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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
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  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Mercredi 30 octobre 3 30 /10 /Oct 22:49

     Permettez-moi de donner un avis sur le mariage homo. Lorsque le gouvernement de gauche s’est rendu compte de son erreur en désirant favoriser ouvertement ses électeurs gays, il s’est vite corrigé en le renommant «  mariage pour tous ». Il a même fait référence à l’abolition de la peine de mort pour convaincre les opposants ; une comparaison malencontreuse qui m’a fait bondir. Coucher entre mecs ou filles n’a rien à voir avec une sentence de mort. Une fois de plus, on veut tromper les citoyens en leur faisant croire à l’égalité des droits.

     La Loi est maintenant applicable, mais que faut-il en conclure ? A mes yeux, le mariage pour tous est une erreur pour tous. Ressenti comme une insulte par les religions, je ne doute pas qu'il sera remanié. Ce mariage gay ne résout rien car il aurait dû s’inscrire dans une vision progressiste de la société. Or, il n’y a pas eu débat à ce sujet. Inutile donc de se positionner pour ou contre bien que chaque camp ait des arguments à opposer à l’autre. Cette loi n’est qu’un cataplasme électoral qui satisfait les revendications d’une minorité de français et mécontente les autres. Moi, cela m’amuse tous ces homos qui ne songent qu’à se marier, tandis que les hétéros, eux, divorcent de plus en plus. Rendez-vous compte, un couple marié sur deux divorce dans les cinq ans qui suivent le mariage...

big-cock-gay-cyrillo-10.gif      Conséquence d’une politique revendiquée maladroitement par une minorité de français, le mariage homo ne fait que déchaîner les passions et raviver l’homophobie. Comme me disait un gay de Paris, « c’est un pavé dans le Marais », allusion au quartier de Paris ou vit une importante communauté homo. En réclamant le mariage pour les couples de même sexe, les homos ont certes gagnés en respectabilité, mais que fait-on des autres, la majorité silencieuse. Pourquoi n’avoir pas raisonné plus loin que le bout de son nez ? Ne vaut-il pas mieux supprimer le concept traditionnel du mariage qui s’appuie sur des valeurs qui puissent leurs sources dans des religions séculaires. Dans une société qui se dit laïque, commençons donc par supprimer les fêtes légales religieuses si on veut être honnête.

     Copier le mariage traditionnel pour marier des homos n’est ce pas faire preuve d’un manque total de logique ? Cela conduit à déstabiliser notre société. Pourquoi obliger un maire à marier des homos contre ses propres convictions morales ou religieuses ? Cela me rappelle les années soixante ou le gouvernement rejetait la logique des objecteurs de conscience ; des hommes qui refusaient de tuer. Ne confondons pas tout. Il aurait été plus simple de travailler sur un « contrat universel » qui ne fasse plus référence au mariage traditionnel ni à la notion du genre masculin-féminin. S'adapter à tous les genres d'individus, y compris les transgenres sans s'enfermer dans une bipolarité homme-femme. Exit la notion de Monsieur ou Madame, on marie deux personnes, et ceci quelque soit leur genre. Lionel Labrosse, inventeur de ce concept, a ringardisé tous les homos qui se voulaient progressistes en créant cette expression. Contrairement aux attentes de la communauté transgenre qui revendique l'abolition des genres dans le mariage, le gouvernement dans son aveuglement électoraliste s’est enfermé dans une logique contre nature...

 

Par Epile - Publié dans : DIVERS
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Vendredi 1 novembre 5 01 /11 /Nov 20:32

     A cause des féministes, les hommes se libérent des contraintes et des rôles sociaux que leur impose une société qui se veut toujours plus égalitaire. Et les femmes du fait d’un environnement traditionnellement machiste sont nombreuses à les rendre responsables de leurs malheurs. Or, à travers les mouvements féministes, des militantes se sont appropriées des codes attribués autrefois aux hommes, ne serait-ce que nos vêtements et nos fonctions. Il leur appartient aujourd’hui, au titre de l’égalité des sexes, d’assumer à leur tour une part des responsabilités qui incombaient auparavant aux hommes. C’est une des conséquences d’une égalité chèrement acquise.

 

hommemystere_629568.jpg      Elles ne s’attendaient pas à ce que les "barrières" qui séparaient autrefois les deux sexes évoluent de cette façon. Des gens comme Jean Paul Gaultier allaient en surprendre plus d’une avec sa mode transgenre. Puis ce furent les commerciaux et le monde du business qui s’engouffrèrent dans la brèche ouverte par les féministes : des produits de beauté, des salons d’esthétique destinés aux hommes, même des strings pour homme pour mieux montrer nos fesses. Des mâles ayant une part de féminité plus développée que la moyenne en profitèrent pour exprimer une nouvelle forme de sexualité.

