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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • soumission travesti string feminisation transgenre
  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Dimanche 1 février 7 01 /02 /Fév 03:13

     Revenons dans ce magasin ou Amanda, une amie transsexuelle, essayait maladroitement ses vêtements masculins dans le but de se présenter à son futur emploi de serveur. Je remarquai près de la caisse un discret présentoir avec des culottes de femmes de toutes les couleurs. Irrésistiblement attiré, je m’en approchai et découvris de tout petits strings. Waouh, de minuscules triangles hyper-sexys comme je les aimais ! Qu’il est difficile d’en trouver aujourd’hui, car la mode est aux culottes à taille basse alors que moi, j’adore les remonter bien haut sur mes hanches à la façon de Pamela Anderson. A condition d’être intégralement épilé, cela donne un look sexy et bien plus féminin à mon corps. Question d’esthétique et de bon goût au regard des femmes. Quelle horreur ces hommes qui s’exposent en lingerie de femme avec des poils débordants de partout. Une insulte à ceux qui aiment porter ces délicats tissus ! Normal que les femmes nous fuient dans ces conditions, c’est si ridicule ! Surprenant aujourd’hui comme certaines femmes nous apprécient ainsi. Pour elles, un sexe et un anus de mec épilé a quelque chose de fascinant. Les mœurs évoluent...

     A voir ces fins tissus exposés, je les imaginai sur mon ventre lisse. Impossible d’y résister, je choisis un string d’un bleu éclatant et l’observai en détail ; une taille médium faite dans une matière extensible. Une matière idéale. De par l’étroitesse des strings de femme à l’entrejambes, il n’est pas évident d’y loger la protubérance de mon sexe. C’est pourquoi j’apporte une attention particulière à ce détail. Cela m’évite de remettre en place mes attributs de mâle qui débordent souvent d’un string mal ajusté. Nos amies transsexuelles qui ne sont pas opérées du sexe savent de quoi je parle. Autre chose à laquelle j’attache une grande importance. Avec le poids de mon sexe, la ficelle du string finit à la longue par  irriter l’anus. Destiné aux femmes, ce n’est pas leur but à l’origine, j’en conviens. L’idéal à mes yeux est un string dans une matière extensible, qui remonte bien haut sur les hanches, très étroit devant sur le ventre, avec l’entrejambes relativement large et qui se termine à l’arrière par un triangle qui met en valeur la rondeur des fesses. Reste que je craque à chaque fois pour ces petites choses terriblement sexys. Et ce jour-là, ce ne fut que du plaisir pur...

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     Rien que de toucher ces fins-tissus me faisait trembler d’émotion. Je me rappelai alors combien je me sentais honteux et en même temps excité lorsque j’en achetai auparavant. Dans le parcours d’un soumis femellisé entre une grande part d’humiliation sexuelle. Pour cela, la Domina exploite l’excitation ressentie par son soumis pour neutraliser sa condition de mâle et l’amener dans un monde qu’il ne maitrise plus. Et dans mon cas, quoi de mieux que de m’obliger à acheter moi-même mes petites culottes tellement elles m’excitaient.

     Intimidé et malgré tout irrésistiblement attiré par les culottes de femme, je les choisissais au début comme un voleur pris en flagrant délit. En ce temps-là, j’adorais les dentelles. Gêné, j’avais l’impression que tout le monde m’observait. Tête baissée, je subissais honteusement le regard des clientes, des vendeuses trop curieuses ou celui insistant des caissières. Je m’en sortais en précisant que c’était un cadeau pour ma femme. Mais dans ce cas, il fallait le faire emballer, ce qui m'exposait encore plus au regard des autres femmes. Je manquais d’aplomb ; plus j’insistais et plus je me sentais maladroit. Je voyais bien au regard des femmes qu’on ne me croyait pas. Mais une fois chez moi, quel plaisir après cette humiliante épreuve de glisser sur mes hanches lisses les culottes et les minuscules strings achetés avec tant de désarroi. Je vous laisse imaginer les orgasmes qu’elles me procuraient.

     Je songeai aussi à Yasmina que je rencontrai quelques années plus tard. Elle voulut que j’aie de vrais seins de femme et pour cela me convertit aux hormones féminisantes. Elle m’obligea ensuite à acheter un soutien-gorge, mais seul. Contrairement à une petite culotte qu’il suffit de prendre dans le rayon, il fallut discuter ouvertement avec la vendeuse pour trouver la bonne taille. Je m’en sortis en précisant que j’avais une gynécomastie qui nécessitait de porter un soutien-gorge. Est-ce que la vendeuse me crut ? Je n'en suis pas sûr.

