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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
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  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Mercredi 26 octobre 3 26 /10 /Oct 18:06

     Qu’on se rappelle du tollé général provoqué par les premières communications de Freud attestant la réalité de la sexualité des enfants. Or, il fut prouvé par la suite que même les bébés possèdent des réflexes sexuels alors qu’ils sont encore en gestation dans le ventre de leur mère. Et bien sur, ces réflexes instinctifs perdurent après leur naissance. L’enfant n’est pas ce petit être asexué que l’on voudrait nous faire croire.

     Les progrès de la médecine ont par exemple permis l’observation d’érections chez un fœtus mâle de sept mois. On prouva aussi que des petites filles présentaient une érection spontanée du clitoris et avait une lubrification vaginale dans les 24H qui suivaient leur naissance puis de façon incontrôlée tout au long de leur enfance. De plus, l’observation de nouveaux nés démontra que dès les premières semaines, à l’occasion de tétées, de bains ou de changements de couches, ils étaient capables par simple pression des cuisses de se donner du plaisir. A l’évidence, les bébés expriment du plaisir quand on stimule leurs organes génitaux et manifestent de la contrariété quand on cesse de les caresses. Voyez ces mères qui plongent leur visage entre les cuisses de bébé en riant et les réactions que cela engendrent chez lui. Même si ces explorations relèvent plus du réflexe que d’un éveil érotique, elles influencent les premières approches sexuelles de l’enfant. Ce fut le cas avec Maman lorsqu’elle s’amusait avec ma verge en érection.

Freud.jpg     Aux U.S.A. et en Allemagne, des observations faites dans des groupes néo-reichiens où les enfants étaient autorisés à assister aux ébats sexuels de leurs parents on démontra que l’enfant ne se contentait pas seulement du rôle de spectateur. Il participait souvent de son plein gré en y trouvant lui-même du plaisir. D’autre part, au cours d’entretiens avec des condamnés pour inceste ou pédophilie, il apparut que l’enfant n’était pas toujours cette victime innocente et passive que l’on pensait. Il prenait parfois l’initiative sexuelle sans pour autant, à mon sens, engager sa responsabilité.

     Bien que la sexualité des enfants soit rejetée par notre société, l’enfant vit une sexualité spontanée, source d’équilibre chez lui. Et pourtant, il assimile les interdits de son entourage familial comme des références alors qu’il aspire à vivre sa propre sexualité. Une équation difficile à résoudre qui perturbe plus d’un enfant et qui l’empêche de se construire sexuellement. Cela explique en partie le caractère hypocrite de notre société.

     Ce processus naturel d’exploration des zones érogènes conditionne la santé sexuelle du futur adulte. Hélas, cela continue d’effrayer nombre de parents, de juges, d’éducateurs et de médecins. La plupart craignent que de telles pratiques soient incompatibles avec leur système de valeurs morales ou leurs pensées religieuses. Pour certaines personnes, de tels pratiques sont le témoignage d’une époque décadente et empêcherait l’enfant de se réaliser convenablement. Les craintes liées à l’inceste et à la pédophilie renforcées par des opinions intransigeantes ne font que conforter les blocages sociaux à ce niveau. Or, les enfants d’aujourd’hui deviendront plus tard des adultes, des pères de famille qui devront assumer leurs fonctions de parent et pour ce, ne pas avoir connu la répression des expériences sexuelles nécessaires à leur maturation. Heureusement pour moi, je ne ressentis jamais de telles frustrations avec Maman. Peut-être aurais-je l'occasion un jour de raconter comment un éminent professeur vint étudier l'évolution des ados pubères dans mon pensionnat. Cela choquerait plus d'une personne aujourd'hui.

     Par conséquent, les difficultés d’approche de la sexualité des enfants s’opposent à la connaissance de leur sexualité. Il devient pratiquement impossible aux spécialistes de travailler sur ce sujet sans risquer des sanctions pénales ; ce qui empêche toute méthodologie scientifique rigoureuse. Ces difficultés d’approche de la sexualité infantile expliquent notre ignorance et les mythes qui persistent à cet égard. On croyait par exemple que la première éjaculation était synonyme chez le garçon de pouvoir fécondant ou qu’il y avait impossibilité de grossesse chez la petite fille avant ses premières règles. Cela s’avéra faux comme le démontra cette fillette violée de neuf ans qui mit au monde un bébé avant l’apparition de ses premières règles.

     A l’aube de ce troisième millénaire, espérons que la société évoluera dans ses mœurs et progressera dans la connaissance de la sexualité des enfants...

