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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
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  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Dimanche 12 avril 7 12 /04 /Avr 22:00

     Arriva ce jour difficile où ma liaison avec Yasmina prit fin. Quelle déception ! Impossible pour moi de vivre sans elle, elle était au coeur de ma sexualité. Au cours d'une mission humanitaire à Sarajevo, elle s'était acoquinée avec une jeune fille mineure. Comme excuse, elle me reprocha d'être incapable de délicatesse et bien trop prétentieux pour me prêter totalement à ses envies de femellisation. En fait je refusais de prendre des anti-hormones mâles, type Androcur qui avait la réputation d'être un castrateur chimique. Suite à notre séparation, je constatais combien il était difficile de revenir à une sexualité conventionnelle dans mon état. A cause des hormones prises, je ne bandais pratiquement plus et j'avais une poitrine de femme à la place de mes pectoraux. Conséquence de mes années de femellisation, les autres femmes se désintéressaient d'un homme comme moi.

     Seul dans la vie et n’étant plus conditionné sexuellement par Yasmina, ma motivation de femelle s’étiola progressivement. Il m’arriva même d’envier les hommes normaux, eux avançaient avec leur queue bandante sans remettre en cause leur identité de genre, sans devoir affronter l’opinion négative des gens. Je pris donc la décision de faire table rase de mon passé de mâle femellisé, de jeter à la poubelle cette sexualité marginale que je vivais depuis tant  d'années. Retrouver une vie normale en redevenant simplement un homme aux yeux des femmes. Oui, mais à condition de bander et d'éjaculer, ce qui n'était plus mon cas...

     Ce jour-là, Yasmina vint me voir à l'improviste avec sa nouvelle copine. Elle s'appelait Uzly, une fille originaire de  Serbie. Mon Dieu qu'elle était jeune. Mais connaissant Yasmina et son fantasme de fillettes pubères, je ne m'étonnai pas. Inutile de lui rappeler le côté border-line d'une telle relation, elle en avait parfaitement conscience. Je fus frappé par le contraste de la peau café au lait de Yasmina avec la blondeur immaculée d’Uzly. Par dépit amoureux je les baptisais "Black and White".

     En fait, Yasmina avait rencontré Uzly au cours d’une mission humanitaire à Sarajevo. L’ONU, s'opposant aux forces serbes qui encerclaient la ville, avait négocié un couloir humanitaire. En tant que sage-femme d'une ONG, le directeur de Yasmina l'avait envoyée là-bas. Yasmina s'emballa pour la blondeur d'Uzly et sa peau plus blanche que neige. Et que dire de ses yeux d’un bleu si intense qu’on ne voyait qu’eux. Uzly fut captivée par la peau d'ébène de Yasmina. C'était la première fois qu'elle voyait une femme black en vrai. Ses parents étant décédés suite aux milliers d’obus qui tombaient quotidiennement sur la ville, elle s'était retrouvée seule, sans famille et sans ressource. Définitivement orpheline et abandonnée de tous dans cette guerre infernale, elle devint la proie des hommes. Pour survivre, elle se donna à eux en échange d’un repas chaud ou d’un bon lit. Elle traîna de maison familiale en foyer social, inconsciemment à la recherche d’une mère perdue pour toujours.

     Comme Yasmina était attirée par des filles pubères, elles sympathisèrent et firent l’amour ensemble le soir même. Follement éprise de cette gamine, Yasmina la ramena avec elle grâce à des documents falsifiés, une "autorisation parentale" qui lui confiait la garde définitive de l’enfant mineur. Uzly lui fut reconnaissante de l'avoir sorti de l'enfer de Sarajevo. Elle se sentit rassurée au contact de cette femme de caractère. Se poser la question d'une sexualité marginale avec cette femme adulte ne l'effleura même pas. Elle avait subi tant d'abus au contact des hommes de son pays qu'elle trouvait normal sa relation exceptionnelle avec Yasmina. 