     A présent, j’achète ma lingerie en jouant du regard interrogateur des clientes. J’imagine ce qu’elles pensent en me voyant fouiller dans une lingerie qui leur est destinée. Suis-je à leurs yeux un vieux pervers qui ne cache même plus ses pulsions maladives ? Les hommes qui achètent leur lingerie sur le Net et évitent par ce biais d’affronter le regard des gens ne peuvent pas comprendre ce sentiment ou se mêlent humiliation et excitation.

     Rendez-vous compte, j'étais tellement conditionné par le virus de la femellisation que je voulus investir dans un salon d’épilation où les hommes auraient les mêmes droits que les femmes : se faire épiler intégralement le corps sans distinction de sexe. Peut-être était-ce là ma vocation ? Je restais surpris par la réaction populaire à ce sujet. Que des femmes se fassent épiler intimement ne surprenait personne, mais que des hommes demandent la même chose dans un salon de beauté et voilà nos compagnes qui se choquaient de notre réaction. L’ombre homosexuelle plane en permanence sur nous comme une dérive inadmissible. Une censure inqualifiable à mon avis ! Quel regret aussi de n’avoir pu reprendre cette boutique de lingerie que j’affectionnais tant. Vivre au quotidien dans un univers de petites culottes, avoir à moi seul un magasin où je choisirais à loisir mes strings, où je créerais moi-même des modèles parfaitement adaptés à la morphologie des hommes féminisés ; était-ce là mon destin ? Non, une petite voix intérieure me le rappelait sans cesse : « André, cesse de rêver et reviens sur terre ».

     Mais revenons à ce magasin de lingerie. Les petits strings présentés étaient si attirants que je demandai à la vendeuse de me préparer un assortiment. Elle demanda si la taille convenait.

-           C’est du médium que vous désirez ?

     Il y avait donc plus petit. J’en frémis d’émoi, moi qui recherchais justement ce qu’il existait de plus petit. Irrésistiblement tenté par  des microstrings, je craquais sur ces minuscules choses. J’imaginais mon sexe emprisonné dans ces fins tissus. Mais aussi quelle désillusion en les enfilant, ils étaient si petits que mon sexe débordait de tout côté. Je précisai sans hésiter à la vendeuse :

-           La plus petite taille s’il vous plait.

     A voir ma stature, elle en conclut que c’était pour mon amie transsexuelle. Ah, si elle savait…

-           Un instant, je vais voir s’il y a du small.

     Elle sortit un gros carton d’un placard et l’ouvrit. Il y avait dedans des centaines de strings de toutes les tailles, de toutes les formes et de toutes les couleurs. Les yeux brillants d’un désir incontrôlé, je les admirai comme un précieux trésor. Mon dieu comme j’aurais aimé acheter le carton entier. Au moment de passer à la caisse, Amanda s’étonna de voir joint à ses propres achats masculins de minuscules strings de femme. Elle me regarda étonnée et comprit avec un sourire complice.

     Depuis je suis retourné plusieurs fois dans ce magasin avec Amanda. A mon grand regret, il est définitivement fermé aujourd'hui. A croire que vendre de minuscules strings ne permet pas de gagner correctement sa vie...

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION DES HOMMES
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Vendredi 13 février 5 13 /02 /Fév 02:07

     Certains de mes lecteurs français s’imaginent que j’exagère en parlant des nourrices professionnelles qui gagnent leur vie en proposant leurs seins plein de lait à des adultes. Je les comprends car au cours de mes recherches sur le Net, j’ai vite compris qu’en France, c’est encore un sujet tabou. Aucun site pour vanter l’allaitement entre adultes, aucun blog de femme qui propose une lactation érotique si ce n’est pour critiquer vertement cette attitude comme une déviance sexuelle.

     Croyant que les prostituées parisiennes étaient des femmes libérées, je tentai naïvement ma chance auprès d’elles. Bien mal m’en prit. Lorsque j’expliquai ma recherche de femmes allaitantes, leur réaction fut à chaque fois très vive. Ou elles se moquaient ouvertement de moi ou je relevais d’un grave cas de pathologie mentale. A croire que téter une prostituée et boire son lait est plus dérangeant que de la pénétrer sexuellement ! Il faudra du temps avant que la vertueuse France accepte ces comportements dit marginaux. Et pourtant, beaucoup de mères matures qui ont allaitées leur bébé rêvent de retrouver cette sensation.

