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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
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  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Dimanche 20 octobre 7 20 /10 /Oct 05:56

     A lire les commentaires sur le Web, pas de juste milieu en matière d’allaitement érotique. On tranche dans le vif : pour ou contre ! Heureusement que l’anonymat d’Internet, permet une fois de plus de briser les tabous. Depuis quelque temps, une sexualité refoulé ou cachée se dévoile ouvertement quitte à choquer les esprits trop rigoureux. Reste à démêler la part du fantasme de la réalité. Pourquoi ne peut-on exprimer une vision différente de la sexualité sans déclencher la colère des foules ou passer pour un malade ?  Pourquoi cette pratique serait-elle plus condamnable qu’une autre ? De tout temps, des hommes ont tété et bu le lait des femmes sans pour cela passer pour des pervers. Je retrouve là les mêmes réactions excessives que pour la femellisation des hommes. On peut en discuter longuement tant qu’on ne se justifie pas en avançant la cause humanitaire qu’est l'allaitement d’un enfant. 

     Aux opposants de cette pratique, je propose de raisonner par l’absurde : Avant tout, les vaches produisent du lait pour nourrir leur veau. Or le premier homme qui a gouté au pie d’une vache et qui a bu son lait a du se faire salement insulter. Et pourtant, c’est le lait que nous buvons tous aujourd’hui. C’est la raison pour laquelle des vaches se font "pomper" les pies plusieurs fois par jour et continuent à avoir du lait alors qu’elles n’allaitent plus leur veau depuis longtemps. Même les laits industriels pour bébés sont du lait de vache. Or tout le monde trouve ça normal.


39     Encore mieux, comparons la pratique de l’allaitement à l’avortement ? Là, on parle du meurtre légal d’un fœtus et en plus financé par la sécu et donc par la collectivité. Cela me rappelle la remarque d'un ami : "Si l'avortement est  un crime, la pipe est du cannibalisme et la masturbation un génocide." Où va-ton avec de tels convictions ? Plus beaucoup de personne s’offusque de la sodomie bien que ça sente parfois très mauvais. Même les hétéros s’y  mettent. Et que dire des gens qui se régalent du sperme ou de la cyprine de leur partenaire ou de ce liquide qu’on nomme champagne doré par décence. Pourquoi veut-on m’astreindre à sucer uniquement un sein vide de lait ? Les moralistes me répondent à chaque fois que c’est plus "sain". 

     Dans ces conditions, que des gens condamnent l’allaitement entre adultes m’échappe, à moins que ce ne soit pour exprimer leurs frustrations. Dire que boire le lait d’une femme est un acte contre nature, c’est manquer d’ouverture d’esprit. Traiter les gens de malade mental, de fou ou de déchet humain ne résout rien. Bon sang, soyons cohérents dans nos raisonnements. Voyez les homos. Que de chemin parcouru en quelques décennies ! A partir d’une sexualité criminalisée par la Loi et ressentie comme répugnante par une majorité de gens, ils accèdent maintenant au mariage légal au même titre que les hétéros. Des comportements sexuels qui étaient jugés dégradants et passibles d'emprisonnement hier sont légalement autorisés aujourd’hui. Ce qui fait que je ne désespère pas de voir un jour l’allaitement entre adultes reconnu comme tel...

     N’oublions pas que beaucoup de femmes ressentent de telles envies, mais n’osent pas en parler à leur conjoint à cause de préjugés liés à la pudeur. Les confidences de femmes allaitantes rapportées ci-dessus ont au moins l’avantage de bousculer les aprioris. Le Net, bien qu’excessif parfois, délie les langues et pose publiquement la question de l’allaitement érotique. Quant au législateur, il n’a rien à faire dans les chambres à coucher. Cessons cette confusion qui veut que le conjoint tétant les seins de sa femme durant l’allaitement de bébé soit un déviant et que la mère qui se livre à cette pratique soit indigne. Faut-il laisser les femmes gaspiller ce précieux liquide quand elles ont les seins engorgés ? Moi je préfère le boire...


