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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
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  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Vendredi 15 novembre 5 15 /11 /Nov 21:34

     Après ma troublante expérience de domination avec cette femme mariée adepte de BDSM, se posa la question de favoriser la femelle qui se manifestait si fortement en moi. D’un côté, ma conscience me dictait de vivre en homme viril, question d’équilibre social, mais cela brimait trop ma libido. De l'autre, être "femellisé" par une femme me stimulait tant que je devenais incapable de concevoir ma sexualité autrement. Fallait-il m’interdire ce bonheur pour des questions d’éducation et de bienséance ?  

     Je l’ai maintes fois rappelé dans ces colonnes, l’identité de genre relève d’un comportement qui, à mon avis, ne doit pas être figé dans une dualité mâle-femelle que nous impose la société. Nous ne sommes pas homme ou femme, mais des êtres hybrides fait demasculinité et de féminité. Chaque homme doit pouvoir vivre ouvertement son identité de genre en fonction de son ressenti sans être condamnable par la société pour cela. Pourquoi les homos ont-ils le droit d'exprimer officiellement leur penchant sexuel alors qu’on interdit aux hommes comme moi de vivre ouvertement leur féminité ? Les femmes nous opposent à ce sujet une censure encore plus violente que celle des hommes.

     Après mure réflexion, vivre ma sexualité sans plus aucune contrainte prima sur toute autre considération existentielle. J’en conclus qu’une femme qui s’excitait ouvertement  à me "femelliser" et à développer mes seins était l’unique façon de vivre et d’exister sexuellement. Au moins, je ne serais plus frustré en vivant du mauvais côté du miroir à deux faces. J’avais maintes fois observé chez les femmes qui féminisaient des hommes une ouverture d’esprit qui leur permettait d’extérioriser un très haut degré de perversion. Ne voulant pas refaire la même erreur qu’avec mes amies ghanéennes, je décidai donc d’aller sans réserve là où me conduiraient les fantasmes de "femellisation" d’une telle femme. Or, trouver celle qui se passionnait pour mes penchants féminins demanda du temps. Ou les femmes rencontrées ne s’amusaient qu'à me féminiser provisoirement ou alors, c’était des dominatrices professionnelles, voire même des "gynarchistes castratrices" qui féminisaient les hommes pour mieux les soumettre à leur autorité. Empreint d'une expérience nouvelle, j’évitai donc ces femmes par la suite…

     On se rencontra sur un forum porno, là où chacun étalait ses fantasmes les plus déviants. Son profile précisait qu'elle était une Domina de 28 ans qui recherchait un soumis mature pour en faire une pute et l'offrir à d'autres hommes. Elle ne précisait pas pourquoi et comment. Hormis son jeune âge, Yasmina n’avait rien d’une beauté fatale. Petit bout de femme dotée d’une poitrine trop généreuse et d’un corps tout en rondeur, elle se distinguait des autres femmes  par ses envies perverses bien au delà de tout ce que j'avais vécu jusqu'à présent : " Les sites pornos permettent de vivre à fond mes propres déviances, disait-elle." Faisant table rase des tabous et de la pudeur qui entravent habituellement la sexualité, elle se disait incapable de trouver son plaisir autrement. Que ce soit l’homosexualité, la zoophilie, le BDSM où même l’inceste et la pédophilie, tout ce qui relevait de l’interdit sexuel l’attirait. A l'entendre, Sade était pour elle un enfant de choeur. Elle critiquait vivement la France et l'Occident en général pour ses lois sur la pédophilie qui obligeaient son pays à interdire de telles relations alors qu'elle rêvait de vivre cela avec une fille pubère. 

     Contrairement à ce que je croyais, je me rendis vite compte au cours de nos conversations sur le Net qu’elle manquait d’expérience. Ce n'était chez elle que des fantasmes liés à un état de manque. Elle le reconnut humblement, car dans son pays machiste, il était inimaginable qu'une femme exprime ouvertement ses préférences sexuelles vis-à-vis des hommes. C’est pourquoi elle se défoulait virtuellement sur le Net en espérant trouver un homme mature et soumis encore plus vicieux qu'elle. La perversité des hommes âgés l'attirait bien plus que tous ces jeunes qui ne pensaient qu'à tirer un coup. 

