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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
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  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Dimanche 21 février 7 21 /02 /Fév 19:13

     Les chapitres qui suivent couvrent les différents aspects d'un homme qui désire développer une poitrine de femme puis induire une lactation sans pour autant remettre en cause son identité mâle. Une gageure diront certains, un bonheur à consommer d'urgence selon d’autres... 

____________________________________________

      Durant ma jeunesse, on  m’avait appris par éducation à refouler toute velléité féminine. Un homme, c’est fort, tout en muscles, ça bande pour les femmes et ça n’a rien de féminin en lui. On voit en lisant mon parcours sexuel que le destin en décida autrement… 

     Quand je rencontrais Yasmina, un seul fantasme dominait sa sexualité : trouver un homme soumis avec une "chatte" ouverte à ses délires les plus fous. De mon coté, je cherchais une femme qui s’excitait à me soumettre à ses fantasmes de femellisation.

   J’avais découvert au fil de l’âge et des diverses amours vécues, l’immense bonheur d’exprimer la part de féminité enfouie dans mon subconscient. J’avais alors dépassé la quarantaine, l’âge ou un homme mature se remet en question. Le fait d'avoir vécu ce fantasme avec mes amies ghanéennes avait définitivement orienté ma sexualité dans ce sens. D'où mon corps épilé et mon attrait à porter de minuscule string féminins en guise de sous-vêtements. Lorsque je relatais à Yasmina ma relation particulière avec Rio, une transsexuelle brésilienne, elle avait alors découvert un monde inconnu, celui des transsexuelles. Ainsi, on pouvait faire d’un homme une femme. Il suffisait de suivre un traitement hormonal féminisant accompagnée d’une chirurgie de réassignation sexuelle le cas échéant. L’idée germa dans son esprit et emballa très vite sa libido : « Puisque tu adores être soumis et femellisé, je ferai de toi MA femme concluait-elle à chacune de nos discussions sur ce sujet. »

     En voulant me féminiser si outrancièrement, j’en déduisais qu’à travers moi, Yasmina souhaitait donner libre cours à son penchant lesbien, ce que lui interdisaient sa religion et son éducation. Je crois l’avoir dit par ailleurs, en tant que femme dominante, elle craquait pour les petites filles pubères. Dans un pays où on mariait parfois ces filles à treize ans, elle trouvait ce comportement normal. 


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      Yasmina me désirant avec de vrais seins hormonés, l’idée me conditionna progressivement. Mais prendre des hormones n’était-ce pas jouer avec le feu ? Je précisais qu’un traitement hormonal aurait des conséquences irréversibles sur mes comportements masculins, à commencer par une impuissance qui iraient grandissantes puis une stérilité au conséquence dramatique si nous voulions un enfant plus  tard. Yasmina insistait à chaque fois :

- Justement André, je te veux femme ; que tu bandes m’importe peu ! Je veux faire de toi une femelle soumise avec de vrais seins de femme et une chatte dans laquelle je m’enfoncerai à loisir.

- Mais prendre des hormones, c’est risqué. Comment feront-nous l’amour si je ne bande plus ?

- Ta queue de mec ne m'intéresse pas puisque je jouis pricipalement de mon clitoris.

     En fait, son trip était de me jeter en pâture à des hommes, voire même à de gros chiens qui me défonceraient l’anus. Pieds et poings liés, il serait impossible de me protéger de leurs assauts. Ma bouche pleine de sperme et mon anus en feu, Yasmina me consolerait ensuite de mes douleurs telle une mère consolant son enfant malade. De par son vécu de fillette violée, Yasmina supportait difficilement le machisme des hommes. Cela expliquait-t-il son penchant lesbien et la sexualité particulière qu’elle voulait m’imposer ? Je le pense.

    C’est ainsi que démarra sérieusement ma féminisation hormonale. Moi qui n’avais vécu qu’une féminisation de bon aloi jusqu’à présent, j’ignorais où me conduirait le jeu si excitant que m'imposait Yasmina. Au sein de notre couple, elle me désirait en femelle soumise au lit, mais au petit matin, il fallait redevenir un homme normal au regard des gens. Ce qui à mon sens me préservait de ses excès de féminisation. Je lui expliquais que me femelliser était essentiellement ressentie comme l’intense excitation d’un homme qui jouissait d’abord de sa queue en se comportant ainsi. Rien à voir donc avec une transsexuelle qui désire devenir femme à 100%. Mais elle balayait mes arguments d’un geste de la main et me poussait à chaque fois dans mes derniers retranchements féminins : « Sache qu’un homme qui me pénètre ne m’excite plus depuis longtemps. Je préfère te voir en femelle soumise avec de gros seins et défoncer ta chatte avec un gode tout en me masturbant. » Comment résister à une telle proposition, moi qui connaissais la rareté des femmes s’excitant à féminiser leur amant.