     Face au caractère parfois hystérique de certaines féministes, homosexualité et bisexualité sont-elles devenues des réflexes de défense ? Il est vrai qu’un dragueur traditionnel renvoie aujourd’hui l’image d’un machiste décadent. L’influence de mouvement comme Act-up qui défend les homos en agressant l'opinion publique y est certainement pour quelque chose. Celle des Femen, des furies aux seins nus, aussi. 

     Il est donc temps que les femmes acceptent l’idée selon laquelle masculinité et féminité ne sont pas opposées mais complémentaires. Ce n’est pas parce qu’un homme exprime la part de féminité qui vit en lui qu’il est moins viril. Or, en leur for intérieur, dès qu’on se dévoile ainsi, cela irrite les femmes et génère une sourde colère en elles. Ne le niez pas mesdames,  de par vos actions féministes, les hommes se féminisent même si cela devient plus compliqué pour vous quand il faut partager cette dualité identitaire. Apprenez à reconnaitre notre féminité. Nous vous avons donné pantalons et costumes, offrez-nous en échange des strings et de la dentelle...


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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Mercredi 6 novembre 3 06 /11 /Nov 16:58

     A ceux qui lisent en diagonale ou qui auraient sauté des chapitres de mon blog, permettez-moi de rappeler brièvement, l’historique des femmes qui me convertirent progressivement à devenir le "mâle femellisé" que je suis aujourd’hui. Un rappel qui permettra aux lecteurs de mieux appréhender la démarche dans laquelle je m’inscris.

     Ayant acquis l’expérience des femmes à mon âge, j’éprouvai le besoin de varier mes plaisirs sexuels afin de booster une libido parfois défaillante. Je rappelle aux lecteurs que je ne suis pas attiré par les hommes et l'homosexualité. Tout débuta avec mes amies ghanéennes, deux lesbiennes à l’origine de ma féminisation. Alors que j’étais un mâle pur et dur, je constatai combien « jouer » à me féminiser était une façon excitante d’aborder une sexualité différente avec les femmes. A leur contact, toute la féminité que Maman m’avait fait vivre durant mon enfance ressurgit brusquement. En quelques mois, je découvris non seulement le plaisir d’un corps totalement lisse, mais aussi la douceur des délicates lingeries féminines. Puis ce fut l’inversion des rôles mâle-femelle et les premières sodomies. Etre receveur fut une manière d’extérioriser une passivité sexuelle jusqu’alors insoupçonnée. Ce fut si jouissif de me laisser aller entre ces deux femmes sans avoir  à me soucier de bander ou de prendre l’initiative que je me laissai convaincre facilement. Contrairement à beaucoup d’hommes féminisés, je n’avais jamais imaginé cela auparavant, même pas dans mes rêves d’ado. Et pourtant j’avais été un temps la "petite fille" de Maman.

      Oh, cela ne se fit pas en quelques jours, il faut des mois, voire des années avant de s’abandonner totalement à ces jeux de féminisation. Un combat permanent d’où l’homme sort perdant au profit de la femelle qu’il devient. De découvrir les délires de ces deux femmes se transforma en une merveilleuse exploration amoureuse. Leur côté lesbien les poussa inconsciemment à effacer l’homme que j’étais pour le remplacer par la femme qu'elles désiraient que je sois dans l'intimité. A preuve, elles me firent découvrir les plaisirs de la sodomie par une verge de travesti. Rien de comparable avec un gode-ceinture. Je perçus cette sodomie comme honteuse tellement j’éprouvai de plaisir à sentir une queue de mec fourrager mes entrailles. Etais-je un homo refoulé ? La question ne se posa pas en ces termes puisqu'il possédait un corps androgyne et se travestissait en femme la plupart du temps. Conquis et amoureux fous de Fatou, je vécus sur un nuage entre ces deux femmes et leur ami travesti.

     Cela les conduisit malheureusement à des excès. Comme on fantasmait souvent ensemble sur ma poitrine, elles me firent prendre des hormones féminisantes sans m’en informer. Ce qui me révolta quand je le découvris. A vrai dire, je n’étais pas encore prêt à passer au stade supérieur de la féminisation. A cela s’ajouta un problème encore plus difficile à gérer, elles voulurent me faire endosser la paternité d’un bébé qui n’était pas de ma conception. D’où notre regrettable séparation. 

     Après ces années bonheur, redevenir un mec à 100% ne m’intéressa plus. Je découvris à l’occasion combien sont rares les femmes qui s'excitent à féminiser leur amant. J’allai jusqu’à rencontrer des dominatrices professionnelles pour satisfaire mes penchants féminins. Triste constat, ces femmes en général ne nous comprennent pas, elles n’ont pas le talent naturel de féminiser les hommes. Et les autres femmes que je rencontrai se sauvaient à chaque fois, choquées ou amusées par ma condition de mâle féminisé. Je les comprenais d’ailleurs ; pas évident pour elles de se trouver face à un mec passif, intégralement épilé, avec des seins et portant un string de femme alors qu’elles rêvaient d’un beau mâle viril qui les violerait. 

