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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
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  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Dimanche 8 mars 7 08 /03 /Mars 01:01

      Qu'on ne s'y trompe pas, il s'agit là d'une histoire* que la décence interdit de lire. J'y relate ma passion pour trois femmes de la famille sous la forme de confessions impudiques : Une mère incestueuse avec qui je fusionnai totalement, une tante qui profita de ma virilité de garçon pubère et une cousine soumise et zoophile avec qui je partageai un imaginaire d'adolescent. Oh ! Quelles plus belles alliances que celles-ci durant mes premières années adolescentes !

 

     Aux yeux de notre société, l’inceste reste la pire des déviances sexuelles, une relation contre-nature qui fait dire à des gens que les parents abusant sexuellement de leur enfant méritent la peine de mort. Quant à voir naître une fille ou un garçon d’une telle relation, c’est pour eux la pire des atrocités pour cet enfant. On a coutume aussi de croire qu’une mère ne peut concevoir de rapports incestueux avec son fils. Or, certains spécialistes précisent que les absences répétées d’un père font parfois d’une mère une femme prédatrice dont les fantasmes prennent son fils adolescent comme objet de ses pulsions sexuelles. Elle se livre alors à un véritable jeu de séduction en sachant pertinemment que son fils ne résistera pas à ses avances. Ayant soif de découverte, un garçon pubère est effectivement prêt à coucher avec la première personne venue si elle l’y invite, même si c'est sa soeur ou sa mère. On dit aussi que ce fils est inconsciemment abusé par elle, pire même, qu’elle lui confisque sa sexualité d’ado en l’isolant des filles de son âge. Une emprise sexuelle qui pervertit la relation habituelle d’une mère avec son fils, un lien obscursqui va d’une tendresse naturelle jusqu’à la séduction incestueuse.

064 1000     Dans son évolution sexuelle, le garçon pubère est avant tout un fervent admirateur de sa mère, la première femme de sa vie. La placer au centre de sa sexualité est donc une réaction normale. Il va comparer durant des années les filles et les femmes qu’il rencontre à ce symbole féminin. D’après les psys, l'absence de père favorise cette situation, son rôle étant justement d'écarter le garçon de sa mère, de le guider vers d'autres femmes afin de dépasser le stade de l'amour maternel. Et oui, arrive un âge où une mère boutonne les pyjamas de son fils, évite certains sujets devant lui, ferme la porte de sa salle de bain, dissimule sa lingerie et frappe avant d'entrer dans sa chambre. Elle devine ses regards en coin et prend conscience qu'il devient homme.

     Il en est ainsi de la morale populaire : prohiber une sexualité dérangeante pour mieux distinguer le bien du mal. Normal, car les pulsions incestueuses font peur aux adeptes de la bienséance. Une telle relation est la chose la plus lourde à porter dans notre société. L'inceste relève d'un tabou et engendre la décadence de l’Homme. Dans ces conditions que penser des cultures dites primitives où l'inceste se pratiquait sous la forme d’une initiation sexuelle de l’enfant ? Et que dire de la "littérature interdite" qui décrit l’inceste comme la plus belle forme d’Amour ? J’ai encore en mémoire ce roman décadent de Pierre Louÿs : « Trois filles de leur mère ». Un hymne à l'inceste d'une mère prostituée qui va à son tour prostituer ses jeunes filles, lesquelles en jouiront follement.

     Et pourquoi dans notre société hypocrite ne peut-on pas encourager une sexualité épanouie sans passer pour un pervers ? En tant qu’homme responsable, je m’insurge donc contre ces idées reçues. Aussi loin que remontent mes souvenirs d’enfant, ce ne fut que du bonheur avec Maman, ma tante et ma cousine. Celles-ci m'initèrent à une sexualité d'adultes alors que les filles et les garçons de mon âges en étaient encore à leur premier baiser. Coupable, je le suis, car il leur fut parfois difficile de résister à mes avances, particulièrement à l’âge où s’insinuèrent en moi les prémices d’une sexualité naissante. Mes fantasmes sexuels se portèrent tout naturellement sur ces trois femmes de mon entourage. Enfant pubère, mes premières masturbations leurs furent dédiées avant que ne survienne l'acte incestueux avec Maman. Mais à l'époque, je ne me rendais pas compte, car j'ignorais encore tout du Droit et de la Justice...

 

* Écrits protégés par copyright

Par Epile - Publié dans : L'INCESTE
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Dimanche 15 mars 7 15 /03 /Mars 20:56

     A l’aube de ce troisième millénaire, familles recomposées, homosexuelles, procréation médicalement assistée, (PMA)  ou gestation par autrui, (GPA) engendrent le déclin de la famille traditionnelle. Ce qui fait que la notion de père et de mère évolue beaucoup ces temps ci. Mon propos d’aujourd’hui porte essentiellement sur l’acte sexuel entre adultes consentants d’une même fratrie. Entre frère et sœur, entre père et fille ou mère et fils majeurs. Faut-il l’accepter au nom du mariage pour tous ? Avec l’évolution des mœurs, la question est d'actualité. 

