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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • soumission travesti string feminisation transgenre
  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Vendredi 29 novembre 5 29 /11 /Nov 17:22

     Par crainte d’offusquer Yasmina à notre première rencontre, je me montrai  dans une sage culotte de femme. Je rappelle que dans son pays, le travestissement au même titre que l’homosexualité est passible d’emprisonnement. Bien que la culotte que je portais soit échancrée sur le devant, on pouvait la confondre avec un petit slip d’homme. Ceci dit, un œil exercé aurait remarqué que le renfort de tissu qui contient habituellement les attributs masculins n’existait pas. Mais seuls les hommes féminisés s’intéressent à ce genre de détail. 

     Mon corps intégralement épilé la surprit, mais cela ne lui déplut pas. Elle trouva même agréable de le caresser, insistant au niveau de la raie des fesses si douce au toucher. Contrairement aux hommes de son pays fiers de leur pilosité, ma peau lisse lui rappela la douceur d’une femme. En fait, Yasmina avait horreur des poils et prenait, elle-même, soin de s’épiler intégralement. Elle demandait en conséquence à ses copines de jeu d’être aussi lisses qu’elle. Quel plus beau spectacle à mes yeux que de voir deux femmes s’épiler intimement la chatte. Les personnes qui adorent « déguster » une vulve savent de quoi je parle. Comment en profiter pleinement lorsqu’un poil vient à se coincer entre les dents ? 

     Ce fut moi qui parlais le premier de féminisation lors d'une autre rencontre. Et quoi de mieux que de dévoiler mon corps épilé juste vêtu pour la circonstance d’un minuscule string en dentelle rose. Provocant n’est-ce pas ! Séquence émotion au moment de retirer mon pantalon... De me montrer dans cette délicate lingerie devint crucial pour moi. Ou Yasmina partagereait mes penchants féminins ou e serait la fin de notre idylle. Mon désir d’être femellisé par une femme était si fortement ancré en moi que je trouvais normal d’insister ainsi. 

     En découvrant la protubérance de mon sexe dans ce minuscule string de femme, elle s’en étonna. Et pourtant, elle avait maintes fois vu sur le Net, des mecs travestis en femme, mais elle zappait rapidement leur préférant des soumis qui offraient leur cul ouvertement. Or là, c’était la première fois qu’elle avait devant elle un homme féminisé. D’un regard interrogateur, elle me fixa dans les yeux tout en caressant délicatement le bombé de mon sexe au travers du fin tissu. Ouf, à l’inverse de la plupart des femmes, elle ne censura pas mon penchant féminin.

     Curieuse, elle me demanda d’expliquer mon attitude et essaya de comprendre. Quoi de mieux  alors de lui confier ma relation avec mes amies ghanéennes à l’origine de mes premières aventures de féminisation. Yasmina s'intéressa à ce qui poussait ces deux femmes à agir ainsi et pourquoi je m’excitais moi-même à être féminisé. Je fus incapable d’expliquer la motivation amoureuse de Fatou. Par contre, en parlant des envies sodomites de Mariam, elle retrouva ses propres envies. En me faisant découvrir toute la féminité qui sommeillait en moi, ces deux femmes m’avaient révélé à moi-même. J’ajoutais aussi que je fus captivé par l’inversion des rôles sexuels. Explorer par ce biais ma féminité fut une découverte qui bouleversa ma sexualité. On se donne mieux à une femme lorsqu’on se sent soi-même femelle.

     Emportée par l’atmosphère dégagée par mes propos, Yasmina ouvrit alors l’armoire de sa chambre, fouilla dans sa lingerie et me passa un collant noir. Elle voulut voir par jeu l’effet qu’il rendrait sur moi. Une telle attitude me rassura. Elle remarqua de suite mon aisance à les enfiler. Normal, j’avais maintes fois mis des bas avec Fatou et Rio. Le contact des collants sur mes jambes engendra une réaction immédiate ; mon sexe se réveilla sous le fin tissu. Quand je me mis sur la pointe des pieds devant le miroir, elle envia le galbe de mes longues jambes gainées de nylon. Se rendant compte que j’avais perçu son air envieux, elle  modéra ses paroles et précisa que mes fesses manquaient de rondeur. Pas assez cambrées à son goût. Sa remarque m’amusa.

55254ee7.jpg      En ne rejetant pas mon penchant féminin, Yasmina le reconnaissait implicitement : "L'examen de passage est réussi, me dis-je". Ouf, il aurait été regrettable de me séparer d’une femme aux vertues aussi perverse.

     Pour terminer de la convaincre, je lui parlai du milieu transsexuel fréquenté durant ma liaison avec Rio et des extravagances sexuelles vécues avec ses amies. Tout le temps que dura mon récit, Yasmina ne cessa inconsciemment de caresser son clitoris. Cela me rappela l’attitude craintive et à la fois passionnée de ma cousine qui, petite fille, se touchait inconsciemment au travers de sa culotte. Sa réaction m’encouragea à lui confier tous les détails sulfureux de ma relation avec Rio.

