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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
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  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Lundi 1 septembre 1 01 /09 /Sep 22:42

     Vous le savez amis lecteurs, la sexualité de notre société est avant tout basée sur des valeurs judéo-chrétiennes, à mon avis, une morale puritaine qui empêche de vivre pleinement nos fantasmes les plus luxurieux. Or, il existe chez moi un besoin irrépressible de les réaliser. Et à l'exemple de Yasmina, plus ils transgressent les interdits sociaux et plus ils m’excitent. Ce qui fait que je recherche les extrêmes en matière sexuelle. Baiser comme papa-maman ne suffit plus à mes jouissances. Certaines gens disent que les fantasmes ne doivent pas être vécus. Ils se forment dans notre esprit uniquement pour stimuler la libido et favoriser l’excitation qui conduit au coït. Les spécialistes précisent qu’une fois vécue, on s’oriente systématiquement vers de nouveaux fantasmes encore plus hard. D’après eux, cela conduit à une escalade sexuelle, voire à une dépendance obsessionnelle du type addiction. A voir certains sites pornos sur le Net, je n'en doute pas. Moi-même, je reconnais être le sujet involontaire d’un fantasme de femellisation qui me rend totalement dépendant des délires de Yasmina.

     A lire les remarques contradictoires de certains, je serais soit un fantasmeur soit quelqu'un pratiquant une sexualité des plus outrancières. Disons que je suis plus pervers que la moyenne des hommes, ce qui me pousse à une sexualité marginale. J'attendis d’être un homme mature et libéré des conventions sociales avant d’y arriver. Ce fut au cours d’une liaison avec mes amies ghanéennes que je pris conscience d’une orientation sexuelle différente de mes habitudes masculines.  J'avais alors dépassé la quarantaine. Quoi de plus excitant que d’inverser les rôles sexuels en me soumettant à deux femmes qui me féminisaient ? Une découverte tardive à mon avis. Qui plus est, découvrir qu'en offrant ma "chatte", je n’avais plus à assumer ma virilité pour satisfaire leurs envies me combla d’aise.

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   Plus tard, ma recherche sur le Net me conduisit dans les bras de Yasmina, une femme de caractère comme on en rencontre peu dans la vie. Divinement perverse, sa sexualité très marginale me fascina. Elle excita ma libido bien au-delà de ce que j’attendais d’une femme. Surprenant comme elle délirait. Soumis à son influence, je me libérai rapidement d’une sexualité bridée par mon éducation judéo-chrétienne. Outre nos égarements homos, zoophiles, lactophiles, voire incestueux et pédophiles avec une fillette, je plongeai à corps perdu dans ses délires de femellisation hormonale. Or, je n’avais rien d’une transsexuelle d’après mon médecin. Emballé par ce délire fou et conditionné par Yasmina , je zappais les bouleversements que ces hormones allaient engendrer sur ma nature de mâle. Seul compta à mes yeux son désir de faire de moi une femelle salope et vicieuse avec de vrais seins de femme. Peu lui importait que je devienne impuissant et stérile. Inimaginable comme ce penchant nous fit «mouiller» tous les deux. Yasmina jouissait rien qu’en m'imaginant en femelle avec des seins et moi je me masturbais avec les hormones féminisantes tellement cela m'excitait. Résultat après des années de femellisation hormonale, je développai enfin une vraie poitrine de femme, trop petite à mon goût. En contrepartie, j'y laissais ma virilité de mâle. 

     Autre délire à cause de la généreuse poitrine de Yasmina. Envie qu'elle ait des montées de lait et qu'elle me nourrisse ainsi quotidiennement. En échange de ma femellisation outrancière, je lui demandai de suivre un traitement permettant d'induire une lactation artificielle sans pour cela être enceinte. En moins de deux mois, elle réussit à avoir des montées de lait et à me nourrir quotidiennement. Une découverte, un pur régal ! Elle-même ressentit un délire fou à me nourrir ainsi. Elle s'emballa au point de me demander d'essayer d'induire une lactation à mon tour. Comme j'avais maintenant de vrais seins de femme, ce désir s'empara aussi de mon esprit. On le voit, réaliser nos fantasmes nous conduisait l'un comme l'autre dans une spirale sans fin, une escalade d'où la raison était absente tellement le plaisir éprouvé dominait nos sens.

