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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
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  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Dimanche 4 mai 7 04 /05 /Mai 20:09

     Au fur et à mesure que j’avançais dans ma femellisation, ma virilité défaillante ne manqua pas de m’inquiéter. Où était donc passé le jeune homme qui avait des orgasmes à la queue leu leu ? J’avais besoin en fait d'expériences nouvelles pour m’exciter et bander dur. Ne dit-on pas que les hommes en vieillissant deviennent cochons ? Lié à mes pannes d’érection, j’en venais parfois à exprimer de la passivité entre les bras d’une femme, ce qui ne manquait pas de la décevoir, elle qui rêvait d’un amant fougueux. Suite à ces pannes sexuelles, je découvris les vertus des miraculeuses petites pilules bleues. Voir ma verge se dresser et redevenir dur comme un morceau de bois me stupéfia. 

     Souvenez-vous lorsque je basculai dans le monde inconnu de la féminisation mâle avec mes amies ghanéennes. Ce fut là une découverte merveilleuse ! Avec elles, tout ce que mon subconscient réclamait à corps et à cris et que mon éducation d’homme réprouvait devint normalité. L’envie de me comporter en femelle passive et la découverte de la sodomie s’affirmèrent ouvertement sous leur domination. Etre receveur à l’image d’une femme transforma ma vision de la sexualité. D’apprendre que je n’avais pas forcément besoin de bander pour satisfaire une femme me combla d’aise. Hélas, mâle encore trop fier pour reconnaître mon état de dépendance sexuelle dans un monde de soumission à base de féminisation hormonale, je me séparais brusquement de Fatou et de Maryam. 

     Après des années d’errance à la recherche de la femme idéale, ce fut Yasmina, ma compagne actuelle, qui eut raison de ma raison. Entre-temps, il y avait eu Rio et sa copine blonde, deux transsexuelles qui avaient exploité à outrance mes penchants de femellisation. Comme j’étais en manque, la perversité dévastatrice de Yasmina me piégea jusqu'à l'outrance. Elle m'enferma dans une femellisation si outrancière que j’en devins esclave par érotisme. Cette femme bouscula mes a-priori de mâle et me poussa dans mes derniers retranchements féminins. Ma libido constamment excitée par ses fantasmes et incapable de vivre autrement ma sexualité, elle m’engagea alors dans une démarche hormonale de femellisation qui modifia profondément ma nature de mâle. Je crus naïvement qu’une poitrine de femme et quelques lingeries sexys sur mon corps totalement épilé me combleraient ! Sot que j'étais, ce ne fut là que le début d’une obsédante aventure.

598 1000      Vous l’avez compris amis lecteurs, Yasmina profita de mon délire naissant d’avoir de gros seins pour m'asservir encore plus à son fantasme : faire de moi une transsexuelle totalement soumise à sa perversité. Et de la perversité, elle en avait à revendre. Difficile de croire qu’une femme préfère transformer  son mari en une femelle salope plutôt que d'avoir un mâle viril à ses côtés. Difficile aussi de comprendre tant qu’on n’a pas plongé dans cette atmosphère particulière où les rôles sexuels sont inversés,  on devient dépendant des hormones prises à haute dose. Son fantasme étant de me transformer à l'image d'une transsexuelle, elle attendait de moi que j'aie de vrais seins et un corps totalement efféminé. Rendez-vous compte, elle en venait à souhaiter que j’aie un vagin à la place de ma verge. Elle pensait ainsi m'offrir comme une femelle en rut à des hommes excités qui me violeraient par tous les orifices. Or, je refusais ouvertement, d'une part j'adorais jouir de mon sexe et d'autre part, la gent masculine ne m'excitait pas du tout. Baiser avec une transsexuelle ou un travesti androgyne, d'accord, mais des hommes… Beurk !