     Errant de boites de nuit en bars d’ambiance à la recherche de celle qui me féminiserait, je rencontrai finalement Rio, une transsexuelle brésilienne non opérée et sa copine blonde. Je découvris leur corps androgyne, leur poitrine plus vraie que nature, mais aussi leur verge, leurs minuscules testicules et leur semence dont je finis par me régaler. Rio était si belle, si féminine, si extravagante sexuellement que je craquai. Je m’en épris follement.

mardik2A      Je lui confiai mon aventure ghanéenne et pourquoi je m’étais séparé de ces deux femmes. L’idée d'avoir pris des hormones féminisantes en tant qu'homme femellisé pour avoir des seins ne l’étonna pas. Comme beaucoup de ses copines, elle était passée par là avant de se faire opérer de la poitrine. Et dans son milieu, elle avait parfois rencontré des hommes féminisé qui rêvaient d'avoir des seins. Ne voulant pas faire l'erreur faite avec Fatou et Mariam, j'acceptai donc de partager ses hormones au gré de ses envies et de mes états d’âme. Oh, cela n’eut rien à voir avec un traitement sérieux, bien que mes mamelons devinrent sensibles à la longue. Une merveilleuse découverte ces hormones. Avoir des seins au contact de ces deux femmes et vivre en femelle salope devint un jeu des plus excitants.

     Dans ce monde fait d’extravagances féminines, je me transformai rapidement en un être hybride, tantôt mâle, tantôt femelle selon les circonstances. Vivre entre Rio et sa copine blonde modifia profondément ma perception de la sexualité. Je plongeai dans des débordements extrêmes à en devenir marginal. Je m’habituai à leur corps androgyne, à leur « chatte », au goût de leur jouissance, à leurs sodomies aussi, allant parfois jusqu’à côtoyer la prostitution avec elles. Et à force de prendre des hormones féminisantes avec Rio, j'en devins dépendant, une addiction stimulée par la poussée de mes seins. 

     Après quelque temps de cette vie dissolue, ma conscience me dicta de retrouver mes repères masculins si je ne voulais pas dériver complètement. Sans compter que ma vie professionnelle en pâtissait sérieusement. Mon entreprise risquait de couler si je ne me ressaisissais pas. Comme Rio menait une vie infernale, j’en profitai pour  me séparer d’elle et me reconstruire psychiquement. Or, elle tenta de se suicider tellement notre relation était forte. Quoi de plus perturbant ? Notre séparation ne fut pas simple. J’eus grande peine à la quitter, mais cela devenait pour moi une question de survie. 

     Une fois séparé d'elle, j'essayai vainement de redevenir un homme, un vrai ! J’allai jusqu’à m’inventer un profil de dominateur sur le Net. Attirée par le BDSM, une mère de famille délaissée par son mari me contacta. Elle disait manquer d’expérience en la matière. Bien que mon attitude lui sembla douteuse, dixit mon côté féminin, elle fut captivée par ma perversité. Jamais on ne lui avait parlé sexe de cette façon. Nous vécûmes tous deux une période trouble où je la contraignis à vivre des situations des plus marginales. Surprenant de voir comment cette mère de famille se donna au chien de mes voisins. Encore plus surprenant de l'obliger à draguer puis à dépuceler un lycéen de quinze ans. Et que dire lorsque je l'offris à des SDF qui la baisèrent sauvagement ? La honte et l’humiliation ressentie face aux situations que je lui imposai devinrent le moteur d’une sexualité libérée de toutes conventions. Dans la mesure où je la contraignis à vivre mes propres déviances sexuelles, elle ne se sentit plus responsable moralement. Qu'elle déchargea ainsi sa conscience sur moi fut perturbant.

     Pouvoir exprimer sans retenue tout le sadisme qui sommeillait en moi engendra des comportements troublants. Voir cette femme soumise à mes perversions me procura des jouissances bizarres, à la façon d’un Sade. Qui n'a jamais obtenu d'une femme de sucer un inconnu dans la rue ne peut comprendre de tels comportements.  Qu’une mère de famille puisse se donner de cette façon fut une découverte. Un don de soi dont seules les femmes sont capables ! J'obtins tout d'elle à condition de la respecter hors de nos tribulations sexuelles. Un lien très fort finit par nous unir. Je l'aimais profondément, mieux encore, j’admirai qu'elle puisse se donner ainsi. Encore aujourd’hui, je repense à ce sentiment déviant qui nous unissait au-delà de toute pudeur morale. J’aurai peut-être l’occasion d’en reparler en détail, bien que ce soit hors sujet.

     Finalement, on mit un terme à notre relation BDSM si riche de perversion. Cette mère de famille eut peur de ses propres pérégrinations sexuelles tant elle y prenait de plaisir. Et chez moi, le constat s’imposa. En l'amenant à de telles dérives sexuelles, je me vengeais inconsciemment sur elle du sentiment de ne pouvoir vivre ma féminité. Je le constatais, ma sexualité ne pouvait s’épanouir pleinement qu’à travers ma "femellisation" par une femme.... 

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION
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