A suivre

 

 

Par Epile - Publié dans : UNE JEUNESSE DOREE
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Samedi 29 octobre 6 29 /10 /Oct 17:52

     Le week-end du 15 août, je discute à nouveau des effets de Dompéridone sur ma poitrine avec Yasmina. Comme moi, elle s’emballe à l’idée que son homme puisse avoir des montées de lait. De mon coté, je l’envie d’avoir une poitrine si grosse qui lui permette de se sucer les mamelons. Ah si seulement je pouvais avoir la même poitrine et boire mon propre lait. Les jeunes hommes agiles qui arrivent à se sucer la verge et à éjaculer dans leur bouche de cette façon me comprendront. Ma jouissance serait alors à son comble.

     C’est dingue comme cette femme affole mes sens. Selon elle, je ne suis pa loin de réaliser notre fantasme. Si je prends un anti-horme mâle, je vais réussir grossir mes seins encore plus, à les sucer et donc par ce biais à induire une lactation. Excité comme une puce par notre conversation, je décide de me rendre à la plage : " Prends dans ton armoire ce minuscule bikini d’un rouge éclatant avec des boucles métalliques dorées sur les cotés." Acheté l'an dernier il était impossible de le porter en public, sa coupe étant bien trop féminine pour moi. Ah, ces pulsions incontrôlables qui dominent ma volonté !

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     C’est bien connu des travestis et des fétichistes de la lingerie féminine, les culottes de femme ne couvrent pas entièrement les fesses comme les slips d’hommes. Et elles sont bien trop étroites à l’entrejambes pour y loger correctement la protubérance de notre sexe mâle. D’ailleurs, elles s’insinuent malicieusement entre nos fesses à cause du poids de nos attributs sexuels, ce qui fait qu’elles couvrent encore moins nos fesses. Or là, surprise, le bikini s’ajuste parfaitement à mon derrière plus rond et mieux cambré depuis que je prends des hormones. Et mon sexe plus petit y trouve une place convenable pour se loger. Je mesure alors combien mon corps a changé. Tout excité, je me regarde ainsi vêtu dans le miroir du salon. Je trouve excitant le renflement de mon sexe dans ce minuscule bikini de femme. Mais je me sens ridicule avec mon ventre bedonnant et mes seins proéminents. Face à ce miroir, je n’ai rien d’une femme et tout d’un vieux travelo. Qu’importe, je vis enfin ses fantasmes grâce à Yasmina.

bikini rouge

     Une fois sur la plage, la pudeur me reprend face à la foule des baigneurs. C’est dimanche et il y a plein de monde. Je me déshabille et m’allonge sur ma serviette de bain dans un coin discret. Le regard insistant des gens qui passent me gêne et aucune femme à l’horizon pour apprécier ma féminité. Ce jour là, je ne me baigne pas, j’ai trop honte de me montrer. Déçu, je retourne chez moi. Et là, c’est le grand jeu. Excité par mon petit bikini, je me fais un lavement profond du colon suivi d’une violente masturbation. J’ai envie de jouir, mais je n’y arrive pas. Je tire sur ma queue inerte et martyrise à tout va mes testicules en m’insultant. Finalement la jouissance arrive et là surprise, mon sperme gicle à plusieurs centimètres. Est-ce le fit d'avoir arrêté les hormones ? Par contre, je m’inquiète toujours autant de sa transparence. Suis-je devenu définitivement stérile ?

    Fabuleux 15 août ! Tandis que la Vierge monte au ciel, je sens mes seins travailler à nouveau sous l’action de Dompéridone. J’ai l’impression qu'ils se gonflent et je ressens de constants picotements. A l’évidence, les glandes mammaires réagissent fortement à ce médicament. J’en viens à espérer que mes seins prendront encore plus de volume.

    Dans la semaine, Amber, ma copine transsexuelle, me rend visite. Elle me surprend alors que je somnole allongé dans un transat au bord de la piscine. Selon mon habitude, je porte pour tout vêtement un petit string des plus féminins. Elle ne s’étonne pas de me voir ainsi. Il lui arrive à ma demande d’acheter de tels strings rien que pour moi. Bien sur, elle en profite également pour renouveler sa lingerie à mes frais. Ce jour là, elle me reproche de laisser trainer régulièrement des strings et des petites culottes partout dans la maison. La femme de ménage, une mère de famille très prude, s’en est étonnée dernièrement. Amber lui a répondu que c’était à une de mes copines. Après tout, Yasmina est absente et quoi de plus normal qu’une femme oublie ses petites culottes chez moi.

