PRESENTATION

  • : DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • : Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui vivait en moi. Soumis à leurs fantasmes, fallait-il devenir la femelle qui se prêtait à tous leurs excès sexuels ? OUI ! Je le pensais...
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

UNE EXPERIENCE DIABOLIQUE

Profil

  • Microstring
  • DES FEMMES QUI S'EXCITENT A "FEMELLISER" LEUR HOMME
  • soumission travesti string feminisation transgenre
  • Homme de raison piégé par des femmes qui s'excitaient à développer la part de féminité qui cohabitait en moi. Fallait-il préserver ma virilité ou me "femelliser" à outrance pour leur plaisir ? Je le pensais...

Recherche

Dimanche 9 octobre 7 09 /10 /Oct 16:15

     Etre transsexuelle est un état qui se distingue nettement du travestissement. Et pourtant les gens de la rue font généralement la confusion. Contrairement aux travestis qui ne remettent pas en cause leur statut d’homme, les transsexuelles se sentent femme dans leur tête et prisonnières de leur corps d'homme. Elles aspirent à vivre pleinement en femme et rejettent leur côté mâle. Une erreur de la nature dont elles ne sont pas responsables et qu'il leur faut assumer toute leur vie face à une société qui se moque d'eux. Les plus chanceuses hériteront d’un corps androgyne facile à féminiser. Mais pour les autres, ce sera un calvaire difficile à assumer. Voyez le très sérieux site américain à ce sujet. Une mine d'informations pour qui veut devenir femme : http://www.transgendercare.com/default.asp

633_1000.jpg     Dès leur petite enfance, ces « garçons manqués » rêvent de féminité. Ils se sentent plus proches de leur mère que de leur père. Ils l’aident aux tâches ménagères et préfèrent la poupée de leur sœur plutôt que le ballon des garçons. Ils se sentent filles dans l’âme et se comportent naturellement comme telle. Alors que les garçons rêvent de poils et de muscles, eux se maquillent en cachette, enfilent le soutien-gorge de leur mère et glissent leur petite verge dans une culotte de leur sœur. Ils s’essaient à toutes ces petites choses qui font le secret des femmes. Et quel plaisir de se découvrir face au miroir de la salle de bain maquillé et habillé comme une vraie fille ! Confus d’être surpris ainsi accoutré, ils trouvent injustes les remontrances des parents et du père en particulier.

     Confrontés sans cesse à leur élan de féminité naturelle par rapport aux conventions d’une société qui les obligent à vivre en garçon, ils deviennent malheureux. Se maquiller et s’habiller en femme ne relèvent pas d’une pulsion sexuelle passagère comme chez les travestis, mais d’un état normal qu’ils désirent vivre au grand jour. Devenus ados, ils sympathisent avec les filles de leur classe. Très vite, ils deviennent la proie des garçons qui ne pensent qu'à se faire sucer par ces garçons androgynes. Ils font alors l’expérience de la fellation avec les garçons du collège ou avec des hommes plus âgés. Ceux-ci leur permettent enfin d’exprimer leur féminité. Influencés par d’autres garçons efféminés, ils se procurent des hormones féminisantes en cachette de la famille. Les parents assistent impuissants à la transformation de ce fils en fille. Les réprimandes familiales ne changeront rien au destin de ces garçons. Avant même d’être majeurs, ils fuguent ou  quittent le « cocon familial » pour fréquenter les transsexuelles. Enfin libérés des contraintes familiales, ils franchissent toutes les étapes de la féminisation avec elles. Leur début en femme ne sera que du bonheur.

t8.jpg     Je me demande si traiter ces garçons aux hormones féminisantes bien avant que la puberté ne marque de son empreinte mâle ces filles d’un genre particulier ne serait pas plus avantageux. En empêchant bien avant la pré-puberté les hormones mâles d’agir, les hormones femelles neutraliseraient leur physique masculin, favoriseraient leur apparence féminine tout en développant les caractères sexuels secondaires féminins. J'imagine le bonheur d'un garçon efféminé de dix ans qui se sent fille en voyant ses seins se développer comme ceux de ses copines de classe. Cette réaction féminine lui permettrait de se sentir mieux dans sa peau et favoriserait une meilleure intégration sociale puisque ses traits et son corps seraient plus conformes aux attentes de la société. Le problème serait de déceler cette dysphorie de genre dès la petite enfance sans la confondre avec celle des travestis. En diagnostiquant ces comportements très tôt, les psys se rendraient vraiment utiles. Cela éviterait à ces garçons efféminés bien des désagréments plus tard.