     Pour une professionnelle qui se destine aux adultes, il y a pourtant beaucoup à gagner en ces temps de crise économique. D’autant plus qu’il n’est pas nécessaire d’être enceinte et d’accoucher pour cela, car il est relativement facile d’induire une lactation pour une femme. En bonne commerçante, le propre de ces femmes vénales n’est-il pas de s’adapter à la demande ? A leur place, moi, je n’hésiterais pas. Etant la seule à satisfaire ce délire de lactation, j’amasserais une petite fortune en quelques années. Croyez-moi, je n'hésiterais pas à entretenir ma lactation durant des années et à vendre mon lait. Je dis cela pour vous convaincre de l'obsession laitière qui m'anime. A ceux que mes remarques dérangent, je laisse la morale aux gens qui ont les moyens de se passer de lait maternel.

     A défaut de femmes allaitantes en France, je surfai donc sur des sites américains à la mentalité beaucoup plus libérée. Et là miracle, bien que ce ne soit pas fréquent, j’y rencontrai des femmes qui proposaient ouvertement des sessions de lactation aux adultes, souvent contre rémunération, parfois gracieusement dans le cadre d’un allaitement prolongé ou d’une relation à long terme. La pratique de ce qu’on appelle en anglais l’Adult Nursing Relation, ANR en abrégé ou Adult Brest feeding, ABF, n’y est pas moralement proscrite. De plus, une nourrice peut vendre son lait, contrairement à la France où on oblige à passer par des « banques » homologuées. C’est pourquoi, on trouve au U.S.A des sites spécialisés sur le Net. Par contre, une nourrice professionnelle ne peut en vivre légalement que si elle ne se prostitue pas. Autrement dit, aucun attouchement ou rapport sexuel n’est permis au cours d’une session d’allaitement. 

 

Milky-Momma-A.jpg

 

     De par mon horrible accent, me faire comprendre de ces femmes nourricières ne fut pas facile. Je regrettai de ne pouvoir m’exprimer correctement dans la langue de Shakespeare. Entre autres femmes à qui je proposai de m’allaiter, laissez-moi vous raconter ma rencontre avec Milky-Momma. Elle avait un blog spécialement dédié à l’allaitement, blog que je découvris par hasard tellement il était mal répertorié par les moteurs de recherche. 

https://milkymomma.wordpress.com/2014/07/07/i-am-a-professional-adult-wet-nurse/

Cette américaine de 29 ans était mariée, avait un enfant et était enceinte d’une fille. Elle se présentait sur son blog comme une nourrice professionnelle pour adultes. Voici ce qu’on y lisait :

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Bienvenue. Je suis une nourrice professionnelle pour adultes.

     Oui, vous avez bien lu ! Si vous êtes sur mon blog, vous savez exactement ce qu’est une nourrice professionnelle pour adultes. Je propose à des hommes, de boire mon lait directement à mes seins et je facture chaque session. Si vous voulez en savoir plus, visitez mon blog en détail. »

Suivait cette page sous la forme d’une FAQ. Inutile de vous dire  que je la lisais en détail :

 « Avant de me contacter, lisez le texte ci-dessous. »

Qui suis-je : 

Je suis une femme mariée, mère de famille. J’aime la cuisine et le jardinage. Je dirige une petite ferme orientée bio. Je m’intéresse à la lactation par plaisir mutuel avec mes clients. L’allaitement maternel est une expérience intime qui engendre chez moi une intense réaction émotionnelle.

Où habitez-vous ?

Ma ferme se situe à l’extérieur d’Appleton dans le Wisconsin. 

Vous déplacez-vous ?

 Non, les sessions se passent chez moi à la maison.

Quelle est la taille de mes seins ?

Je fais un 38H, (ce qui correspond à un 100H en taille française). Adolescente, je faisais déjà du 36DDD soit un 95F. Mes seins se sont surtout développés quand je suis tombée enceinte de mon premier enfant.

Quelle quantité de lait produisez-vous ? 

Comme la plupart des femmes, mon enfant tétait environ 120 ml de lait toutes les quatre heures. Depuis que j’allaite des adultes, je produis beaucoup plus de lait. Durant une session, vous pouvez boire 150 à 300 ml avant que mes seins ne soient vides.

Etes-vous engorgée quand vous allaitez ?

J’évite d’être engorgée car ce n’est pas confortable. Cela devient même douloureux parfois et peut engendrer des mammites. Si ça m’arrive, j’ai des fuites et mes tétons pulvérisent le lait en fines giclées. Dans ce cas, j’exprime le lait à la main pour atténuer la douleur. 