     Waouh, faire d’un homme une femme... De par son penchant lesbien et son tempérament dominateur, ce fut une révélation pour Yasmina. A défaut d’une fille dans son lit, avoir un mari en société qui soit en même temps une femelle vicieuse au lit stimula son esprit. Mais qui étaient donc ces hommes féminisés ? Elle se renseigna sur le Net. Influencée par les sites pornos, elle en déduisit que c’était des travestis qui s’excitaient à être féminisés, se comportaient en femme soumise et offraient leur cul en guise de chatte. Un monde nouveau s’ouvrit à elle. Elle me questionna des jours durant, voulant tout savoir sur ces hommes féminisés. Sans le reconnaître explicitement, elle éprouvait un intérêt particulier pour les transsexuelles, des hommes qui s’identifiaient comme des femmes. Ainsi, on pouvait faire d'un homme une femme sexuellement passive, exiger qu'il s’épile intégralement, qu'il s’habille de lingerie fine, qu'il se comporte en  femelle soumise, voire qu'il ait des seins hormonés, sans compter son anus qui devenait une « chatte » ouverte à toutes ses envies. Bien que ce fût encore trouble dans son esprit, elle en conclut à travers moi que l’amant idéal ne pouvait être qu’un mâle renaissant de ses cendres en une femme.

     De là naquit son délire de me femelliser à outrance. Peut-être aussi que son viol expliquait cette envie de me déviriliser en me femellisant. Comme j’étais en manque depuis des mois, je plongeai avec une joie sauvage dans son délire. Ce fut donc à partir d’une vision marginale de la transsexualité et autour de pratiques sexuelles déviantes que se construisit  notre couple. D’où cette attirance réciproque qui nous lia si profondément. Où cela nous mena-t-il ? Vous avez la réponse dans ce blog...


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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Lundi 9 décembre 1 09 /12 /Déc 16:44

          Yasmina possédait l’art de stimuler ma libido comme aucune autre femme n'avait su le faire auparavant. Emportées par sa perversité et la force de ses fantasmes de femellisation, toutes mes convictions de mâle tombèrent aux oubliettes. Moi l’hétéro convaincu, je fus prêt à faire le grand saut avec elle. Que les autres femmes me parurent fades par comparaison. Comme je ne désirais pas faire la même erreur qu’avec mes amies ghanéennes, Yasmina m’engagea dans un processus hormonal féminisant qui me piégea définitivement.

      De par ses tendances lesbiennes, elle me préférait aux filles qui, contrairement à moi, manquaient de perversité au lit. S’occuper de leur chatte ne lui suffisait plus. De par ma femellisation libérée de toute contrainte, je renouvelais sans cesse sa libido. Découvrir qu’on pouvait transformer un homme à ce point fut une révélation. Pour elle qui aimait les jeunes filles autant que les hommes soumis, faire de son amant une femelle en rut, une vraie salope, devint sa passion. Elle en rêva à haute voix.  Et moi, je me nourrissais de sa perversité pour surpasser la sienne. Oh, contrairement aux romans érotiques, cela ne se fit pas en quelques jours, on ne transforme pas un homme en femelle d’un coup de baguette magique. Au début d'ailleurs, j'avais naïvement mis une condition : préserver mon statut d’homme viril en société. Pour elle, il fallait comprendre que le reste du temps, je serai femme à 100%...

    Un seul but alors chez Yasmina, féminiser non seulement mon corps, mais aussi mon esprit pour ensuite pratiquer des jeux les plus déviants possible : " Mets-toi dans la peau d’une femelle, vis pleinement ce que tu ressens puis comporte-toi comme telle." Etant sage-femme, cet état passait obligatoirement par les hormones féminisantes. Elle se procura facilement ces hormones à l'hôpital ou elle travaillait. A son avis, il n’y avait que par ce biais que je me féminiserai en ayant de vrais seins de femme. L'idée m'excita, mais me fit peur aussi. J'avais beaucoup lu sur les effets secondaires des hormones féminisantes et je craignais pour mon coté mâle. Ce fut bien plus tard que je compris qu’elle désirait inconsciemment faire de moi une transsexuelle. Or, contrairement à ce que je pensais jusqu'à présent, la crainte de me femelliser à ce point excita mes neurones.

     Soumis à l'influence de Yasmina, avoir des seins énormes devint aussi mon obsession. C'est pourquoi, malgré mes réserves, je plongeais avec une joie sauvage dans un traitement hormonal féminisant. Plus ma poitrine se développait, plus je m’excitais et plus j'abusais des hormones, abandonnant progressivement mon identité de mâle viril. Inconsciemment, j'entrai pleinement dans son jeu. Elle-même me poussait à consommer toujours plus d'hormones...