Par Epile - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
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Vendredi 25 octobre 5 25 /10 /Oct 18:46

    Soumis à l’influence des femmes qui s’excitèrent à me féminiser, je raconte dans les chapitres précédents comment j’en vins à prendre des hormones féminisantes. J’y détaille l’intense plaisir ressenti à voir mes seins se développer ainsi que les conséquences sur mon état d’esprit, sans oublier les problèmes de santé qui en découlaient. A la demande de lecteurs souhaitant savoir où j’en suis rendu aujourd’hui, voici une synthèse sur mon état de mâle hormoné depuis plus de deux ans.

     Parallèlement à mes compagnes qui me féminisaient, se développa le fantasme d’avoir une belle poitrine de femme et d’en ressentir ses effets. Les seins, haut lieu de la représentation féminine, jouent un rôle érotique prépondérant dans ma psyché. Bien après avoir tété les seins de Maman, j’eu la chance de partager avec d’autres femmes allaitantes la rondeur de leur sein généreux. Cela me laissa à chaque fois le souvenir « d’éjaculations féminines » au goût de miel. 

     Au début de ces rencontres, j’ignorais tout des hormones. Je me sentais homme dans ma tête. Hormis une sexualité libérée avec les femmes, ma féminité s’extériorisait uniquement par la passion des petits strings féminins et par mon corps intégralement épilé. Je n’éprouvais aucune attirance particulière à me travestir en femme. Pas question non plus de remettre en cause ma nature de mâle. Partagé entre mes propres envies et les délires des femmes qui accompagnaient ma vie, j’hésitais longuement avant de m’engager dans un processus hormonal que beaucoup de spécialistes déconseillent lorsqu’on n’est pas transsexuelle. Mais l’idée d’avoir des seins stimulait tellement ma libido que mon subconscient me poussa à franchir le pas. Sans connaissance précise des hormones, je pensais naïvement développer une généreuse poitrine sans pour autant subir leurs effets secondaires. Il serait toujours temps de faire marche arrière si cela ne me convenait pas.

     Or, contrairement à ce que je pensais, je plongeai à corps perdu dans un voyage sans fin qui bouleversa ma conception du genre masculin-féminin. Par la suite, je découvris que ces hormones ne développaient pas seulement les seins, mais féminisaient aussi mon corps et modifiaient mon caractère. De plus, l’environnement sexuel dans lequel me maintenaient mes compagnes surpassa ensuite tous les plaisirs que j’avais connus.

     Finalement, devenir un homme avec des seins de femme me sembla une démarche normale. Une vision nouvelle de l’identité de genre qui révolutionna mon esprit. De par l’exercice naturel de la bissexualité et grâce aux progrès de la médecine, je ne doute plus aujourd'hui  qu’arrivera un jour où le genre sexuel des individus sera fait de variations hermaphrodites dictées par de subtils dosages hormonaux. Quel bonheur de pouvoir se dire qu’au cours d’une vie, on peut naître homme et renaître en femme au gré de ses fantasmes.

     A présent, j’ai atteint un point de non-retour. Conséquence de ces hormones, ma nature de mâle s’est profondément modifiée. Impossible de redevenir un mec à 100%. Ma poitrine est bien présente et quoi que je fasse, ces deux protubérances ne disparaîtront plus jamais. Impossible aussi de me passer d'hormones féminisantes. Elles sont devenues ma raison de vivre, une nourriture quotidienne nécessaire à mon équilibre. Oh bien sur, il m’arrive d’y sursoir quelques temps, ne serait-ce que pour retrouver mes références de mâles. Mais très vite ma nature féminine reprend le dessus. Je replonge dedans avec un plaisir effréné jusqu’à sentir à nouveau mes seins sensibles réagir et mes mamelons bourgeonner. J’ai trouvé le bon rythme à présent et les effets secondaires de ces hormones sur ma santé sont réduits.

 

sperme.jpg     Néanmoins, cela reste un combat difficile à maitriser entre l’homme que je suis par nature et la femme que je deviens par artifice. Evitant de plonger dans une situation que je ne maitrise pas, je garde en mémoire l’aventure vécue avec cette dominatrice canadienne:

     Conditionnée par son mari efféminé, elle le soumit totalement à son délire transsexuel. Durant des mois, elle le conditionna en travesti, le maquilla, l’habilla en femme puis lui fit prendre des hormones pour le féminiser définitivement. Elle lui apprit tout de la féminité des femmes. Captivé par ce jeu excitant et amoureux fou, son mari se laissa piéger et devint une belle femelle sexy. Il abandonna définitivement sa condition de mâle. Or, de par sa nouvelle existence de femme, il se retrouva un jour au chômage. Le couple eut alors de sérieuses difficultés financières. Sa femme gynarchiste formula l’idée de le prostituer pour amener de l’argent au foyer. Le pauvre homme accepta ce jeu insensé par amour. Il ne se rendait pas compte de la spirale dans laquelle il s’engageait tant son bonheur était grand auprès de cette femme. Après quelques fructueux essais sur le trottoir, il joua son rôle de prostituée à la perfection prenant même du plaisir à se donner ainsi à des inconnus contre de l'argent. Il eut un certain succès auprès des hommes. Hélas, arriva un jour où sa femme le quitta pour un amant plus viril. Ce fut alors un drame. Il en perdit la raison au point qu'il se suicida...

     Personne ne se doute de ma véritable personnalité sexuelle, bien qu’on jette parfois un regard interrogateur sur le bombé de ma poitrine et qu’on s’étonne de l’absence de pilosité sur mon corps. Heureusement que les femmes sont pudiques malgré leur curiosité. Cela m’évite de répondre à leurs questions indiscrètes. Quant aux hommes, ils ne font même pas attention car ma transformation s’est faite progressivement sur plusieurs années. Coté visage, les femmes disent que j'ai changé. Mes traits se sont adoucis et ma chevelure reste volumineuse malgré un âge avancé. Par contre, la barbe est toujours aussi drue. Des poils gris qu’il faut raser chaque jour. Les épiler à la cire est bien trop agressif. Ma voix me joue aussi des tours, moins assurée, plus fluette quelquefois.

     Coté corps, mon allure générale est plus élégante et mes gestes sont devenus gracieux. Je prends soin de moi et je fais attention à porter des vêtements avec goût. Suite à de ruineuses épilations au laser, il ne subsiste qu’une faible pilosité sur mon corps. Ma peau est devenue douce et aussi lisse que celle des femmes. Elle se prête merveilleusement aux caresses. Reste que le sexe et le sillon inter-fessier résistent au laser à cause d’une peau plus foncée à ces endroits. Mon anatomie générale est maintenant enrobée d’une désagréable couche adipeuse. J’adore mes fesses rondes sans ce creux habituel qu’ont les hommes sur les cotés. Mes muscles se sont lissés et l’effort physique m’est pénible. Ce qui m’attriste le plus, ce sont mes abdos. Ils ont laissé place à un ventre proéminant qui déforme ma silhouette. Je compense avec mes seins, une vraie poitrine de femme, objet de toutes mes attentions. Malheureusement elle n'a pas une forme idéale. Elle pointe trop, n'est pas assez ronde et manque de volume à mon goût. Bien qu'on dise que la Progestérone les arrondit, ce n'est malheureusement pas le cas chez moi. Par contre, avec ses gros mamelons enflés, elle est d'une sensibilité extraordinaire. 

     Sur le plan psychique, je passe par des états changeants. Je déprime facilement aujourd'hui. Mais il suffit d’un peu de soleil et d'une jeune femme qui me sourit pour retrouver le moral. Ma tête est souvent vide, légère comme celle d’une blonde. Beaucoup de difficultés de concentration aussi, ce qui entrainent une analyse moins concise. Cela se ressent particulièrement dans mon travail. Par contre, mon caractère est plus conciliant face aux problèmes de la vie. Je suis plus sensible aussi et les larmes me montent facilement aux yeux. Comme ma perception de l’espace est plus floue, mes gestes sont moins précis. En somme, ma personnalité se féminise.  La preuve, je me passionne pour ces petites choses qui font les femmes. Produits de beauté et accessoires féminins meublent ma salle de bain. Et quel régal d’épiler à la pince les quelques poils rebelles sur ma peau lisse ou de choisir dans ma commode la petite culotte ou le minuscule string que j’enfile délicieusement sur mes hanches pour la journée...


Par Epile - Publié dans : DES HORMONES
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Dimanche 27 octobre 7 27 /10 /Oct 02:29

     Ce week-end pluvieux me donne l’occasion de conclure sur ma condition de mâle femellisée. Etant devenu totalement accroc aux hormones féminines et conditionné par les délires de féminisation de Yasmina, ma libido a complètement basculé en quelques années. Aujourd’hui, je peux enfin transgresser les tabous mâles sans aucun complexe et avoir une sexualité à la mesure de mes envies. Je ne me pose même plus la question d’ailleurs, mâle ou femelle, je jouis de me savoir ainsi. Qu’on extériorise mon coté féminin en favorisant le développement de mes seins ou qu’on se passionne pour mon délire de me sucer les seins pour provoquer des montées de lait et voilà que je craque comme un puceau qui découvre la sexualité. Et dans cette quête marginale de femellisation, rencontrer des gens comme moi me permet de continuer. C'est rassurant de savoir qu'on n'est pas seul à délirer ainsi...

     Coté hormones, c'est un peu le yoyo. J'en prends jusqu'à sentir mes seins se réveiller et mes mamelons devenir extrêmement sensible. Puis j'arrête le temps de retrouver un peu de virilité. Et quand mes seins se calment, je replonge dans les hormones. J'alterne ainsi sur des cycles qui oscillent de trois à six mois.

     Vous vous doutez que mes seins jouent aujourd’hui un rôle prépondérant dans ma sexualité. Quel bonheur de sentir ces deux petites rondeurs naturelles et pleine de vie pointer fièrement. Qu’une main frôle mes mamelons en érection et un tressaillement incontrôlable parcourt mon corps. Au moindre touché, l’excitation monte et je m’envole dans des délires féminins sans fin. Reste maintenant à avoir des montées de lait pour être une femelle comblée. Je ne comprends pas ces hommes qui complexent à cause d’une gynécomastie. Quelle chance ils ont. Ils possèdent l’extraordinaire avantage sur moi d’avoir la faculté biologique de développer naturellement leurs seins et de provoquer des montées de lait sans être obligés de prendre des hormones. Quand je vois les efforts que je fais et le temps que j'y passe, je les envies !

     Conséquence des hormones féminisantes, je compense mon coté mâle avec la douceur de mes seins en érection, avec la sensibilité de ma verge clitoridienne et avec ma « chatte » réservée habituellement à des usages moins nobles. J’ai maintenant un clitoris, un vagin et un nouveau poing G, ce qui stimule Yasmina à aller toujours plus avant. Je mouille à présent du gland comme une femme. Au fur et à mesure que je perds ma fonction érectile, je découvre le doux plaisir d’un clitoris plus érogène que le plus gros des clitoris féminin. Il se transforme en une chose hyperactive. Quelle que soit sa taille, aucune femme ne peut rivaliser avec moi : ressentir ce plaisir complet d’une vraie éjaculation de son clitoris... Une extase qui me fait pousser des cris de jouissance. Dommage que mon sperme ne gicle plus en de longs jets comme avant. Rien que du liquide séminal transparent qui s’écoule goutte à goute de mon gland flasque au rythme des contractions de l’orgasme. Il est si clair que je pense être définitivement stérile.

007 1000     Je préfère maintenant me donner en femelle salope et passive plutôt qu’en mâle entreprenant. Qu’il est doux de « gouiner » sans avoir à me soucier d’une érection. Lorsqu’on me fait l’amour, je n’ai plus aucun désir d’éjaculation et pourtant je jouis de voir ma verge mouiller à la façon d'un vagin. J’aime être possédé, qu’on prenne l’initiative et qu’on me domine sexuellement. J’ai besoin qu’on m’ouvre la chatte, qu’on la dilate à l’extrême puis qu’on me la défonce violemment. Les godes-ceinture de Yasmina ne me suffisent plus à présent.  Si on me caresse les seins, mon anus se transforme de suite en un désir béant. Sentir la main de Yasmina s’enfoncer dans les profondeurs de mes entrailles puis me masturber la prostate de l’intérieur me procure un plaisir inouï. Lorsqu'elle pratique ainsi, je n’ai aucune érection. Et pourtant mon sperme s’écoule de ma verge flasque sans aucun orgasme. Qu’elle m’oblige à boire ma propre semence dans ce cas précis, je m’en régale maintenant.

     Comme mes relations avec les femmes se concluent souvent par un échec, je leur préfère une jeune transsexuelle active qui comprend mieux mes problèmes. Je partage effectivement avec ces gens des comportements semblables qui confortent ma situation. J’évite de ce fait les femmes qui ne s’excitent pas à me féminiser. De plus, je suis incapable de me passer d’une vraie queue, grosse et bien dure ou d'une main qui s’agite dans mon ventre et défonce mes trippes. Dotée d’une verge hors du commun, Amber, mon amie transsexuelle, vient à la rescousse. Elle adore me défoncer violemment et jouit de mes cris de douleur. La sentir vibrer et jouir en moi me procure des jouissances torrides. J’aime ensuite garder son sperme le plus longtemps possible dans mes entrailles. Amusant de constater qu'elle s'essouffle beaucoup plus que moi dans ces jeux sodomites. Parfois c’est un jeune travesti actif qui jouit dans ma bouche ou dans ma chatte selon ses envies. Une escalade servile qui me poussera tôt ou tard vers des hommes plus virils selon les dires de Yasmina.

     Serais-je devenu un homo qui s’ignore ou un bisexuel à la recherche d’un maitre qui fera de moi son objet sexuel en échange de sa queue ? En découvrant mes seins juvéniles, des mecs bi désirent effectivement essayer avec moi. Il me vient quelques fois l’idée de me laisser draguer par eux. Mais ce n’est là qu’un fantasme passager car  les hommes ne m’attirent pas. Avec tous ces poils sur leur corps, je les trouve repoussants. De plus, ils sont tellement plus lourdauds en matière d’érotisme. Ils se vantent de leur coup de queue, font un petit pipi puis s’en retournent à leurs occupations. Rien ne vaut une jeune transsexuelle nourrit au Viagra qui assume sa masculinité avec son « clitoris » tout en m'offrant la douceur d'une femme.

     Lorsque je prends l’initiative avec une femme, ce qui devient rare, je compense avec une bonne dose de Viagra. Et ça marche. Retrouver une verge aussi dure qu’un morceau de bois m’étonne à présent. Mais qu’il est difficile d’assumer le reste ! Une épreuve sportive qui met à rude épreuve mes muscles affaiblis, mon cœur qui s’emballe et je ne parle pas de ma queue qui refuse parfois de se réveiller. Bien que moins fréquente, l’envie de jouir comme un mec est toujours présente, mais les sensations ressenties sont différentes. Il se crée une contrariété à l’orgasme, les muscles du périnée responsable de l’éjaculation répondant bizarrement. J’éprouve alors un sentiment de frustration, comme si mon corps refusait le plaisir de la jouissance mâle. 

     Je compense heureusement par une nouvelle forme de jouissance. L’idéal est de remplir mon colon avec un maximum de liquide puis de masturber ma verge molle. En jouissant par devant, je pousse en même temps par derrière pour évacuer le liquide du lavement. Pousser dans les deux sens comme une femme qui accouche, c’est l’extase garantie et j’en crie de plaisir. Jouissance identique, voire même plus forte avec un gode gonflable. C’est Yasmina qui gonfle le gode à la limite de ma résistance, jusqu’à me tordre de douleur. Quand arrive l'orgasme, j’éjacule simultanément mon sperme et éjecte ce gode devenu énorme. Infernale douleur qui renforce mon plaisir jusqu’à en devenir maso. Il me faut ensuite plusieurs jours pour m’en remettre… 

     Inutile donc de chercher à décrocher maintenant puisque me nourrir aux hormones féminisantes et me donner en femelle est devenu un besoin viscéral. Et oui, toujours autant de plaisir à avaler mes cachets et à étaler le gel féminisant sur ma poitrine et mon corps. Toujours les mêmes pulsions qui me poussent à me masturber avec la main remplie d'Oestrogel. Et toujours autant de plaisir à être intégralement épilé, à voir mes seins se dresser fièrement et à enfiler des petits strings sexys sur mes hanches lisses. Je suis incapable aujourd’hui de concevoir ma vie sexuelle autrement...


Par Epile - Publié dans : DES HORMONES
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