ce n’est leur taille follement extravagante. Pour le pire comme pour le meilleur, je divaguai et m’interrogeai sur certains records sexuels. Voyons ces exploits exceptionnels de par le monde :

     Coté nombre d’orgasmes, le record masculin est de seize orgasmes en une heure soit une jouissance toute les quatre minutes. De quoi faire rêver beaucoup de femmes ! Malheureusement, on ne précise pas l’âge du candidat. Et coté femme, il est de 134 orgasmes. Incroyable, huit à neuf fois plus d’orgasmes qu’un homme. Quant au plus grand nombre d’orgasmes féminins quotidien, il est détenu par une infirmière américaine Kim Ramsey, depuis 2012. Elle est atteinte d’une maladie rare qui lui fait avoir une centaine d’orgasmes involontaires par jour. Jouir est une quête pour beaucoup de femmes, un bonheur pour le plus grand nombre, mais aussi une malédiction pour quelques-unes…

     Alors que l’orgasme masculin dure en moyenne six secondes, il est chez la femme d’environ vingt secondes. Quant à l’orgasme féminin le plus long, il dure 43 secondes. D'ou une injustice flagrante de la nature en matière de sexe ? Mais les hommes ne sont pas en restes : Que dire de Horst Shultz qui possède le record de distance de l’éjaculation la plus longue avec 5,71 mètres. Moi qui giclais à plus d’un mètre quand j’étais ado, je me trouve ridicule… Il détient aussi le record d’éjaculation en hauteur avec 3,76mètres et de vitesse à 68,7km/h. De quoi rêver ! A cette vitesse, aucun utérus ne résiste. Une femme a également été filmée en éjaculant à trois mètres. Moi qui adore boire le jus d’une femme fontaine, j’imagine la force de ses giclées dans ma bouche, un vrai torrent de cyprine. 

      Et que penser de Shaun Steard, devenu le papa le plus jeune du monde à douze ans ou de cette gamine qui accoucha à cinq ans après avoir eu ses premières règles à trois ans. Quant au plus grand pénis masculin de 34 cm, il s'oppose au plus long clitoris de  30,5 cm. Waouh, un tel clitoris, ce doit être terrible de se laisser sodomiser par cette femme. Plus besoin de gode-ceinture. Par contre rien sur la quantité maximum de sperme éjaculée par un homme en 24H00. Est-ce que ces performances dépende de la grosseur des testicules ou est-ce uniquement lié aux hormones masculines ? Là aussi, aucune réponse sur le Net.

     Adolescent de quinze ans obsédé par le sexe, je me souvins d'avoir tenté de voir jusqu’où je pouvais aller. Lors d’un week-end solitaire à la maison, j’ai joui plus d’une dizaine de fois d'affilé. Je jouissais à chaque fois dans un verre pour déterminer la quantité maximum de sperme. Excité, je continuai néanmoins à me branler et j'eux encore des orgasmes, mais cette fois-ci sans plus aucune éjaculation, mes testicules étant complètement vidés. Etrange souvenir de ces masturbations de puceau. 

     Idem sur les questionnements qui engendrent une approche démesurée de la PMA et de la PGA. Un monde nouveau s’ouvre dans un futur proche sur des perspectives inédites. J’imagine des femmes de soixante ans portant leur enfant ou des jeunes filles enceintes d’un homme de l’âge de leur grand-père. Un mélange de générations qui perturberait le bel ordonnancement de notre société conservatrice. J'ai même lu un article écrit par un éminent spécialiste qui précisait que porter un embryon chez une transsexuelle était envisageable dans un avenir proche grâce aux cellule souches…

     Un futur proche qui me rappelle combien je rêve moi-même d’avoir les deux sexes dans un même corps ; des seins énormes débordants de lait, une énorme queue bien raide avec au-dessous un vagin frémissant d’envies à la place des testicules. Ce délire engendre chez moi un nouveau fantasme: l'autofécondation. Ah si seulement je pouvais concevoir un bébé par moi-même et le porter dans mon ventre jusqu'à terme. Je serais alors une femme parfaite dans un corps  d'homme parfait. Suis-je normal de me poser ces questions ? A voir l'Histoire de l'Humanité, d’autres gens y ont songé avant moi…

A suivre

Par Epile - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
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Dimanche 14 décembre 7 14 /12 /Déc 22:11

 

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BONNES FÊTES A TOUS LES LECTEURS PASSIONNES DE FEMELLISATION

Par Epile - Publié dans : DIVERS - Communauté : FEMINISATION DES HOMMES
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Dimanche 21 décembre 7 21 /12 /Déc 20:01

     Je vous laisse imaginer dans quel état d’esprit je reçus Eva chez moi. Etre face à une femme qui fantasmait sur une poitrine la plus grosse possible et qui rêvait d’allaiter les hommes de la Terre entière enflamma mes sens. Mon dieu, quel délire ! Ses seins nus et énormes d’où une goutte de lait perlait encore, finirent par trahir mon émoi. Mon estomac saturé, je n'avais pas réussi à les vider complètement. Elle remarqua la bosse sous mon pantalon et s’en amusa :

"Viens mon petit, on est là pour la tétée, pas pour faire l’amour me lança-t-elle".