 

 

Par Microstring - Publié dans : DES HORMONES
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Lundi 29 février 1 29 /02 /Fév 05:22

     Soumis aux fantasmes de femellisation de Yasmina, je plongeais donc dans les hormones avec une joie pleine d’allégresse ; d’abord avec prudence, ne voulant rien perdre de ma virilité de mâle puis sans plus aucune retenue par la suite. J’ignorais encore que ces hormones me rendraient dépendant et modifieraient ma façon de penser. Drogué aux hormones, je l’acceptais par plaisir. Que du bonheur à étaler les gels féminisants sur ma peau et voir mes seins se développer… Par la suite, je m’habituais aux délires de Yasmina. Qu’elle me désire femme, je trouvais cela presque normal. C’était son fantasme, ce qui l’excitait sexuellement. Et moi, j’étais au centre de ses fantasmes de féminisation. Qu’espérer de mieux ?

     Voilà pourquoi je poursuivais inlassablement un traitement hormonal féminisant depuis trois ans, variant les hormones au gré de mes connaissances ou cessant un traitement parce que leurs réactions étaient trop visibles. Un jeu dangereux aussi puisqu’il perturbait ma santé. Modifier sa perception de la féminité en tant que mâle n'est pas donné à tout le monde. Durant tout ce temps, mes seins se développaient pour mon plus grand plaisir. Ils me procuraient des sensations nouvelles. Plus rien d’autre ne comptait que sentir ma poitrine grossir. Je n’appréciais pas trop leur forme, des seins de filles juvéniles. Ils poussaient en pointe et les aréoles restaient petites comparativement aux femmes. Eurêka ! Sur un forum de transsexuelles, on me conseilla d’associer de la Progestérone à l'oestrogène. Cette hormone arrondissait les seins, les remplissait et élargissait leur aréole tout en compensant les réactions négatives d’Oestrogel sur ma santé. Surprenant comme les effets secondaires liés aux différents oestrogènes pris s’atténuèrent. Entre-temps, ma connaissance sur les traitements hormonaux évoluait. Fallait-il encore trouver le judicieux équilibre entre hormones et santé.


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    Dominé par l’idée d’avoir de gros seins, je confiais à Yasmina vouloir ressentir jusque dans les tréfonds de mon âme ce que vivait une femme allaitante. Et bien, ce fut elle qui m’allaita tellement l'idée lui plut. Quelle chance ! Alors qu’elle n’avait jamais enfanté, elle induisit une lactation en moins de deux mois, aidée en cela par de la Dompéridone et du Fenugrec. Remarquable comme sa production laitière s’adapta à mes tétées. Plus je la tétais, plus son lait se faisait généreux et plus sa poitrine grossissait. Impressionnant ! Yasmina adorait faire gicler son lait en toutes circonstances. Le café matinal avec son lait devenait un excitant rituel. (Il faut y avoir gouté pour comprendre.) Lorsque je la tétais, elle s’excitait et en profitait pour se caresser jusqu'à la jouissance. Dans notre frigo, plus jamais de lait industriel, uniquement son lait qu’elle tirait plusieurs fois par jour pendant mes absences ou lorsque ses seins s'engorgeaient. Comme elle avait des seins généreux, elle arrivait même à se les sucer. Rendez-vous compte, elle buvait son lait directement alors que les autres femmes le recrachaient habituellement. Le comble de l’excitation était quand elle se tétait un sein et moi l’autre. Je découvrais à l'occasion la relation profonde entre l'allaitement et le plaisir qu’éprouvent les femmes jusque dans leur utérus. Nombreuses sont celles qui avouent ressentir un plaisir vaginal en allaitant leur bébé... ou leur amant.

     Par la suite, l'idée d'induire une lactation par moi-même prit corps dans nos esprits. Chouette ! Induire une lactation ferait davantage grossir mes seins d'une ou deux tailles de bonnetsLecteurs, je vous laisse deviner les fantasmes laiteux qui nous animaient en ce temps. Ils expliquaient la force des sentiments qui dominaient notre sexualité.


Par Microstring - Publié dans : DES HORMONES
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Dimanche 6 mars 7 06 /03 /Mars 17:42

      Soumis à l’influence de Yasmina, trois années passèrent ainsi à prendre toujours plus d’hormones pour vivre nos fantasmes les plus fous ensemble. Une merveilleuse escalade vers une femellisation que je ne contrôlais plus. Conséquence d’une poitrine qui se développait sous l’influence des hormones, je découvrais avec stupeur combien il était jouissif pour un homme de ressentir pleinement ce que ressent une femme au niveau de ses seins. 