Combien facturez-vous une session ?

Une séance dure environ 30 mn et coûte 100 $ la première tétée. Les suivantes sont facturées 60 $. Si nous nous sentons en symbiose, je peux passer une après-midi avec vous, mais sachez que je facture toujours mes sessions d’allaitement. C’est mon gagne-pain. Les seules personnes qui bénéficient de la gratuité de l’allaitement sont mon enfant et mon mari. 

Combien de séances par jour ?

Je réserve deux séances quotidiennes pour mes clients. Si vous désirez plus de séances, il faudra me prévenir une semaine à l’avance. Au-delà de trois séances, je dois augmenter ma capacité de production et le coût augmente en conséquence.

Comment se déroule une séance ?

A votre première séance vous pouvez vous sentir nerveux. Rassurez-vous, je suis une personne chaleureuse et accueillante. Je suis directe et je n’ai pas honte, ce qui vous mettra à l’aise. Je reste assis pendant l’allaitement. Vous mettez votre tête sur mes genoux ou vous vous appuyez contre moi en position assise pour me téter.

J’ai l’habitude de passer un bras autour de la personne et de masser doucement ses épaules et son front. Je vous conseille utilement si un ajustement est nécessaire pour bien "verrouiller" mon sein à votre bouche.

Vous vous sentirez à l’aise et confortablement installé durant la tétée. J’évite de provoquer votre excitation. Hormis l’allaitement, ne vous attendez pas à ce que je partage votre excitation.

Quel est le gout du lait maternel ?

Prenez une tasse de lait de vache, ajoutez un complément alimentaire comme le fer et une cuillère à soupe de sucre et vous aurez une idée. Si vous avez les papilles sensibles, vous serez en mesure de deviner ce que je mange.

Est-il sur de boire votre lait maternel ?

Le lait maternel est le reflet de la santé de la femme. J’ai une alimentation saine qui se compose essentiellement des légumes de mon potager ainsi que de la viande achetée dans une ferme voisine. 

Si vous avez une allergie alimentaire, faites le moi savoir 48H00 avant notre rendez-vous. Si vous êtes allergique au lait en général, je vous déconseille de boire du lait maternel. 

Aimez-vous allaiter ou est-ce une question d’argent ?

Si je n’aimais pas allaiter, je ne ferais pas ce métier. J’ai pratiqué l’ANR avec mon mari et avec quelques hommes par pur plaisir avant de devenir une nourrice professionnelle. Une personne m’a dit un jour : « Si vous voulez être heureuse, trouver ce qui vous plait et faite de l’argent avec… » Cela résume assez bien mon approche de la lactation.

Répondez-vous aux questions sur l’induction ou l’allaitement ?

J’ai passé des heures à conseiller les autres, ce qui me prenait beaucoup trop de temps. Pour tout renseignement complémentaire, je vous renvoie sur les sites spécialisés en lactation érotique :

http://ww.landmilkhoney.com/lactation2.htm

anrspace.com 

http://kellymom.com/

Quelles sont vos règles restrictives ?  

Je ne suis pas une prostituée et mon sexe n’est pas à vendre. Donc, ne me sollicitez pas pour des rapports sexuels. Cela inclut le sexe oral ou anal et les caresses avec les mains ou les gadgets érotiques. Bien que je sois une femme ouverte d’esprit, mes limites sont fermes. Aucun toucher en dessous de la ceinture n’est toléré pendant l’allaitement et vous ne jouerez pas avec mes seins.

Autres choses sur moi ? 

Je parle de ma vie sexuelle aussi ouvertement que de ma passion du jardinage. Mes goûts sexuels sont plutôt vanille. Les gens qui me rencontrent sont surpris par mon naturel. Je les reçois de manière détendue et ne m’offense pas d’entendre leurs fantasmes. Je sais rendre mes clients heureux et ils me quittent toujours avec le sourire. Je suis une femme simple et j’aime m’occuper de mon enfant, de mon jardin et de mes animaux. Je me fous du shopping et des trucs brillants. Les revenus tirés de l’allaitement me permettent de payer les factures habituelles et de faire de ma maison une « maison verte »...

