Vendredi 25 octobre
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Soumis à l’influence des femmes qui
s’excitèrent à me féminiser, je raconte dans les chapitres précédents comment j’en vins à prendre des hormones féminisantes. J’y détaille l’intense plaisir ressenti à voir mes seins se développer
ainsi que les conséquences sur mon état d’esprit, sans oublier les problèmes de santé qui en découlaient. A la demande de lecteurs souhaitant savoir où j’en suis rendu aujourd’hui, voici une
synthèse sur mon état de mâle hormoné depuis plus de deux ans.
Parallèlement à mes compagnes qui me féminisaient, se développa le fantasme d’avoir une belle poitrine de femme et d’en
ressentir ses effets. Les seins, haut lieu de la représentation féminine, jouent un rôle érotique prépondérant dans ma psyché. Bien après avoir tété les seins de Maman, j’eu la chance de partager
avec d’autres femmes allaitantes la rondeur de leur sein généreux. Cela me laissa à chaque fois le souvenir « d’éjaculations féminines » au goût de miel.
Au début de ces rencontres, j’ignorais tout des hormones. Je me sentais homme dans ma
tête. Hormis une sexualité libérée avec les femmes, ma féminité s’extériorisait uniquement par la passion des petits strings féminins et par mon corps intégralement épilé. Je n’éprouvais aucune
attirance particulière à me travestir en femme. Pas question non plus de remettre en cause ma nature de mâle. Partagé entre mes propres envies et les délires des femmes qui accompagnaient ma vie,
j’hésitais longuement avant de m’engager dans un processus hormonal que beaucoup de spécialistes déconseillent lorsqu’on n’est pas transsexuelle. Mais l’idée d’avoir des seins stimulait tellement
ma libido que mon subconscient me poussa à franchir le pas. Sans connaissance précise des hormones, je pensais naïvement développer une généreuse poitrine sans pour autant subir leurs effets
secondaires. Il serait toujours temps de faire marche arrière si cela ne me convenait pas.
Or, contrairement à ce que je pensais, je plongeai à corps perdu dans un voyage sans fin
qui bouleversa ma conception du genre masculin-féminin. Par la suite, je découvris que ces hormones ne développaient pas seulement les seins, mais féminisaient aussi mon corps et modifiaient mon
caractère. De plus, l’environnement sexuel dans lequel me maintenaient mes compagnes surpassa ensuite tous les plaisirs que j’avais connus.
Finalement, devenir un homme avec des seins de femme me sembla une démarche normale. Une
vision nouvelle de l’identité de genre qui révolutionna mon esprit. De par l’exercice naturel de la bissexualité et grâce aux progrès de la médecine, je ne doute plus aujourd'hui
qu’arrivera un jour où le genre sexuel des individus sera fait de variations hermaphrodites dictées par de subtils dosages hormonaux. Quel bonheur de pouvoir se dire qu’au cours d’une vie,
on peut naître homme et renaître en femme au gré de ses fantasmes.
A présent, j’ai atteint un point de non-retour. Conséquence de ces hormones, ma nature de
mâle s’est profondément modifiée. Impossible de redevenir un mec à 100%. Ma poitrine est bien
présente et quoi que je fasse, ces deux protubérances ne disparaîtront plus jamais. Impossible aussi de me passer d'hormones féminisantes. Elles sont devenues ma raison de vivre, une nourriture
quotidienne nécessaire à mon équilibre. Oh bien sur, il m’arrive d’y sursoir quelques temps, ne serait-ce que pour retrouver mes références de mâles. Mais très vite ma nature féminine reprend le
dessus. Je replonge dedans avec un plaisir effréné jusqu’à sentir à nouveau mes seins sensibles réagir et mes mamelons bourgeonner. J’ai trouvé le bon rythme à présent et les effets secondaires
de ces hormones sur ma santé sont réduits.
Néanmoins, cela reste un combat
difficile à maitriser entre l’homme que je suis par nature et la femme que je deviens par artifice. Evitant de plonger dans une situation que je ne maitrise pas, je garde en mémoire l’aventure
vécue avec cette dominatrice canadienne:
Conditionnée par son mari efféminé, elle le soumit totalement à son délire transsexuel.