     Ce fut facile pour Yasmina d’amener cette fille paumée dans son univers sexuel. Choyée et cajolée, Uzly s’abandonna entre les bras de cette femme si différente des autres. Perturbée par des mois d’errance, elle se réjouit de retrouver les seins généreux et laiteux d’une mère. Elle se sentit protégée et vivre en petite fille entre les bras de Yasmina la rassura. Elle assimila avec ravissement les étranges moeurs sexuelles de sa mère adoptive. Cela la changeait des hommes vicieux et méchants. On était là entre femmes. En fait, je découvris plus tard qu'Uzly n'avait pas encore quinze ans. Une gamine précoce, à peine pubère, qui avait déjà beaucoup vécu les dérives des hommes.

Sarajevo       

     Curieuse du spectacle que lui donnerait sa jeune soumise, Yasmina m’offrit ce jour-là à Uzly :

- André, pour m'excuser de t'avoir quitté, je t'offre Uzly.

- C'est gentil de m'offrir cette gamine.

 - A l'âge où les filles découvrent les premiers baisers, les premières caresses, Uzly connait déjà tout des hommes, me répondit-elle. Tu vas en faire l'expérience devant moi.

     Sous le regard intéressé de Yasmina, Uzly souleva alors sa robe et retira calmement ses bas un à un tout en me fixant dans les yeux. J'observais ses longues jambes chaussées de talons aiguilles. Puis elle me lia fermement avec les pieds et les mains. Je me laissais faire par jeu. Sans aucune gêne, elle se déshabilla devant moi. J'eus tout loisir d'admirer son jeune corps, sa lourde poitrine et sa pilosité intime d'une blondeur captivante. Elle remarqua mon regard envieux. Elle  me força alors à me mettre à genoux. Debout face à moi, elle écarta sa vulve juvénile de ses doigts et m'offrit son clitoris à lécher. Excitée de soumettre ainsi un homme à son plaisir tout en se donnant en spectacle à Yasmina, elle jouit rapidement dans ma bouche. Je gouttai ravi à la fraicheur printanière de sa jouissance. Elle me demanda ensuite d'ouvrir plus grande ma bouche et y colla sa vulve mouillée en serrant fortement ma tête contre son pubis. D'un seul coup, un flot ininterrompu d’urine chaude se déversa en moi. Je déglutis avec peine, mais évitais de  perdre une seule goutte. Se vengeait-elle des hommes qui avaient tué ses parents, abusé d'elle durant cette abominable guerre ? Yasmina s’exclama et s'étonna de ses capacités  à s'imposer si facilement à un homme mature.

     Remis de cet interlude liquide, j’annonçai la nouvelle à Yasmina. Je donnai ma décision en profitant du calme qui suivait cette partie de jambes en l’air si particulière : « Dorénavant, je cesse les hormones. Je vais reprendre une vie normale. N’attends plus jamais rien de féminin de ma part, d'autant plus que nous sommes séparés maintenant. » Elle me sourit, car elle me connaissait trop bien. Soumis à ses fantasmes depuis tant d'années, j’avais définitivement basculé dans la femellisation selon elle. Dépendant des hormones depuis trop longtemps, il me serait impossible de décrocher, de revenir en arrière. Et effectivement, elle avait raison. Après quelques mois d’abstinence hormonale, je fus en manque. Je désespérai de voir mes seins régresser, mes ongles redevenir cassants et mes cheveux s'éclaircir. De plus, je recommençais à être agressif.

     Non seulement je replongeai dans les hormones, mais excité par ma nouvelle cure, ma libido féminine me stimula encore plus qu'auparavant. Je fus si excité que je passai une annonce sur un site de rencontre sexuelle : « Homme mature cherche femme d'expérience qui souhaite femelliser un homme à outrance. Je lui offre mon corps jusqu'à avoir des seins hormonés et plein de lait. S'il le faut, j'accepterai d'être opéré du vagin rien que pour son plaisir. Madame, faites de moi votre soumis femellisé ! Je suis "ouvert" à toutes propositions sérieuses. » La photo jointe à l'annonce me montrait épilé dans un minuscule string blanc qui avait bien du mal à cacher mon sexe.

