Les chapitres qui suivent couvrent les différents aspects d'un homme qui désire développer une poitrine de femme puis induire une lactation sans pour autant remettre en cause son identité mâle. Une gageure diront certains, un bonheur à consommer d'urgence selon d’autres...
____________________________________________
Durant ma jeunesse, on m’avait appris par éducation à refouler toute velléité féminine. Un homme, c’est fort, tout en muscles, ça bande pour les femmes et ça n’a rien de féminin en lui. On voit en lisant mon parcours sexuel que le destin en décida autrement…
Quand je rencontrais Yasmina, un seul fantasme dominait sa sexualité : trouver un homme soumis avec une "chatte" ouverte à ses délires les plus fous. De mon coté, je cherchais une femme qui s’excitait à me soumettre à ses fantasmes de femellisation.
J’avais découvert au fil de l’âge et des diverses amours vécues, l’immense bonheur d’exprimer la part de féminité enfouie dans mon subconscient. J’avais alors dépassé la quarantaine, l’âge ou un homme mature se remet en question. Le fait d'avoir vécu ce fantasme avec mes amies ghanéennes avait définitivement orienté ma sexualité dans ce sens. D'où mon corps épilé et mon attrait à porter de minuscule string féminins en guise de sous-vêtements. Lorsque je relatais à Yasmina ma relation particulière avec Rio, une transsexuelle brésilienne, elle avait alors découvert un monde inconnu, celui des transsexuelles. Ainsi, on pouvait faire d’un homme une femme. Il suffisait de suivre un traitement hormonal féminisant accompagnée d’une chirurgie de réassignation sexuelle le cas échéant. L’idée germa dans son esprit et emballa très vite sa libido : « Puisque tu adores être soumis et femellisé, je ferai de toi MA femme concluait-elle à chacune de nos discussions sur ce sujet. »
En voulant me féminiser si outrancièrement, j’en déduisais qu’à travers moi, Yasmina souhaitait donner libre cours à son penchant lesbien, ce que lui interdisaient sa religion et son éducation. Je crois l’avoir dit par ailleurs, en tant que femme dominante, elle craquait pour les petites filles pubères. Dans un pays où on mariait parfois ces filles à treize ans, elle trouvait ce comportement normal.
Yasmina me désirant avec de vrais seins hormonés, l’idée me conditionna progressivement. Mais prendre des hormones n’était-ce pas jouer avec le feu ? Je précisais qu’un traitement hormonal aurait des conséquences irréversibles sur mes comportements masculins, à commencer par une impuissance qui iraient grandissantes puis une stérilité au conséquence dramatique si nous voulions un enfant plus tard. Yasmina insistait à chaque fois :
- Justement André, je te veux femme ; que tu bandes m’importe peu ! Je veux faire de toi une femelle soumise avec de vrais seins de femme et une chatte dans laquelle je m’enfoncerai à loisir.
- Mais prendre des hormones, c’est risqué. Comment feront-nous l’amour si je ne bande plus ?
- Ta queue de mec ne m'intéresse pas puisque je jouis pricipalement de mon clitoris.
En fait, son trip était de me jeter en pâture à des hommes, voire même à de gros chiens qui me défonceraient l’anus. Pieds et poings liés, il serait impossible de me protéger de leurs assauts. Ma bouche pleine de sperme et mon anus en feu, Yasmina me consolerait ensuite de mes douleurs telle une mère consolant son enfant malade. De par son vécu de fillette violée, Yasmina supportait difficilement le machisme des hommes. Cela expliquait-t-il son penchant lesbien et la sexualité particulière qu’elle voulait m’imposer ? Je le pense.
C’est ainsi que démarra sérieusement ma féminisation hormonale. Moi qui n’avais vécu qu’une féminisation de bon aloi jusqu’à présent, j’ignorais où me conduirait le jeu si excitant que m'imposait Yasmina. Au sein de notre couple, elle me désirait en femelle soumise au lit, mais au petit matin, il fallait redevenir un homme normal au regard des gens. Ce qui à mon sens me préservait de ses excès de féminisation. Je lui expliquais que me femelliser était essentiellement ressentie comme l’intense excitation d’un homme qui jouissait d’abord de sa queue en se comportant ainsi. Rien à voir donc avec une transsexuelle qui désire devenir femme à 100%. Mais elle balayait mes arguments d’un geste de la main et me poussait à chaque fois dans mes derniers retranchements féminins : « Sache qu’un homme qui me pénètre ne m’excite plus depuis longtemps. Je préfère te voir en femelle soumise avec de gros seins et défoncer ta chatte avec un gode tout en me masturbant. » Comment résister à une telle proposition, moi qui connaissais la rareté des femmes s’excitant à féminiser leur amant.
Derniers Commentaires