     Comme les transsexuelles se sentent femmes jusque dans les moindres cellules de leur corps, elles font tout pour corriger ce qu’il convient d’appeler une erreur de la nature. Une hormonothérapie féminisante aux effets secondaires difficilement supportables, une chirurgie esthétique coûteuse et, ultime étape, l’opération du sexe qui leur donne un vagin à la place du pénis, ce que les spécialistes appellent une réassignation sexuelle. Et dernière ligne droite, une identité féminine devant l'état civil. Je ne parle pas du suivi médical durant des années et des interminables formalités administratives qui en découlent. Renier leur sexe d’origine et changer d’identité officiellement se transforme en une sinécure, un difficile chemin de Croix pour ces gens. Mais être Femme est à ce prix pour elles.

ParisParks_0382.jpg     De par une société qui les rejette, ces filles d’un genre particulier finissent par se marginaliser la plupart du temps. Elles se cachent le jour et vivent la nuit, seul moyen pour elles d’exprimer ouvertement leur féminité sans essuyer le regard inquisiteur des gens ou se faire insulter par les jeunes. Voyez leur succès dans certains cabarets, dans des boites de nuit spécialisées ou au bois de Boulogne la nuit.

     Parce qu’elles se sentent femmes, elles sont sexuellement  attirées par les hommes. Ne leur demandez pas de coucher avec une femme, c’est contre leur nature. Coucher avec des hommes généreux leur permet de se sentir femmes, mais aussi de se payer les luxueuses toilettes et les coûteuses opérations chirurgicales qui feront d’elles des femmes. Cela finit par altérer leur caractère à la longue. Confronté en permanence à la sexualité des hommes, la plupart d’entre elles dérivent vers la prostitution et l’argent facile.

     Un dernier mot à leur sujet, et pas des moindres. Les transsexuelles non opérées tolèrent que leur « mari » s’égare parfois entre les bras d’une femme, ne serait-ce que pour compenser une hétérosexualité qui lui manque. Elles ont conscience que leur mec ne se satisfait pas uniquement de leur verge, même si elles offrent leur « chatte » avec toute la passion de l’Amour. Par contre, il ne sera jamais question de toucher à une autre transsexuelle. Jalousie de femme…


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Dimanche 16 octobre 7 16 /10 /Oct 20:04

     Avec le temps, je découvris le tempérament extrêmement soupçonneux de Rio. D’une jalousie maladive, elle me fit injustement des scènes de ménage alors que rien ne s’était passé. Un regard complice ou une conduite amicale avec ses copines déclenchait parfois des colères d’une violence inouïe. De véritables pugilats s'en suivaient. Je dus me protéger de ses gestes déplacés et des talons aiguilles lancés à la dérobée. Des conflits particulièrement difficiles à gérer où la raison n’avait plus sa place. A chaque fois je menaçais de la quitter si elle ne se corrigeait pas.

     Pleine de remords et pour se faire pardonner de ses conduites maladroites, pour me garder aussi auprès d'elle, Rio exploitait mon point faible avec un art qui me faisait à chaque fois craquer. Impossible de lui résister tellement elle faisait la "salope". Elle m'excitait en créant des situations toujours plus perverses.  Piégé, je plongeais à chaque fois dans ses délires avec une allégresse digne du plus pervers des hommes.

     C'est ainsi qu'elle m'amena une nuit à un spectacle privé des plus originaux : des réunions intimes connues des seuls initiésIl y avait là plusieurs de ses amies transsexuelles qui se produisaient dans un spectacle surprenant. Depuis une petite scène, elles se déshabillaient lentement sur une musique languissante puis se caressaient la verge et l'anus, parfois jusqu’à l'orgasme, devant un auditoire de voyeurs. Emportées par l’ambiance, certaines provoquaient ouvertement les voyeurs. Elles descendaient de la petite scène, choisissaient un homme puis se masturbaient devant lui en échange de quelques billets glissés dans leur string. Interdiction formelle de toucher ou de tenter un geste déplacé sur elles. Par contre, celles-ci pouvaient tout se permettre. Si le voyeur était généreux, elles déchargeaient carrément leur semence rien que pour lui. Ce soir-là, il y avait même des femmes dans la salle. Et ce sont elles qui s’empressèrent de payer les premières pour avoir droit à une jouissance personnelle. 