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          Je le détaille aux chapitres « DES HORMONES », les hormones féminisantes modifièrent profondément mon physique, mon caractère, ma santé, mon allure générale ainsi que ma libido de mâle. Le moteur principal de mon excitation fut le développement de mes seins. Un tel état de femellisation me perturba sérieusement et remit en cause mon statut d’homme viril. Les hormones prises à long terme eurent des effets irréversibles, non seulement sur mes seins qui pointèrent de plus en plus, mais aussi sur mon corps qui s’enroba d'une épaisse couche de graisse. Quant à ma virilité, elle s'atrophia progressivement jusqu'à ne plus pouvoir bander dur.  De plus, mon caractère s’adoucit ; je devins plus tolérant face aux choses de la vie. Une petite déception tout de même : Je trouvai que ma poitrine ne se développait pas suffisamment. Et contrairement aux femmes, elle poussait en pointe. La progestérone, réputée arrondir la forme des seins, n’y changea pas grand-chose si ce ne fut de retrouver un certain tonus physique. Néanmoins, de voir mes seins devenir très sensibles et se développer de jour en jour me rendit dingue au point que préserver ma virilité devint secondaire. Et pourtant, je refusais de prendre des anti-hormones mâles, tel Androcur, qui m'auraient rendu définitivement stérile et impuissant.

     Tout au long de ma cure hormonale, je ressentis d’irrésistibles pulsions qui me poussaient à me masturber violemment. Des envies qui se produisaient lorsque j’étalais de l’Oestrogel sur ma poitrine. Peut-être une réaction de défense inconsciente du mâle qui se féminisait. A chaque application, j'avais un début d’érection et, hop, je ne pouvais pas m’empêcher de branler ma verge endormie. Je pestais contre cette queue ramollie qui n'arrivait plus à jouir correctement. Excité comme une pucelle, j’enduisais alors ma main d’Oestrogel puis je me branlais sauvagement avec. A cette condition seulement, ma verge se raidissait légèrement et j’arrivais à éjaculer quelques gouttes d’un sperme transparent. Vivre le combat sexuel de mon corps masculin qui s’opposait à la féminisation ne fut pas chose facile. Tantôt homme et tantôt femme, je remettais sans cesse en question mon identité sexuelle de mâle.

     Je craignais aussi que ma femellisation ne se traduise par une discrimination sociale. Des signes de féminisation finiraient par me trahir auprès des gens de mon entourage, ne serait-ce que mes seins proéminents et ma voix à la tonalité fluctuante. Et être pris pour un travelo n’avait rien de réjouissant. Mais c’était plus fort que moi. Conditionné par les hormones et soumis à l’influence perverse de Yasmina, je m’isolais de mes amis et de ma famille afin de mieux vivre ensemble nos penchants sexuels. A l’image d’un drogué, j’entrais dans une spirale infernale qui me conduisait vers une quête insensée dont ni moi ni Yasmina ne connaissions l’issue. Par contre, Yasmina se réjouissait de ma dépendance hormonale et de ma féminisation outrancière. Mon dieu qu’il devenait difficile de rester un homme dans ces conditions. Ah si seulement je pouvais vivre ma femellisation au grand jour et crier mon bonheur sur les toits. Hélas, la morale des hommes me l'interdisait... 

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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Lundi 23 décembre 1 23 /12 /Déc 16:38

     Vous l’avez certainement remarqué, je préfère parler dans mon cas de femellisation plutôt que de féminisation. Bien que ces termes expriment une certaine similitude de comportement, ils reflètent pourtant des attitudes bien différentes. Il me semble donc intéressant de préciser ma pensée à ce sujet. 

     Essayons d’abord de définir la féminisation la plus connue, celle qu’on appelle communément le travestissement et ses variantes. Ce désir de se travestir prend naissance à la puberté, le garçon ne résistant pas à cette pulsion. Il est attiré par tout ce qui touche au féminin, les accessoires de maquillage, les hauts-talons, la lingerie et les robes. Nombreux sont les hommes qui durant leur puberté ont eu leurs premiers émois sexuels avec la petite culotte de leur sœur ou la robe de leur mère. Ce besoin est ancré si fortement en eux qu’aucun sermon familial ne les fera changer d’avis. Tout au long de leur adolescence, ils se sentiront coupables de cette attitude et se féminiseront donc en cachette. Puis une fois adulte, à eux la liberté et le bonheur de pouvoir enfin se féminiser à leur gré. 