Durant des mois, elle le conditionna en travesti, le maquilla, l’habilla en femme puis lui fit prendre des hormones pour le féminiser définitivement. Elle lui apprit tout de la féminité des
femmes. Captivé par ce jeu excitant et amoureux fou, son mari se laissa piéger et devint une belle femelle sexy. Il abandonna définitivement sa condition de mâle. Or, de par sa nouvelle existence
de femme, il se retrouva un jour au chômage. Le couple eut alors de sérieuses difficultés financières. Sa femme gynarchiste formula l’idée de le prostituer pour amener de l’argent au foyer. Le
pauvre homme accepta ce jeu insensé par amour. Il ne se rendait pas compte de la spirale dans laquelle il s’engageait tant son bonheur était grand auprès de cette femme. Après quelques fructueux
essais sur le trottoir, il joua son rôle de prostituée à la perfection prenant même du plaisir à se donner ainsi à des inconnus contre de l'argent. Il eut un certain succès auprès des hommes.
Hélas, arriva un jour où sa femme le quitta pour un amant plus viril. Ce fut alors un drame. Il en perdit la raison au point qu'il se suicida...
Personne ne se doute de ma véritable personnalité sexuelle, bien qu’on jette parfois un
regard interrogateur sur le bombé de ma poitrine et qu’on s’étonne de l’absence de pilosité sur mon corps. Heureusement que les femmes sont pudiques malgré leur curiosité. Cela m’évite de
répondre à leurs questions indiscrètes. Quant aux hommes, ils ne font même pas attention car ma transformation s’est faite progressivement sur plusieurs années. Coté visage, les femmes disent que j'ai changé. Mes traits se sont adoucis et ma
chevelure reste volumineuse malgré un âge avancé. Par contre, la barbe est toujours aussi drue. Des poils gris qu’il faut raser chaque jour. Les épiler à la cire est bien trop agressif. Ma voix
me joue aussi des tours, moins assurée, plus fluette quelquefois.
Coté corps, mon allure générale est plus élégante et mes gestes sont devenus gracieux. Je
prends soin de moi et je fais attention à porter des vêtements avec goût. Suite à de ruineuses épilations au laser, il ne subsiste qu’une faible pilosité sur mon corps. Ma peau est devenue douce
et aussi lisse que celle des femmes. Elle se prête merveilleusement aux caresses. Reste que le sexe et le sillon inter-fessier résistent au laser à cause d’une peau plus foncée à ces endroits.
Mon anatomie générale est maintenant enrobée d’une désagréable couche adipeuse. J’adore mes fesses rondes sans ce creux habituel qu’ont les hommes sur les cotés. Mes muscles se sont lissés et
l’effort physique m’est pénible. Ce qui m’attriste le plus, ce sont mes abdos. Ils ont laissé place à un ventre proéminant qui déforme ma silhouette. Je compense avec mes seins, une vraie
poitrine de femme, objet de toutes mes attentions. Malheureusement elle n'a pas une forme idéale. Elle pointe trop, n'est pas assez ronde et manque de volume à mon goût. Bien qu'on dise que la
Progestérone les arrondit, ce n'est malheureusement pas le cas chez moi. Par contre, avec ses gros mamelons enflés, elle est d'une sensibilité extraordinaire.
Sur le plan psychique, je passe par des états changeants. Je déprime facilement
aujourd'hui. Mais il suffit d’un peu de soleil et d'une jeune femme qui me sourit pour retrouver le moral. Ma tête est souvent vide, légère comme celle d’une blonde. Beaucoup de difficultés de
concentration aussi, ce qui entrainent une analyse moins concise. Cela se ressent particulièrement dans mon travail. Par contre, mon caractère est plus conciliant face aux problèmes de la vie. Je
suis plus sensible aussi et les larmes me montent facilement aux yeux. Comme ma perception de l’espace est plus floue, mes gestes sont moins précis. En somme, ma personnalité se féminise.
La preuve, je me passionne pour ces petites choses qui font les femmes. Produits de beauté et accessoires féminins meublent ma salle de bain. Et quel régal d’épiler à la pince les quelques
poils rebelles sur ma peau lisse ou de choisir dans ma commode la petite culotte ou le minuscule string que j’enfile délicieusement sur mes hanches pour la journée...
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