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  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
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  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • soumission travesti string feminisation transgenre
  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

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Lundi 21 novembre 1 21 /11 /Nov 03:01

     Dans le but d'être viril durant la partouze qui m'attendait, j’avais cessé les applications régulières d’Oestrogel depuis trois semaines en les remplaçant uniquement par Progestogel.  Depuis, j’avais retrouvé des érections nocturnes. Ma verge reprenait une certaine consistance. Ce n’était plus un morceau de chair flasque et inerte. Plus une seule nuit sans que je sois réveillé par ma queue qui bandait. Pour me rendormir, je me masturbais un peu, attendant de débander. Cette nuit là, je me branlais pour voir si j'étais encore capable d'avoir un orgasme. A ma surprise, je débandais rapidement dans les trente secondes suivantes, car le plaisir n'était pas au rendez-vous. Ce n’était là qu'une érection mécanique qui n’avait rien à voir avec la moindre excitation. Cela démontrait au moins que physiologiquement, ça fonctionnait toujours. Restait maintenant à redémarrer "la machine à spermatozoïdes".

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     Or, l’envie de reprendre Oestrogel me tenaillait en permanence : une insistante pulsion qui me travaillait la tête comme une envie de fumer. J'étais en manque, mais je résistais vaillamment. Je respectais un délai de plusieurs semaines, temps nécessaire pour retrouver une spermatogenèse normale. Je ne doutais pas que les petits spermatozoïdes agiles et nerveux seraient de retour. Ensuite, il serait toujours temps de replonger dans les hormones féminisantes ensuite. Si je voulais rester un homme viril, il me faudrait jouer au yoyo comme certaines transsexuelles. Faire une cure hormonale de quelques mois puis arrêter le temps de retrouver ma virilité. Mais est-ce que ma poitrine se développerait alors comme je le souhaitais. J’en doutais.

     Impossible de résister à l’appel des hormones femelles. Mon corps réclamait sa dose quotidienne. Vaincu par une pulsion plus forte que d’habitude, j’en étalais sur les seins et sous les aisselles et là où la peau était mince. Pour finir, je déposais une grosse noisette de gel sur chaque mamelon. J’espérais de cette façon saturer les glandes mammaires. Une fois de plus, je découvrais comme il était facile d’utiliser ce gel. Il n’avait rien d’un médicament. Je le ressentais comme une crème de beauté agréable à étaler. J’en venais à rêver. Ah si seulement les chercheurs trouvaient des produits spécifiques sans avoir à subir d’effets secondaires. Pourquoi pas une crème qui développe uniquement la poitrine, ou même mieux, qui fait grossir le pénis. Je repense aussi à ces hommes et à ces femmes qui s’injectent sous perfusion du sérum physiologique ou une solution salines le temps d’un fantasme. Durant des heures ces personnes vivent avec une très grosse poitrine avant que le produit ne s'élimine de lui même…

     Le lendemain qui suivit cette application d'Oestrogel, patatras, les maux de tête revinrent en force. Toute la journée, la tête grosse comme une pastèque, je fus comme posé sur un nuage, incapable de la moindre initiative.

Deuxième semaines
     Dimanche dernier, mon genou gauche a durement cogné le sol suite à un décollage difficile en parapente. Une blessure superficielle sans importance, bien qu’elle me fit boiter des jours durant. Au fil des jours, la douleur augmenta et devint de plus en plus lancinante. En prenant mon bain le vendredi suivant, je m’aperçus que j’avais deux énormes hématomes, l’un à l’intérieur de la cuisse gauche et l’autre sur le pied. Comme la douleur ne s’atténuait pas, je consultais aux urgences de l’hôpital de la ville. Rien de grave d’après le médecin. Pas de fracture, mais uniquement un fort traumatisme de l’articulation lié au choc : "Il vous faudra du temps pour retrouver toute la mobilité du genou". Rythme cardiaque excellent et pression artérielle normale, j’en déduisis que Dompéridone ne réagissait pas à ce niveau. Comme ma jambe droite continuait de me gêner depuis mon excès de goutte, je me sentais sérieusement handicapé. Déjà que les hormones me déstabilisaient, je ne cessais de m’inquiéter.

Troisième semaine
     J’ai beau aspirer mes mamelons plusieurs fois par jour avec le tire-lait acheté récemment, mais rien n’en sort. Quelle déception, moi qui fondait tant d’espoir sur Dompéridone pour avoir des montées de lait. Même Yasmina est déçue. Face à cet échec et à son éloignement, je désespère...


Par Epile - Publié dans : DES HORMONES
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Lundi 21 novembre 1 21 /11 /Nov 03:17

     Enfin arriva le jour tant attendu de cette partouze. J’en profitai pour prendre un comprimé de Viagra 100 mg. Amber arriva la première à la maison. Sa queue la démangeait tellement qu’elle voulut immédiatement me sodomiser. Comme elle était très excitée, elle jouit rapidement puis son excitation retomba très vite. J’eu l’impression de me reconnaitre dans sa jouissance tellement ses réactions furent similaires aux miennes. Après avoir récupéré, Ambre s’installa devant l’ordinateur de la maison sans plus faire attention à moi.  Je m'inquiétais du retard de son amie. A cause du Viagra, ma queue commençait à me démanger sérieusement.