     Autrement dit, la féminisation consiste avant tout à se travestir passagèrement avec ce que la femme a de plus féminin, voire de plus sexy, un travestissement qui vise à prendre l’apparence d’une femme et à s’approprier par  jouissance les symboles de la féminité. Cette irrésistible pulsion, pratiquée le plus souvent en solitaire, pousse le travesti à la masturbation et à l’orgasme. Puis, satisfait sexuellement, son envie de se féminiser retombe et il reprend les apparences d’un homme jusqu’à la prochaine fois.

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     Contrairement aux travestis dont les désirs de féminisation prennent naissance à la puberté, les envies de femellisation se déclarent généralement bien plus tard. Beaucoup d’hommes en ressentent les prémices à un âge mature. Avec les premières défaillances sexuelles apparaît dans leur esprit l'idée d'être passif entre les bras d'une femme. Et quoi de mieux alors que d'exprimer ce côté féminin qui vit en chaque homme ! Je le dis et le répète, nombre de personnes ne se retrouvent pas dans la classification trop rigoureuse des genres mâle ou femelle. Qu’un homme désire vivre en totale dépendance sexuelle d’une femme, qu'il souhaite un corps féminisé avec de gros seins, une verge bandante et un cul ouvert à toutes les orgies échappe encore à une majorité de gens. 

     La femellisation se vit essentiellement dans une relation permanente de domination-soumission (D/S) entre une femme au caractère dominant, autrement dit une maitresse et un homme passif, son soumis, tous deux jouissant de l’inversion des rôles sexuels mâle-femelle. La maitresse s’excite à faire de son soumis une femelle objet de ses fantasmes et le soumis s’excite à être traité en femelle passive. Comme ce conditionnement demande du temps, il s’installe entre eux une  relation complice qui perdure parfois toute une vie.

     La relation du couple étant principalement basé sur la confiance, la Domina va travestir son soumis bien sur, mais ce qu’elle attend de lui, c’est qu’il devienne une femelle sexy jusque dans son corps, mais aussi dans son esprit, qu’il soit une salope soumise, une pute ouverte à tous ses fantasmes. Elle exige de lui pour commencer un corps intégralement épilé et qu'il porte en permanence de la lingerie de femme sous ses vêtements masculins, une façon de lui rappeler sa condition de femelle soumise. Dans l’intimité de sa maison, elle l’habille donc de lingerie fine, d'un minuscule string, de bas filet et de chaussures à talons aiguilles. Très souvent, elle exige de lui des signes indéfectibles d’appartenance tels qu'un piercing, un tatouage ou le port d’une cage de chasteté qui l'empêche de jouir comme un homme. Le soumis devient alors la femelle de la maison pour son plus grand plaisir. 

     Eh oui, le caractère passif d'un homme soumis et femellisé fait qu’il éprouve une intense excitation à se plier aux exigences sexuelles de sa Domina. Il prend un vif plaisir à devenir son jouet sexuel. Se sentir pute et objet des fantasmes de sa maitresse lui apportent un sentiment de honte et d'humiliation par rapport aux autres hommes, un avilissement de sa condition de mâle viril, mais aussi une stimulation de sa libido. Sa maitresse devient dès lors le moteur de sa sexualité et sa femellisation le conduit à "vaginaliser" son anus, celui-ci se transformant en une chatte ouverte à toutes les fantaisies. Les plugs, les godes-ceintures et les défonces anales deviennent alors la base de sa sexualité. Fortement conditionné par ses jouissances femelles, sa libido évolue vers toujours plus de féminité, ce qui fait que ses orgasmes mâles passent au second plan. 

     Selon la nature des délires de chacun, le couple s'aventure par la suite dans une dérive sexuelle de plus en plus outrancière. Il apparait un désir commun d’aller toujours plus loin dans la perversité que permet une telle relation.  Il se crée chez la maitresse le désir de détruire toute virilité mâle chez son soumis femellisé. Comme elle fantasme de le voir avec un vrai corps de femme, elle lui propose carrément de prendre des hormones féminisantes. Quoi de plus excitant alors pour elle de voir sa femelle avec des seins et des formes féminines à l’image d’une transsexuelle même si cela s'oppose à sa virilité. L'idée, bien que choquante, stimule aussi les neurones de son soumis. Au fur et à mesure que ses seins se développent et que son corps se féminise sous l'action des hormones, il se laisse tenter. Se met aussi en place un processus inconscient de dépendance hormonale. Féminiser son corps au-delà de toute raison et être possédé comme une femelle en rut engendre chez lui un plaisir sadique qui remet en cause sa nature profonde de mâle, quitte à y laisser sa virilité. Mais que lui importe, accroc aux hormones, devenir une femelle toujours plus salope aux yeux de sa maitresse l'excite au plus haut point. Dès lors, soumis à une sexualité femellisante, plus rien ne s'oppose à ce qu'il se transforme en une personne transgenre au bénéfice de sa Domina...

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION DES HOMMES
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