     Qu’une femme en vienne à femelliser son amant viril au point de le rendre impuissant et stérile est si particulier que cela mérite quelques explications. Au début, nous faisions l’amour comme tous les couples du monde. Or, je remarquais rapidement que la pénétration n’était pas son truc, Yasmina mouillait difficilement. Contrairement à la plupart des femmes qui adorent sentir un membre mâle s’enfoncer en elles et jouir à gogo, elle était en fait une clitoridienne qui préférait être caressée et léchée longuement. De voir en même temps deux gays s'enculer la faisait jouir à en perdre conscience. Faisant une fixation sur son énorme clitoris, elle souhaitait le faire grossir davantage, qu’il devienne une grosse queue a fin de me défoncer la chatte. En fait, elle s’intéressait bien plus à "son sexe" qu’au mien... 

     Je me souviens de cette vidéo qu’elle me montra pour mieux situer ce qu'elle attendait de moi. On y voyait un jeune travesti vêtu d’un string sexy, de bas noirs retenus par un porte-jarretelle et chaussé de hauts-talons vernis. Il présentait un plug énorme à la caméra, pas moins de douze centimètres à la base disait-il. Sa chatte bien dilatée, il se pénétra facilement jusqu’à l'engloutir complètement. J’avoue que cet exploit interpella Yasmina au point qu'elle me demanda de m'ouvrir ainsi : "Impossible répliquais-je, les os de mon bassin sont bien trop étroits. Et pourtant à force d’insistance, elle réussit à me pénétrer avec une main. Mon dieu, quel délire ce jours-là, une jouissance fantasque ou je ne pus retenir mes cris, sans commune mesure avec un orgasme mâle. Depuis, nous recommençons régulièrement afin d'habituer ma chatte à ces dilatations extrêmes. Elle me pénètre maintenant d'une main agile et s'enfonce en moi jusqu'au coude en violant mes entrailles. Parfois, elle malaxe vivement ma prostate, ce qui a pour conséquence de faire sortir le liquide séminal par ma verge molle sans aucun orgasme. Elle me demande alors de le boire. J’avoue y prendre goût maintenant. Rien à voir avec le goût écoeurant du sperme après avoir joui.

     Sous le prétexte d’avoir des gros seins, Yasmina me pousse donc à me femelliser encore plus, à prendre toujours plus d’hormones ; d’autant que je me suis accoutumé à leurs effets négatifs. Et tant pis si j’y laisse ma virilité. Que je devienne impuissant et stérile n’a aucune importance à ses yeux. Bander comme un mec ne l’intéresse pas puisqu'elle jouit uniquement de son gros clitoris. Exit donc le mec viril d’il y a deux ans avec sa queue raide et place à une femelle salope avec de gros seins et une chatte ouverte à ses délires. Je lui plais ainsi et je l'aime ainsi.

     A lire les avis d'hommes femellisés, j’ai conscience d’avoir pour conjointe une femme d'exception. Je me considère aujourd'hui comme un privilégié. Quelle ivresse de pouvoir explorer mes fantasmes extrêmes de femellisation sans avoir à subir la censure d'une femme. Avec Yasmina, je peux enfin me laisser aller à tous les délires, rien ne la choque, tout l'excite. Or, il subsiste un doute qui contrarie mon bonheur. Elle a fait de moi un mâle femellisé, mais devenu impuissant par amour. Que se passera-t-il demain, le jour où elle se lassera de moi et me quittera définitivement ? J’avoue que la question m’angoisse parfois...


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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Lundi 9 juin 1 09 /06 /Juin 22:47

     Bien que je pense être un hétéro convaincu, j’éprouve une irrésistible attirance envers les transsexuelles non-opérées. Elles stimulent ma libido tout autant que les femmes, mais dans un registre différent. L’ambigüité de leur état ambivalent, une féminité oubliée des femmes, un corps hyper-sexualisé, des fesses nerveuses avec des seins hormonées ou gonflés par de généreuses prothèses réveillent mes instincts de mâle. Et que dire de leur clitoris si particulier ou de leur chatte ouverte à toutes les extravagances ? Elles ont ceci de merveilleux qu’elles pratiquent le sexe comme nous les hommes. Contrairement aux femmes, leurs fantasmes sont les miens et mes fantasmes sont les leurs, ce qui, je l’avoue, favorise une relation beaucoup plus sulfureuse. 