 

     On était là bien loin de la « censure » telle que nous la connaissons en France. Il y avait chez cette américaine une approche si naturelle de la lactation entre adultes que j’eus envie de la rencontrer. A lire son blog, elle possédait sans aucun doute le talent de partager les plaisirs de la lactation avec ses clients. Et à  voir sa photo, elle possédait indéniablement une poitrine faite pour allaiter. Emballé par son profil, je la contactai…

A suivre


Par Epile - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
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Mardi 24 février 2 24 /02 /Fév 17:44

     Incroyable lorsque je contactai Momma ! Elle était enceinte et allait bientôt accoucher. Elle me proposa des sessions d’allaitement très particulières : M’offrir son colostrum, cet exceptionnel liquide qui s’écoulera en premier de ses seins à la naissance de sa fille. Face à ma stupéfaction, elle s’expliqua.

 

     Sa fin de grossesse générait des contractions utérines difficiles et nécessitait donc un suivi médical constant. Cela engendrait un coût financier imprévu. Et dieu sait qu’aux U.S.A les frais médicaux sont dispendieux. Comme elle avait besoin d’argent pour se soigner, elle me proposait de me réserver en exclusivité son colostrum. Bien plus rare que le caviar, ce rare nectar est très prisé des connaisseurs pour ses propriétés revitalisantes.

 

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     Les seins produisent du colostrum uniquement au cours des premiers jours suivant l’accouchement. C’est un liquide de couleur ambré possédant une consistance sirupeuse et un goût très sucré. Il est faible en matière grasse et riche en glucides, en protéines et en anticorps. Il abonde en substance immunitaires et agit comme un vaccin sur le nouveau né en assurant ses défenses pathogènes. Par comparaison avec le lait maternel, la quantité de colostrum produite est malheureusement très faible, à peine 20 à 100 ml par jour, soit dix fois moins que le lait qui sera produit par la suite. N’oublions pas que l’estomac d’un nouveau-né ne peut ingurgiter que 7 à 10 ml de liquide dans les heures qui suivent sa naissance.

 

     La production de colostrum s’arrête généralement après le troisième jour suivant l’accouchement, celui-ci étant progressivement remplacé par la montée laiteuse, un lait plus riche en matière grasse. Ces premières montées de lait impressionnent car les seins se gonflent rapidement et se tendent à l’extrême. Les mamelons deviennent turgescents, les aréoles se boursouflent et les seins se couvrent d’un réseau veineux qui favorise la lactation, Et si le nouveau-né ne boit pas assez, c’est l’engorgement assuré suivis de fortes douleurs, voire de complications comme la mammite. Il faut alors vider les seins artificiellement, éjecter le lait en les pressant ou utiliser un tire-lait.

 

     L’occasion de boire du colostrum directement au sein d’une femme relevait d’une impossible réalité à mes yeux. Une occasion unique que je n’aurais plus jamais dans ma vie. Des gens dépensent des fortunes dans de grands voyages, de belles voitures ou dans des produits de luxe très chers. Moi je « payais » pour réaliser des fantasmes sexuels sortant de l’ordinaire. Mon dieu comme je plains ces gens mesquins qui  fantasment éternellement sans avoir le courage d’aller jusqu’au bout de leurs envies. Ils doivent être aigris à la longue. Face à ce coup de chance, vous pensez bien que j’acceptai immédiatement l’offre de Momma. Je n’hésitai pas, un coup de téléphone, un billet d’avion pour le Wisconsin et hop, je la rencontrai dans sa ferme entourée d’un grand jardin potager. Elle avait effectivement des seins splendides soutenus par un corps aux rondeurs impressionnantes puisqu’elle portait un enfant de neuf mois. La présence de son mari m’embarrassa quelque peu, mais Momma me tranquillisa, il était au courant de cet arrangement.

 

     Bien sur on parla argent. N’oublions pas le pragmatisme des américains ; chez eux, rien ne se fait sans le roi dollars ; tout service a un prix. A 150 $ la première session et 100 $ les suivantes, cela me coûta une petite fortune. Mais me régaler en exclusivité du colostrum de cette mère n’avait pas de prix à mes yeux. Ses « honoraires » étant définis, on discuta plus en détail de l’allaitement. On convint d’attendre quelques jours, le temps qu’elle accouche pour mieux profiter de son colostrum et des montées de lait qui suivraient. Je voulus, non seulement déguster son colostrum, mais aussi savourer cet instant magique des premières montées de lait qui remplacent progressivement le colostrum. Et puis voir ses énormes seins se gonfler de lait jusqu’à l’engorgement serait pour moi un spectacle d’une rare qualité. Aux femmes qui s’inquiètent de priver son bébé d’une nourriture essentielle à sa vie, je vous rassure. Le bébé de Momma étant prioritaire, je n’eus droit qu’aux restes si je puis dire. Mais quel reste...

 

A suivre

 

Par Epile - Publié dans : ALLAITEMENT EROTIQUE
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