     Amber remarque aussi mon embonpoint et combien mes seins ont anormalement grossi. Par provocation, je lui réponds que j’ai plus de poitrine qu’elle. J’espère ainsi lui faire avouer qu’elle se doute que je prends des hormones. L’amener sur mon terrain serait formidable. N’oubliez pas que c’est elle qui m’a acheté les premiers tubes d’Oestrogel et de Progestogel. Or, elle ne se doute de rien. Malgré mes petits travers féminins, je reste un homme viril à ses yeux.

     Le 17 août, cela fait une bonne semaine que j’ai cessé les hormones. Après des mois de sommeil, ma verge se réveille à nouveau ; des érections nocturnes si fortes qu’elles me réveillent. Serait-ce là le signe d’un retour de virilité ? Dans les jours qui suivent, j’ai une forte remontée de ma libido. Je retrouve goût à me branler et à voir ma verge grossir entre mes doigts. Alors qu’auparavant, une simple branlette me suffisait, j’ai besoin maintenant de pimenter mes masturbations. Et quoi de mieux que de me faire de profonds lavements puis de m’ouvrir la chatte avec un gode. Et là, la jouissance vient, une éjaculation rapide qui me fait pousser des gémissements incontrôlables en me contorsionnant de plaisir comme une femme ; un plaisir beaucoup plus cérébral…

      Toujours de forts maux de tête, mais localisé à l’avant, sur le coté droit du front. Peut-être est-ce lié à Dompéridone. Cela ne manque pas de m’inquiéter. Déjà qu’à mon âge, je suis fragile, je crains sérieusement pour ma santé. Faut-il me sevrer progressivement pour que mon corps s’habitue à un retour à la normale ou puis-je cesser d’un seul coup ? C’est l’occasion de le constater.

     Mais dominé par mes pulsions, je ne résiste pas une fois de plus au plaisir d’étaler Oestrogel sur mes seins. J’en étale même sur mon sexe et entre les fesses bien que je sache que cela me rend impuissant. Ma dépendance aux hormones féminisantes, cette envie incontrôlée d’en étaler toujours plus, ne manque pas de m’inquiéter. Partagé entre la volonté d’avoir de gros seins plein de lait et de rester un homme viril, je deviens dingue. Quelque part, je me sens prisonnier de mes propres envies. Comme les drogués, mon plaisir passe avant ma santé. Je sais que je me détruis, mais je n’y peux rien. Un jeu de yoyo très critiquable...

Jeudi 18 août :

     Je n’ai pas eu d’érection nocturne comme les nuits précédentes.  Devant ma mine de déterré, Ambre me propose de venir partouzer avec une copine, ce qui stimule ma libido. Serais-je assez viril ? J’en doute. Bander dur pour les enculer me sera difficile. Reste à voir si une bonne dose de Viagra m’aidera. Ce sera l'occasion d'essayer.

 

Vendredi 19

     Privés d’Oestrogel, mes mamelons perdent de leur sensibilité. On peut à nouveau les rouler entre les doigts et les pincer fortement. Les tensions mammaires dans la poitrine disparaissent aussi. Néanmoins, je continue Progestogel. J’ai l’impression que cette hormone me fait du bien. On lui prête certaines vertus chez les hommes. Je constate aussi que ma libido se transforme. Elle redevient plus masculine.

 

     Au matin du 22, je ne résiste pas, je suis sérieusement en manque. Je masse longuement mes mamelons avec une généreuse dose d’Oestrogel. J’aimerai tant voir mes seins encore grossir tout en restant viril…

 

     Le 23 août, j’ai un mal de ventre terrible. Peut-être un repas mal digéré. Je me fais un lavement qui m’épuise. Envie de me masturber aussi, mais je me retiens. Il faut que je sois viril durant la partouze qui m’attend avec Amber et sa copine. J'espère retrouver des érections de mâle d’ici là. Ce sera aussi l’occasion de voir si je suis encore capable de produire des spermatozoïdes. Je dois impérativement cesser Oestrogel plusieurs semaines si je veux arriver à un résultat tangible. Je suppose aussi que jouir souvent favorisera un retour plus rapide de ma virilité. Alors je me force à avoir des orgasmes le plus possible. Mais la transparence du liquide séminal ne manque pas de m’inquiéter. Suis-je devenu définitivement stérile ?