     De tels débordements modifièrent complètement ma vision du genre. Pourquoi la société imposait-elle la seule dualité homme-femme. Il y avait tant d'étapes intermédiaires à explorer. Un nouveau délire fantasmatique prit corps en moi : Moitié homme, moitié femme avec mon corps lisse juste vêtu d'un minuscule string et mes petits seins adorables pleins de lait. Je m'imaginais avec une grosse poitrine débordante de lait, avec un énorme pénis qui bandait dur et qui giclait du sperme à profusion ; et à la place des testicules, un adorable vagin de femme. Un homme et une femme dans un même corps, une chimère hermaphrodite qui remonte à la nuit des temps. Quoi de mieux pour décrire ce fantasme que les dessins japonais de Futunari et Hentaï. Voyez aussi ce film porno ou le metteur en scène profite des outils informatiques pour nous faire croire à d'authentiques hermaphrodites copulant entre eux. 

 http://www.cockshemaletube.com/futunari-3536509.html

     Oui, j’assume aujourd’hui une sexualité et une identité de genre qui me permettent de vivre pleinement les fantasmes envahissant ma libido. Et ceci bien au-delà des références psychiatriques. Me défaire des tabous de la société n’a pas été facile, j’en conviens. Mais fallait-il brider ma sexualité pour faire plaisir aux bien-pensants ? Bien sûr que non ! Voyez ce qui se passe avec l’homosexualité qui de nos jours est devenu une référence légale. Depuis la parole se libère et Internet en est un excellent vecteur. En écrivant cela, je pense à cet écrivain âgé, Daniel Cordier, qui raconte dans un livre, les feux de Saint-Elme, son attirance pour les garçons du temps de son adolescence. Il y dit ouvertement aimer les sucer et boire leur jouissance.Autre temps, autres moeurs...

     Moi, j’ai attendu la quarantaine avant de découvrir une sexualité libérée. Soumis aux dictats des moeurs sociales, c’est avant tout l’expérience de la vie qui m’a délivré de mes préjugés. Un peu tard diront certains ; question d’éducation répondrais-je. Depuis, je me rattrape et construis ma sexualité uniquement en fonction des délires de Yasmina, sans tenir compte de la raison ou de la pudeur des gens qui m'entourent. Quoi de plus chiant que de faire l’amour avec une fille en pensant à ce qu’on pourrait faire avec elle tout en se retenant de le faire par crainte de la choquer ?


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
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Dimanche 9 novembre 7 09 /11 /Nov 22:51

   Je la rencontrai sur un site américain spécialisé en lactation érotique. Cette mère de famille divorcée disait avoir une énorme poitrine pleine de lait résultant de rondeurs physiques avantageuses et d’un allaitement continu depuis des années. Maman d’une petite fille, elle l’avait allaité durant neuf années tellement toutes deux éprouvaient de satisfaction. Elle aurait aimé continuer, mais arrivée à la puberté, sa fille se détacha progressivement de ses seins. Grosse déception chez la maman, bien que son enfant la téta occasionnellement par la suite pour retrouver le goût du lait maternel et la chaleur rassurante de ses seins lorsqu'elle déprimait. Les tétées se faisant de plus en plus rares, la maman eut de douloureuses montées de lait. Et comme elle ne voulait pas se sevrer, elle demanda à son compagnon de téter à la place de sa fille. Mais celui-ci refusa obstinément trouvant ces pratiques malsaines.

     Privée de cette merveilleuse sensation que lui procurait l’allaitement, elle finit par se téter elle-même les seins, non seulement parce que ça stimulait sa libido, mais aussi avec l'espoir d'exciter son compagnon. Mais celui-ci ne fut pas attiré par son étrange manie. Par contre, cet auto-allaitement engendra peu à peu chez cette mère une excitante stimulation de ses sens. Elle le ressentit comme une délicieuse vibration intime qui descendait jusque dans son utérus. Au début, elle recracha son lait ; elle le trouva fade, mais à force de tétées, elle y prit goût. Non seulement cela soulagea ses engorgements intempestifs, mais contrairement à une majorité de femmes que ça dégoutait, elle ressentit une réelle délectation à boire son propre lait. A tel point qu’elle en devint accroc. Elle remarqua combien le goût et la consistance se modifiaient en fonction de son alimentation. Cette auto-lactation entretint par conséquent des montées de lait permanentes. Ayant conscience que boire son propre lait en aussi grande quantité risquait d’engendrer des problèmes de santé, elle adapta son alimentation à ce nouvel apport laitier. Parfois saturée de le boire, elle pressait ses seins devant un récipient et stockait son lait dans le réfrigérateur.  