     Sa copine arriva enfin. On bavarda un instant sur la terrasse en buvant un verre tandis qu’Amber restait « scotchée » à l'ordinateur. Sa copine me fixa de son regard de salope et écarta ses cuisses. Sous sa minijupe, elle ne portait rien. Entre ses cuisses, je distinguai nettement sa verge épilée. Elle se caressa alors devant moi. Une salope, non, une vraie professionnelle du sexe ! Elle savait y faire avec les hommes. Sa réaction m’excita. Je lui dis que j’avais envie de sentir le goût de son sperme dans ma bouche. En fait, je voulais le comparer à celui d’Amber. Je m’agenouillai entre ses cuisses, m’emparai de sa petite verge et je la suçai à fond de gorge. Mais elle résista à mes savantes caresses. A bout de souffle, je lui demandai pourquoi elle ne jouissait pas. Elle me répondit qu’elle se retenait car elle avait envie de me prendre par derrière.

0_557.jpg     Qu’à cela ne tienne, on passa dans la chambre à coucher. En me déshabillant, elle remarqua mon corps entièrement épilé, mes seins qui pointaient anormalement et le petit string de femme que je portais. Mais elle ne fit aucune remarque.  A ses yeux, j’étais un mec.

     J’essayai d’abord de la sodomiser. Mais après toutes ces heures à l’attendre, l’effet du Viagra s’était fortement atténué. Je ne bandai plus assez fort pour lui ouvrir l’anus avec mon gland. J’enfonçai alors délicatement un doigt enduit de lubrifiant puis un deuxième. J’essayai de l’enculer à nouveau. Mais rien n’y fit, ma queue resta désespérément molle ! C’est alors que mon excitation retomba. Finalement, c’est elle qui prit son pied. Elle me sodomisa à fond et jouit follement de sa petite verge nerveuse. Puis comme tous les couples du monde, on discuta tranquillement allongé sur le lit. Elle me parla de ses multiples amants. Comparativement à eux, j’étais à ses yeux un homme plutôt libéré sexuellement. Avantage avec moi, elle pouvait réaliser ce qui l’excitait vraiment. Je lui précisais que mon plaisir résidait essentiellement dans son plaisir. Plus je la sentais s’exciter et plus je m’excitais.

     C'est alors qu'Amber qui voulait voir sa copine m’enculer entra dans la chambre. Elle tenait sa verge bandante d'une main. Tandis que sa copine me prenait à nouveau par derrière. Amber en profita pour me violer la bouche. Sentir son sperme gicler dans ma bouche tandis que sa copine jouissait en même temps dans ma chatte fut un moment inoubliable. Sa semence avait un goût différent, bien plus astringente, car elle ne prenait plus d'hormones. Au passage, je m’interrogeai sur ce gout prononcé pour le sperme des transsexuelles. Recevoir leur semence en moi était comme de communier avec eux. Un peu à l’image d’une femme qui se donne et reçoit le fruit du plaisir de son amant.

     Vers minuit je raccompagnais les deux filles chez elles. Elles voulaient se préparer pour sortir en boîte. De retour à la maison, je fus surpris de bander dur en me déshabillant. Une érection insoutenable ! Il y avait longtemps que je n’avais pas vu ma verge monter aussi haut sur mon ventre. Excité face au miroir de la salle de bain, je me branlais et jouis rapidement en giclant des rafales de sperme translucide. Bander aussi durement me procura une jouissance d’enfer.

006.jpg     Le lendemain matin, rebelotte. Ma queue encore toute raide, je me branlai à nouveau. Mais l’envie était cette fois-ci dans la tête. Je n’arrivai pas à l’orgasme, comme si mon corps refusait le plaisir au niveau de mon sexe. L’envie de jouir était si forte que je dus me violer l’anus avec un gode gonflable. Je ne cessais de le gonfler, à gémir de douleur. Une torture lancinante, un coup de folie où la souffrance renforça mon plaisir. Jouir en même temps de ma verge et de ma chatte me fit crier de plaisir. Une jouissance de femme.

     A l’évidence, Viagra suppléa parfaitement à mon impuissance hormonale. Redevenir homme le temps d’un orgasme me remonta le moral. Je pensai aux acteurs de films pornos qui bandaient des heures durant. On dit qu’ils prennent ces petites pilules bleues plus que de raison. Serait-ce aussi pour moi la façon de compenser une virilité perdue ? A cette idée, je m’emballai ; je pouvais donc continuer à m’hormoner…


Par Epile - Publié dans : DES HORMONES
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Samedi 10 novembre 6 10 /11 /Nov 22:24

     Autogynéphilie, voici un terme médicale en provenance du Canada et qu’un public averti découvre en France. D’après l’encyclopédie libre Wikipedia, l’autogynéphilie, un terme  proposé par Ray Blanchard, un psy ultra conservateur, désigne l’excitation sexuelle ressentie par un homme lorsqu’il perçoit l’image de son propre corps comme étant celui d’une femme. A des degrés divers, cela va de soi.