 

Par Epile - Publié dans : DES HORMONES
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Vendredi 11 novembre 5 11 /11 /Nov 19:25

     Comme ma copine Amber adore jouir dans le cul des mecs, ses traits masculins reprennent le dessus. Elle estime donc qu’il est temps de corriger cela, mais aussi d'avoir une vraie poitrine plutôt que des faux seins. Elle prend donc des hormones féminisantes depuis trois mois. Et comme toutes les jeunes transsexuelles, elle plonge à fond dedans : Androcur et je ne sais plus quel œstrogène...

      Au fil du temps, je constate combien son corps se transforme. Il devint passionnant d’observer sur elle les changements que j’avais auparavant noté sur moi. En quelques semaines, les traits de son visage s’adoucirent, son corps se féminise, ses fesses s’arrondissent, ses mamelons s’assombrissent et la petite boule annonciatrice de la glande mammaire en développement gonfle sa poitrine. Contrairement à moi, je remarque aussi combien son derrière s'arrondit. Atteinte de boulimie, elle a faim en permanence et grossit donc du ventre. Comme pour moi, elle ressent aussi une grande lassitude et une intense fatigue physique. C’est bien connu des transsexuelles, les hormones, et particulièrement Androcur, fatiguent énormément. Par conséquent, elle passe son temps à dormir. Au lieu de forniquer quand elle vient chez moi, elle s’allonge sur le canapé du salon devant la télévision puis, bercée par les images, s’endort. Totalement passive, elle ne prend plus aucune initiative. Toute trace d’agressivité a disparu en elle et sa libido est tombée. En conséquence, plus aucune sexualité anime notre relation. Je suppose ausi qu'elle a un copain. Sa distraction préférée quand elle ne dort pas est d’exciter les mecs sur le Net. Pour cela, elle montre son cul bien cambré aux gogos. La prenant pour une femme, ceux-ci se branlent à chaque fois devant leur écran.

01     Tout en m’émerveillant de sa transformation, je la conseille utilement. Dommage de ne pouvoir partager avec elle mes impressions sur ma propre féminisation. Comment lui révéler que je prends aussi des hormones féminisantes ?  Je lui parle de Yasmina. Je me lance et j’explique que cette femme est une authentique salope. Dans la foulée, je lui confie qu'elle s’excite à vouloir me féminiser. Sa réaction est immédiate. Elle, qui est ouverte à toute forme de sexualité trouve cela débile. Elle est incapable de comprendre que je puisse être féminisé. Un homme comme moi, ça reste un mec quoiqu'il arrive, même s’il porte des strings de femme et se laisse enculer par elle. A ses yeux, mon anus n’est pas une chatte. Pas question de me «femelliser » puisque je ne suis pas un travesti. Je constate à cette occasion combien elle se moque de ces gens. Je vous l’avais dit, beaucoup de transsexuelles deviennent intolérantes quand on marche sur leurs platebandes.

     Ce jour là, elle me dit sans détour qu’elle a envie de me défoncer le cul. Par provocation, je lui réponds qu’elle n’est plus la salope que j’ai connue. Elle me confie alors avoir cessé les hormones depuis une quinzaine de jours. De parler de cul avec elle réveille ma libido. On se souvint de cette soirée mémorable passée ensemble avec son amie transsexuelle. Surprise ! Elle me l'avait offerte en cadeau de Noël : une salope dépourvue de tout complexe au lit quand elle avait bu. L’idée de me voir enculer par une autre transsexuelle l'avait autant excité que moi. Elle voulait m’entendre crier quand toutes les deux me défonceraient la chatte. On convint donc de passer ensemble la soirée de Noël. Amber me demanda de prévoir beaucoup d’alcool au dîner. Quand elle est soule, sa copine se lâchait complètement.

     Excité par notre conversation, Amber me demanda de sucer sa verge. Comme à chaque fois, je fus impressionnée par sa grosseur, un clitoris pas très féminin. Il fallut me réhabituer avant de l’engloutir complètement dans les profondeurs de ma gorge. Et de savoir que son énorme engin me défoncerait le cul m’excita encore plus. La soif de sentir son sperme gicler au fond de ma gorge étant plus forte que tout, elle ne résista pas longtemps à mes savantes caresses. A chaque fois qu’elle s’enfonçait dans ma gorge, elle poussait des cris comme une vraie femme. Quand elle jouit, j’appréciais son sperme au goût plus doux et moins astringent qu’auparavant. Comme le mien, il était devenu liquide et transparent.


Par Epile - Publié dans : DES HORMONES
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