     Quelle joie pour moi de les observer dans ce qu’elles ont de plus féminin et de plus sexy. Plus aucune femme n’arrive à onduler des hanches comme elles. Plus aucune femme ne sait aguicher un homme de ses appâts naturels. Quand je fais l’amour, caresser leur corps androgyne et voir leur clitoris se dresser telle une queue qu’elles masturbent d’une main si féminine affole mes sens. Lorsqu’elles éjaculent en poussant des cris de femelle, elles me font penser à des femmes fontaines. Quelle trouble aussi de sentir le fruit de leur orgasme gicler. Avec le temps, je me suis habitué à déguster ce nectar offert avec tant d’entrain. Et lorsque leur clitoris s’enfonce en moi jusqu’aux tréfonds de mes entrailles, cela me procure bien plus de sensations que les godes-ceintures de ma compagne. Et attention à ceux qui rêvent de bêtes de sexe, ne vous méprenez pas sur ces femmes d’un genre particulier. Quand elles aiment, elles attendent des hommes Amour et respect.

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      Mais alors suis-je devenu gay ? Prendre du plaisir avec le clitoris des transsexuelles ou les enculer ferait-il de moi un homo qui s’ignore ? Les avis divergent sur ce point. Pour les gens qui les rejettent, les transsexuelles non-opérées sont des hommes travestis et rien d’autres. Non pas que ces gens soient homophobes, mais parce qu’ils ignorent les problèmes d’identité de genre et d’orientation sexuelle. Pour eux, la biologie et la génétique s’imposent. Si la transsexuelle possède des chromosomes XY, elle est comme tous les hommes, du genre masculin, un point c’est tout. Beaucoup de ces gens perçoivent les transsexuelles comme une perversion de l’esprit humain et coucher avec elles relève donc de l’homosexualité. Même si les transsexuelles sont bien plus féminines que nombre de femmes, elles ne seront jamais Femme à leurs yeux. Un raisonnement qui rappelle l’obscurantisme d’une époque heureusement révolue ou il fallait être homme ou femme. Entre les deux, point de salut ! 

 

 

Par Epile - Publié dans : DIVERS
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Dimanche 15 juin 7 15 /06 /Juin 20:43

     Dans l'article précédent, j'exprimais mon attirance envers les transsexuelles non-opérées et donc l'idée d'être qualifié d'homosexuel par une société bien-pensante. A lire les réactions des lecteurs, il me semble intéressant de développer ce point de vu car beaucoup de gens s'interrogent à ce sujet.

"Coucher" avec une transsexuelle fait-il de nous des homos ?" 

     Il faut savoir que les hommes appréciant les transsexuelles ne sont pas attirés par les hommes. Bien au contraire, ils éprouvent une véritable aversion sexuelle à leur égard. Par contre, ils ne résistent pas à l’hyperféminité des transsexuelles. Ils les trouvent plus vraies que nature et bien plus sexy que beaucoup de femmes. Et là, plus question de chromosomes XY, c’est de l’attirance sexuelle pure ! Reconnaissons que les transsexuelles symbolisent aujourd’hui une féminité portée à son paroxysme ; féminité que les femmes biologiques abandonnent par soucis d’égalité sociale. Un droit normal, mais aussi un combat féministe qui finit par agacer les hommes. A mon avis, le féminisme consiste à rendre ses lettres de noblesse à la féminité, pas à nier les différences entre sexes.

     Mais ou sont donc passées les pin-up des années cinquante ou les starlettes dénudées des sixties ? La mode d'aujourd'hui oblige les femmes à avoir une allure androgyne. Comme nous les hommes, toutes portent le pantalon et la veste aujourd'hui. Ont-elles conscience que cette mode est imposée par des stylistes homos qui préfèrent les hommes aux femmes ? Eux désirent des femmes aux formes longilignes, aux seins et aux fesses effacées, à l'image des jeunes garçons efféminés qu'ils adorent. Jeunesse et allure androgyne sont donc devenues des impératifs féminins. En conséquence, madame ne veut plus d'enfant car la grossesse dénature sa silhouette. De plus, son indépendance si chèrement acquise serait menacée. Si elle cède malgré tout au désir d’enfanter, elle refuse d’allaiter. Tout ce qui pourrait rappeler la maternité est banni, à commencer par ses seins qui n’ont plus aucune utilité maternelle. Les couples modernes se veulent égalitaires et infertiles par conséquent. L’égoïsme des femmes occidentales me révolte au point de leur préférer les femmes des pays émergents pas encore dénaturés par ces idées.