 

     Heureusement, l’inceste entre adultes consentants ne relève pas du droit pénal en France. Même si cela choque les foules, frère et sœur, père et fille, de même que mère et fils ont le droit légal d’avoir une relation sexuelle s'ils sont majeurs et tant qu’il n’y a pas atteinte à l’intégrité sexuelle ou pression psychologique dans le but d’un acte sexuel. Mais alors pour quelle raison leur interdit-t-on le droit au  mariage ? La question reste ouverte car nos politiques se défilent lorsqu’on pose la question. A partir du simple constat ascendant - descendant, les «incestophobes»* s’insurgent contre l’adaptation de la législation à l’évolution de la société. Il faut protéger la famille biologique, ne pas toucher à la cellule familiale, la base de notre société. Mais alors pourquoi avoir favorisé les couples homosexuels par une loi qui autorise leur mariage ? Tant que cela ne perturbe pas la collectivité, qu’on ne fait pas de tord à autrui, on peut l’accepter pensent d’autres gens.  

 

images-copie-1      Contrairement à l’homosexualité, la société parle de l’inceste comme d’un tabou, voire d’un d’interdit. Mais qu’en est-il exactement ? Est-ce un tabou très fort ou simplement un interdit moral qui choque la pudeur des gens ? Du coté des philosophes, on dit qu’il s’agit de poser clairement la question ; c’est à la société d’y répondre. Si c’est un tabou social, l’inceste est fondé sur la présence du sacré à la fois terrifiant et irrésistiblement attirant, donc profondément menaçant pour l’ordre social. Déroger à ce principe doit être puni sévèrement et mis au rang de crime.

 

     Si c’est un interdit, alors l’inceste s’argumente et se discute par rapport à la morale sociale. Il a des raisons qu’on peut faire valoir et contester. Or, par méconnaissances, les gens s’en remettent aux lois votées par le Parlement. Mais nos gouvernants ne sont pas garants du lien familial, pas plus qu’il ne le sont sur un plan pédagogique. Leur rôle ne consiste pas à orienter le bien ou le mal et encore moins à enfreindre par des lois répressives les libertés d’autrui. Il y a donc de bonnes raisons éthiques de ne pas sanctionner l’inceste entre adultes…

 

* Incestophobe : J’utilise volontairement ce vocable provocateur. Dès qu’un hétéro s'exprime sur l’homosexualité, certains homos le font alors passer pour un homophobe. En un mot, seuls les homos pensent avoir la compétence requise pour parler de leur homosexualité. Il en est de même pour  l’inceste…

 

Par Epile - Publié dans : L'INCESTE
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Dimanche 22 mars 7 22 /03 /Mars 16:50

    Dans les deux chapitres précédents, j’abordais l’inceste avec prudence à cause d’une législation qui la condamne au même titre que la pédophilie et la zoophilie active. L’inceste selon l’opinion publique est une descente aux enfers, une lente agonie où l’enfant devient plus tard une victime écrasée par le poids d’un secret lourd de conséquence, secret qui finit par le ronger d'une culpabilité dévastatrice. Les séquelles sociales en sont dramatiques: violences, prostitution, anorexie, alcoolisme, suicide, maladies psychiques, perversion, etc. Les penchants sexuels entre enfants et adultes font peur aux adeptes de la décadence. Il faut interdire de tels comportements, les punir pour imposer la notion de bien et de mal dans les esprits. Nous ne sommes pas des animaux comme ils disent. A voir les attitudes humaines, je confirme ; les animaux me semblent bien plus sains. Un des maux de notre temps consiste justement à refuser de regarder la réalité en face. C'est le moralement correct qui prime sur la perception du réel. Quand elle n'est pas conforme à l’idéologie, la réalité est occultée, tronquée, manipulée par les média et par la Loi. Or, la liberté consiste justement à tout dire sans se cacher derrière des convenances sociales qui l'entravent.

     Devenu garçon pubère, j'atteignis avec ma mère les sommets de la transgression dans l'interdit sexuel, un instant charnière où l’existence et la jouissance se confondirent le temps d'un éclair. Ensuite, ce fut trop tard, le Mal avec Maman était consommé. Malgré la gêne occasionnée par ce premier rapport sexuel, plus aucune inhibition ne vint entraver nos amours par la suite. Par nos actes sexuels répétés jusqu’à l’outrance, nous renforcions les sentiments qui nous unissaient depuis ma plus tendre enfance. Maman étant ma muse, nous ne ressentions donc aucune culpabilité à nous aimer ainsi.

     Étais-je devenu par cet acte incestueux une victime abusée par sa mère ? Contrairement à l'opinion généralement répandue, cette relation incestueuse ne m’apporta que plaisir et bonheur. Malgré mon jeune âge, je venais d'avoir quatorze ans, je pris corps à nos ébats avec une fougue qui surprit Maman. Croyez-moi, je n’eus rien d’une victime qui se reconstruit après avoir été abusé par « une mère pédophile ». Juger ainsi Maman, quelle horreur ! Et penser qu’elle fut une mère prédatrice, voire castratrice qui s’opposa à l’angélisme de mon enfance reflète ouvertement la volonté populaire de la châtier.