Assise sur le canapé, elle posaa un coussin sur ses cuisses pour bien caler ma tête dans le but de m’allaiter. Je m’allongeai maladroitement en travers de ses cuisses. D’autorité, elle tourna mon visage vers son sein, ce qui manqua de m’étouffer. Puis elle saisit son mamelon et le titilla fermement entre le pouce et l’index. Une goutte de lait s’en échappa : « Je prépare la « tétine », me dit-elle ». L’extrémité du mamelon gonfla et se durcit rapidement. D’une main agile, elle l’introduisit dans ma bouche ouverte comme le ferait une mère avec son enfant. Le téton était ferme et le sein sentait bon le lait maternel. Je commençai à sucer. J’eu quelques difficulté au début à m’adapter à la forme du sein trop gros. Eva me conseilla tout en positionnant correctement ma tête et son sein pour favoriser une tétée en douceur. Heureusement que ma passion de la lactation avec Yasmina m’avait enseigné les bons mouvements de succion. Il ne s’agit pas d’aspirer comme le font mécaniquement la plupart des hommes, mais de prendre pleinement le sein dans la bouche puis de former la langue en cuillère pour envelopper correctement le mamelon par dessous. Alors la tétée peut commencer pour le plus grand plaisir d'Eva. 

     Excitée par ce délicieux contact, ma bouche engloutit un maximum de chair et ma langue s’adapta parfaitement au sein d'Eva. Quand le lait coula, une langueur étrange m’envahit, un mélange de plaisir et de douceur. J’avalai ce rare breuvage avec délice. Ma succion dans un va et vient permanent sembla ravir Eva. 

     Elle rejeta sa tête en arrière et accompagna mes succions d’un léger mouvement de son bassin. Ses cuisses s’ouvraient puis se resserraient imperceptiblement. A cause de ce mouvement mon corps glissa. Elle s’en aperçu, passa machinalement sa main gauche entre mes cuisses et d’un mouvement ferme me remonta vers son sein. Son geste brutal écrasa mon sexe dans le pantalon. Avait-elle senti la raideur de ma verge sous sa main ? Toujours est-il, qu’elle la laissa posée en travers de mon ventre : «  Je te retiens, mon petit, ainsi tu ne glisseras plus. Allez, tête, tête encore. Régales-toi et vide complètement cette mamelle, il y en aura une autre après. »

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Je tétai longuement, à un rythme régulier, sentant le lait chaud envahir délicieusement mes entrailles. Je bus ainsi pendant cinq minutes tandis qu’Eva pressait son sein régulièrement d’une main pour mieux en extraire le lait. Curieusement, le goût du lait changea au fur et à mesure que le sein se vidait. Une fois vidé, elle fit alors un mouvement en arrière et le dégagea de ma bouche. Le mamelon énorme et tout boursoufflé faisait bien deux centimètres de long. Je remarquai le regard troublé d’Eva. Visiblement mes tétées réagissaient sur sa libido : « A l’autre maintenant, dit-elle d’une voix calme en me présentant le sein gauche ».

Le téton était déjà raidi. Elle me l’enfourna dans la bouche et me dit d’une voix rauque :

- Allez vas-y, prend ton plaisir mon petit, déguste sans modération. Bravo, tu têtes bien avec ta langue, c’est agréable. 

- J’adore, fut ma seule réponse, la bouche à nouveau pleine.

Et je me remis à téter délicieusement, mon visage coincé d’un côté par le sein que je venais de vider et écrasé de l’autre par la masse laiteuse qui remplissait ma bouche. 

     Eva avait, me sembla t-il, remonté sa robe sur ses cuisses potelées. Ses doigts bougèrent sous mon corps à demi allongé, un mouvement lent d’abord qui s’accéléra et devint répétitif. Je sentis distinctement l’odeur caractéristique de la cyprine monter à mes narines. N’y tenant plus, Eva accéléra le rythme et jouit dans un râle sans fin. Alors qu’elle se cambrait de plaisir, son sein s’échappa de ma bouche. Quelques gouttes s’écrasèrent sur mon visage. J’attendis sans bouger, ne voulant pas perturber sa jouissance. Elle reprit rapidement ses esprits.

- Allez petit, c’est fini. Tu m’as fait jouir tellement c’était bon.

- Mais je n’ai pas terminé Eva, il reste du lait dans votre sein… 

- Regarde mon petit comme tu m’as excité, je suis toute mouillée ! J’ai encore envie de jouir rien que pour toi. Veux-tu maintenant que je te fasse goûter à ma jouissance…

Elle se pencha alors en avant, souleva d’une main son sein à moitié-plein de lait et mis son téton facilement dans sa bouche tellement le sein était volumineux. Puis elle commença à se téter. Devant mon air ébahi, elle en rajouta. Elle releva sa robe et écarta largement ses cuisses. Elle ne portait pas de culotte. Je vis distinctement sa chatte épilée encore toute mouillée par sa précédente jouissance. Provocante, elle se caressa la vulve devant moi sans aucune gêne tout en buvant son propre lait. Je m'accroupis devant elle et je regardai émerveillé. Au moment de jouir, elle me saisit vivement la tête et l’appuya contre son vagin ouvert. Elle se cambra puis arrivèrent des giclées de cyprine que je bus avidement. Quelle sensation bizarre de sentir le goût du lait se mélanger à la cyprine.

     Je ne résistai pas. Excité par l'ambiance, mon visage tout humide de sa mouille, je sortis ma verge du pantalon et je me masturbai à mon tour debout devant elle. Eva cessa de se téter et me regarda en profitant du plaisir qu’elle avait engendré. Lorsque j'éjaculai, je visai sa vulve entre ses cuisses écartées. De longs jets puissants de sperme comme ceux de ma jeunesse passée. Je ne pus retenir des cris tellement ma jouissance fut forte…


Par Epile - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
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