     Noire et de confession musulmane, elle sortait pourtant d’une relation somme toute banale, un amant qui ne comprenait rien à ses attentes. Frustrée à cause de la misogynie des hommes de son pays, dominer sexuellement un mâle par réaction stimulait fortement sa libido. Elle savait ce qu’elle voulait : trouver un homme soumis, aussi vicieux qu'elle, avec qui elle fonderait une famille unie en partageant ouvertement ses délires marginaux sans aucun tabou. Sans succès d’ailleurs, car elle exigeait des trucs si bizarres que les quelques hommes avec qui elle discutait sur le Net craignaient pour leurs fesses. A défaut d’un soumis pervers à sa disposition, elle se nourrissait des fantasmes de ceux divaguant sur Internet. Un monde de fantasmes virtuels si extravagants que cela la marginalisait encore plus.

gfwpwcao.jpg     Bien que les attirances sexuelles de Yasmina n’aient rien à voir avec la féminisation à laquelle j’aspirais, découvrir une femme aussi perverse m’attira irrésistiblement. J’avais face à moi une égérie ouverte à toutes les perversions sexuelles. A mon avis, il devait certainement exister une situation sexuelle qui la choquerait. Or, plus je m’aventurai dans des descriptions scabreuses et plus cela l’excitait. Bien qu'elle soit adepte des lavements du colon, une seule chose la rebutait, la scatophilie. La provoquant jusqu'à l'outrance, je l’amenai sur un terrain interdit qui choquait les femmes. Je voulais tester sa perversité réelle, savoir jusqu'où elle était prête à aller. Je lui proposai le plus sérieusement du monde de nous marier, de fonder une famille ensemble et de vivre l’inceste à travers nos futurs enfants. Au lieu de la choquer, l'idée l’emballa. Elle me répondit du tac au tac que ce serait une aventure merveilleuse que d'éduquer nos futurs enfants ainsi. Aucun blocage sexuel chez cette femme. Elle avait conscience des lois contraignantes, mais espérait bien vivre sa propre sexualité en dehors de ces lois. Je vous le disais, une perle rare en matière de perversité tout en ayant conscience des valeurs traditionnelles quant au mariage et à la famille !

     Rendez-vous compte, dès nos premières discussions, elle voulut d’emblée que je me fasse sucer le sexe et que je jouisse dans la gueule d'un gros chien. Je devais aussi prouver ma perversité en enculant le gros chien de mes voisins, actes zoophiles qui lui semblèrent tout à fait normaux. Une entrée en matière difficile à assumer pour moi... Un homme normal aurait pris ses jambes à son cou. Or moi, je restai, tellement je fus captivé par ses délires zoophiles. J'entrai dans son jeu en lui racontant mes propres expériences animales. Petit garçon, je m’amusai à faire jouir un chien errant du quartier. Je me souvenais comme il frétillait de la queue en me voyant. Dès que j'arrivais, il me sautait dessus, s’emparait de ma jambe avec ses pattes avant puis frottait son sexe chaud et poilu sur mon mollet à grands coups de bassin. Tandis que je caressais sa tête, il déchargeait rapidement son jus. Parfois, je préférais le branler. Il se couchait alors par terre sur le dos et se laissait faire en écartant ses pattes. Ce chien devint naturellement le partenaire privilégié de mes premiers jeux sexuels intimes. De voir cet animal de compagnie se jeter sur ma verge bandante et laper mon gland ajouta au plaisir de mes masturbations. Je me souvenais aussi de l’étonnement de ma cousine quand elle me surprit dans ces jeux indécents. Elle ignorait encore qu’on puisse éprouver du plaisir avec un chien. Sur mes conseils, elle essaya et ne résista pas à sa langue. Elle jouit en moins de trente secondes tellement elle éprouva de plaisir. De voir le chien se régaler autant avec sa cyprine m'excita beaucoup. Je fis aussi cela avec des chats. A cette occasion, je découvris combien leur langue était râpeuse.

        Je lui racontai ausi que ce fut vers l'âge de neuf ans que je découvris les plaisirs de la masturbation et de l'orgasme. Et pourtant, je n'éjaculais pas encore. A l'adolescence, d’irrésistibles pulsions me poussèrent à me branler en permanence. Tel un obsédé, je jouissais plusieurs fois par jour. Je trouai systématiquement une poche de mes pantalons pour me masturber plus facilement. Je lui  racontais aussi comment je me masturbais en classe au collège. De sentir le sperme chaud couler entre mes cuisses pendant le cours de math faisait que je recommençais immédiatement une seconde masturbation après. Je tenais à ce propos un petit calepin ou je notais consciencieusement mes multiples masturbations quotidiennes. Certains week-ends ou j'étais seul à la maison, j'arrivais à jouir plus de dix fois d'affilé. A la fin, je continuais tout de même à me faire jouir alors que plus rien ne coulait de ma verge bandante. Ah si seulement les adultes ne nous privaient pas de ces plaisirs à l'enfance, ce serait merveilleux de vivre sa sexualité dès la montée des hormones mâles. Je lui racontais aussi comment j'avais défloré ma cousine de treize ans suite à nos expériences communes avec ce chien errant. En ce temps, j'étais trop jeune pour avoir des orgasmes avec du sperme. Je jouissais, mais sans éjaculer.