     Maman et moi savions que notre relation était moralement coupable, mais dominés par une force sublime, notre imaginaire nous poussa à nous aimer dans un élan irrésistible. A cause d’une opinion publique dévastatrice, construire ma sexualité par rapport à l’inceste devint un parcours semé d’embûches. De par un environnement culturel fondé sur la raison, le matérialisme et l’intolérance, je subis plus tard le puritanisme des gens avec des conséquences psychiques difficiles à digérer. Mon esprit engendra questionnement, trouble et incertitude, ce qui m’opposa quelques temps à ma mère. Influencé par la morale populaire, j’étais encore trop jeune pour analyser avec lucidité une situation qui me semblait naturelle. La culpabilité s'en suivit, il y eut abjection et dégoût de moi-même. Une mère castratrice et un fils abusé, voilà à quoi les spécialistes résumèrent notre si belle relation, de quoi commotionner un fils amoureux de sa mère pour le restant de ses jours. Difficile à gérer tellement je me heurtai à l’incompréhension et aux idées toutes faites. Hormis ma mère, impossible de partager un si encombrant secret avec d’autres personnes de mon entourage. Allez dire que l’inceste vécu fut une histoire merveilleuse. C’est certain, on vous prendra pour un malade qui relève de la psychiatrie. Pas étonnant dans ces conditions que des garçons ayant vécu un rapport incestueux en arrivent à se suicider.

random_tall_girl_sets_part_2_pg_46_by_faterkcx-d8e-copie-1.jpg            C’est ainsi qu’au fil de la vie, je me créai un univers sexuel particulier, ce qui me marginalisa par la suite. "L'enfant abusé" se transforma en un inquiétant personnage dopé à la perversion. Dès qu’on pratique une sexualité hors des normes généralement admises apparaît la notion morale du mal, celle qui gâche le plaisir. Le subconscient réagit et la conscience s’éveille. « Ah le Mal, il est ancrée en nous me disait un prof de philo. On n’efface pas deux mille ans de chrétienté sans penser au Diable! » Que de craintes reflétées par ce personnage populaire : Avoir le diable au corps, la beauté du diable, tirer le diable par la queue ou vendre son âme au diable ? N’est ce pas là l’écho du « pêché originel » toujours enfoui dans l’inconscient collectif ? » Il en fut ainsi pour l’homosexualité et les transgenres. Aujourd’hui, ces gens se marient, adoptent des enfants comme tout le monde.

     Pas moyen de m’opposer au système, de démêler le vrai du faux dans cette foutue société tellement l’inceste restait tabou. Rien que de tenir un discours différent me menait droit en Enfer. Par provocation envers une société coincée dans ses préjugés, je plongeai à corps perdu dans l’inceste, avec un entrain qui ravit Maman. De par la marginalité de notre relation amoureuse, je m’intéressai aux livres interdits de la bibliothèque. Que de travers sexuels je découvris ! Dans ces conditions, que m’importa la morale des gens puisque je lui préférai les plaisirs du corps et de l’esprit. Peut-on dire que cette relation incestueuse conditionna ma sexualité future ? Oui certainement, mais je n’en ferai pas le reproche à ma mère.

     J’acquis grâce à elle une ouverture d’esprit, une tolérance que beaucoup des gens m’envient aujourd’hui. Aucun blocage face aux « travers sexuels » de notre monde. Bien au contraire puisque j’en jouis ouvertement aujourd'hui. L’inceste vécu durant ma jeunesse m'orienta par la suite vers la recherche du vrai plaisir. Fuir la banalité des copulations vulgaires et trouver l’extase devinrent un leitmotiv. C'est ainsi qu'au fil du temps, je me créai un univers particulier, ce qui me marginalisa encore plus. Devenu adulte, je me perdis dans des fantasmes inconcevables pour un esprit cohérent. Cela ne consista pas à me vider bêtement les couilles comme je le disais plus haut, mais à atteindre le Nirvana en brisant l’interdit collectif qui s’opposait à ma conscience. Comprenez par là que la transgression de l’interdit, bien qu’il soit répréhensible par la Loi, fut le fil d'Ariane qui me conduisit vers un idéal sexuel parfait.

     Partagé entre une mère amante, une tante possessive et une cousine trop curieuse, je m'égarai souvent dans mes divers personnages et me laissai corrompre par eux. Lorsque le plaisir commandait, il devenait inutile de me raisonner. Il ne restait qu’à savourer toute la quintessence de l'instant présent. C’est pourquoi je souhaite par ces écrits revenir plus en détail sur les faits réellement vécus et raconter les jours heureux passés en famille.

 

Par Epile - Publié dans : L'INCESTE
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