 

Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION DES HOMMES
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Dimanche 26 avril 7 26 /04 /Avr 19:47

     Ce fut au cours de mes pérégrinations sur le Web que je découvris cette femme aux habitudes sexuelles singulières. Discuter avec elle de pratiques aussi marginales enflamma mes sens. Par contre, il fut difficile de déceler chez elle la part de réalité et de fantasmes, d’autant plus que nous ne nous rencontrâmes jamais. Mais à l’entendre détailler son expérience, je finis par  croire à son histoire. Et par la suite, des vidéos ainsi que des blogs personnels sur le Web me convainquirent de la réalité de telles pratiques. Quoi de mieux alors de vous faire partager son histoire. Laissons parler Kate, une mère de deux enfants qui chérit son mari...

     « Après des années de vie commune, ma libido s’enfonça dans une certaine routine. Elever mes deux filles prima sur ma sexualité. Mais celles-ci ayant grandi, ma libido revint à nouveau avec une intensité inquiétante. Mon clitoris me démangea tellement que je me caressai plusieurs fois par jour. Chose inquiétante pour une mère de famille, je fus habitée par des fantasmes machiavéliques. Mon mari comprit mon état d’esprit et on échangea donc sur nos propres divagations sexuelles. Chose merveilleuse, les siennes recoupèrent parfaitement les miennes, d’où une harmonie sexuelle qui renforça notre couple. Par contre, j’ignorai qu’être initié à des caresses hors-normes par mon mari m’entrainerait dans un labyrinthe sans fin. La suite de mon histoire le prouva.

     Ne pouvant répondre à chaque fois à ma gourmandise, il m’offrit de multiples gadgets érotiques pour me contenter et, comme de nombreuses femmes, je disposai à la fin d’un véritable coffre à jouets. Mais cela ne me suffit pas. Après avoir été initiée au fist vaginal et à la dilatation anale, je devins accroc aux caresses de mon mari. Incapable de me passer de sentir son poing violer mon intimité, mes jouissances devinrent si fortes que j’éjaculai à l’image des femmes fontaines. De par ces orgasmes exceptionnels, je perdis tout contrôle et je me laissai aller à uriner dans la foulée. Réaction excitante de mon mari, il adora boire à même la source le fruit de mes orgasmes. Il apprécia aussi de me voir faire pipi debout sous la douche. Il se jetait alors sur mon vagin et buvait mon jus mélangé à l’eau qui ruisselait sur nos corps. A voir son membre se dresser, je pris un malin plaisir à en rajouter. Il se fascina alors pour ce petit orifice caché dans les replis de mon vagin. Je m’accroupissais parfois sur lui au niveau de son visage, j’écartais les lèvres de mon vagin pour qu’il distingue bien mon urètre puis j’urinais dans sa bouche grande ouverte. Il s’excitait à voir en gros plan mon urètre gicler. D’autres fois, debout sur lui, j’orientais le jet d’urine sur son corps en visant son sexe ou son visage tandis qu’il se masturbait. Il devint ainsi amateur de champagne doré et se régala de mon urine chaude bu à même le calice de mon vagin.

     Ce jour là mon mari rentra de son travail très excité. Il parla sans cesse de mon urètre et vanta les plaisirs que j’en tirerai. Contrairement aux hommes, le conduit urinaire des femmes se dilatait assez facilement et ne faisait que quelques centimètres avant d’arriver dans la vessie. Il me montra alors une petite sonde en caoutchouc dans son emballage hermétique. Comme il ne savait pas à quoi s’attendre, je le rassurai. Je lui racontai l’opération chirurgicale vécu durant mon adolescence. On m’avait posé un cathéter afin d’uriner sans avoir à me lever en attendant que je me remette de l’opération. Et bizarrement, j’avais apprécié l’étrange sensation de faire pipi sans avoir à me retenir. L’idée de voir à nouveau une sonde s’enfoncer dans ma vessie me plut. Mon mari insista sur les précautions que nécessitait ce jeu. Utiliser des équipements parfaitement aseptisés sinon il y avait des risques d’infection. Je lui fis confiance à ce sujet.