     Irrité par les habitudes contre-nature de sa maîtresse, son amant se sépara d’elle quelques temps après. Il ne voulait pas d’une « vache laitière » comme compagne de vie. Que son homme la rejette aussi froidement la démoralisa. Elle se sentit insultée dans sa chair de mère. Chose plus grave, il la laissa sans un sou avec une fille de neuf ans à nourrir. Au début, elle ne mangea pas à sa faim tous les jours. Les pâtes furent souvent au menu. Quant à sa fille, elle reprit l'habitude de se nourrir à ses seins, un complément alimentaire non négligeable pour sa croissance.

     Comment sortir de cette dramatique situation ? Il lui fallut trouver rapidement de l’argent. C’est alors qu’elle découvrit le site spécialisé dont je parlais plus haut, un site où des femmes vendaient leur lait à des mères indigentes. Toutes les mamans n'ont pas la chance de produire suffisamment de lait nourricier pour leur bambin.  D’autres femmes sur ce site se proposaient comme nourrice, voire même pour certaines, d’allaiter des adultes friands de ce délicat breuvage. Dans un premier temps, elle vendit donc son lait. Pour cela, elle s’acheta un tire-lait professionnel et une multitude de petits flacons de 100 ml. Sur le site, des femmes allaitantes lui conseillèrent de faire attention à l'achat du tire-lait car certains irritaient les mamelons tellement ils étaient mal conçus.

     Après avoir extrait le lait avec le tire-lait, elle le mettait dans les petits flacons qu’elle gardait au congélateur. A cinq dollars le flacon, cela lui procura un revenu décent au début. Malheureusement, certaines de ses clientes reprenant leur travail et face à la corvée de l'allaitement préférèrent sevrer leur bébé. De plus, des campagnes extrêmement agressives contre le don ou la vente de lait maternel non contrôlé par des organismes officiels dénoncèrent les risques d'un lait contaminé ou trafiqué. Elle eut beau préciser qu'elle allaitait sa fille et donc qu'il n'y avait aucun risque, rien n'y fit. En conséquence, son lait s’accumula dans le réfrigérateur.

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      Elle remarqua alors sur le site combien les adultes, et des hommes en particulier, étaient demandeurs de lait maternel tété à même les seins. Malgré les risques encourus, il y avait certainement plus d’argent à gagner par ce biais. Des hommes étaient prêts à payer très cher une femme pour réaliser ce fantasme. Face à ses difficultés financières, elle n’eut pas le choix. Elle rangea sa pudeur aux oubliettes et décida de devenir nourrice pour adultes. Grâce à sa généreuse poitrine, son succès fut immédiat, aussi bien chez les hommes que chez les femmes d'ailleurs. Elle offrait ses énormes seins plein de lait avec tellement de passion. Elle s’étonna de voir des femmes matures devenir dépendantes de son lait. Elle les préféra d’ailleurs aux hommes. Ayant une approche plus maternelle de l’allaitement, ces ex-mères retrouvaient des sensations oubliées. La demande allant crescendo, elle s'organisa : le matin,  essentiellement des femmes au foyer, au déjeuner, des hommes pressés et en fin de journées ou le soir, des maris en manque.

   Elle allaita ainsi plusieurs fois par jour y trouvant à chaque fois un plaisir sans cesse renouvelé. Il arriva malencontreusement que la source se tarisse parfois. Mais après une courte pause, ses seins s’adaptaient à la demande et produisaient à chaque fois plus de lait. D’où sa généreuse poitrine qui affolait tant ses clients. Vendre son lait de cette façon lui permit de combler ses propres envies laitières tout en lui assurant un substantiel revenu. A cent dollars la tétée, elle n’eut plus besoin de chercher un travail, hormis d’offrir ses seins débordant de lait à ses clients. Et chose inouïe, elle ressentit du plaisir à sentir une bouche inconnue se pencher sur sa lourde poitrine puis à être tété longuement... 