     D'entendre de telles confidences sur mon adolescence emballa Yasmina. Elle en conclut que j'étais une vraie "salope", en tout bien tout honneur…

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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Mardi 19 novembre 2 19 /11 /Nov 17:12

     Chose exceptionnelle chez les femmes, le clitoris de Yasmina était d’une taille impressionnante. Mesurant près de quatre centimètres en érection, l’habituel bouton rose faisait plutôt penser à une verge de petit garçon. À l’égale de beaucoup de femmes clitoridiennes, il engendrait chez elle des orgasmes bien plus puissants qu’une simple jouissance vaginale. Une stupéfiante extase qui la secouait de spasmes nerveux suivis de longs gémissements. La pénétration devenant de ce fait accessoire, elle préféra ma langue agile à ma verge. 

     Bien excité, elle décalottait son clitoris et le branlait comme une petite queue. Je pris goût à sucer ce petit bout de chair qui se dressait fièrement hors des plis humides de sa vulve. Objet de toutes ses attentions, Yasmina rêvait d’en faire une queue énorme. Pour cela, elle arrivait à doubler sa taille avec une petite pompe à vide. Elle essaya d'ailleurs de m'enculer avec. Hélas, elle ne réussit qu'à caresser l'entrée de mon anus avec, sans plus. Elle regrettait qu’il n’y ait pas de chirurgie dans ce sens dans son pays. Je lui suggérais un moyen plus simple, se procurer des hormones masculines telle que la Testostérone pour le faire grossir. Selon la littérature pornographique, des femmes arrivait par ce biais à doubler son volume en quelques mois. Et chez des femmes culturistes, la testostérone développait non seulement les muscles et confirmait aussi la croissance du clitoris. Envahis tous deux par ce fantasme, on fit un rapide calcul. Elle pouvait espérer un clito de plus de douze centimètres de long sans perte de sensibilité tactile. Elle compléta mes propos en disant qu’il ne lui manquait que l’éjaculation pour en faire un véritable membre masculin. Arrivée à ce stade, je lui répondit qu'elle pourrait me sodomiser à loisir. Cela se termina par une terrible jouissance clitoridienne... 

     Afin de démontrer la perversité de cette femme, laissez-moi vous raconter nos premières rencontres. Rien à voir avec les comportements habituels d’une femme pudique. D’emblée, elle voulut que je me masturbe devant elle, que je jouisse rapidement et que j’avale mon propre sperme en signe de soumission. Cela me surprit, car les femmes préfèrent habituellement qu’on jouisse dans leur ventre la première fois. Je précisais que je n’arrivais pas à boire le fruit de mes jouissances après un orgasme. Elle me proposa alors de jouir dans un verre, de mélanger mon sperme à du whisky puis de boire ce mélange en guise d’apéritif. Je lui répliquai que je préférai en faire des glaçons pour rafraichir les boissons. Par jeu, elle me suggéra de les offrir en apéritif à mes invités sans qu’ils n’en sachent rien. L’idée m’amusa ; restait à la concrétiser...

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     Une autre fois, elle insista pour que j’avale cette fois-ci mon sperme directement en jouissant. C’était là faire preuve de ma soumission. Excité une fois de plus par son délire, je me roulai en boule sur le dos avec les jambes repliées vers ma tête. J’eus ainsi ma verge à quelques centimètres de mes lèvres. Cela me rappela  les autofellations de mon adolescence, lorsque j’arrivai à me sucer et à jouir directement dans ma bouche. Je me masturbai donc rapidement et giclai mon sperme en orientant la verge vers mes lèvres. Quelques gouttes se répandirent sur mon visage. Yasmina ne put résister à la scène. Elle se masturba alors comme une folle.