     Il lava à grande eau savonneuse mon vagin puis fit couler le jet de la douche dedans afin d’être parfaitement propre. Il m’allongea ensuite les jambes écartées, mit un gros coussin sous les fesses pour bien exposer mon vagin à sa vue. Il enfila des gants stériles et enduisit la sonde d’un gel lubrifiant. En le voyant faire, je pensai à mon gynécologue. Les femmes sont nombreuses à fantasmer sur un gynécologue vicieux qui les examine de façon moins conventionnelle. Il présenta la petite sonde à l’entrée de mon vagin, écarta les lèvres et constata combien je mouillai. Même pas besoin de lubrifier tellement je fus excitée. Il dégagea les chairs roses, repéra le petit trou et y entra délicatement la pointe de la sonde. Curieuse, je me laissai faire car je ne ressentais ni douleur ni inconfort. La sonde s’enfonça de quelques centimètres. Un étrange sentiment me saisit, ce minuscule orifice me procurait un plaisir inconnu. Un jeu sexuel inédit qui réveilla mon clitoris. Mon mari continua à introduire la sonde avec précaution, tout en observant mes réactions. Et soudain, j’eus une très forte envie de faire pipi. Je contractai les muscles du périnée pour me retenir, mais mon mari me demanda de me détendre : « Laisse-toi aller. Fais pipi si tu en as envie. » Il m’expliqua que le cathéter venait de passer le sphincter de la vessie d’où cette envie subite. Mon urine s’écoula alors par la sonde sans que j’eusse la sensation de faire pipi.

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     Après s’être régalé d’un peu de mon urine chaude en buvant à même la sonde, mon mari la pinça pour éviter de vider complètement ma vessie. A l’extrémité coté vessie, la sonde comportait un petit ballonnet indépendant. Il le gonfla d’air à l’aide d’une seringue, ce qui bloqua la sonde dans ma vessie. Il me demanda parallèlement de boire beaucoup. J’eus rapidement envie de refaire pipi. Mais à cause de la sonde qui bloquait ma vessie, j’en fus incapable. Ma vessie pleine, la pression devint difficilement supportable. J’eus beau pousser un maximum, impossible de me vider. L’envie de faire pipi me faisait terriblement souffrir maintenant. Je suppliai mon mari de me libérer. Or, dépendre de lui pour faire pipi me procura en même temps une étrange jouissance où se mêla douleur et excitation. Mon clitoris exacerbé ne demanda qu’à jouir. En quelques coups de langue, mon mari m’amena à l’orgasme tandis qu’il libérait ma vessie. J’explosai littéralement dans sa bouche. Une jouissance sublime en forme de délivrance. L’urine gicla en de puissants jets qui se mélangèrent à ma cyprine. Il y avait longtemps que je n’avais pas eu d’orgasme aussi fort. Mon mari fut si excité qu’il se masturba devant moi et jouit en poussant des râles de plaisir que je ne lui connaissais pas. Sublime !

     On parla ensuite longuement du plaisir éprouvé à être pénétrée de cette façon. Mon mari m’expliqua que le poing G était atteint plus facilement par l’urètre et donc bien plus sensible aux caresses… »

A suivre

Par Epile - Publié dans : DIVERS
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Dimanche 3 mai 7 03 /05 /Mai 20:19

    Dans la vie de tous les jours, Kate est une femme douce et aimable. Comme beaucoup de mère, elle adore ses deux filles et son mari. Mais dans un registre plus intime, elle se métamorphose lorsqu’il s’agit de sa sexualité. Elle exhibe non ses faiblesses de femme, mais sa volonté de se surpasser, de « brûler » son corps dans une projection qui va au-delà de la raison.  Son devenir tendant vers une sexualité volontaire, son mari ne fait que s’adapter à ses désirs. Femme mature, la voilà donc à explorer avec lui un territoire inconnu, lieu de toutes les impudeurs cachées.  Le coït urétral chez elle n’est que l’aboutissement de caresses contre nature. Elle expérimente l’obscène et les images qui s’en dégagent lui procurent d’intenses émotions. C’est pourquoi, elle encourage son mari à explorer les plaisirs nouveaux de son urètre…