Futanari 317

     Rio s'était arrangée discrètement pour que ses copines viennent se masturber et éjaculent tour à tour dans ma bouche. Etre le point de mire des voyeurs qui regardaient les transsexuelles jouir entre mes lèvres me gêna au début. Mais encouragé par les applaudissements des autres participants,  j’avalais par la suite chacune de leur jouissance avec un plaisir gourmand. Je pressentais leur orgasme et au moment ou le sperme allait gicler, j’avalais alors leur verge avec empressement pour ne pas en perdre une goutte. Mon Dieu, quel bonheur de sentir leur sexe s'enfoncer dans ma bouche et leur semence au goût si variés remplir mes entrailles. Rio s'émerveilla de ma gourmandise. Le ventre plein du plaisir de ces transsexuelles, je lui confiai combien j'avais apprécié cette soirée. Un fantasme venait de se concrétiser sans qu’elle n'en sache rien : sucer des transsexuelles à la queue leu leu. Qui n'a jamais goûté à la semence de ces femmes d'un attrait particulier ne peut comprendre ma réaction.

     Difficile dans ces conditions de reprocher ses écarts de conduite à Rio. Par contre, je ne m'habituais pas à sa nature instable et à ses humeurs vagabondes. En fait, je découvrais chez les transsexuelles des comportements caractériels liés à une instabilité chronique. Ces gens passaient d’une humeur agréable à la déprime totale en quelques minutes. Il suffisait d'un regard, d’une remarque maladroite et leur caractère basculait brusquement. Un conflit de personnalités déstabilisant, certainement lié à leur état, leur esprit masculin s’opposait à leur caractère feminin.

     Par crainte de me perdre face à ses propres dérives, Rio tenta plusieurs fois de se suicider. Ce fut un moyen de pression qui me perturba sérieusement. Je me lassai également des malentendus qui suivaient à cause de ses copines. De plus, la drogue et l’alcool aidant, elle perdit tous repères sociaux. Elle plongea dans une réalité qui ne fut plus la mienne. Bien qu'elle soit à l'origine d'une sexualité qui exacerbait ma libido, je supportais de moins en moins ses égarements. Ajoutés aux nuits turbulentes passées dans les boîtes, je me lassais de ses extravagances. De par mon âge mature, j’aspirais à une vie plus sereine. La pardonner parce que ma sexualité était comblée ne me suffit plus.

     Les excès et le caractère sulfureux de Rio finirent par avoir raison de ma patience. Des transsexuelles jalouses de notre union m’encouragèrent à la quitter. Je découvris à cette occasion, une concurrence terrible entre elles à mon sujet. Sous le prétexte de casser notre couple, elles racontaient n’importe quoi à Rio, ce qui sema le trouble dans son esprit. Cela se terminait parfois entre elles par des crêpages de chignons d’une force dont peu de femmes sont capables.

     Après quelques années d’une relation tumultueuse et financièrement ruineuse, je décidai de la quitter. Saturé de cette vie déséquilibrée et sans espoir d’un avenir meilleur avec elle, je me séparai à regret de mon adorable Brésilienne. Comme elle aspirait à rejoindre une copine en Floride, je lui offris le voyage, sans espoir de retour...


Par Epile - Publié dans : MA FEMELLISATION - Communauté : FEMINISATION
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 21 octobre 5 21 /10 /Oct 21:15

    Moi qui résistais à toutes les maladies, j’ai un nouveau problème de santé en ce vendredi 5 août. Des symptômes bizarres ne manquent pas de m’inquiéter. Douleur sourde à l’orteil gauche puis genoux et mollet droit qui gonflent à ne plus pouvoir courir. Est-ce une phlébite liée à la prise d'hormones ? Mon médecin, ignorant que je prends des hormones féminisantes, conclut à une « goutte », une réaction consécutive à un excès d’acide urique. C’est la première fois que cela m’arrive. La machine humaine commence à se dérégler comme dirait mon garagiste. Y aurait-il un rapport de cause à effet avec ma cure hormonale ?

     Après la consultation, je me rends donc dans une pharmacie pour acheter les médicaments prescrits. Les pharmacies me font réagir de la même façon que les magasins de lingerie, une caverne d'Alibaba où je peux me procurer tous ce qu'il faut pour satisfaire mes fantasmes de femelle. Et là, je repense à Dompéridone. Je prétexte prendre habituellement ce médicament pour corriger de fréquentes nausées. Mon âge rassure la pharmacienne qui me remet  d'emblée deux boites. Elle me précise aimablement que je ne peux pas bénéficier du tiers payant car je n’ai pas d’ordonnance. Mais je me fous de ce détail. La vue de ces petites boites, si anodines pour la plupart des gens, fait immédiatement remonter mon moral d’un cran.