     J’étais, sur un plan sexuel, un homme comblé bien que ma virilité avait souvent des ratés. Je pouvais enfin me libérer avec Yasmina de toute cette perversité féminine refoulée qui m’habitait depuis tant d'années. Plus aucune retenue avec cette femme ! Qu'il était bon de pouvoir exprimer mes plus folles extravagances sexuelles ! Je me laissais enfin aller, dévoilant avec force détail mes fantasmes sans plus aucune pudeur. Je me confiais intimement, des fantasmes qui restaient enfouies dans mon inconscient et que je ne dévoilais jamais, même à Rio mon ex-compagne transsexuelle. Ce qui excitait d’autant Yasmina quand j'en parlais. Moi qui pensais être un homme libéré sexuellement, je me rendais compte à son contact combien je restais pudique par rapport à ses propres fantasmes. Passer pour un pervers aux yeux d’une telle femme qui me désirait ainsi me procura un sentiment troublant.

     Soumis à l'allaitement de Yasmina, un fort désir d’allaiter à mon tour prit corps en moi. Avoir des montées de lait devait procurer des sensations féminines encore plus fantasques. Je finis même par vouloir téter mes propres seins, boire directement le lait qui en jaillirait et ainsi me nourrir de mon propre lait ; un auto-allaitement que certaines femmes réalisent lorsqu'elles ont de gros seins. Une réaction difficilement compréhensible pour des gens qui n’ont jamais vécu une telle expérience. Oui, mais pour arriver à mettre mes tétons dans ma bouche , il fallait développer encore plus mes glandes mammaires et donc prendre toujours plus d’hormones féminines. Un challenge difficilement réalisable quand on sait que je désire rester un homme en apparence. Or, malgré les importantes doses hormonales que prennent les transsexuelles, leurs seins sont d’une taille bien inférieure à celle des femmes biologiques. Ce qui n'empêchait pas certaines d'entre elles d'avoir des montées de lait involontairement, surtout quand elles prenaient trop d'hormones. Fallait-il m'orienter dans cette voie ? Yamina le pensait sincèrement.


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     J’adorais quand Yasmina me tétait les seins. Par jeu, je les pressais devant sa bouche ouverte, mais aucune goutte n’en sortait.  Elle le disait clairement : « Si tu veux avoir de gros seins remplis de lait, augmente tes doses hormonales, prends aussi des anti-hormones mâles pour réussir. » En fait, je ne m'en rendais pas compte, mais Yasmina profitait de mon fantasme pour me femelliser davantage, que j’arrive à un point de non-retour telle une transsexuelle. Qu’une femme en vienne à me désirer ainsi ne manquait pas de m'exciter : « Puisque tu deviens impuissant et stérile, tu n’as plus rien à perdre. me disait-elle. » 

     Quel fou j’étais de craquer une nouvelle fois ! Malgré ma stérilité apparente et mon impuissance qui s’affirmait, je continuais donc de m’hormoner toujours plus. Non seulement je me nourrissais aux seins de Yasmina, mais conditionné par sa propre libido, je faisais tout mon possible pour développer une grosse poitrine et induire une lactation. Ah ! Si seulement j’arrivais à faire gicler mon lait comme elle ! Pas un seul jour sans que j'aillesur des sites pornos voir des femmes allaitantes dans des vidéos X. Un fantasme fou diront certains, mais si excitant pour Yasmina et pour moi. En me conditionnant à avoir de gros seins débordant de lait, elle me féminisait davantage, ce qui stimulait d’autant sa libido.

      Elle aussi avait évolué dans ses fantasmesDe par son clitoris hors norme, Yasmina ne réagissait en fait qu'à des jouissances clitoridiennes, la pénétration ne lui procurant pratiquement aucun plaisir. D'ou sa réaction à ne considérer mon sexe que comme un appendice mort qu'elle préférait torturer à loisir. J'avoue que faire l'amour à cette femme sans avoir à me préoccuper de bander était rassurant dans mon cas...

PSSelon les psys, ce désir profond d’avoir de gros seins remplis de lait fait de moi un autogynéphile. Je le rappelle, l’autogynéphilie est le désir profond de transformer son corps ou une partie de celui-ci, mes seins en l'occurrence, en celui du sexe opposé dans le but de ressentir une forte excitation sexuelle. En un mot, prendre des hormones féminisantes pour développer mes seins et provoquer des montées de lait me fait bander. Un comble quand on sait que les hormones me dévirilisent complètement.


Par Microstring - Publié dans : DES HORMONES
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