     Cela explique peut-être le succès des transsexuelles bien plus féminines, libres de pensée et appréciant les choses du sexe sans se choquer. Les femmes en viennent d'ailleurs à les jalouser tellement elles sont belles, sexy et plus femelles. A défaut de transsexuelles, l'autre alternative est de nous rabattre sur des domina, seules garantes d'une libido qui exacerbe nos sens. Mais qu'il est difficile d'apprécier leur "fouet"...  Nous voilà donc brimés par la gente féminine au point de nous rabattre sur les transsexuelles ou à devenir PD. Est-ce la seule façon qu'il nous reste pour exprimer une sexualité épanouie et libérée ? Oui, je le crains amèrement ! Nous ne sommes que des hommes après tout. L’attirance à l’égard des femmes sexys est une réaction naturelle chez les mâles. Or les femmes modernes nous en privent au non de l'égalité des sexes.

RR

     Bien qu’une relation transsexuelle engendre des caresses assimilables à de l’homosexualité, n’oublions pas que ces femmes sont avant tout attirées par des hommes hétéros ; ce qui les fait rejeter naturellement les femmes et les gays. Quant aux hommes qui les fréquentent, ils sont uniquement attirés par des femmes. Par expérience, je peux affirmer qu’une transsexuelle aux traits masculins ne les attire pas. Pire même; ils s'en moquent. C’est aussi le cas des travestis poilus qui se sentent femme le temps d'un orgasme. Ceux-ci engendrent dans l'esprit des gens une confusion des genres avec les transsexuelles.

     Peut-on dire alors d’une relation avec une transsexuelle opérée qu’elle est hétérosexuelle ? A lire les avis des transsexuelles et les réactions des hommes qui les fréquentent, j'en suis certain. Mais qu'en est-il des femmes transsexuelles non-opérées, celles qui préfèrent jouir de leur sexe pour des questions d'équilibre psychologique ? Des psys, responsables de la normalité et spécialistes de la transsexualité, peuvent-ils répondre clairement à ce sujet ? Ceux-ci savent-ils au moins ce que ces femmes particulières pensent, ressentent et attendent de la société. Les ont-ils fréquenté hors de leur cabinet afin de mieux les comprendre ? J’en doute car l’analyse depuis leur canapé les déconnecte de la réalité. L’orientation sexuelle ou l’identité de genre ne se définit pas dans des livres, mais au contact d'une vie quotidienne avec ces gens. A cette occasion, je rappelle que la cour Européenne des Droits de l’Homme a obligé la France à légiférer sur l’identité de genre et la transsexualité. Ce qui permet officiellement aux transsexuelles d’avoir aujourd’hui un statut officiel de femme. Imaginez la tête d'un flic lorsqu'il voit une belle femme lui présenter son passeport et qu'il y lit sexe : Homme. Doit-il dire Monsieur ?

     Manquerait-on à ce point de tolérance en France ? Je le pense, moi qui reviens de Thaïlande. Ce pays, fortement influencé par les préceptes du Bouddhisme, ne considère pas la transsexualité comme une déviance. La preuve, les garçons efféminés prennent des hormones féminisantes dès l’âge de dix ans et disposent de toilettes séparées dans plusieurs lycées. En précisant cela, j’écarte la prostitution des ladyboys à Phuket, des prostitués qui attirent les hommes du monde entier. A vous mesdames de nous proposer autre chose...


PS : A voir le taux de fréquentation en nette diminution sur mon blog, j'en déduis que cette question ne passionne pas les foules. Il semble que mes lecteurs préfèrent suivre mon évolution de soumis femellisé à outrance...


Par Epile - Publié dans : DIVERS
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