• Autogynéphilie « travestie » : excitation dans l'acte ou le fantasme de porter des vêtements de femme. C'est le cas des travestis.
• Autogynéphilie « comportementale » : excitation dans l'acte ou le fantasme de faire quelque chose de féminin.
• Autogynéphilie « physiologique » : excitation dans l'acte ou le fantasme de percevoir certaines parties de son corps comme celles du sexe opposé. C'est mon cas.
• Autogynéphilie « anatomique » : excitation dans l'acte ou le fantasme de percevoir son corps comme celui du sexe opposé. C'est le cas de la plupart des transsexuelles.

     Un comportement autogynéphile se traduit donc par diverses envies de féminisation, chaque homme se retrouvant classifié dans une ou plusieurs de ces définitions. Moi qui suis un adepte de la "femellisation" de mon corps, qui fait une fixation sur mes seins de femme et ma queue de mec, je dirais que les définitions données par Blanchard reflètent assez bien mon sentiment. En disant cela, j’ai conscience de me faire des ennemis parmi les transsexuelles, car ce psy est fortement contesté par ces gens. Une polémique existe suite à ses travaux sur elles.  Ce spécialiste considère que l’identité de genre est intimement liée à la sexualité.  De ce fait, il remet en question la motivation profonde de ces personnes à devenir femme précisant qu’elle est avant tout liée au plaisir sexuel et donc liée à l’excitation ressentie.

hormonage     Les définitions 3 et 4, bien qu’elles soient trop généralistes à mon avis, semblent assez bien convenir à mes propres comportements. Je fais une fixation sur mes seins de femme, j’aime mon corps intégralement épilé, je porte de minuscules strings de femme et j’adore par dessus-tout qu'une femme abuse sexuellement de moi comme si j'étais une femme.  J’ajouterai aussi la seconde définition puisque je désire avoir de gros seins pour avoir des montées de lait comme une femme.

     De plus, mes amours successives ont influé sur ce comportement autogynéphile en favorisant ma féminisation au-delà de mes attentes. Comme mes compagnes précédentes adoraient me sodomiser, je me sentais bien plus femme en faisant l'amour ainsi. Ma verge devenait secondaire dans ce cas, car je m'imaginais avec un vagin ouvert à leurs envies de domination. Je mouillais comme une femme et j'étais pénétré comme tel. Idem lorsqu'elles me dilataient et ouvraient ma "chatte" à l'extrême. Et oui quand je baisais, j'avais une chatte à la place de l'anus. Et cela, je le vivais au quotidien, de manière persistante et non comme une fantaisie sexuelle passagère. Et pour comble, vivre ces situations me faisait bander.

     Côté travestissement fétichiste, cela m’agace un peu, car je n’aime pas me travestir. Je ne ressens aucune excitation à m’habiller en femme ou à me maquiller si ce n’est pour faire plaisir à mes compagnes. Juste envie de porter un string en dentelle ou une petite culotte sur mon corps intégralement épilé. Parfois j'en viens à cacher mon sexe entre mes cuisses et à remonter mes testicules dans le ventre pour avoir le ventre aussi plat qu'une femme. Je dois avouer que mes compagnes successives s’emballaient autant que moi à ces jeux. Elles essayaient des soutiens-gorges sur ma poitrine, me faisaient porter des bas nylon avec un porte-jarretelle et des escarpins aux talons démesurés. En fait, elles m’instrumentalisaient à mon insu dans une excitante perversion. Elles prenaient le contrôle de ma sexualité, inversaient les rôles mâle/femelle et me rendaient de ce fait totalement passif. Par réaction, l’image que je dégageais alors avec ma poitrine de femme aux tétons proéminants, avec mes longues cuisses fuselées et mes fesses nerveuses dans un petit string les poussait à me femelliser encore plus.

     J’avais conscience d’être ridicule ainsi accoutré, mais comme c’était là leur délire, je me laissais donc faire. Je devenais leur femme dans ces moments-là. Contrairement aux nombreuses photos que j’ai de ma poitrine, je n’en ai aucune dans des tenues féminines. Ce travestissement élémentaire était plutôt ressenti chez moi comme une hors-d'oeuvre sexuel, un amuse-gueule. Ce n’était là qu’un jeu entre nous, une variation sexuelle.

     Rien à voir non plus avec la dysphorie de genre, une caractéristique propre aux transsexuelles. Ces personnes se sentent femmes prisonnières d’un corps d’homme et font donc des toutes les démarches pour devenir des femmes. Elles ne ressentent aucune excitation à s’habiller en femme. C'est leur état normal. Elles se sentent femme et s’habillent donc comme telles contrairement aux travestis qui eux s'excitent et jouissent de s'habiller ainsi. Eux ne remettent pas en cause leur statut de mâle.

     Eh oui, me voilà donc autogynéphile selon la classification des psys. Et de plus, j'aime ça. Qu’une femme stimule cette part de féminité qui cohabite en moi, qu’elle s’emballe à "fémelliser" sexuellement mon corps, qu'elle favorise le développement de mes seins et voilà que je deviens alors le plus heureux des hommes…


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION DES HOMMES
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