A suivre

Par Epile - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
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Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 21:36

     Autant passionné l’un que l’autre par l’allaitement érotique, nos chemins finirent par se croiser sur ce site américain spécialisé. Pensez donc une nourrice qui allaitait des hommes ; depuis le temps que je cherchais... Impensable en France où morale et pudeur censuraient ces comportements jugés dégradant pour la femme et pervers pour l'homme. Nous échangeâmes quelques temps sur la lactation érotique, les grosses poitrines, les soutiens-gorges et nos fantasmes réciproques. Elle reconnut avoir à faire à un connaisseur. Comme c’est parfois le cas sur ces sites, notre fantasme commun nous lia d’une sympathie croissante. On rompit très vite l’anonymat protecteur du Net. Elle s’appelait Eva.

     Avant de nous rencontrer, elle voulut savoir d’où me venait cette passion lactophile. Je lui révélai avoir été allaité par ma mère jusqu'à ma puberté. Et là, elle voulut en savoir davantage. Je lui racontai donc en détail ma relation maternelle sans rien lui cacher. Elle en conclut que cela expliquait ma dépendance au lait maternel. Lorsque je précisai que mon ex-femme me nourrissait ainsi plusieurs fois par jour, elle comprit tout l'intérêt de me rencontrer.

     Je lui exposai aussi brièvement ma relation privilégiée avec Yasmina et combien j’avais craqué pour sa sexualité marginale. Ne voulant pas offusquer Eva, j’évitai de parler de mes habitudes de soumis femellisé. Mis en confiance, je lui dis que Yasmina avait à ma demande suivi un protocole induisant rapidement une lactation. Vous imaginez mon bonheur Eva. Avoir pour compagne, une femme si passionnée, prête à induire une lactation. Et pas question de satisfaire un fantasme passager, il s'agissait d'allaiter à long terme, des jours, des mois, voire des années. Admirable femme ! "

       Bien que Yasmina n’ait jamais eu d’enfant, le traitement suivi provoqua des montées de lait en un mois. Elle apprécia autant que moi ces tétées quotidiennes. Pas un seul jour où elle m’offrait son lait à boire. Une complicité remarquable s’installa entre nous, une habitude merveilleuse qui perdura des années, un lien si fort que je pensai notre union indéfectible. Jusqu’au jour où elle me quitta pour une jeune fille adolescente. Yasmina en avait vingt de plus. Quel désastre !

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     Malheureux et privé de lait maternel après notre séparation, je cherchai une autre femme qui soit aussi passionnée que moi de lactation érotique. A cette occasion, je découvris deux types de femmes allaitantes, celles qui pratiquaient une lactation par pur plaisir et des mères de famille choquées qu'on puisse trouver du plaisir dans l'allaitement entre adultes. Leur lait était réservé à bébé et il n'était pas question d'en jouir. Des féministes dénonçaient même l'allaitement comme un geste animal et donc dégradant pour les femmes. Et le comble de mon infortune, les femmes passionnées de lactation érotique vivaient toutes en couple et devenaient de ce fait indisponibles. Quant aux mères de famille avec qui je parlai de mes attirances, elles me traitèrent de débile mental. Certains avis me surprirent comme par exemple cette maman musulmane qui disait qu'en donnant son lait à son mari, elle devenait automatiquement sa sœur de lait, ce qui revenait à avoir une relation incestueuse. Et pourtant Internet regorgeait de sites montrant des femmes aux seins généreux qui faisaient gicler leur lait ou l'offraient à boire à des adultes. Mais où se cachaient donc ces femmes ? J’eu beau parcourir Internet dans tous les sens, aucune ne laissait d’adresse...

     Après cette passionnante discussion, je précisai à Eva ce que j’attendais d’elle. J’espérai qu’elle ait une poitrine plus que généreuse et qu’elle soit en mesure de satisfaire ma gourmandise laitière. D’emblée, elle m’indiqua ses tarifs et précisa qu’elle avait tout ce qu’il fallait pour me satisfaire. A cent dollars la tétée, je ne risquais pas grand-chose, d’autant plus qu’elle insista sur son imposante poitrine. On convint donc de se rencontrer quelques jours plus tard chez moi. Elle m’envoya une photo pour me convaincre : De longs cheveux auburn entourant un visage potelé, des yeux noirs cachés par des lunettes cerclées et une poitrine aux rondeurs démesurées d’où giclaient du lait. Waouh, à damner un saint !

A suivre


Par Epile - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
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