     Arriva un jour où je lui montrai ma collection de gadgets érotiques. Alors que je la prenais pour une enculeuse, elle ignora le gode-ceinture. Elle lui préféra un godemichet gonflable, un truc énorme qui se gonflait à plus de 15 cm de diamètre une fois dans le rectum. Inutile de préciser que j’avais fait un lavement du colon avant, seule façon de rester propre, quelque soit la profondeur des pénétrations. Comme moi, Yasmina avait horreur de se salir. À grand renfort de lubrifiant, elle introduisit l’énorme gode qui dilata délicieusement mes chairs. Il s’enfonça en moi jusqu’à distendre mon colon, jusqu'à un point au fond du rectum connu des seuls initiés de sodomies profondes. À chaque pression de la poire, le gode se gonflait davantage dans mes entrailles provoquant d’atroces douleurs renforcés par une irrésistible envie d’évacuer. Un combat sadique au-delà du supportable, partagé entre plaisir et douleur, qui excita Yasmina par son intensité. Je poussai le gode à la façon d’une femme qui accouche en gémissant de douleur. À chaque tentative d'expulsion, Yasmina gonflait le gode un peu plus avec un sadisme digne de Sacher-Masoch, ce grand disciple de Sade. Je poussai à la limite de mes forces, mais le gode refusa de sortir tellement il était coincé dans mon cul. N’en pouvant plus, je forçai à m’en déchirer l’anus. Flop, je l’éjectai d’un seul coup en poussant un cri de délivrance tellement j’eus mal. Je m’effondrai ensuite sur le lit tandis qu’une douce euphorie s’emparait de mon être. En voyant le trou béant de mon anus distendu, Yasmina essaya de me fister. Elle n'y arriva pas n’étant plus en état de subir une telle caresse.

     Tandis que je récupérai de cet exploit, elle me confia avoir enfin trouvé  en moi l’amant idéal, un soumis qu'elle pouvait dilater du cul à l'extrême et offrir à d'autres mecs. D’après elle, la Providence m’avait placée sur son chemin. Elle était croyante... Moi par contre, je la soupçonnai d’être une lesbienne refoulée. Je devinai chez elle un ressentiment à l’égard des hommes, comme une sorte de rancœur justifiée par la recherche de son propre plaisir dans la souffrance de son partenaire masculin. Il me sembla intéressant de savoir pourquoi…


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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Samedi 23 novembre 6 23 /11 /Nov 03:01

     Petite fille à la puberté précoce, Yasmina n’avait alors que dix ans. Elle possédait déjà une attirante poitrine et quelques poils pubiens poussaient sur son pubis alors que les filles de sa classe devaient se contenter de bourgeons en guise de mamelons. Enviée par ses copines, elle ne se gênait pas de leur montrer fièrement ses jeunes seins. En voyant le regard envieux des garçons, elle prenait conscience de devenir une fille attirante. Ce qu’elle ignorait, c’était que son maître d’école s’intéressait également à ses appâts naissants.

     A l’heure de la récréation, il la retint dans sa classe. Avait-elle fait une bêtise ? Non, il la rassura. Par contre, il lui reprocha de montrer ses seins à toutes ses copines. Ce n’était pas juste, il demanda lui aussi à les voir à son tour. Yasmina le regarda étonnée. D’un geste hésitant, elle déboutonna sa chemisette et dévoila sa jeune poitrine à cet homme détenteur de l’autorité. Elle ne portait pas encore de soutien-gorge à son âge. Son maître ne résista pas en voyant ses seins juvéniles pointer si fièrement. Il les titilla d’abord doucement puis en pinça les bouts. Yasmina se laissa faire éprouvant une troublante sensation à être caressée ainsi par un adulte.

     Ne résistant pas à la tentation, le maitre d’école défit alors sa braguette et sortit son membre poilu raidi par l’excitation. Yasmina regarda, à la fois anxieuse et curieuse, ce gros  sexe tendu de plaisir. Le maitre lui demanda de le masturber. Elle hésita puis avança timidement une main. Elle fut surprise par la fermeté de la verge dure comme un morceau de bois. Le maitre d’école prit alors sa main et mima le geste de la masturbation. Emporté par une pulsion incontrôlable, il lui saisit la tête et la força à sucer son gland turgescent. Yasmina fut surprise. Malgré sa crainte, elle tenta de prendre l'énorme gland en bouche, mais elle manqua de s’étouffer tellement la verge était grosse.

     Insatisfait par ses caresses maladroites, le maitre souleva subitement sa jupe d’écolière, baissa sa petite culotte et caressa sa jeune vulve à la pilosité naissante. Puis il y introduisit délicatement un doigt. Angoissée par la situation, Yasmina se laissa faire sans rien dire. Elle ne comprit pas lorsqu’il la pénétra de son membre viril. Ses chairs tendues à vif, elle ressentit une vive douleur, geignit un peu et finalement éprouva un plaisir étrange à sentir ce phallus aller et venir en elle. Lorsque le maitre d’école jouit, elle ne put retenir un cri de plaisir. Son corps se tendit, elle ferma les yeux et jouit pour la première fois de sa vie. L’odeur particulière du sperme et de la cyprine monta à ses narines. Etre déflorée et abusée ainsi marqua son caractère pour toujours. De par ce viol, je compris d’où lui venait cette aspiration sadique à dominer un homme en abusant de son cul.