     Je prends immédiatement deux comprimés que je laisse fondre sous ma langue. Leur goût est agréable. La posologie conseillant de ne pas dépasser 8 comprimés par jour, je me limite à 6 comprimés pris deux par deux avant chaque repas. Parmi les effets indésirables, la notice d’emploi précise une augmentation du taux de prolactine, une hormone qui favorise les montées de lait chez la femme ainsi qu’une possible gynécomastie chez les hommes. Que désirer de plus…

      Il me reste un point à éclaircir. Ce médicament est un antagoniste de la Dopamine, un neurotransmetteur qui gère le plaisir. De plus, la Dopamine maintient la pression artérielle en entrainant une vasoconstriction. Quelles en seront les conséquences sur ma santé à mon âge. Mon cœur ne sera-t-il pas trop bousculé par cette molécule ? Je mesure combien la biologie humaine est complexe. Et jouer au cobaye risque de me poser de sérieux problèmes de santé.

     Je ne sais si c’est lié à la prise de Dompéridone, mais une grande fatigue musculaire et d’importants maux de tête perturbent ma journée du lendemain. Je me traine sans force. Je suis incapable du moindre effort physique. Soulever une grosse pierre pour aider un ami m’est impossible. Le soir, je m’écroule littéralement devant la télévision. Un coté déprime aussi qui, je l’espère, disparaitra après un bon sommeil réparateur. Trop fatigué, je me couche en oubliant d’appliquer Oestrogel. Le lendemain, mon état de santé ne s’améliore pas.

     Dimanche 7 août, deuxième jour sous Dompéridone. J’ai eu Yasmina au téléphone. Quand elle a appris que je prenais six comprimés par jour, elle a bondit au plafond. C’est beaucoup trop à son avis. Cela peut expliquer les troubles ressentis. On convient de passer à quatre comprimés quotidien. Par contre, elle me conseille de favoriser les montées de lait en aspirant au moins Quatre à huit fois par jour les mamelons avec ma petite pompe à clitoris.

     C’est bien connu des femmes qui allaitent, aspirer les mamelons stimule les glandes mammaires et favorise donc les montées de lait.  J’aspire donc tour à tour chaque mamelon avec ma petite pompe. L’aspiration ne provoque aucune douleur. Mes mamelons seraient-ils redevenus insensibles ? Je supporte durant de longues minutes cette puissante succion au point d’en oublier ce gadget accroché à mes mamelons comme une sangsue.

     Vidée de son air, la poire se détache soudain du mamelon droit. Quelle surprise ! Des gouttes d’un liquide ambré s’en écoulent. Etonné, je goutte. Hum, une consistance comme de l'eau très sucrée. Je m’en régale comme du plus précieux des nectars. Cela me procure une impression euphorique. Tout émoustillé, j’essaie ensuite sur le mamelon gauche. Mais là, rien ne s’en écoule.

077257edc3534522301ce5135bb4b1e7

     Surgit alors un nouveau fantasme. Ah si seulement je pouvais me sucer les seins et sentir mon propre lait couler dans ma bouche. L'idée germe dans l'esprit de Yasmina: " Il faut à tous prix que tu développes ta poitrine, qu’elle grossisse encore plus pour arriver à te sucer les mamelons. Cela stimulera les montées de lait, j'en suis certaine. "De songer à m’autoalimenter de cette façon me rappelle mon adolescence, lorsque j’étais souple comme un singe. J’adorai alors me sucer la verge et jouir dans ma bouche. Des auto-fellations qui marquèrent ma jeunesse.

      Le lendemain après mon bain, je constate que le mamelon droit est tout boursoufflé. On distingue nettement les pores des canaux galactophores. D’ailleurs, ils sont recouverts d’une substance brunâtre. Certainement lié à l’écoulement d’hier. Lorsque j’en parle à Yasmina, elle me dit que c’est du colostrum, un liquide nourricier très riche, annonciateur du lait maternel. Enfin j’approche de mon but.  Elle me conseille d'acheter un tire-lait, une machine électrique avec deux ventouses placées sur les tétons et qui imite la succion d'un bébé. Savoir que je pourrai bientôt allaiter fait que mon humeur revient au beau fixe. Je m’étonne de cette réaction versatile alors que j’étais si déprimé la veille. Parallèlement aux prises de Dompéridone, je décide d’arrêter Oestrogel et Progestogel.


Par Epile - Publié dans : DES HORMONES
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés