Mercredi 6 novembre
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A ceux qui lisent en
diagonale ou qui auraient sauté des chapitres de mon blog, permettez-moi de rappeler brièvement, l’historique des femmes qui me convertirent progressivement à devenir le "mâle femellisé" que je
suis aujourd’hui. Un rappel qui permettra aux lecteurs de mieux appréhender la démarche
dans laquelle je m’inscris.
Ayant acquis l’expérience des femmes à mon âge, j’éprouvai le besoin de varier mes
plaisirs sexuels afin de booster une libido parfois défaillante. Je rappelle aux lecteurs que je ne suis pas attiré par les hommes et l'homosexualité. Tout débuta avec mes amies ghanéennes, deux
lesbiennes à l’origine de ma féminisation. Alors que j’étais un mâle pur et dur, je constatai combien « jouer » à me féminiser était une façon excitante d’aborder une sexualité différente avec
les femmes. A leur contact, toute la féminité que Maman m’avait fait vivre durant mon
enfance ressurgit brusquement. En quelques mois, je découvris non seulement le plaisir d’un corps
totalement lisse, mais aussi la douceur des délicates lingeries féminines. Puis ce fut l’inversion des rôles mâle-femelle et les premières sodomies. Etre receveur fut une manière d’extérioriser
une passivité sexuelle jusqu’alors insoupçonnée. Ce fut si jouissif de me laisser aller entre ces deux femmes sans avoir à me soucier de bander ou de prendre l’initiative que je me laissai
convaincre facilement. Contrairement à beaucoup d’hommes féminisés, je n’avais jamais imaginé cela auparavant, même pas dans mes rêves d’ado. Et pourtant j’avais été un temps la "petite fille" de
Maman.
Oh, cela ne se fit pas en quelques jours, il faut des mois, voire des années avant de
s’abandonner totalement à ces jeux de féminisation. Un combat permanent d’où l’homme sort perdant au profit de la femelle qu’il devient. De découvrir les délires de ces deux femmes se transforma
en une merveilleuse exploration amoureuse. Leur côté lesbien les poussa inconsciemment à effacer l’homme que j’étais pour le remplacer par la femme qu'elles désiraient que je sois dans
l'intimité. A preuve, elles me firent découvrir les plaisirs de la sodomie par une verge de travesti. Rien de comparable avec un gode-ceinture. Je perçus cette sodomie comme honteuse tellement
j’éprouvai de plaisir à sentir une queue de mec fourrager mes entrailles. Etais-je un homo refoulé ? La question ne se posa pas en ces termes puisqu'il possédait un corps androgyne et se
travestissait en femme la plupart du temps. Conquis et amoureux fous de Fatou, je vécus sur un nuage entre ces deux femmes et leur ami travesti.
Cela les conduisit malheureusement à des excès. Comme on fantasmait souvent ensemble sur
ma poitrine, elles me firent prendre des hormones féminisantes sans m’en informer. Ce qui me révolta quand je le découvris. A vrai dire, je n’étais pas encore prêt à passer au stade supérieur de
la féminisation. A cela s’ajouta un problème encore plus difficile à gérer, elles voulurent me faire endosser la paternité d’un bébé qui n’était pas de ma conception. D’où notre regrettable
séparation.
Après ces années bonheur, redevenir un mec à 100% ne m’intéressa plus. Je découvris à
l’occasion combien sont rares les femmes qui s'excitent à féminiser leur amant. J’allai jusqu’à rencontrer des dominatrices professionnelles pour satisfaire mes penchants
féminins. Triste constat, ces femmes en général ne nous comprennent pas, elles n’ont pas le talent naturel de féminiser les hommes. Et les autres
femmes que je rencontrai se sauvaient à chaque fois, choquées ou amusées par ma condition de mâle féminisé. Je les comprenais d’ailleurs ; pas évident pour elles de se trouver face à un mec
passif, intégralement épilé, avec des seins et portant un string de femme alors qu’elles rêvaient d’un beau mâle viril qui les violerait.
Errant de boites de nuit en bars d’ambiance à la recherche de celle qui me féminiserait,
je rencontrai finalement Rio, une transsexuelle brésilienne non opérée et sa copine blonde. Je découvris leur corps androgyne, leur poitrine plus vraie que nature, mais aussi leur verge, leurs
minuscules testicules et leur semence dont je finis par me régaler. Rio était si belle, si féminine, si extravagante sexuellement que je craquai. Je m’en épris
follement.
Je lui confiai mon aventure ghanéenne et pourquoi je m’étais séparé de ces deux femmes. L’idée d'avoir pris des hormones féminisantes en tant qu'homme femellisé
pour avoir des seins ne l’étonna pas. Comme beaucoup de ses copines, elle était passée par là avant de se faire opérer de la poitrine. Et dans son milieu, elle avait parfois rencontré des
hommes féminisé qui rêvaient d'avoir des seins. Ne voulant pas faire l'erreur faite avec Fatou et Mariam, j'acceptai donc de partager ses hormones au gré de ses envies et de mes états d’âme.
Oh, cela n’eut rien à voir avec un traitement sérieux, bien que mes mamelons devinrent sensibles à la longue. Une merveilleuse découverte ces hormones. Avoir des seins au contact de ces deux
femmes et vivre en femelle salope devint un jeu des plus excitants.
Dans ce monde fait d’extravagances féminines, je me transformai rapidement en un être
hybride, tantôt mâle, tantôt femelle selon les circonstances. Vivre entre Rio et sa copine blonde modifia profondément ma perception de la sexualité. Je plongeai dans des débordements extrêmes à
en devenir marginal. Je m’habituai à leur corps androgyne, à leur « chatte », au goût de leur jouissance, à leurs sodomies aussi, allant parfois jusqu’à côtoyer la prostitution avec elles. Et à
force de prendre des hormones féminisantes avec Rio, j'en devins dépendant, une addiction stimulée par la poussée de mes seins.
Après quelque temps de cette vie dissolue, ma conscience me dicta de retrouver mes
repères masculins si je ne voulais pas dériver complètement. Sans compter que ma vie professionnelle en pâtissait sérieusement. Mon entreprise risquait de couler si je ne me ressaisissais pas.
Comme Rio menait une vie infernale, j’en profitai pour me séparer d’elle et me reconstruire psychiquement. Or, elle tenta de se suicider tellement notre relation était forte. Quoi de plus
perturbant ? Notre séparation ne fut pas simple. J’eus grande peine à la quitter, mais cela devenait pour moi une question de survie.
Une fois séparé d'elle, j'essayai vainement de redevenir un homme, un vrai ! J’allai
jusqu’à m’inventer un profil de dominateur sur le Net. Attirée par le BDSM, une mère de famille délaissée par son mari me contacta. Elle disait manquer d’expérience en la matière. Bien que mon
attitude lui sembla douteuse, dixit mon côté féminin, elle fut captivée par ma perversité. Jamais on ne lui avait parlé sexe de cette façon. Nous vécûmes tous deux une période trouble où je la
contraignis à vivre des situations des plus marginales. Surprenant de voir comment cette mère de famille se donna au chien de mes voisins. Encore plus surprenant de l'obliger à draguer puis à
dépuceler un lycéen de quinze ans. Et que dire lorsque je l'offris à des SDF qui la baisèrent sauvagement ? La honte et l’humiliation ressentie face aux situations que je lui imposai devinrent le
moteur d’une sexualité libérée de toutes conventions. Dans la mesure où je la contraignis à vivre mes propres déviances sexuelles, elle ne se sentit plus responsable
moralement. Qu'elle déchargea ainsi sa conscience sur moi fut perturbant.
Pouvoir exprimer sans
retenue tout le sadisme qui sommeillait en moi engendra des comportements troublants. Voir cette femme soumise à mes perversions me procura des jouissances bizarres, à la façon d’un
Sade. Qui n'a jamais obtenu d'une femme de sucer un inconnu dans la rue ne peut comprendre de
tels comportements. Qu’une mère de famille puisse se donner de cette façon fut une découverte. Un don de soi dont
seules les femmes sont capables ! J'obtins tout d'elle à condition de la respecter hors de nos tribulations sexuelles. Un lien très fort
finit par nous unir. Je l'aimais profondément, mieux encore, j’admirai qu'elle puisse se donner
ainsi. Encore aujourd’hui, je repense à ce sentiment déviant qui nous unissait au-delà de toute
pudeur morale. J’aurai peut-être l’occasion d’en reparler en détail, bien que ce soit hors sujet.
Finalement, on mit un terme à notre relation BDSM si riche de perversion. Cette mère de
famille eut peur de ses propres pérégrinations sexuelles tant elle y prenait de plaisir. Et chez moi, le constat s’imposa. En l'amenant à de telles dérives sexuelles, je me vengeais
inconsciemment sur elle du sentiment de ne pouvoir vivre ma féminité. Je le constatais,
ma sexualité ne pouvait s’épanouir pleinement qu’à travers ma "femellisation" par une femme....
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