     Ce qui me surprit le plus chez Yasmina fut sa détermination à avoir un enfant par la suite. J'avais exprimé ouvertement l'envie d'avoir un enfant avec elle, une fille de préférence. Depuis l'idée avait fait son chemin. Souvenez-vous, quand nous nous étions connus, je l'avais provoqué en lui proposant d'avoir une relation incestueuse avec notre future fille. En cela, je voulais tester sa capacité de perversion. Or, elle avait trouvé l'idée non seulement excitante, mais  avait précisé en plus qu'on l'initierait sexuellement ensemble pour que je puisse en profiter pleinement quand elle serait en âge de faire l'amour.

     En fait, cette idée avait fait son chemin depuis longtemps ; elle avait déjà tout manigancé. Elle attendait que nous soyons mariés pour cela. Ensemble, elle avait prévu que nous éduquerions sexuellement notre fille dès sa naissance, attendant que son corps se transforme, que ses seins se développent, que sa vulve devienne abricot et que ses premiers émois sexuels la conduisent au plaisir de la chair avec nous deux: " On l’initierait délicatement à l’amour, c'est toi qui la déflorerais à la puberté, ce qui lui évitera d’être perturbée comme je l'ais été moi-même à dix ans." Devant mon air surpris, elle me raconta sa triste aventure. Elle avait été violée plusieurs fois par son instituteur et ne s'était jamais confiée.

     Or, même sans être marié, Yasmina espéra tomber enceinte. Une logique reconnue dans son pays qui oblige le père biologique à se marier avec la mère avant la naissance de l'enfant. Or, après plusieurs mois, elle désespéra d'y arriver. Je lui rappelais que les divers traitements hormonaux pris suite à ma femellisation m'avaient certainement rendu stérile. Je fis un spermogramme qui confirma que mes spermatozoïde n'étaient pas assez nombreux pour la féconder naturellement. Il fallut se rendre à l'évidence, j'étais devenu stérile...

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     Voyez jusqu'où la perversité de Yasmina la conduisit. A défaut d'avoir un enfant ensemble, elle suggéra d'adopter une fillette indigente trainant dans les rues de sa ville. Nous lui apporterions réconfort et amour maternel en échange de son éducation sexuelle.      J'entrai dans son jeu pour voir si elle était prête à assumer ce fantasme. Je lui proposais de rechercher une gamine abandonnée de 7 à 8 ans dans la rue, un âge ou une fillette prend conscience de sa sexualité, et de la prendre en charge dans ce but. L'idée lui plut tellement qu'elle me demanda d'adopter rapidement cette gamine si elle la trouvait.

     Pour Yasmina, il ne s’agissait pas de violer une fillette à son tour, mais de l’aimer comme sa propre fille, de l’initier à l’amour afin de lui apprendre une sexualité débarrassée des contraintes morales qui avaient empoisonnées sa propre existence de petite fille violée. Selon sa conception, il appartenait aux parents d’initier sexuellement leur fille au même titre que toute autre éducation leur incombant. Cela créait un lien bien plus intime. Elle ne comprenait pas cette société occidentale qui lui interdisait une telle éducation sexuelle. Pourquoi un adulte serait-il coupable si l'enfant y participait allègrement ? C'est bien souvent la curiosité de la sexualité chez les adultes qui le pousse à tester ses parents Pourquoi cet enfant se sentirait-il fautif de goûter au sexe avec ses parents ? Bien au contraire, cette initiation renforcerait le lien affectif familial et éviterait les dérives futures à son avis. Face à sa détermination, je frissonnais. L’interdit est un stimulant notoire de la sexualité chez les hommes et je ne faisais pas exception.

     Dans ce pays musulman où il est coutumier de marier les filles à l'adolescence en échange d’une confortable dote, c’était selon elle ne rien comprendre aux traditions et aux mœurs séculaires de son peuple. Surpris par ses arguments, je lui confiais alors en détail ma relation intime avec Maman. Mon histoire la passionna. Quoi de mieux ensuite que d’évoquer ce chef-d’œuvre de l’inceste écrit par Pierre Louÿs : « Trois filles et leur mère ». L’histoire d’une mère qui se prostitue et entraîne ses filles avec elle pour leur plus grand bonheur. Yasmina en conclut que nous avions vraiment la même ouverture d’esprit à ce sujet. Enfin un amant qui pensait sexe comme elle... 


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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