     « Quelques jours plus tard, mon mari reçut par la poste une sonde bien plus grosse. Je craignis qu’elle me fasse mal, mais il me rassura : « N’ais crainte ma chérie, l’urètre chez les femmes se dilate facilement si on prend les précautions d’usage. » Nouvelle séance encore plus excitante que les premières, un sentiment d’étirement des chairs qui me laissa pantois. Lorsque la sonde franchit le sphincter de la vessie, j’eus un sursaut incontrôlable et je jouis sans même caresser mon clitoris. J’avouai alors à mon mari combien j’appréciais ces nouvelles caresses. Je le remerciai du plaisir qu’il m’offrait en le prenant dans ma bouche. Lui aussi jouit rapidement tellement il avait été excité de me caresser ainsi.

     Au cours des semaines suivantes, nos jeux sexuels se concentrèrent principalement sur la dilation de mon urètre. Et ressentir le sphincter de ma vessie s’ouvrir sous la poussé de la sonde me procura des sensations inouïes. En fait, la sonde excita bien mieux mon point G par ce chemin. Je rebondis de jouissance en jouissance jusqu’à m’écrouler sans force tellement cela m’épuisa. J’en vins à préférer ces plaisirs à la pénétration vaginale. Après quelques temps, mon urètre s’adapta facilement à ces dilations.

tumblr mwvqnvVzRn1s2pyv5o1 250      Une idée me traversa l’esprit. Mon mari, arriverait-il à entrer un doigt ? Il me sourit sans rien dire... Je réussis un jour devant lui à y entrer mon index. Oh rassurez-vous, juste la première phalange. Un doigt dans l’urètre et mon autre main caressant mon clitoris, je vous laisse imaginer mon orgasme. Difficile de décrire le plaisir ressenti et mon intérêt grandissant pour ce petit trou. On essaya aussi des bougies coniques, de plus en plus grosses. Rien qu’en les achetant, je mouillai ma culotte. Waouh, vite rentrer à la maison, me déshabiller et me mettre en position gynécologique pour sentir en moi ces bougies. Mon mari en prit une et la trempa dans une solution stérilisante après avoir coupé la mèche avec un ciseau. De le voir préparer la bougie m’excita au point que je le suppliai d’aller plus vite. Mon petit trou ne pouvait plus attendre.

    Il enfonça alors délicatement la pointe de la bougie qui était beaucoup plus grosse que mon doigt. Bien que brulantes, mes chairs distendues me procurèrent un plaisir inouïe. Lorsque la bougie atteignit le sphincter de la vessie, j’explosai comme une folle. Une pure extase, je rebondis d’orgasme en orgasme, une jouissance continue, sans plus aucun temps mort.

     D’étirement en dilatation mon mari me dit un jour : "Maintenant tu es prête. Je vais essayer d'y entrer un doigt." Or, c’est un solide gaillard mesurant près d’un mètre quatre vingt dix. Ses doigts étaient bien plus gros que les miens. Afin d’éviter la douleur à l’introduction, il acheta de la Xylocaïne à 5%, un anesthésiant local. Il se lava consciencieusement les mains, se coupa l’ongle du majeur à raz et l’enduisit copieusement de Xylocaïne. Quand il commença à me sonder, je me penchai en avant pour mieux voir son doigt s’enfoncer. Je ne sus pas lequel de nous deux fut le plus excité. Lorsque son doigt franchit le sphincter, j’explosai littéralement. Impossible de me retenir, impossible de me contrôler tant mon plaisir fut fort. A la fin,  je fus au bord de l’évanouissement. Mes cris réveillèrent certainement tout le quartier. Mon mari impressionné me calma de ses doux baisers. Jamais de ma vie je n’avais jouis aussi fortement... »

A suivre


Par Epile - Publié dans : DIVERS
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